Une Soirée Mouvementée
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je me suis marié trop jeune sans doute et si jai réussi ma vie professionnelle, côté privée, mon mariage sest soldé par un divorce. Il y a trois ans, mon ex-femme ma quittait, car, elle sennuyait avec moi, et avait rencontré un homme qui soccupait delle.
Après dix ans de mariage, ce fût un choc ! Dieu merci, nous navions pas d. Je suis maintenant près de la quarantaine et, jai réalisé trop tard que javais passé plus de temps à construire ma société quà moccuper de ma femme.
Ma vie sest enfin éclaircie lorsque jai rencontré une nouvelle femme ! Katia. Je me sens bien avec elle, jévite de me tripatouiller les méninges sur les raisons qui lont poussée à me fréquenter. Ce nest sûrement pas mon physique, je ne suis ni beau ni moche, je crois juste être assez bien bâti car je fais beaucoup de sport.
Parfois, je me demande si, sans un sou en poche, cette Katia se serait intéressée à moi ? Après tout, elle na que 25 ans ! Cela fait quand même une belle différence, mais tant pis, je prends ce quelle me donne, même si cela me coûte cher. Mais de ce côté-là, je men fiche, jai hérité de mes parents, une belle maison et le capital de leurs assurances. Fils unique, ils avaient prévu en conséquence. De plus, comme ma société tourne très bien, jai la chance de ne pas avoir de soucis dargent.
. Jai rencontré Katia chez des amis lors dune soirée. Dès que je lai aperçue jai été attiré par elle, sans pour autant oser laborder. Trois ans de célibat mont rendu timoré envers les femmes. En plus, elle semblait si à laise en société. Jai donc eu recours à un ami pour que nous fassions plus amples connaissance. Je savais à peu près à quoi men tenir car il mavait prévenu que Katia était une fille indépendante qui aimait bien être gâtée
Jappris ainsi quelle était esthéticienne de métier. Nayant pas suffisamment de fonds pour ouvrir son propre institut, elle uvrait à domicile.
Mais pour moi, ce nétait que des petits boulots qui ne correspondaient pas au train de vie quelle aimait. Pourtant, elle persistait dans ses choix, ne voulant pas avoir un patron ou une patronne sur son dos. Jétais prévenu, elle avait limage dune mante religieuse qui profitait de toutes les opportunités. Moi ! Je men foutais ! Je navais dyeux, que pour cette belle fille aux cheveux noirs, longs et ses yeux qui vous brûlaient comme de la braise lorsquelle vous fixait.
Katia, naimait pas parler trop delle, elle ma juste dit quelle était dorigine libanaise. Mais jai des doutes sur ses origines car elle a une peau presque chocolat. Sa bouche offre deux lèvres bien pleines, presque charnues. Parfois je me demande sil ny a pas africain qui coule dans ses veines. Elle a des fesses rebondies et une poitrine qui se dresse fièrement, comme seules les Blacks en possèdent !
Ce nest quau bout dune longue cour assidue, agrémentée de petits cadeaux, que jai enfin réussi à ce quelle consente à devenir ma maîtresse. Il me faut accepter cette appellation, car elle se satisfait de ce statut. Elle a été très claire sur ce sujet, dès le début de notre relation. Elle durera ce quelle durera. Aussi longtemps que je la laisserai libre de ses mouvements. Par contre, jai vite compris qua contrario, je me devais dêtre disponible pour elle.
Aujourdhui encore, je sais pertinemment que ce deal est à sens unique, mais je lai tant dans la peau que je me contente de cet état. Jadore être avec elle, et quand je lemmène au restaurant ou dans des soirées, je suis fière de lavoir à mes côtés. Je sens que les autres types menvient et elle le sait bien aussi.
Nous nhabitons pas ensemble même si elle passe assez souvent à la maison. Mais, il lui arrive parfois de disparaître sans que je sache où elle va ni avec qui elle est. Jai vite compris que je ne devais pas linterroger sur ses absences. Je nai pas le choix, pour la garder, je dois accepter son indépendance.
