La Bénévole De La Paroisse - 1.

(Note : ceci est la nouvelle version d’un texte déjà publié… Il est agrémenté d’une suite de trois épisodes).



En ce dimanche d’été, le soleil est brûlant. J’aurais préféré ne pas être en extérieur avec ce temps-là. Mais il est de mon devoir de bonne catholique de faire du porte à porte après la messe pour aider les gens.
Avant de partir, je lisse ma jupe sur mes hanches en me regardant dans la glace du dressing…
Je suis parée pour la tournée dominicale de distribution des périodes catholiques et des gâteaux que j’ai confectionnés.



Aujourd’hui, on m’a déjà claqué trois portes au nez dès que je me suis présentée. Pas cool comme disent les jeunes !
Désormais, je suis nerveuse et découragée par le manque de savoir-vivre de ces personnes. Je repensais à ce que Léa, sa seule amie à la paroisse lui avait recommandé :
• Les gens sont plus aimables et plus réceptifs si tu leur offres des gâteaux.

Le locataire de la deuxième maison m’arrache la boite de gâteaux avant même que je n’ouvre la bouche.
J’hésite à aller frapper à une quatrième maison. Je me dis en moi-même que je ne suis pas douée pour le porte à porte. J’aurais aimé que Léa soit là pour m’aider.
Alors que j’approche de la maison voisine, je pensai qu’avec cette chaleur moite, je n’étais pas à l’aise avec mes talons, ma jupe noire et mon chemisier blanc. J’aurais du m’habiller différemment ! En partant de la maison ce matin, je me suis habillée de façon stricte. Mais la chaleur torride m’a obligé à retirer ma veste et à ouvrir quelques boutons de mon chemisier, révélant plus de peau que je n’aurais voulu.
Naïve, je ne me rends pas compte que mes gros seins pales enfermés dans un petit-soutien-gorge qui a du mal à les soutenir sont visibles et luisants de sueur.
Ma jupe est un peu trop courte et elle colle à mes jambes ! Elle est à peine suffisante pour couvrir le haut de mes bas et les lignes de ma culotte sont marquées sur mes fesses.

Décidément, c’est un mauvais choix… mais on de se refait pas… Ne suis-je pas ce qu’on appelle une « bourgeoise » ?
Mes talons galbent mes jambes. Avec mes lunettes et mes longs cheveux bruns tenus en chignon, je me dis que je suis l’incarnation d’une femme d’affaire sexy.
De plus en plus mal à l’aise, je me dis que je ferais mieux d’abandonner.
Mais je monte les marches de la maison suivante, une bâtisse assez ancienne quelque peu décrépite. Des chiffres rouillés indiquent « 45 » mais il y a une marque qui montre qu’il manque un « 6 ».
Je pense en moi-même que je ne suis peut-être pas dans le bon quartier… La paroisse avait divisé la ville pour ses bénévoles.
J’avais choisi un des quartiers dans les plus vieux où mes collègues ne veulent pas aller. J’étais désolée que personne ne se soit inscrit pour m’accompagner, mais je ne pouvais les blâmer. Le quartier était vieux et la population d’approche difficile.
D’ailleurs, ce quartier était évité par les autres bénévoles depuis qu’Agathe, une jeune fille de 18 ans, en était revenue enceinte. Ses parents affirmaient qu’elle avait été violée. Et bien qu’Agathe n’ait jamais raconté ce qui lui était arrivée, elle avait nié avoir été violée. Personne n’était revenu dans le quartier depuis…
Un an avait passé… et je suis la première à y revenir.
Je frissonne en essayant d’imaginer ce qu’Agathe avait pu subir, surtout qu’elle avait le même âge que ma fille Amandine.
Quand elles étaient ensemble en public, les hommes de tous âges les observaient. J’avais laissé ma fille à la maison ce matin alors que j’allais à la messe. C’est n’était pas son truc…
J’aurais voulu que mon mari et sa fille soient plus pratiquants.
Je me sentirais plus confiante s’il était à mes côtés Mais, dès le début de notre relation, il m’avait fait comprendre que la religion ne l’intéressait pas. Il n’y avait que le sport !
J’aurais quand même bien aimé qu’il joue les gardes du corps… ou qu’une autre personne m’accompagne…
J’ajuste mes lunettes avant de frapper sur la porte… J’attends une minute mais personne ne vient.

