La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°729)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château (suite de l'épisode N°725) -
Je suis là, revenu me prosterner instinctivement devant les Nobles pieds de Monsieur le Marquis, dans une levrette approximative, tant je suis éreinté après cette méga-partouse où lon a usé et abusé abondement de mon corps, de tous mes orifices. Le Maître est assis dans un large et confortable fauteuil et discute avec une femme quil a lair visiblement de connaitre. Cest une Domina, venant sans doute dAmérique Latine, car elle a ce visage de ces femmes Incas, celles vivant dans la Cordière des Andes, des yeux noirs charbon, des cheveux sombres tressés couverts par un petit chapeau rond coloré. Depuis que je suis près du Maître, celui-ci a posé lun de ses pieds sur mon visage, alors quil converse ! Mais subitement je ressens une vive brulure sur mon fessier, une cravache vient de me cingler le cul à plusieurs reprises. Je couine pour retenir un cri de douleur
- Tiens-toi correctement, redresse et cambre ton cul de lope, tel un chien racé ! Mordonne le Maître
Tant bien que mal, je reprends une posture plus conventionnelle, me cambre et moffre, tout en tendant loreille. Monsieur le Marquis négocie âprement mais habillement. Il cherche à avoir le soutien de cette Maîtresse dénommée Juanita, lorsque, le moment venu, les Dominants seront appelés à voter pour déterminer le lieu de cette Rencontre Internationale de la Domination/soumission. Je lentends plaider pour que ces Mondiaux se passent chez Lui, au Château, en France, argumentant quil a les infrastructures nécessaires daccueil. La Domina semble difficile à convaincre, elle préférerait quils se déroulent chez elle, à Limas, dans lune de ses propriétés, un peu à lextérieur de cette mégalopole
- Vous savez Monsieur le Marquis, je dispose dune cinquantaine dhectares de terre, de grands espaces dans un cadre sobre et austère.
- Jentends bien très chère Juanita, mais votre demeure permet-elle daccueillir cinquante Dominants et leur suite, ainsi quautant desclaves ?
La Domina semble quelque peu déstabilisée.
- Nous pourrons loger les esclaves dans des baraquements, eux non pas besoin de confort.
- Pas de confort ? Il leur en faut tout de même un peu ma chère, ces baraquements que jai visité lors dun séjour chez vous, il y a deux ans maintenant, si je me souviens bien, ne disposent ni de latrine, ni de point deau. De plus, nous serons en juillet en hiver dans lhémisphère Sud, le froid et laltitude peuvent compliquer les choses et être bien pénible pour nos chiennes et chiens.
- Oui effectivement
Vous avez raison Monsieur le Marquis, mais
A ce moment précis, Monsieur le Marquis est interrompu. Un Dominant lui att poliment le bras et lui susurre quelques mots à loreille :
-
?
- Ah mais oui, bien sûr, mon cher ami ! répond le Maître à haute voix à celui qui vient de linterpeller
Une fellation hors norme :
Ce Dominant nest autre que celui ma promis, il y a peu, sa bite dans ma bouche. Sans attendre une seconde de plus, juste après avoir sincèrement remercié le Maître, Il matt sauvagement par le collier, me fait me redresser et mentraine à grandes enjambées, presque à me faire courir, comme sil y avait extrême urgence, au rez-de-chaussée dans une pièce ressemblant en tout point à un donjon BDSM. Je suis installé à genoux devant un carcan en bois. Ma tête est emprisonnée entre deux lourdes planches, mes bras attachés dans le dos.
- Jespère que tu sais avaler une bonne grosse pine ! me lance-t-il tout en dégrafant lentement son pantalon.
Jamais je nai vu un tel engin, un mandrin monstrueux, une queue vraiment très épaisse, lourde et aussi longue, très longue arrivant à mi-cuisses. Tellement lourde quelle peine à tenir à lhorizontal, bien que bandée, elle ploie. Une véritable verge de cheval ! Le Dominant, un Tchèque, prénommé Wenceslas, se masturbe doucement, tranquillement devant mon regard, un sourire pervers sur ses lèvres.
- Quil est bon dêtre un Dominant pervers, bien doté par la nature ! Quil est bon de se branler devant un chien de ton espèce qui ne peut user de sa nouille ! Quil est bon de te voir à ma totale disposition, prêt à être utilisé, prêt à prendre mon gourdin dans ton trou de putain. Je vais templir la bouche, il va te falloir avaler ma queue toute entière, de gré ou de force, je vais vouloir sentir tes lèvres effleurer mon pubis alors que tu auras mon gourdin en fond de gorge
Je vais te baiser comme une pute, parce que daprès ce que jai ouï dire, tu es une bonne pute !
La messe est dite ! Sans attendre plus encore, le Dominant pointe son impressionnante verge sur mes lèvres. Celle-ci sent lurine, le foutre et la mouille. Sans doute a-t-elle glissé récemment dans des vagins enflammés de femelles soumises. Ma bouche souvre sous la contrainte et la pression. Très vite cette bite glisse en moi et commence à m. Premier haut le cur, jessaie de me dégager de ce pieux, mais peine perdue, je me heurte le crâne contre les planches de bois me tenant la tête prisonnière.
- Avale, t-ai-je ordonné !