Côté sexe, elle ma ouvert de nouveaux horizons insoupçonnés jusque-là ! Elle est très directe, plutôt directive pour être exact. Je pense quelle me ménage encore. Jai dû admettre aussi, quelle était bi. Ce fût un choc pour moi lorsquelle me dit un jour, quelle aimait aussi les femmes. Surtout quand elle me confia quelle choisissait ses victimes, ainsi quelle surnomme ses conquêtes féminines, en fonction de leur docilité. Elle adorait jouer ce rôle de Don Juan au féminin, afin dexercer sur elles son pouvoir de séduction.
Voilà laventure qui mest arrivée récemment et qui ma fait découvrir que je suis capable davoir de drôles dattitude qui ne me ressemble pas.
Mon directeur à organiser, comme tous les ans, un inventaire complet de notre stock. Il faut dire que ma société distribue un nombre important de matériel de surveillance et de protection divers, vidéo, caméra à haute définition que lon peut discrètement dissimuler dans un radio réveil, par exemple. Tous ces articles principalement utilisés par de très grosses sociétés pour lutter contre lespionnage industriel.
Afin de ne pas entraver nos activités, je prévois deffec cet inventaire annuel, le week-end. Nous commençons le vendredi soir et tout doit être répertorié sur ordinateur pour le dimanche soir. Chaque collaborateur est sollicité et nous recrutons, le temps des stagiaires. Je privilégie les jeunes étudiants et jeunes chômeurs.
Nous voilà tous réunis dans le magasin dentreposage. Cette fois-ci, javais convié mes deux meilleurs clients à venir regarder notre organisation. Comme nos relations sont de longue date, ils sont devenus peu à peu des amis malgré quils aient la cinquantaine.
Le personnel était parfaitement rodé à ce genre dexercice, et jeus lagréable surprise de voir arriver mon directeur, le samedi en fin de journée, pour mannoncer que tout était terminé. Tout le monde y avait passé la nuit et sétait privé de déjeuner pour finir plus tôt.
Afin de les remercier, je demandai à ma secrétaire de téléphoner à un traiteur afin de se faire livrer de quoi offrir un cocktail au personnel. Mon directeur eut une très bonne idée en me suggérant dégayer ceci avec un peu de musique. Il organisa cela avec deux jeunes manutentionnaires qui allèrent chercher leur matériel son. Tout fût rapidement installé. Apparemment, les gens étaient ravis de cette initiative.
Il y avait environ une soixantaine de personnes et parmi les stagiaires, garçons et filles, je nen reconnaissais que la moitié. Lambiance était détendue, les biscuits dapéritif et les petits fours étaient excellents. Le punch spécialement préparé et ren, je présume, par quelques collaborateurs discrets était remarquablement bon et corsé aussi ! En tant que responsable, jallais donc de groupe en groupe, remercier les gens présents.
Le courant semblait bien passer entre les résidents et les stagiaires, car les conversations animées allaient bon train. Quant à moi, jévitais de trinquer et boire à chaque fois que je saluais un groupe.
Apercevant mes deux gros clients mais néanmoins amis, je me dirigeai vers eux. Dans leur petit coin, ils formaient un petit groupe de quatre avec un type qui travaillait dans ma société et une jeune fille blonde que je ne connaissais pas. Ils riaient bien sauf que, lorsque je me suis approché deux, le gars qui travaille pour moi, sans doute effrayé de devoir se retrouver en ma compagnie, séclipsa rapidement.
Nous nous retrouvâmes donc tous les quatre. Ils me présentèrent la jeune fille qui se trouvait en leur compagnie, et me firent trinquer à sa santé en me disant quil fallait absolument que je lembauche à nouveau, lannée prochaine, car elle avait de beaux yeux bleus.
