Mon Mari Sélectionne Mes Futurs Amants (Fiction Écrite En 01.1998).
Cette histoire, même si elle est une pure fiction, comporte une part de vérité. Les confidences faites par ce couple damis suffisamment intimes (il y a plus de 20 ans déjà) relatent leur vie sexuelle après laccident qui a privé lhomme de la plus grande partie de ses facultés sexuelles. Voila ce que jai retenu : lessentiel, le reste, nest que de lhabillage.
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*** Renaud et moi, nous sommes mariés depuis six ans après quelques années de vie maritale qui nous convenait parfaitement. Mais lorsque nos deux jumelles ont commencé à nous poser des questions vers lâge de six ans, nous sommes passés devant Monsieur le Maire, non sans leur avoir expliqué que cela ne changeait rien pour nous.
Lun comme lautre nous avons une excellente situation qui nous a permis lacquisition dun beau pavillon dans une ville résidentielle de la banlieue est de Paris et aussi de vivre confortablement à labri des soucis financiers. Nous travaillons tous les deux à proximité de Roissy, ce qui fait que nos trajets pendulaires sont faciles.
Amoureux fous comme aux premiers jours, nous avions une sexualité épanouie, inventive qui nous satisfaisait pleinement jusquà laccident de circulation de Renaud. Un traumatisme crânien et une fracture du bassin bien soignés nont apparemment pas laissé de séquelles, sauf que depuis, mon mari narrive plus à bander correctement pour me pénétrer et par là-même, à me satisfaire pleinement.
Rien ny fait. Caresses préliminaires, suggestions par des livres ou des films érotiques, des tenues et des attitudes provocatrices et lascives : RIEN ! Je déploie mon talent en pure perte pour faire dresser son sceptre de chair qui savait si bien me faire grimper au septième ciel. Cest tout juste sil relève un peu la tête
Pour me satisfaire, Renaud caresse de ses mains et de sa bouche mes seins très sensibles depuis que jai allaité nos jumelles et me fait de longs cunnilingus qui me font défaillir alors quil pénètre ma chatte ou mon cul avec des godes de différentes tailles.
Cela dure depuis un peu plus de deux ans et lun comme lautre, nous sommes malheureux, frustrés au plan sexuel au point que lors dune discussion sur le sujet après avoir lu divers articles dans des revues coquines et rencontré un sexologue à plusieurs reprises, jai fini par me rendre aux arguments de Renaud : Il voulait que jai des amants mais ne voulait pas me laisser seule lorsque je le tromperais ainsi. Pour lui, ce ne serait pas de la tromperie puisquil serait là !
Un samedi soir, nous avons confié nos jumelles de 13 ans à la garde dune de mes surs et nous sommes allés dans un club échangiste du centre de la capitale, connu pour son ambiance sélecte et sa bonne fréquentation (en fait je leur en avais donné ladresse). Ce que nous y avons vu ne correspondait pas du tout à ce que nous recherchions. Cette voie, selon nous entièrement tournée vers la pornographie et la satisfaction des instincts les plus bas, était sans issue !
En feuilletant les revues coquines, nous avions aussi découvert la possibilité de passer des annonces en vue de recruter des partenaires discrets.
Etait-ce la solution ?
Avec Renaud, nous nous sommes inspirés des exemples dannonces qui y figuraient pour rédiger la notre : Fem. Mar. 40 ans, cherche amant pour satif. soif sens. Mari présent. Rép avec photo ident, en pied et sexe + test HIV récent.
Quelques semaines plus tard la rédaction de lhebdomadaire que nous avions retenu nous faisait parvenir une liasse importante de réponses. Il est vrai que les trois photos de moi, jointes à lannonce et qui pouvaient être consultées sur internet (cétait les débuts) avaient de quoi attirer des réponses.
Nous avons attendu avec impatience le samedi soir après avoir couché les filles pour ouvrir les enveloppes. Demblée, nous avons éliminé celles qui ne correspondaient pas aux critères fixés : Pas de photos, pas de test HIV => poubelle. Au final, cette fois-là, il nous restait dix amants potentiels.
