La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°728)
Histoire de fantômes au Château (suite de l'épisode N°726) -
Cette fois, Monsieur le Marquis tellement interloqué, dans sa grande stupéfaction, décide de lire en entier larticle du vieux journal quil navait pas, dans lémotion de la surprise, lu la veille au soir au manoir et donc il ne veut pas se contenter de survoler le titre et la photo des deux femmes :
Journal Le Gaulois - Villefranche-sur-Saône, le 22 mars 1916 -
Est-ce que cest parce que nos valeureux soldats sont envoyés sur le front en cette terrible guerre depuis 1914 que nos femmes vont chercher ce qui leur manque là où il reste des hommes en cette France en conflit ?
Voila comment commençait larticle en sous-titre par ces mots rappelant le contexte de la période du drame. Le Noble continua sa lecture :
Il était 8h ce matin du 21 mars 1916, quand le laitier Francis Pichon tira comme chaque matin la chainette de la cloche de la grille du petit manoir du Dranier de Beaujeu. Mais cette fois-ci, il fut intrigué de trouver le portail grand ouvert, ce qui lui parut inhabituel. Quand il porta, alors, son regard dans le petit parc, il fut horrifié par ce quil découvrit : Les silhouettes de deux femmes étendues sur le ventre inanimées, lune sur les marches des escaliers de la porte dentrée et lautre en contre-bas sur le gazon. Quand il sapprocha, il ne put hélas que constater leur décès par strangulation. Il sagit de Madame La Comtesse du Manoir du Dranier et sa fille muette Clara, âgée de 19 ans. La porte dentrée de la demeure étant aussi grande ouverte, le laitier entra et découvrit à lintérieur, avec horreur, le corps gisant au sol de Monsieur le Comte ayant mis fin à ses jours en se donnant un coup de fusil. Une lettre quil a visiblement laissé sur la table explique les faits et les raisons de son tragique geste : Ma femme et ma fille ont commis lirréparable en sadonnant à la luxure la plus perverse par des orgies sexuelles chez notre voisin au Château des Evans.
Monsieur le Marquis reste bouche bée. Il ne connaissait pas cette tragique histoire, pourtant locale. Son père, son grand père ne lui en avaient jamais, absolument jamais parlé et il se demande bien pourquoi. Louis-Alexandre Evans est effectivement son arrière-grand-père, le Marquis de lépoque du conflit de 14-18. Et celui-ci perpétuait, à linstar de tous ses autres aïeux et lui-même, le cheptel desclaves depuis déjà plusieurs siècles (voir les Origines de la Saga
). Ce que le Noble sait, cest quà lépoque de la Grande-Guerre, il ny avait pas, au Château, de jeunes adultes esclaves mâles à cause de la Mobilisation au conflit mondial. En cette triste période, il y avait uniquement des personnes masculines de plus de 40 ans dâge et en revanche, les femelles étaient plus nombreuses, trouvant au Château un véritable refuge et de quoi survivre. Son père lui avait souvent parlé de Louis-Alexandre, lui disant aussi quil était aussi un grand coureur de jupons, alors conclure à un idylle Amour avec la comtesse du Dranier et son aïeul, cela est fort plausible
Mais pour lheure, le Marquis dEvans étant dun esprit cartésien, veut savoir comment est arrivé ce vieux journal jusquà dans son courrier matinal et sest sans plus attendre quil appelle Walter, via linterphone mural.
- Ah, Walter, qui a apporté le courrier, ce matin ?
- Eh bien comme dhabitude ! Maxime, notre brave facteur dépose le courrier dans la boite aux lettres du portail du Château. Lesclave Adrien MDE est chargé de lever ce courrier et de me lapporter en main propre comme chaque matin et ensuite je vous lapporte aussitôt avec votre petit-déjeuner
Mais rien dexceptionnel à tous ça, ce nest que routine
Ya-il quelque chose qui ne conviendrai pas dans la procédure ? Dois-je punir le chien dAdrien MDE sil a commis une quelconque faute avec le courrier ? sinquiète Walter
- Non, non Adrien MDE na rien à voir avec mes interrogations. Il y a simplement des choses que je nexplique pas
Mais laisse-moi, jai besoin de réfléchir
- Bien, Monsieur le Marquis
Vous me paraissez tourmenté ce matin, vous minquiétez vraiment
Si je puis faire quelque chose
- Non, mon brave Walter, ça ira, ne tinquiète pas
Je vais bien
Je vais partir... Je dois partir
Fait sortir du garage un 4x4 à me garer en bas du perron et ne me prévoit aucun chauffeur, laisse juste la clé de contact sur le tableau de bord, prêt à démarrer
- Oui, Monsieur le Marquis
dit Walter en saluant et en quittant les lieux, mais de plus en plus intrigué du comportement de son patron
Trente minutes plus tard, le Marquis dEvans se retrouve devant la grille du Manoir du Dranier. Il retrouve le lieu tel quil lavait laissé dans la nuit. Un vantail de la grille rouillée à terre, celui quil avait défoncé lui-même à coup dépaule. Le Châtelain décide dentrer dans la propriété abandonnée. Il ne peut retenir un certain effroi, en regardant le sol où jadis, il devait y avoir un magnifique gazon et un autre regard au niveau du bas des escaliers en pensant que les deux femmes étaient décédées à ces deux emplacements. Un autre effroi une fois entré à lendroit où devait gésir le corps du Comte suicidé.