Je restai avec eux une bonne demi-heure et notai que la fille buvait un plein gobelet de punch, à chaque fois quun de mes deux amis et clients revenait avec une nouvelle tournée. A ce train-là, elle nallait pas tarder à avoir la tête qui tourne ! Je les laissai enfin pour rejoindre mon directeur.
Tandis que je discutais avec ce dernier, jobservais de loin le trio. A tour de rôle, ils faisaient danser la jeune nana. Entre deux pauses, je la vis refuser dautres verres de punch mais lorsque le champagne arriva, elle en but plusieurs coupes tout en parlant et dansant avec mes clients à tour de rôle.
Vers une heure du matin, nous nétions plus quune poignée. Mon directeur se dirigeait vers les uns et les autres pour leurs demander de partir.
Mes deux amis, la nana et moi, fûmes les derniers à partir. La fille avait un peu davance sur nous. En la regardant de dos, jeus limpression quelle avait les jambes en coton, sa démarche semblait hésitante.
Arrivée sur le parking, elle parût indécise. Cherchait-elle sa voiture ? Soudain, elle sappuya contre un poteau. Nous nous approchâmes delle.
- Ça ne va pas ? demanda un des amis.
La fille lui dit que sa tête tournait et quelle avait eu un simple étourdissement. Puis, elle ajouta quelle allait prendre sa voiture et rentrer chez sa belle-mère. Un des amis lui fît comprendre que ce nétait pas très prudent de prendre le volant. Et puis, il valait sans doute mieux que sa belle-mère ne la voie pas dans cet état.
La jolie blonde, leva la tête vers mon ami et hocha la tête. Des quelques mots bredouillés, quelle prononça ensuite, et dit, quelle venait à peine demménager chez sa belle-mère, mais que celle-ci était absente. Néanmoins, un des amis insista sur les risques daccident et lui dit :
- Je vous propose, si vous ny voyez pas dinconvénient, de vous reposer dabord un peu. Vous pouvez avoir confiance, ensuite, je vous emmenez chez votre belle-mère et mon ami nous suivra avec votre voiture cest plus prudent. Ok vous vous reposerez un peu et, quand vous aurez récupéré vos esprits, vous pourrez partir.
La jeune nana hocha la tête sans rien dire, elle se laissa guider jusquà ma voiture pour aller chez moi. Je nétais pas particulièrement emballé par la proposition de mon ami mais je nallais pas laisser cette gamine semplafonner le premier poteau indicateur du coin. Après tout, jétais responsable. Un de mes amis me dit :
- Il faudrait quelle sallonge, histoire quelle récupère. Tu sais, tu es chez toi, ne tinquiète pas, va te coucher. Dès quelle ira mieux, on la raccompagnera chez elle. Tu nas pas besoin dattendre.
Jétais vraiment crevé, aussi je montais pour aller me coucher. Ma chambre est en duplex. Je grimpai donc vers la mezzanine qui surplombait ma chambre. Alors que je tirais la porte coulissante pour avoir un peu dintimité.
Déshabillé, javais éteint la lumière et je mapprêtais à dormir quand jentendis un des amis dire à la fille de boire encore un verre. A poil, douillettement glissé sous la couette, la voix de la fille me surprit, elle se plaignait car elle avait envie de vomir.
Ah non ! Je bondis du lit. Elle nallait pas vomir sur mon parquet ! Cest la peur du ridicule apparaitre à poil, qui mempêcha douvrir dun seul coup la porte coulissante. Je lentrouvris juste assez pour pouvoir regarder en bas. La jeune fille était allongée toute habillée sur mon lit. Elle demanda à aller dans la salle de bain. Un des amis laida à se lever il la mena vers mon cabinet de toilette qui dessert ma chambre. En me baissant, je vis la nana, à genoux, la tête penchée sur le bidet.
Etait-ce sous prétexte de la soutenir quil lui prenait les deux seins ? Son geste me semblait incongru et déplacé.
Lorsquelle eut, me semble-t-il, terminé, il la ramena sur mon lit et il demanda à son copain de préparer un autre verre pour la fille. Quand il lui tendit celle-ci refusa mais il insista tant quelle finit par le boire. Alors quils quittaient la chambre, sans doute pour aller dans le salon, je décidai de me recoucher.