Pour sélectionner encore plus finement ceux que nous allions retenir, nous nous sommes installés sur le grand lit de notre chambre. Nous avons étalé les photos, lu les lettres de « motivation » et encore éliminé deux candidats qui ne nous semblaient pas très reluisants. Ce nétait pas ment la taille du sexe bandé qui mattirait particulièrement mais les motivations des réponses et la disponibilité géographique.
Avec Renaud, nous avions convenu que les rencontres se feraient dans des hôtels de bon standing situés de préférence à proximité de la résidence de mes futurs amants. Il nétait pas question de les recevoir à la maison.
Pour la première rencontre, nous avons retenu deux hommes résidants dans la région dOrléans. Antoine, âgé de 35 ans avait une stature dathlète aux muscles finement dessinés, un visage viril et un sexe de taille moyenne au dessus dune belle paire de couilles bien rondes Il disait être naturiste et il avait le pubis nu.
Le second, Benoit, était plus jeune. Son âge nétait pas mentionné mais nous lui donnions tout au plus entre 20 et 25 ans. Son physique était moins remarquable mais il avait un sexe dune dimension telle que sur la photo présentée, il en faisait difficilement le tour avec ses doigts pourtant assez longs. Je le contemplais avec gourmandise, nayant jamais eu loccasion de goûter un tel sceptre de chair avant de rencontrer Renaud.
Nous avons pris rendez-vous pour le samedi suivant, en début daprès midi pour le premier et en soirée pour le second. La chambre dhôtel réservée, nous avions lesprit libre pour nous préparer à cette rencontre.
En début de semaine, mon mari ma emmenée dans une boutique de lingerie du côté de Pigalle où nous avons choisi deux tenues très coquines qui devaient me mettre en valeur. Ce nétait pas une première car jai toujours aimé la belle lingerie, mais pour cette occasion, je voulais du neuf et quelque chose de
très coquin.
La chambre dhôtel était spacieuse et pour ne pas gêner mes futurs amants, nous avons vu que depuis la salle de bain dont la porte resterait entrouverte, Renaud pourrait tout observer discrètement dans le grand miroir qui se trouvait au dessus du lit.
Vers 15 heures Antoine sest annoncé à la réception puis il est monté jusquà la chambre. Mon mari sest dissimulé dans la salle de bain comme convenu et je suis allée ouvrir la porte. Je navais sur moi que le soutien gorge à demi bonnets qui présentaient mes seins en forme de poire, un string assorti et le serre taille qui maintenait mes bas et une nuisette plutôt transparente. Chaussée descarpins à très hauts talon, je me trouvais particulièrement séduisante.
Antoine portait un luxueux survêtement de sport et un sweet-shirt dun blanc immaculé qui faisait ressortir son teint hâlé. Nous avions bien choisi ce premier amant.
Après un peu de bavardage pour faire connaissance, nous sommes rapidement passés aux choses sérieuses. Jai fait glisser ma nuisette et jôté ses vêtements. Quand il na plus eu que son boxer, je me suis agenouillée devant lui pour le faire descendre. Une belle bosse y était emprisonnée et son sexe a jailli devant mes lèvres dans une invitation évidente : il bandait déjà à moitié. Je lai embouché aussitôt pour une belle fellation baveuse tout en triturant ses bourses qui étaient bien dures. Jadore sucer ! Là jétais servie : une belle queue et pas de poils autour !
Je ne voulais pas quil parte dans ma bouche, ce nétait pas ce que je cherchais. Aussi, après quelques temps, je me suis relevée. Je me suis mise face à lui non sans jeter un coup dil dans le miroir. Mon mari voyait tout. Jai passé mes mains derrière mon dos et jai dégrafé lattache de mon soutien gorge, libérant mes seins dun seul coup : un 90 C dont je suis très fière et qui a littéralement sauté au visage de mon futur amant.
Pour le coup, il sest enhardi, prenant un téton entre ses doigts pour le faire rouler, il a pris lautre dans la bouche pour le mordiller. Waouh, que cétait bon. Immédiatement jai senti ma fente shumidifier. Jétais prête à ses assauts. En lentrainant sur moi, je me suis allongée en travers du lit.
