La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°725)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château (suite de l'épisode N°713) -
Je viens de prendre trois bites dans le cul et autant dans la bouche, un terrible assaut, bestial, puissant et animal, une possession sauvage, sans la moindre compassion
Mon fion explosé tarde à se refermer, du foutre sen échappe et glisse lentement dans mon sillon. Je nai plus la force de me relever, je suis là, couché à même le sol, affaibli, abâtardi, cassé, consommé, abusé... Monsieur lEmir et ses deux compères viennent de me jeter et de mabandonner dans ce local étroit et sombre, tel un kleenex sale ! après mavoir abondement sodomisé et baisé ma bouche sans interruption, ni répit. Je ne suis quun trou à sperme
Je frissonne, tremble, jai le souffle court, jhalète même. Je ne sais plus si jai froid, si jai chaud, si jai pris du plaisir ! Ces poils pubiens que jai sur la langue, magacent ! Peut-être sont-ils là pour me rappeler ma condition de vide-couilles total
Dois-je me lever, rester ici ? Jopte pour la seconde solution, mais déjà la porte souvre, une main matt par mon collier et me fait me redresser.
- Allons mon chien, un peu de tenue !
Le Maître est là, devant moi
il me toise. Sa main glisse sur mes fesses et par derrière matt par les couilles et la bite.
- Tu bandes, ma putain !
Oui je bande, comme un âne même ! Je nai pas cessé de bander pendant ces enculades et ruades à répétition. Je nai pas su, non plus, réprimer ces ondoiements de hanches, ces mouvements apostrophant et attisant ces grosses verges, les implorant même à venir se loger au plus profond de mes entrailles.
- On vient de me faire des éloges de ton cul Ma salope et de te qualifier dune bonne tireuse à jus, un titre bien trop honorifique pour toi
nest-ce pas ?
- Oui Maître.
- Mais malgré tout, Je suis fier de toi, ma chienne !
- Merci Maître.
Je bande de plus belle
Cest fou ce que je suis devenu ! Abusé et , je ne me sens ni victime, ni coupable.
- Prépare-moi cette chatte ! mordonne-t-il
Une odeur intime se dégage de ces grandes lèvres roses parfaitement épilées, tel un arôme appelant le désir. Un doux fumet qui memporte et mexcite. Je respire profondément et hume cette chatte longuement pour mieux lâcher prise. A qui appartient-elle ? Je lève un peu les yeux, mais impossible de voir qui je lèche
Juste devant mon regard, en gros plan, une paire de fesses remue. Celle que je lèche et suce avec gourmandise, saffaire elle aussi à titiller un anus posé sur sa bouche
Ma langue ségare dans ces replis intimes, et à son contact, un petit bout de chair ferme sérige et se tend.
- Dégage Ma salope que je vois si ta langue a travaillé comme exigé ! me dicte le Maître
Je suis bousculé, renversé, ma tête se pose sur le haut dune cuisse juste dans le pli de laine. Une Domina, une grande black aux yeux verts dominants et sévères, sempare de ma queue, la part de latex, puis menjambe en sagrippant à ma verge. Une jambe de chaque côté de mon corps, Elle me chevauche en posant sa vulve sur ma bite cramoisie et sempale dun coup. Quel merveilleux frisson, je ferme les yeux et ouvre la bouche en laissant échapper un soupir dextase. Comme à lagonie, terrassé et anéanti, mes sens sont de nouveau aiguisés par ses ondulations de bassin et cette agitation convulsive. Nos pubis en contact, lun à lautre, la Domina se cabre, ses chairs intimes se contractent et enserrent fermement ma tige presque douloureusement. Etrange sentiment, ma bite captive et soumise se laisse entrainer et branler. Inconcevable sentiment, alors que je pénètre, je me sens totalement asservi, réduit à la servilité la plus absolue, malléable et maniable tel un pantin de chiffon
Je me retiens et me contiens tant bien que mal, je ferme les yeux, bouge la tête sans cesse, et magrippe à cette cuisse inconnue cherchant désespérément à endiguer et dompter mes désirs de jouissance. Je ne vais pas pouvoir tenir bien longtemps
La Noble queue de Monsieur le Marquis a pris possession de cette chatte que jai léchée avec entrain et hardiesse.