Comment vais-je faire pour gober tout entier ce pieu. Je ne suis quà mi-parcours et déjà je nen peux plus, je commence à peiner à respirer. Mais lhomme me force encore, me défonce la bouche lentement mais sûrement, pousse toujours. Les hauts le cur se succèdent, des larmes roulent sur mes joues. Inexorablement cette bite sinsère, mes lèvres glissent doucement mais sûrement sur cette hampe monstrueuse, ma bouche écartée et tenue grande ouverte, cède. Cette bite gagne du terrain et senfonce encore de quelques centimètres. Cette fois, jétouffe, m, métrangle. Le Dominant me tient la nuque pour exercer une ultime poussée
- Voilà on y est, tu las entièrement prise, en gorge profonde, telle une vraie putain
Cest vrai, mes lèvres sont plaquées contre cette sombre toison, le Dominant me tient ainsi quelques secondes puis lâche la pression, se retire légèrement, jai juste le temps de reprendre mon souffle, une bouffée dair que déjà je suis de nouveau assailli, pénétré, .
Le repas est prêt à être servi. Les Dominantes et Dominants sont déjà installés autour de cette immense table ovale, lorsque le Maître et moi, sommes de retour. Quel spectacle ici, des soumises et soumis sont installés, tel un chemin de table, au centre de celle-ci. Certains sont couchés sur le dos, membres attachés et tenus à lécart, dautres en levrette, dautres encore à quatre pattes, cul contre cul, avec un double gode enfoncé dans leur chair, tous affichant délibérément leur impudeur et indécence, avec un certain aplomb, arborant même fièrement leur soumission.
- Mets les mains derrière la nuque ! mordonne le Maître.
Jobtempère immédiatement, une main parfaitement manucurée glisse sur ma poitrine, deux doigts presse mon téton gauche. Je me laisse faire et ne bouge pas dun iota, pourtant mon mamelon est étiré et douloureusement pincé.
- Cest votre chien Monsieur le Marquis ? demande Maîtresse Ingrid
- Oui je vous présente mon esclave, très chère Maîtresse Ingrid, celui que jai nommé esclave Endymion MDE, lui répond le Maître avec un large sourire de politesse.
- Cest donc lui qui va être transformé en une femme soumise, tout à lheure ?
Pour toute réponse, le Maître se contente de sourire, moi pas ! Je ne sais pas ce qui se trame encore, je crains que lon me travestisse, je déteste ça. Je suis un mâle, un mâle docile et soumis certes, mais un mâle tout de même. Cette idée me déplait et me hante. Pendant tout le temps du repas, je reste immobile, songeur, presque boudeur, me contentant douvrir la bouche à chaque fois que le Maître me nourrit en me donnant la becquée. Monsieur le Marquis tient une conversation mondaine avec cette Domina Suédoise. Il parle de tout et de rien avec élégance, aisance et courtoisie avec une dimension esthétique et hédoniste. Le repas se poursuit ainsi jusquau moment où le Maître exige que jaille me mettre dans une petite pièce jouxtant celle où nous nous trouvons.
- Tu mattendras en levrette ! mordonne-t-il.
Je me redresse et mapprête à regagner le lieu désigné, lorsque le Maître intervient encore.
- Non à quatre pattes chien ! me lance-t-il
Une punition méritée :
Evidemment jobéis et rejoins ainsi le la petite pièce et attends. Une longue attente, sans doute plus dune heure ainsi, jen ai des crampes dans tous les muscles. Lorsque le Maître arrive enfin, il matt par la chevelure et exige que je le regarde droit dans les yeux.
- Quest-ce qui ne va pas, Mon chien ?
- Je vais bien Maître !
- Ne me mens pas salope ! Je vois bien que tu sembles préoccupé !
- Oui Maître, jai peur que vous exigiez que je me travestisse.
- Te travestir ?
- Oui Maître, jai entendu Maitresse Ingrid vous dire que vous alliez me transformer en femme soumise, je suis un mâle, fier dêtre un mâle soumis à votre service
- Et alors, si tel est mon exigence ?
Nes-tu point fait pour mobéir strictement. Si je le décide tu devras respecter mes instructions.
- Mais vous savez
- Tu te tais salope, je fais ce que je veux de toi, tu entends, tout ce que je veux, tu mappartiens corps et âme.
Les doigts du Maître se sont agrippés un peu plus encore à ma chevelure et me secoue la tête dans tous les sens
- Serais-tu en train de me dire que tu désobéirais si je timposais de thabiller en femme ?
- Mais
euh
.
- Tais-toi tai-je dis, comment oses-tu ? Prosterne toi devant mes pieds salope, ton cul va prendre la badine.
Dix coups me sont donnés, dune rare intensité, striant et zébrant largement mon fessier. Je sursaute et geins, la douleur est vive, quasiment insupportable. Seul mon mental me fait accepter cette juste et méritée sanction. Je sais quelle mest nécessaire, utile et formatrice. Dailleurs dès le dernier coup reçu, je présente mes plus humbles excuses et remercie sincèrement le Maître. Lui me fait me agenouiller, mordonne de le regarder encore droit dans les yeux.
- Tu es pardonné Mon chien, mais ne tavise surtout pas à refuser un quelconque ordre, quel quil soit, allez viens, suis moi, tu vas comprendre maintenant pourquoi Maitresse Ingrid a abordé ce thème en début de repas
(A suivre
)
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