Antoine a entrepris aussitôt de me besogner, tout dabord lentement puis, au fur et à mesure que mon plaisir montait, il a accéléré ses mouvements de va-et-vient avant de lâcher quelques belles giclées de sperme au moment où mon plaisir arrivait avec une violence que je navais plus connue depuis laccident de Renaud.
Nous avions bien choisi pour mon premier partenaire. Bel athlète et bon baiseur endurant, jallais en tirer le maximum de jouissances. Il était toujours fiché au plus profond de moi et, sil mavait copieusement arrosé le fond du vagin, il ne débandait pas.
Il membrassait dans le cou, me léchait le lobe de loreille droite en me disant :
- Tu es bonne ! Je vais ten mettre plein la chatte !
- Oh oui ! Vas-y ! Cest si bon ! Je suis là pour çà !
Je ne demandais que cela, être copieusement baisée et remplie de foutre. Je ne craignais rien car je navais jamais cessé de prendre la pilule, mes futurs amants pouvaient me remplir autant quils le voudraient de leur foutre dès linstant où leur test HIV était négatif.
Toujours en moi, Antoine sest redressé, il a fait passer mes jambes sur ses épaules et amenant mon bassin à la hauteur de son pubis, il a repris les mouvements alternatifs dans ma chatte complètement inondée par ma cyprine qui coulait abondamment et le foutre quil y avait déjà craché :
- Oh oui ! Cest bon comme çà ! Défonce-moi la chatte.
- Tinquiète pas poulette, tu vas être servie !
Il ma besogné longuement, lentement, faisant monter mon plaisir pour le laisser refluer ensuite et le faire remonter ainsi plusieurs fois. Je sentais ses couilles qui venaient battre contre mon périnée. Cétait bon. Levant les yeux vers le miroir, japercevais Renaud dans lentrebâillement de la porte de la salle de bain. Il me souriait tendrement, aucune trace de jalousie dans son regard, juste une infinie tendresse.
Javais failli jouir au moins quatre fois quand Antoine a accéléré ses mouvements quand il a senti que je nen pouvais plus dattendre. Il ma éperonnée trois fois plus sèchement avant de se répandre une nouvelle fois dans ma chatte puis sur mon ventre où il a déposé un dernier jet qui a dépassé mon nombril. Cest en voyant son sperme jaillir ainsi que je suis partie à mon tour.
Nous avons basculé sur le côté en restant enlacés. Jétais bien. Javais été baisée comme une reine et avec la complicité de mon mari chéri, javais retrouvé les belles jouissances dune femme chaude, amoureuse ardente, toujours partante pour une bonne séance de galipettes.
Antoine continuait de me câliner doucement en me disant des petits mots doux (pas des mots damour, ils navaient pas leur place ici), mais en me complimentant sur ma plastique, mes sous vêtement affriolants, etc.
Lorsque jai compris quil voulait repartir pour une nouvelle séance, je lui ai dit doucement :
- Ca suffit pour aujourdhui ! Tu mas bien fait jouir ! Cétait bon mais cest assez !
- Daccord, si tu en veux encore tu sais comment me joindre !
Il sest rhabillé et nous a quittés rapidement. Renaud est sorti de la salle de bain et il ma enlacé tendrement en me disant combien il était heureux davoir pu me procurer par personne interposée deux aussi belles jouissances.
Avant larrivée de Benoit, je voulais me reposer un peu, faire un brin de toilette et me remaquiller. Bref, une pause était la bienvenue dautant que javais une petite faim. Faire lamour, çà ouvre parfois lappétit. Renaud a commandé un souper léger que le service détage nous a amené rapidement. Il avait précisé que tout devrait être débarrassé avant 20 heures.
Benoit nétait pas très ponctuel. Il nest arrivé que vers 21 heures en roulant des mécaniques comme un jeune coq qui veut faire de leffet. Je portais la même tenue mais javais changé de string. Certainement pour se donner un air il mapostropha en ces termes :
- Alors la meuf, on veut se faire culbuter par un jeune ? Et bien tu vas la sentir passer.