A moitié somnolent, jémergeai quand jentendis la fille se plaindre davoir chaud. Elle pensait avoir de la fièvre. Allons bon !!!
- Mais non, dit un des amis, tu nas pas la fièvre, il fait très chaud ici, cest tout ! Je vais vous mettre un peu plus à laise.
Je reconnus la voix de mon client, puis le bruit de deux chaussures qui heurtent le sol.
- Non, ça va, merci ! Dit la fille.
Intrigué, je me levai de mon lit et à nouveau, jécartai légèrement la porte coulissante. En dessous, je voyais mon lit. Mon client était en train de retirer la petite veste de tailleur de la fille. Les yeux fermés, elle ressemblait à une poupée en chiffon, son corps suivant les mouvements que lui impliquait mon ami. Quand ce dernier commença à dégrafer le corsage, je me mis à tiquer. Mais quand je le vis sattaquer à la jupe de la fille, mon étonnement se transforma en plutôt soupçons où voulait-il en venir ?
- Oui ! oui ! Cest bon, ça va ! murmura difficilement la jolie blonde.
- Laissez-vous faire ! Mettez-vous un peu à laise et vous verrez, ça ira mieux. Avec nous, vous ne risquez rien. Vous avez confiance ?
La jeune femme ne répondit pas et le laissa faire. Elle paraissait avoir tellement chaud. Un des amis avait réussi à faire glisser la jupe. Pour le bas, elle ne portait plus sur elle, quun petit slip blanc.
De drôles didées se bousculaient dans ma tête. Ma curiosité était titillée et malgré la gêne. Josais écarter un peu plus le battant. Ce que je fis ne me correspondait pas. Je mallongeais à même la moquette, pour pouvoir mater dans ma chambre. De la mezzanine, ceux den bas ne pouvaient pas me voir car jétais dans lobscurité.
Je surpris distinctement le regard que mes deux amis séchangèrent au moment où un sassit sur mon lit, à côté de la nana. Quand il posa sa main sur la cuisse de la fille, je crus la voir tressaillir.
- Je vais vous masser un peu, ça vous fera du bien : lui murmura-t-il doucement.
Sans attendre la permission, ses mains descendirent vers les pieds de la fille, remontèrent le long de ses jambes, enveloppèrent ses cuisses puis glissèrent lentement vers son ventre. Il sattarda un peu puis remonta vers lestomac pour redescendre un peu plus bas en mouvements circulaires. Chaque déplacement lamenait un peu plus près du pubis de la fille. Pourtant, il ne tentait aucun geste déplacé et elle demeurait allongée, immobile.
Au lieu de satténuer, la chaleur de son corps augmentait car la fille se plaignit de bouffées successives. Sur un signe de la tête de mon client, lautre sapprocha et releva le buste de la fille. Son copain en profita pour lui retirer son corsage. En même temps, il réussit à dégrafer son soutien-gorge. Tandis quil la recouchait délicatement, lautre fit glisser le soutif et la pauvre se retrouva le buste à lair. Les yeux toujours aussi hermétiquement clos, les bras collés le long du corps, elle ne bougeait pas.
Comme la première fois, sa main remonta du pied vers la cuisse quil massa longuement, puis alla vers le ventre. Elle se laissait faire, les yeux fermés, lesprit sans doute embué et cotonneux.
Attends, il ne faut pas se presser. Brusquer les choses risquerait de tout faire rater. Ce serait dommage, regarde, comme elle est bien foutue. Et puis, lautre dort, alors autant en profiter !
Soudain, à lénoncé de lautre, je réalisai que cétait moi, que jétais en train de mater mes deux amis qui essayaient de se taper une jeune nana. Sous mon toit, en plus moi, je les espionnais tranquillement. Dieu merci, la fille était majeure !