Je pense : Je devrais abandonner…
Avec mes yeux bleus, j’examine la maison : La peinture blanche s’effrite et les fenêtres sont couvertes de draps en guise de rideaux. La peinture verte de la porte est défraîchie. Le jardin délaissé et les escaliers menant à la porte sont abimés, usés.
Je m’étonnais que je ne me sois pas tordu la cheville en montant.
Je frappe de nouveau, plus fort. Le soleil tape dans mon dos. Mon front devient collant et mes cheveux gras. Mon mascara ne coule pas encore mais je m’inquiète que bientôt il le fasse… Je ne suis pas beaucoup maquillée, juste assez pour être belle, un peu de blush rose sur les joues et un rouge à lèvres rouge. La sueur n’abimerait pas mon maquillage… mais elle ne l’arrangerait pas.
Enfin j’entends du mouvement de l’autre côté de la porte.
Un homme dit au travers de cette porte :
• Juste un instant…

Les bruits continuent derrière la porte puis elle s’ouvre en grinçant. Un jeune homme s’avance rapidement et me fait entrer.
Alors que la porte se referme à moitié, il me ratt car j’ai perdu l’équilibre…
• Désolé Madame, mais ils stockent tellement de choses derrière la porte qu’elle est presque impossible à ouvrir. Que puis-je pour vous ?

Je me dégage et me redresse.
Je remets mes lunettes en place et regarde le jeune homme de bas en haut : Il est torse nu et très beau. Sa poitrine et ses abdominaux semblent sculptés. Il ne porte qu’un caleçon, visiblement enfilé à la hâte. Ses bras et ses jambes montrent qu’il est un adepte de la salle de musculation. Il porte une barbe d’un jour et des cheveux indisciplinés.
Je reste sans voix… Voyant les brochures sous mon bras il soupire :
• Oh vous êtes témoin de Jéhovah…

Je corrige aussitôt :
• Non pas du tout, je suis juste bénévole à la paroisse catholique. Je suis ici pour aider et répandre la bonne parole !

Le jeune homme me regarde fixement… Ses yeux sont intimidants.

Je détourne le regard et demande vivement :
• Pourrai-je vous parler un moment ?
• Pourquoi pas ! Je vais réveiller mes colocataires. Pierre aime bien les gens pieux. Voulez-vous entrer ?

Il pousse la porte. Je le suis. Un empilage de cartons se trouve derrière la porte qui se referme automatiquement. Il dit :
• Je m’appelle Thierry…
• Oh je ne me suis même pas présentée, mon prénom est Jeanne.

Nous nous serrons la main en échangeant des sourires. Je le suis jusqu’à une pièce faiblement éclairée qui semblait être la salle de séjour.
• Asseyez-vous, je vais chercher les autres.

Il me laisse prendre place sur un des trois canapés défraîchis placés sur chaque côté avec un grand écran plat en face. Je me suis assise et j’attends sur le moins déchiré en face de la porte et de la télé.
J’entends la voix du jeune homme à l’étage :
• Levez-vous, nous avons de la visite…

Puis il ajoute :
• Non, je m’en fous que vous mettiez un pantalon. Levez-vous juste.

Pendant ce temps je trie machinalement mes brochures.
Les hommes descendent l’escalier avec grand bruit. Thierry est le premier à entrer, un grand sourire sur son visage. Il s’assoit à côté de moi…
Il est suivi par un homme aussi musclé que lui, un autre complètement nu et aussi baraqué et un troisième enveloppé dans une couverture qui se jette sur le canapé le plus proche. Les deux autres prennent place sur le canapé restant.
Je ne peux m’empêcher de remarquer la bite de l’homme nu. Elle est beaucoup plus grande et grosse que celle de son mari.
Le jeune homme saisit son membre en rigolant et en me regardant avec un air salace.
Je détourne pudiquement les yeux en rougissant. Les autres jeunes rient avec lui.
Thierry s’assoit à côté de moi et dit :
• Tenez-vous les gars, c’est notre invitée ! Elle est là pour nous parler de sa paroisse. Madame, le grand c’est Bruno, celui qui est nu c’est Pierre, l’autre c’est Jacques.

• Bonjour les garçons. Je suis Jeanne de la paroisse Notre-Dame de l’autre côté de la ville.

Thierry complète alors en disant :
• Oh… nous connaissons une fille qui va à cette église.

Je répondis avec enthousiasme :
• Vraiment ? Quel est son nom ? Je la connais surement.
• Oui, vous savez certainement qui est cette fille.