Ce langage ne correspondait pas du tout à la lettre. Pourtant cétait bien lui, le jeune homme que nous avions choisi :
- Allez, mets toi à poil à quatre pattes sur le lit et présente moi ton cul !
Le temps de poser le peu de vêtements que je portais, il était nu lui aussi. Quelle rapidité. Il est monté sur le lit et il est arrivé derrière moi. Jai senti son souffle chaud dans ma raie et à deux mains, il a écarté mes globes pour me faire un cunnilingus par larrière en glissant un doigt dans mon fondement. Jétais tellement excitée que ma chatte bavait déjà. Il continuait avec le même langage trivial :
- Il faut te préparer ma garce car tu vas la sentir passer la bite à Benoit !
Jétais en levrette, le cul levé et le buste allongé sur la couverture qui frottait doucement mes tétons. Javais un peu peur mais lorsque jai senti quil plaçait son gland à lentrée de ma chatte, jai été soulagée. Sil mavait pris lanus comme çà, sans préparation préalable, jaurais certainement hurlé de douleur car je suis assez étroite de la porte arrière.
Benoit me tenait toujours par les fesses. Quand son gland a été bien entre mes lèvres intimes, il sest introduit dune seule poussée brutale jusquau fond de ma chatte. Oulla ! Je nai pas crié mais jai eu limpression de manquer dair brusquement. Mon vagin venait davaler sans ménagement près de 25 cm dune queue de belle taille.
Heureusement, Benoit est resté immobile quelques minutes avant de commencer à bouger. Il sortait à chaque fois de mon vagin pour y replonger ensuite lentement puis de plus en plus vite. Chaque fois quil arrivait au fond, javais comme une décharge électrique qui montait de mes reins jusquau creux de mes épaules. Javais chaud de partout. Jétais vraiment une chienne en chaleur qui se faisait saillir. Et jappréciais.
- Alors quen dis-tu ? Elle est bonne la bite à Benoit ?
- Oh oui, elle me fait du bien ! Vas-y bourre moi bien ! Je suis là pour çà !
Avec un tel traitement, je nai pas tardé à jouir une première fois : lexcitation, la taille de cette bite ? Je ne sais pas, mais lorsque la jouissance a déferlé en moi, je nai pas pu mempêcher de bramer haut et fort combien cétait bon de jouir ainsi.
Mon amant, qui avait arrêté ses mouvements de piston pendant que je méclatais, a repris ses va-et-vient et quand jai joui pour la seconde fois, il sest lâché aussi. Son sperme est venu frapper le fond de mon vagin mais jai trouvé quil était moins généreux quAntoine.
Lorsque Benoit sest dégagé, il ma commandé sèchement :
- A genoux salope ! Nettoie-moi la bite et fais la redresser.
Cest vrai quelle avait un peu perdu de sa superbe mais javais du mal à la faire passer entre mes lèvres. Après quelques minutes, ce sexe avait retrouvé toute sa raideur. Benoit sest allongé sur le dos, la bite dressée comme un mat :
- Cest toi qui va te baisser ! Viens tempaler sur ma bite face à moi que je triture tes mamelles !
Toujours ce langage dur, à la limite ordurier mais viril. Il me faisait mouiller comme jamais. Je me suis exécutée rapidement et je me suis empalée sur ce sceptre impérieux. Benoit a saisi mes tétons entre ses doigts et il levait et abaissait la pointe de mes seins. Je devais suivre le rythme. Quand il entrainait mes seins vers le haut, je devais monter sur sa tige et redescendre en même temps que lui. Avec un tel traitement, javais limpression dêtre une cavale en furie et je me suis déchainée sur ce pal. Je ne tenais plus compte du rythme imposé par Benoit et je suis partie rapidement. Lui aussi dailleurs. Au moment où je jouissais, il sest lâché.
Je me suis affalée sur son torse pour reprendre mon souffle, les seins pressés contre les siens :
- Alors, tu en veux encore ? Jai de la réserve. Je nai pas baisé de toute la semaine pour avoir les couilles pleines.