Instinctivement, il décide de monter à létage mais sans savoir pourquoi il ressent ce besoin qui le pousse de sy rendre, comme sil était guidé par une force inconnue lui incitant grandement à aller voir là-haut ce quil va découvrir
Cest avec mille précautions quil gravit les marches en bois dun escalier craquant sous son poids et à moitié pourri par le temps et lhumidité, se frayant un passage entre les toiles daraignées. Arrivé à létage, se trouve un long couloir, un véritable nid à souris où sont disposées plusieurs portes toutes fermées de chaque côté. Mais en observant de plus près, le Noble constate quil y a une seule porte grande ouverte au fond du couloir et cest dans cette pièce quil décide dentrer. Il découvre ce qui devait être une chambre. Un vieux lit délabré, une vieille armoire à moitié disloquée, une table de chevet au tiroir ouvert gisent dans la poussière.
Le Noble néprouve pas le besoin de commencer à feuilleter le livre ici dans la poussière car il ressent ce sentiment fort davoir trouvé ce quil est venu chercher sans en comprendre pourquoi il ressent cela, mais il en est persuadé, cette vieille demeure délabrée ne lui apprendra rien dautre de plus. Tout ce quil pourra découvrir doit être consigné dans ce journal intime. Et donc afin dêtre dans de meilleures conditions de confort de lecture, le Châtelain décide de quitter au plus vite ces lieux poussiéreux afin de se plonger tranquillement dans les récits croustillants du contenu de ce journal intime
Il rentre au plus vite au Château, va dans son bureau, sinstalle dans son confortable fauteuil en cuir, exige quon ne le dérange pas sous aucun prétexte et commence à ouvrir et lire la première page :
(NDLA : les nombreux épisodes, qui suivront, narreront les faits sexuels et de Dominations/soumission de la Comtesse et de sa fille Clara au Château des Evans de janvier 1915 à sa mort en mars 1916)
Beaujeu, le 5 janvier 1915 Après la nouvelle et perverse soirée dhier soir au proche Château de mon bien aimé Monsieur le Marquis Louis-Alexandre dEvans, comment ne pas repenser à tous ces merveilleux moments qui me reviennent sans cesse à lesprit. Si je les consigne ici par écrits, cest dabord pour laisser mon témoignage personnel sur mon ressenti à ma douce fille Clara. En effet, jéprouve ce besoin fort dexprimer dans ce journal intime mes souvenirs de ce monde délicieux de la perversité auquel mon bien aimé Marquis nous a fait découvrir, à moi-même et à Clara en la dépucelant dabord, en loffrant à dautres et mille sublimes débauches ensuite. Si elle na pas eu de chance en naissant muette, elle profite enfin du bonheur de vivre dans le plus grand secret et à mes côtés les moments les plus intenses de son existence. Certes, mon mari, son père si puritain, le comte Léonard du Dranier nous ait sil avait connaissance de ce que nous vivons, mais il faut bien reconnaitre quil y a si longtemps quil ne me touche plus et ne me regarde plus, ni moi, ni mon corps qui pourtant vibre encore mais désormais pour mon bien aimé Marquis dEvans.