Thierry échange un clin d’œil avec ses copains.
Je les regarde échanger des sourires entendus avant qu’ils ne s’intéressent de nouveau à moi. J’aurais aimé comprendre le clin d’œil et avoir des réponses à mes questions.
Mais avant que je ne parle, Jacques dit :
• Mais je me souviens de vous, Madame MARTIN. Vous êtes la mère d’Amandine. J’étais à l’école avec elle. Vous vous souvenez de moi ?

Je regarde le garçon. Je me souvenais de lui… Il était assis à côté de ma fille pendant son année de première : Il aimait l’embêter et Amandine s’en plaignait : il avait surement le béguin pour elle ! Je hochai la tête et je poursuivis :
• Comment vont vos parents Jacques ?

Il hausse les épaules avant de répondre :
• Je ne leur parle pas beaucoup mais je suppose qu’ils vont bien. Comment va Amandine ?
• Elle vient de terminer sa 1ère année de fac. Mais vous, que faites-vous ?

Jacques secoue la tête :
• J’ai toujours été nul donc voilà pourquoi je vis avec ces clochards.

Je ne sais pas comment réagir alors je ne dis rien. Du coin de l’œil, je peux toujours voir la bite à moitié molle de Pierre. Thierry a étiré ses bras, celui de droite reposant juste au-dessus de son dos, sur le dossier du canapé.
Pierre demande alors :
• Thierry ! As-tu offert un verre à Madame Martin ?

Son copain répond :
• Où sont les bonnes manières ? Je vais aller chercher de l’eau… vous devez avoir soif après cette journée au soleil ?

Pierre cligne de l’œil à l’intention de son ami :
• Une femme d’église a toujours soif, Thierry !

Je ne comprends pas le double sens de cette phrase mais je vois les sourires sur les visages des garçons. Je remerciai Thierry quand il me donna l’eau.
Depuis son canapé, Bruno demanda :
• Donc vous vouliez nous parler ?
• Oui, j’ai des brochures à vous donner.

Je tends son verre à Thierry et je me lève pour distribuer les brochures et je les interroge :
• Est-ce que vous pensez venir à l’église un jour ?

Les garçons répondent en riant…
Je trébuchai quand je voulus revenir m’asseoir… Le sol était si encombré ! Mes documents s’éparpillaient.
Thierry veut m’attr alors que je tombais la tête première sur ses genoux. Sa main saisit ma cuisse mais l’eau du verre éclabousse mon chemisier.
• Pardon…
• Il n’y a pas de mal…
Mes yeux tombent alors sur l’entrejambe de Thierry : Un renflement est perceptible sous le caleçon.
Le garçon voit mon regard et m’aide à me redresser.
Mon soutien-gorge rose est maintenant bien visible sous mon chemisier humide. Rougissante, je prends place à côté de Thierry.
J’espérais qu’il n’était pas trop évident que mes mamelons avaient durci. Mais Bruno l’avait remarqué :
• Vous pouvez enlever tout ça si vous êtes mal à l’aise.
• Je vais bien. Je disais donc…

Pierre me coupe d’une manière quelque peu brutale :
• Pour être honnête, je ne comprends pas l’église. Pourquoi y allez-vous Madame MARTIN ?
• Euhhhh…
• Est-ce pour vous habiller pour vos amis et vous sentir bien ?
• Non, je m’habille comme ça la plupart du temps et je n’ai pas beaucoup d’amis à l’église.

Thierry dit à son copain :
• Détends-toi Pierre. Désolé, j’étais ironique lorsque j’ai dit que Pierre aimait les gens pieux.

Pierre se leva :
• Non, j’aime bien les gens pieux. Surtout les salopes.

Il prend place sur l’accoudoir du canapé juste à côté de moi, écartant les jambes et tenant son membre à quelques centimètres de mon visage… Bruno et Jacques roulent des yeux alors que les miens s’agrandissent.
• Je crois que je devrais y aller.

Je commence à me déplacer vers la sortie mais Bruno est rapide. Il bondit de dessous sa couverture et me tire vers le bas sur son canapé. Accidentellement, ma main caresse la bite du garçon alors que je tombe sur le divan.
• Les garçons… laissez moi…

J’essaie de reprendre mon souffle.
Je vois Thierry et Jacques se lever de leur canapé. Le caleçon de Thierry est déjà sur le sol, sa bite en érection. Pierre et Bruno sont assis de chaque côté de moi, tenant mes bras.
Thierry et Jacques sont en face de moi, de grands sourires éclairant leurs visages.
• Ne vous inquiétez pas Madame MARTIN, nous savons comment bien traiter nos invités.