- Oh oui, mais laisse moi souffler un peu ! Tu pourras me faire ce que tu veux.
Nous sommes restés enlacés ainsi plus dune demi-heure avant que Benoit ne me fasse basculer sur le côté puis sur le dos. Il ma fait replier les jambes en me tenant à la pliure des genoux puis dune main, il est entré dans ma chatte restée entrouverte. Il en est ressorti aussitôt les doigts tout englués de nos sécrétions et il a commencé à me chatouiller lanneau plissé de mon cul, introduisant un doigt puis deux pour les faire coulisser et ouvrir le sphincter. Aussitôt, comprenant ce quil avait en tête, je lui dis :
- Prends le tube de gel dans la table de nuit, javais prévu cette éventualité.
- Tu es vraiment une belle catin, prévoir que jallais tenculer
- Oui
je ny étais guère habituée
mais cest tellement bon !
Benoit a introduit une belle quantité de gel dans mon cul et il a approché son gland mafflu de ma rondelle. Bien que japprécie cette pénétration, Renaud ne mavait pas souvent sodomisée car il me savait étroite. Je savais que pour avoir moins mal (surtout avec une bite comme celle de Benoit), je devais pousser pour distendre lanneau en même temps que le sexe male entrerait.
De la même manière que lorsquil me baisait, dès quil a senti que mon sphincter acceptait la dimension de sa bite, Benoit ma sodomisée à longs traits. Mes jambes posées sur ses épaules où il les maintenait, il allait et venait dans mon fourreau étroit en veillant à ne pas sortir complètement avant de replonger au fond de mon cul. Waouh ! Que cétait bon ! Jappréciais le choix que nous avions fait : deux amants différents mais qui me comblaient au-delà de ce que jaurais espéré.
Nous avons pris un pied terrible tous les deux. Quelle jouissance partagée ! Benoit avait utilisé mes trois orifices pour sa satisfaction et la mienne. Quand nous nous sommes désunis, je lai remercié et je lai congédié gentiment. Là, il ma avoué :
- Excuse-moi, mais je tai fait un plan ! Je ne parle jamais comme je lai fait ce soir ! Ne men veux pas.
- Je ne ten veux pas, je men doutais un peu. Tu nas pas vraiment lair dun loubard dominateur.
Dès que mon amant a été parti, Renaud est sorti de sa cachette et nous nous sommes embrassés follement. Après une toilette sommaire, nous nous sommes couchés, nus lun contre lautre comme à notre habitude. Jai posé ma main droite sur le sexe de Renaud, qui, sans quil soit bandé était dur. Je me suis glissée sous le drap pour aller le sucer. En tirerai-je quelque chose ce soir ? Après au moins 10 minutes de suçage et de léchage, Renaud a fini par éjaculer quelques gouttes dans ma bouche :
- Merci mon amour ! Dormons maintenant, tu dois en avoir besoin !
Et nous nous sommes endormis enlacés comme deux amants qui viennent de partager des moments chauds.
Sur la route du retour, nous avons parlé de cette expérience que lun et lautre avait appréciée. Nous nous sommes promis de recommencer mais en limitant la fréquence : toutes les cinq à six semaines pas plus
Cela fait maintenant un peu plus dun an que cela dure. Nous navons jamais rencontré deux fois les mêmes amants. Par contre, jai eu une séance avec deux hommes en même temps. Cest une collègue de bureau libertine qui un jour mavait parlé du bien quelle pensait de la double pénétration quelle pratiquait régulièrement lorsquelle allait en club.
Je ne sais pas si les deux étalons choisis ce jour-là nont pas su sy prendre, toujours est-il que je nai pas ressenti lexcitation et la jouissance que ma collègue affirmait ressentir.
Avec Renaud, nous avons retrouvé notre sérénité amoureuse. Tant quil acceptera de me voir avec dautres hommes, nous en profiterons. Je suis de nouveau épanouie, plus de frustration amoureuse et jaime toujours autant mon mari, sinon plus. Mes amants ne sont là que pour me donner du plaisir.
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