Ma relation amoureuse et avec mon divin Marquis a commencé le soir du 14 juillet 1914 lors du bal populaire du village. Louis-Alexandre dEvans me courtisait longuement devant un rafraichissement à la buvette champêtre sur la place de léglise. Mon mari était absent lors de cette soirée, parti 3 jours en Bourgogne pour affaires viticoles, avec ma bien aimée Clara afin de la sortir un peu du manoir. Il y avait déjà longtemps que mon plus proche voisin me courtisait et javoue que je nai jamais été insensible à ses avances mais je navais osé dans un premier temps à tromper mon mari. Il ne tarda pas à memmener dans une grange de ferme à proximité du bal où je cédai aux plaisirs charnel quand je sentis mon corps se détendre sous ses douces caresses, ses baisers fougueux et lodeur du foin... La présence dune certaine excitation s'affirmait en mon bas-ventre quand il me dénuda, enfin quelquun me touchait, quelquun qui avait envie de me prendre, envie de mon corps
quel bonheur de se sentir encore désirable quand on a un peu plus de quarante ans
Je me souviens de sa main affirmée, sûre d'elle, qui se glissait entre mes cuisses et sans hésitation fouillait mes chairs intimes. Une main qui mincitait à écarter encore plus mes cuisses, jusqu'à pouvoir à peine encore me tenir debout et ses doigts qui entraient en mon intimité alors que son autre main pelotait mes seins, ses doigts qui saisissaient mes lèvres humides et palpitantes de désir...
Puis cette main encore qui remontait sur mon ventre, mes seins... qui pinçait mes tétons déjà dressés, d'abord presque tendrement et puis de plus en plus perversement ce qui mexcitait encore plus, jusqu'à obtenir de ma part une grimace de douleur et qui m'obligeait à me mordre les lèvres pour ne pas crier au risque d'alerter le voisinage de la proche rue. Puis la pression se relâchait, sa deuxième main se joignit à la première. Jétais dans une montée de plaisirs incroyable, caressée, palpée, pelotée, fouillée... Je me rappelle avoir tremblé de tout mon corps, me mordre encore pour ne pas gémir bruyamment... Puis le Marquis me poussait dans le foin ou je me retrouvais couchée, jambes largement écartées. Il me saisit mes poignets pour mimposer de garder les bars largement écartés haut dessus de ma tête. Cest couché sur moi, que ses mains s'égarèrent sur mes fesses, mon ventre, mon sexe, je me cambrai dans un mouvement de bassin afin quil me prenne, quil me possède... Ses doigts suivaient la ligne de ma raie de mon anus jusquà mon vagin pour redescendre vers mon petit trou. Il l'écartait doucement jusqu'à introduire un doigt humide dans ma rosette offerte... puis un deuxième doigt se frayait un chemin, l'ouvrant un peu plus encore alors quun troisième, le pouce, masturbait mon clitoris et pénétrait mon sexe trempé dans une suave pression dun doigté exquis...
Je me rappelle de son souffle rauque qui lui échappait lorsqu'un quatrième doigt se joignait aux deux précédents écartant plus largement mon petit trou, ouvrant ainsi la voie à son gland violacé qui déjà se frayait un chemin, forçait sur ma rosette épanouie, pénétrait et s'introduisit en elle... Je laissais juste échapper un petit cri vite étouffé, tandis que le Marquis s'enfonçait en moi, dans mon fondement, d'abord lentement, puis de plus en plus bestialement, secouant tout mon corps de spasmes de plaisirs par ses coups de boutoir appuyés. Je trouvais encore la force à me mordre mes lèvres pour ne pas hurler de douleur et de plaisirs inouïs entremêlés... Le Marquis me sodomisait ainsi longuement, profondément, puissamment, ouvrant mon petit trou du cul, en faisant un orifice totalement offert à Ses Plaisirs sauvages... Il allait et venait en moi, je nétais que son jouet de plaisirs et jaimais terriblement ça, déchirant sans ménagement mon fondement de femelle soumise, voila comment je me voyais à ce moment-là. Tandis que quil me besognait à grands coups de reins, il saisit mes deux seins fermes dans ses mains et les pressait sans ménagement, ce qui me fit encore plus mouiller dexcitation. Le Marquis ne prononçait pas un mot. Régulièrement, méthodiquement, il menculait, moi jétais devenue sa chose, et quand il se retirait, il me fit nettoyer sa verge dressée en me la fourrant dans la bouche, puis il me possédait toute la nuit par tous mes orifices en de multiples positions quil me fit découvrir, toutes plus scabreuses les unes que les autres. Jamais je nai été aussi bien comblée, baisée, jamais je noublierai cette nuit-là, une nuit orgiaque à deux. Désormais, je lui étais totalement acquise
Et je découvris dans les jours qui suivirent un monde exceptionnel que je ne connaissais pas, un monde de Domination et soumission qui entrainera, par la suite, et avec moi, ma fille, ma tendre chérie Clara dans la luxure et la débauche la plus perverse bien loin du monde ultra puritain de mon mari ....
(A suivre)
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