Dès quils se turent, un des deux reprit son ouvrage. Maintenant, sa caresse insistait sur le haut du slip de la fille, descendant parfois, comme par hasard, sur son bas-ventre. De temps en temps, japercevais sa main qui sarrangeait pour passer légèrement, lair de rien, sous lélastique du petit slip tout blanc. Il ne sétait servi que dune main. Au moment même où il posa la gauche pour lui masser tout doucement le ventre, il insinua la droite sous le sous vêtement, directement sur son pubis.
Incroyable ! Sen était-elle aperçue ? La fille ne bougeait toujours pas !
Je vis soudain la main du type sagiter sous le slip. La fille aurait dû hurler et arrêter tout à ce moment-là ! Mais non, elle ne protestait pas, laissant ces deux mains posées sur son corps.
La scène était si excitante que je métais mis à bander ! Tout à coup, la jolie blonde ouvrit la bouche et se mit à respirer très fort. Tandis quil continuait à remuer sa main droite, la gauche saisit le slip et tira dessus jusquà ce que la chatte blonde de la fille apparaisse à ma vue. Lautre, aida son copain en finissant le travail. Il parvint sans aucune difficulté à faire glisser le petit bout de tissu le long des jambes de la jeune femme.
Dès quil se débarrassa du slip, il attrapa les jambes de la fille et les écarta. Cest à ce moment-là, quun en profita pour passer la main dans la fente offerte. Elle parut soudain électrisée. Elle se cambra comme si elle voulait aller à la rencontre de cette caresse impudique.
Avec un doigt, il caressa le clitoris, descendit vers le trou, remonta et commença lentement à la branler. Pendant que la fille se mettait à geindre doucement, il dit à son copain :
- Tu vois bien que ça vient. Tu peux te préparer, elle mouille, la petite cochonne. Regarde comme elle se tend et comme elle bouge son petit cul.
Je crus entendre la fille répondre dans un souffle « oh oui ! ».
Je nen revenais pas. Les quelques instants passés en compagnie de cette fille, lors de la soirée, ne mavait pas donné limpression quelle était facile. Au contraire, elle paraissait timide et réservée. Ce soudain laisser-aller ne pouvait venir que de lalcool quelle avait ingurgité.
La fille se tordait de plaisir maintenant sur le lit tandis quun lui branlait la chatte. Je lentendais lui prodiguer des encouragements.
Mon attention fut attirée par lautre client qui, debout près du lit, était en train de se déshabiller. Son érection me sauta au visage. La queue raide à lair ! Tout en se masturbant lentement, il vint tout près du visage de la fille. Il sagenouilla à côté et, dun seul coup, il lui mit sa queue dans la bouche.
Javais la nette impression que la fille nen pouvait plus. Dailleurs, le contraire aurait été étonnant, vu le bruit mouillé que faisait la main de mon ami, pendant quil la branlait. Elle ne semblait pas être insensible à sa gâterie.
Quelques minutes après, il attira lattention de lautre, lui signifiant de prendre sa place. Dès quil quitta le lit, il sinstalla entre les cuisses de la fille et se mit à lui lécher la vulve. Elle émit aussitôt de drôles de petits bruits.
Pendant ce temps, il retirait lentement ses fringues en regardant le couple avec un petit sourire. Jeus une étrange impression de déjà-vu, encore un client qui se baladait chez moi la queue à lair ! Il sapprocha et sagenouilla près delle. Il lui prit la tête et présenta sa bite.
Il devait rudement bien si prendre car la fille, sans lombre dun doute, jouissait fortement. Ce nétait plus la petite blonde réservée de la soirée mais plutôt une jeune femelle avide car, à mon grand étonnement, je la vis se saisir de sa queue pour lengloutir entre ses lèvres. Tout en gémissant bruyamment, elle suçait la bite de mon ami dans tous les sens.
Sans doute lautre sest-il aperçu du changement dattitude de la fille ? Tout est autant quil se saisit de ses cuisses et les ouvrit plus largement. Puis sinstallant à genou entre ses jambes, il présenta sa queue et, lentement, la pénétra.
