Les Filles
LES FILLES
Au ralenti ?, demanda Sirène qui vint sasseoir sur le tabouret à côté dOlga.
Tu veux rire ? , répondit Olga, prenant une grosse gorgée de son verre
Jai essayé lhôtel, ajouta Sirène
Et alors ?, demanda Olga
Tu penses. Je suis ici non ?, dit Sirène en souriant
Les deux filles sétaient partagé le quartier depuis deux ou trois ans. Elles avaient toutes deux autour de 25 ans mais on leur en aurait donné 10 de plus. Sirène était blonde, courte sur pattes mais avec des loches et un cul à faire rêver. Elle était pute pour hommes. Olga était une grande brune avec de petits nichons mais des pommettes saillantes qui lui donnaient le look dune Russe (doù le nom quelle avait choisi). Elle était pute pour femmes. Le territoire incluait le bar où elles étaient assises et un hôtel de dimension moyenne avec un petit resto et un bar. Il y avait aussi Chez Martha, un bar de lesbiennes surtout fréquenté par des femmes plus âgées.
Es-tu passée chez Martha ?, demanda Sirène, pensant que le bar de lesbiennes serait un endroit idéal.
Les vielles gouines savent quelles peuvent se faire sucer gratuitement si elles attendent assez longtemps, murmura Olga
Je te paye un verre ?, offra Olga
Daccord. Cest gentil. , répondit Sirène, qui frotta doucement son épaule contre celle dOlga.
Le pire cest que, pour une fois, ça me démange, ricana Sirène
Ouais
Je sais ce que tu veux dire , ajouta Olga
Le problème cest quaussitôt que le mec me met la main dessus, je nai plus envie, et je veux vomir , chuchota Sirène, les larmes aux yeux.
Hé
ma belle
.On ressent toutes la même chose, dans toutes les villes de cul, dans tous les pays de cul, dans tout le monde entier de cul, balbutia Olga mettant son bras autour des épaules de sa copine.
Combien de ces trucs-là as-tu avalés ? », demanda Sirène
Cest le troisième et je marrête ici
sans ça je vais me saouler, répondit Olga
Tu es une chic fille, toi, tu sais ?, déclara Sirène, dune voix tremblante
Ouais
toi aussi
.
Ouais
et toi ?, demanda la blonde
Finis ton verre, dit Olga et elle senvoya le sien derrière la cravate
Sirène prit deux petites gorgées, laissa son verre sur le comptoir et prit la clé que le barman lui avait refilée.
Se tenant par la taille, les deux jeunes femmes se dirigèrent vers les WC.
Sirène ouvrit la porte avec la clé tandis quOlga lui donnait des baisers dans le cou, tout en tentant de ne pas la faire tomber en bas de ses talons aiguilles.
Sirène avait baisé avec des filles à loccasion mais cétait surtout quand son client était accompagné de sa femme. Olga navait jamais fait ça avec des hommes, ou bien elle ne sen souvenait plus.
Olga déboutonna le chemisier de Sirène et se mit à sucer ses gros nichons. Sirène mit sa main sur le mont de Venus dOlga à travers sa jupe courte. Olga tripotait sa copine sans gêne.
Suces-mois, sil-te-plaît Olga, suces-moi, supplia Sirène
La lesbienne saccroupit devant lautre fille et releva sa jupe, la repoussant avec les deux mains, le coton roulant le long des cuisses potelées de la blonde. Sirène était rasée et Olga ouvrit la fente avec ses doigts comme elle avait fait des centaines de fois auparavant à des centaines de femmes qui payaient. Elle lécha les lèvres de la chatte de Sirène et taquina le clito bandé de la blonde. Sirène gémit de plaisir. Olga lécha sa copine avec vigueur tout en lui tripotant ses grosses fesses. Sirène eut sa jouissance dans la bouche de son amie et Olga continua à sucer jusquà ce que la chatte soit presque sèche. Sirène la releva par les épaules autrement elle laurait sucée toute la nuit.
Quest-ce que tu veux que je te fasse ?, demanda Sirène, embrassant la bouche couverte de son propre jus.
Olga chevaucha la cuisse nue de Sirène, qui était appuyée contre le mur de la partition, ses jambes bien ouvertes. Olga se frotta la motte contre le dessus de la cuisse de son amie, sa fente rasée souvrant de plus en plus à chaque mouvement.
Sirène redonna la clé au barman.
Où vas-tu maintenant ?, demanda Olga
Je pense que je vais tout simplement retourner chez moi, répondit Sirène, Tu viens ?.
Ouais, répondit Olga, son visage enfouit entre les deux grosses bosses du chemisier de son amoureuse. Elles étaient heureuses comme si cétait la première fois.
FIN
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