Le Chantier (54)

Nous arrivons devant ma maison des plaisirs par un vol privé Paris – Toulouse affrété par Hilda dans son jet privé piloté par des jumelles quand devant nous le curé du village accompagné par plusieurs femmes d’un âge certains ainsi que d’un jeune homme manifeste contre son ouverture.

À mon côté Rupert photographie ces femmes et ce jeune homme un par un pendant que les portes s’ouvrent.
Je vais pour me rendre chez moi, disons dans ma maison avec piscine quand Criss sort d’un trou étayé à côté de l’ancienne porte qui s’ouvre grâce à la statue.
Il me prend tendrement dans ses bras et me pose un gros baisé sur chacune de mes joues.

• Bonjours Valérie, bien venue chez toi, tu vois nous avons commencé les travaux.
J’ai retrouvé la société sicilienne qui a effectué la construction pour Pierre et ce sont eux qui font les travaux, nous sommes sûrs que tout sera fait discrètement.
Je vais te faire connaître le contremaître il a hâte de te rencontrer.
Il est mystérieux sur certains points et semble vouloir parler qu’avec toi.
• Ou est-il ?
• Regarde, il est avec les ouvriers à l’étage où ils ouvrent des fenêtres dans le logement de fonction où Éliane va venir habiter avant de gérer le club.
• Dit lui que je le verrais dès que je me serais douché.

Je passe par la porte ouverte par Christian et Petrov et j’entre chez moi avant de me faire couler un bain et de venir me délasser pendant de longues minutes.
J’ai dû m’endormir quand j’entends la voix de Maryse qui m’appelle.

• As-tu es là, il était temps que tu reviennes, entre le complexe sportif et les travaux du club j’explose heureusement que Petrov est près de moi, il m’aide énormément.

Sans plus de fioriture elle enlève ses vêtements et entre dans mon bain face à moi.

• Je vois que tu es pressé, mais que tu prends le temps de te baigner.
• Je suis couverte de poussière, j’étais avec Criss dans le logement d’Éliane et les ouvriers viennent de faire sauter les plâtres et les moellons pour ouvrir des fenêtres.


• Je te connais ma belle, tu as dû essayer le lit avec Criss.
• Tu parles, j’ai bien essayé mais il a refusé, j’ai vaguement compris que sans sa Sosso il refuse d’avoir des aventures, il est fidèle.
• Tu viens de découvrir le secret de Criss et Sosso, ils sont libertins depuis le début de leur mariage, la maman de Sosso l’étant elle-même mais seulement quand ils sont ensemble.
Je me suis amusée à essayer de les diviser mais j’ai vite renoncé car un amour aussi profond entre deux êtres c’est exceptionnel.
Christian m’a demandé en mariage avant que je parte avec Nadia voir Hilda chez elle et là j’ai fait là…

Le mot que j’allais dire a du mal à sortir de mes lèvres.

• Valérie, je sais qu’Hilda a été une courtisane avant d’avoir son entreprise de déchets verts, je crois comprendre ce qui vient de suspendre ta phrase.
• Tu as raison, Hilda a racheté le bordel où elle a gagné son fric qui lui a permis de s’installer dans la vie et j’ai fait deux…

Là encore le mot a du mal à sortir.

• Valérie, dit moi que tu as fait la pute avec deux clients.
• Oui, sans le faire exprès.

Je lui narre ce qui s’est passé et le plaisir que j’ai eu avec le premier client qui m’a choisi entre toutes les jeunes femmes présente et surtout Claude le puceau qui va se marier avec Séverine.
Je lui explique comment je lui ai donné l’argent gagné avec la première passe pour aider ce jeune couple et comment j’ai demandé à Hilda de les embaucher afin qu’ils quittent leur petit boulot pour vivre désâment.

• Je vois la différence entre toi qui a fait la pute le lendemain que tu aies accepté la bague que je te vois aux doigts et Criss qui m’a éconduit gentiment prenant comme prétexte qu’un grand plastic a été posé sur le lit.
• Je vois que tu as aussi une bague au doigt, Petrov s’est déclaré.
• Oui hier, nous sommes allées au restaurant près du moulin à eau et au dessert il m’a fait sa demande.