Un bruit blizzard, sortit de sa gorge. La bite devait être trop grosse pour sa petite chatte. Néanmoins, il réussit à lenfoncer jusquà la racine. Je le vis rester immobile pendant quelques instants puis, il commença à aller et venir doucement en elle. Quand il se mit à accélérer, la fille cria tant quelle laissa échapper de sa bouche, lautre queue
Quelle ne fût pas ma surprise de voir sa petite main, récupérer hâtivement la bite volage pour mieux lenfourner entre ses lèvres ! Ce nétait plus une victime mais une vraie associée !
Impossible pour moi, de détourner le regard. Pire, je me branlais en les regardants baisers la fille. Je nen croyais pas mes yeux. Cétait bien la première fois que je voyais deux types ensemble baiser une nana.
Le peu de honte que javais en moi, se dissolvait dans le plaisir que javais à les espionner. Si mon ex-femme mavait vu
A un moment, il se dégagea de lemprise de la fille. Il tapa sur lépaule de son copain. Je neus pas à attendre la signification de son geste. Il se retira de la fille pour laisser sa place. Dès quelle fût libre, lautre le remplaça mais avec une variante. Avec des gestes presque brusques, il se saisit de la fille et la retourna.
Suivit-elle le mouvement volontairement ? Je lignore mais, toujours est-il quelle se retrouva à quatre pattes sur le lit. Il ne lui laissa pas le temps de réfléchir, il lui écarta les cuisses et, guidant la queue avec sa main, il la planta sans ménagement, dans la fente.
La fille se mit à crier, puis à geindre dès que le pieu commença à la labourer. Je voyais ses doigts qui crochetaient les draps. Le bassin tendu vers la bite qui la défonçait, elle avait la tête rejetée en arrière. Plus il accélérait, plus elle criait. Pas de douleur, mais de plaisir et cela se voyait !
Sans doute peu emballer à lidée de jouer les seconds, lautre ami réussit à se glisser sous la fille. Sa bite bien raide nattendait quune seule chose, il agrippa ses cheveux et tira sa tête à lui. La fille comprit tout de suite ce quon attendait delle. Se saisissant de la bite qui lui faisait face, elle lempoigna. Je fus surpris de la voracité dont elle fit preuve.
Mais le plus surprenant pour moi, ce fût de la voir avaler le sperme de mon client et lécher les contours de sa queue afin de nen prendre aucune goutte. Quand il se leva du lit. Il repoussa la fille et sallongea sur le lit. Je fus quand même étonné de ne pas voir la fille vexée quand il lui dit :
- Allez, ma petite salope, suce-moi bien et avale !
Elle sexécuta et, comme une bonne fille obéissante, elle le suça. Elle sappliqua tant quil finit par lui jouir dans la bouche.
Ce qui me démontra le peu de cas quils faisaient de la fille, cest quune fois leur affaire terminée, les compères ont dit à la fille de se rhabiller rapidement. Ils étaient bien fatigués et voulaient dormir. Comme goujat, on ne fait pas mieux dans le genre !
Ils eurent quand même la prudence de lui demander si elle pouvait conduire. Vu les ébats rythmés quelle venait dentreprendre, toute trace débriété avait disparue. En deux temps trois mouvements, elle remit ses vêtements et je les vis disparaître de ma chambre.
Quand mes deux zèbres revinrent, ils se marraient en commentant laffaire. Ils eurent même une pensée émue pour moi :
- Quel dommage pour notre ami. Dormir alors quil y avait eu un si joli petit cul à baiser.
Après leur douche, il ne me resta plus que leur ronflement. Quant à moi. Impossible de trouver le sommeil. Je ny parvins quaprès mêtre masturbé comme un dingue. Il suffisait que je ferme les yeux, pour revoir la si jolie bouche de la petite blonde engloutir la queue de mes amis.