- Sil vous plait
Monsieur, sil vous plait
je vais, vous allez me faire
. !
Une main virile vient dattr mon menton, une autre se pose sur mes yeux et maveugle. Des doigts ferment et pressent mes narines. Jentrouvre ma bouche pour pouvoir respirer, mais à peine ai-je le temps de reprendre mon souffle quune bouche se pose sur la mienne, une langue glisse sur mes lèvres, et me pénètre goulument. Cette bouche avide me dévore littéralement, ma langue est aspirée presque pompée, nos salives sentremêlent, alors que ces poils de barbe mirritent le menton. Jétouffe
et cherche toujours à contenir mon éjaculation
Cette Domina ne semble pas pressée den finir. Elle se tortille encore et toujours et reste empalée sur mon gourdin de chair, elle le happe et chaperonne en allant et venant par des mouvements amples et désordonnés. Ce nest plus une langue que jai dans la bouche mais quatre doigts
Quatre doigts qui mécartent et mouvre la bouche en grand. Celui qui vient de membrasser, et qui maintenant mécartèle les lèvres me regarde dun air sévère et Dominant.
- Jai toujours aimé cet air à la fois vulnérable et si
obscène quont les putes lorsquon remplit leur bouche !
Je dis rien, je suis incapable de dire quoi que ce soit, je me contente dhaleter et de fermer les yeux
je vais partir, cest inévitable, inexorable
- Ma langue, mes doigts dans ta bouche
quoi dautre ? Un sexe ? Tu en as envie ? Réponds-moi !
- Oui Monsieur
- Une queue bien dure qui te remplira la bouche jusquà la gorge
et qui finira par te couvrir de sperme, je suis sûr quune pute comme toi, doit aimer ça !
- Oui Monsieur
- Alors plus tard je te baiserai la bouche avec ma grosse pine, et te donnerai mes vitamines et protéines à déguster.
Le Dominant me laisse à mon triste sort, je serre les points, les dents, me tortille et essaie de dégager ma bite de cette chatte endiablée. Je bloque mes reins, crispe mes fesses, tends mes muscles en soulevant mon bassin et en me lamentant
Et là ! la Domina se met à hurler, ses muscles intimes se desserrent, sa cyprine coule à flot et minonde le bas ventre. Je suis trempé
la Domina se redresse et immédiatement sintéresse à la capote posée sur mon gland.
- Tu es une bonne salope résistante, dommage pour moi, jaurai pris plaisir à te punir si tu avais joui
La Maîtresse « black » me laisse, je prends un peu de répit, reste allongé sur le dos et reprend mon souffle et mes esprits. Mais déjà, une main se saisit de ma chevelure et entraine mon visage entre les lobes dun fessier plantureux tout près de moi. Une femelle se tient dans une posture obscène à quatre pattes, jambes écartées, laissant sa rosette rasée à disposition.
- Lèche lui le cul salope, fais-moi voir comment tu ty prends, me dicte une Dominante.
Moi aussi en quadrupédie, mon nez dans cet anus à la saveur musquée, jentreprends un bon anulingus en tournant ma langue doucement autour de sa pastille puis en essayant de lenfoncer le plus loin possible dans ce cul palpitant sous la caresse. La soumise semble apprécier, car elle gémit de plus en plus et frissonne. Sous ma langue, je sens que son fion se détend. Je lèche encore, y compris lorsque je vois juste au-dessus de moi, un esclave mâle tenu par son collier menjamber par-dessus mes épaules. Une main Dominante lui att sa nouille tendue et la pousse dans le cul de celle que je lèche toujours. Les deux esclaves semboitent dun trait. Moi je reste là, sous ces couilles, à regarder en gros plan cette sodomie sauvage à écouter cet anus empalé émettre de petits sons au rythme de la pénétration de cette grosse verge qui senfonce pour presque ressortir pour senfoncer de nouveau tels des vas et viens cadencés et désormais profonds. Je suis si proche de cette paire de couilles, de ces testicules qui ballotent au-dessus de mon nez que jai quune envie, celle de tirer ma langue pour lécher ce que je peux lécher
.
(A suivre
)
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