C’est drôle le cuisinier qui nous a apporté le gâteau avec à son sommet la bague que Petrov m’avait acheté nous à parler d’un couple ayant eu la même démarche quelques jours plus tôt, c’était toi et Christian ?
• Sûrement, ils devaient être de mèche et avaient réservé à des jours différents, mais si je comprends bien, toi aussi tu es une pute, tu voulais tromper ton homme sitôt après avoir accepté sa bague.
• J’ai dit oui mais nous connaissant, surtout quand tu auras ouvert notre club, j’ai précisé à Petrov qu’il restait libre d’avoir des aventures.
• Salope en lui disant cela tu te réserves le droit d’en avoir toi aussi, tu resteras toujours la même.
• Tu as tout compris, j’aime trop le sexe depuis que je suis avec toi.
• Nadia va revernir de Toulouse avec un jeune homme que j’ai connu à Paris et qui va travailler pour nous, tu verras il est à croquer.
• Alors je vais le croquer, pas de Criss, vive ton jeune homme.
• Benoit.
• Benoit ?
• Il s’appelle Benoit.

C’est à ce moment que j’ai senti les doigts de pieds de Maryse caresser ma chatte.
Ils sont venus sans qu’elle semble l’avoir fait exprès mais connaissant mon amie rien n’est fortuit surtout quand ils viennent titiller mon clito.
Le frisson qui me parcourt est loin d’être dû à l’eau qui se refroidit aussi je m’agrippe au côté rond de ma baignoire regardant Maryse droit dans les yeux.
La coquine a un pied agile car rapidement elle arrive à mettre son pouce dans ma vulve.
Malgré l’eau je sens que je mouille.
Les sels de bain encore présent m’empêchent de voir son pied commençant à entrer dans ma chatte mais surtout les traces blanchâtres que je dois relâcher.
Le pouce et puis les doigts, je me pame en posant mon dos sur l’arrondi froid qui me fait encore une fois frisonner.
Jusqu’à ou va-t-elle aller ?
Elle a réussi ses cinq doigts sont en moi et je sens qu’ils remontent toujours plus loin.
Je sens que ma grotte est entièrement remplie par son pied et quand elle le bouge, je sens qu’elle est rentrée jusqu’au-dessus de sa cheville.

Baisé par un pied, je dis bien baisé car je sens qu’il va me faire jouir tellement la boule qui monte de mon corps va être intense quand elle va éclater.
C’est ce qui m’arrive et je hurle carrément quand elle éclate me laissant pantelante.

• Je vois que tu as aimé.
• Ou as-tu appris cela.
• Hilda, c’est Hilda la dernière fois ou elle est venue et qu’elle s’est jetée dans mes bras, j’ai réussi à aller plus loin avec elle, elle est profonde comme la grotte que j’ai visité l’an passé alors que j’étais une femme sérieuse.
• Tu as raison mais je dois dire que pour nous toutes, la vie a bien évolué.
• Oui nous sommes devenues des salopes, Christian et Petrov y sont pour beaucoup.
• Sans oublier Nadia.
• Ou, ou Valérie es-tu là ?

Quand on parle du loup comme on dit, il sort du bois.

• Ah, tu es là.
Non, vous êtes là.

Elle entre, suivie de Benoit, nous voyant nue du moins les seins à l’air au-dessus de l’eau, nous reluque sans aucun scrupule.

• Valérie, c’est fait, regarde comme il est beau et élégant.

Oui, ces vêtements lui donnent l’allure d’un top-modèle.

• Benoit enlèvent tes vêtements, montrent à Maryse et à Valérie la tenue de travail que nous avons acheté.

Il s’exécute et je vois qu’une fois de plus Nadia a été plus rapide que moi et est aller au sex-shop acheter la tenue de cuir que j’avais en vue pour lui.

• Ça te plaît, ils ont le même modèle pour filles, dès que Malvina sera là, j’irai avec elle acheter qui sera ajusté à sa taille.
Regarde l’étui pénien s’ouvre et libère sa verge.

Elle fait le geste et la protection de cuir se défait sur un côté et me montre que l’attention que lui portent ces trois femmes est en train de le stimuler.

• J’ai froid, je sors.

Je me lève et j’ai le plaisir de voir Benoit prendre la serviette que j’ai posée sur une chaise à portée de main et vient vers moi.

Il s’avance déployant la serviette devant lui comme s’il voulait me protéger au regard des autres.
Prestement Maryse sort son pied de ma chatte, je me lève et je passe le mien par-dessus le bord lui montrant l’intérieur de mon sexe béant en train de se refermer.
Il m’essuie contentieusement s’attardant sur mes parties intimes et pour le récompenser je m’agenouille, le prend en main et je le suce avidement.
Je sens qu’il va gicler mais je souhaite avoir une bonne rasade de sperme dans ma bouche.

• Lève-toi, j’aimerais te prendre.
• Benoit, Nadia t’a dit que tu étais au service des femmes, c’est la dernière fois que je t’entends nous donner un ordre.

Il baisse la tête, pris en faute comme un petit garçon qu’il est d’ailleurs.
Je le reprends en bouche et je le masturbe avec vigueur jusqu’à ce que son jus arrose ma glotte et que je le pompe jusqu’à la dernière goutte…

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