Ils me quittèrent le dimanche après-midi sans quaucune allusion ne soit échangée sur ce qui sétait passé durant la nuit. Je suis toujours en contact avec eux et ce secret perdure encore entre nous. Bizarre, non ?
Par contre, quand ma copine Katia revint à la maison, sans prévenir, le dimanche soir, jeus la trouille de ma vie. Jétais tranquillement en train de fumer dans le salon quand elle surgit comme une diablesse de sa boîte :
- Quest-ce que cest que ça ? Quest-ce que ça fait sous ton lit ?
Je la regardai sans comprendre. Je lignorais, ce portefeuille nétait pas à moi !
- Qui cest cette nana ? Tu las baisée pendant que je nétais pas là ? Cest ça ?
Je niais ! Et pour cause, jétais innocent ! Je finis par lui avouer les incartades de mes deux clients. Le plus étrange, cest quelle me crût aussitôt et parût soudain très intéressée.
Curieuse, elle se mit à fouiller dans le portefeuille de la fille. Tout à coup, son visage séclaira :
- Non, ce nest pas vrai ! Incroyable ! Le monde est petit.
Je menquis des raisons de son étrange attitude. Elle se mit à rire, mais dun rire qui faisait froid dans le dos.
- Je vais aller lui rapporter son portefeuille à cette petite !
Je la remerciais mais lui dit que je le ferai moi-même.
- Non ! Non, jy tiens. Je vais le lui porter chez sa belle-mère. Pas de problème.
Je ny comprenais rien du tout. Je demandai à Katia si elle connaissait cette fille. Non ! Alors pourquoi se donner cette peine ? A contre cur, elle finit par lâcher quelques informations, non, elle ne connaissait pas cette fille, mais par contre, les quelques photos delle dans son portefeuille, prouvaient quelle était mignonne. Je lui rétorquai que ce nétait pas une raison suffisante !
- Non, en effet, me dit-elle. Ce ne sont pas ses photos qui mintéresse, quoique
mais plutôt celle de cette femme. Non, ce nest pas vrai ! Je rêve ?! Quel super hasard, enfin !!!
Son rire me parût féroce alors quelle me tendait un cliché. Sur la photo, on pouvait voir une belle femme blonde denviron quarante ans. A côté delle, se tenait notre jolie blonde.
- Tu vois, cette femme, cest apparemment la belle-mère de cette jeune nana. En fait, le père de cette blonde sest remarié avec cette bonne femme. Lui est décédé, il y a trois ou quatre ans. Comme elle navait plus de mère, cest elle qui sen est occupée. Enfin, occupée
La gamine a passé sa jeunesse dans un pensionnat. Comme ça, lautre salope a pu tranquillement craquer le pognon, de feu son mari. Je peux juste te dire que cest une belle salope qui aime bien piquer les mecs des autres. Dailleurs, je suis très surprise que la gamine soit revenue. Ce sera moins facile maintenant pour elle, de senvoyer en lair. Tes sûr quelle habite chez sa belle-mère ? Remarque, elle na pas le choix si elle veut continuer à pouvoir claquer le fric du père de la petite.
Jacceptais quelle rapporte son portefeuille. Katia massura que je navais pas de soucis à me faire et quelle soccupait de tout. Elle condescendit à me promettre de tout mexpliquer un jour. En attendant, il fallait que je lui fasse confiance.
Cela fait maintenant une semaine et demie que Katia a retrouver le portefeuille de la fille. Jignore si elle le lui a rendu. Si non, la fille na-t-elle pas téléphoné au bureau pour sen enquérir ? Après tout, il y a tous ses papiers.
Comme je me méfie des réactions de Katia, je nose pas lui demander ce quil en est et elle ne men parle pas du tout. Je vais attendre encore un peu et je tâterai le terrain.
Je suis sûr que beaucoup dentre vous doivent se dire : « ce type est couillon, à sa place, je serai descendu pour baiser la fille avec mes copains ! ».
Bah pas moi ! Mais je ne suis quun amateur.
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