Thierry s’est mis à genoux devant moi. Il trousse ma jupe, exposant ainsi ma petite culotte de soie noire.
Je m’écrie :
• Que fais-tu ?

Thierry me sourit. Il met son index sur le petit monticule sous la culotte. Il sent aussitôt que la chatte est déjà bien humide.
J’essaie tant bien que mal à échapper à l’emprise des deux autres garçons et de fermer mes jambes.
Mais ils me maintiennent bien, jambes ouvertes.
Bruno commente alors :
• Vous avez de beaux seins.

Et son doigt fait sauter un bouton, puis un autre. Paniquée, je regardais les boutons sauter un par un…
J’aurais voulu l’arrêter mais j’étais comme paralysée. Bientôt, je suis à moitié nue, dépoitraillée, la jupe troussée sur mes hanches rondes.
• Vous ne devriez pas me faire ça les garçons. Je suis mariée… J’ai un mari…

Pierre chuchota dans mon oreille :
• Je suis sûr que ça ne dérangera pas Monsieur MARTIN de vous prêter à des beaux mâles comme nous, bien pourvus et en manque de femme !

Je fermai les yeux… Comment lutter contre ces quatre garçons visiblement en rut ?
Thierry frottait toujours ses doigts sur la culotte de soie. Il serait déjà à l’intérieur de sa chatte si le petit bout de tissu ne faisait barrage. Bruno et Pierre avait baissé mon soutien-gorge et avaient saisi un sein chacun. Ils les massaient, triturant les mamelons entre leurs doigts puissants.
Je ne savais pas où était Jacques mais elle se doutait qu’il préparait quelque chose.
Thierry la taquina :
• Vous êtes toute mouillée Madame MARTIN. Vous appréciez n’est-ce pas ?
• S’il vous plait, arrêtez…

Je gémis… mon corps me trahissait… Je sentais mon corps réagir malgré moi et la jouissance monter.
Je protestais de plus en plus mollement :
• J’ai un mari… et une fille…
Les doigts de Thierry étaient merveilleux et pourtant ils n’avaient pas pénétré mon intimité. Les deux autres garçons étaient occupés à malaxer mes seins.
Ils ne tenaient plus mes bras.
Pierre pris ma main et la conduisit à sa queue. Il enroula mes doigts autour de son membre dressé. Puis il m’aida à la caresser initiant un mouvement de va et vient. J’ouvris les yeux pour voir avec horreur comment je le masturbais.
Pierre desserra son étreinte sur sa main et sourit quand je ne lâchai pas le membre, subjuguée par la chaude sensation que j’éprouvais au creux de sa main. Il rit en lançant à la cantonade :
• Je pense qu’elle aime ça les gars !

Je ne fis pas attention au commentaire… Bruno avait conduit son autre main à mon sexe. Les deux bites étaient beaucoup plus grandes que celle de son mari. Elles étaient déjà raides dans ses mains mais elles n’arrêtaient pas de grossir et de s’allonger… Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine.
Jacques dit alors :
• Enlève sa culotte Thierry !

Pierre renchérit :
• Oh oui… je pense que le moment est venu !

Je croisai le regard du jeune homme entre mes jambes.
Je réalisais alors qu’il attendait un signal de ma part ! Il voulait savoir si j’étais d’accord.
Lentement, Je hochai la tête négativement mais mon regard disait le contraire. Mais en fin de compte, Thierry ne sembla pas s’en soucier. Il tira ma culotte vers le bas, révélant ma chatte humide ornée d’une tâche sombre de poils pubiens.
Jacques lui demanda :
• Depuis combien de temps n’avez-vous pas joui Madame MARTIN ?

Je n’entendis même pas la question.
Thierry plongea sa langue profondément dans ma chatte.
Je haletais et je serrais les deux bites dans mes mains. Puis, honteuse, j’eus un orgasme fulgurant.
Cela faisait deux ans que je n’avais plus eu de rapports et plus de quinze ans qu’un soir mon mari m’avait léchée fugitivement ! J’étais en manque !
Pierre rigola :
• Je pense qu’elle aime ça Thierry.

Je continuais à branler les deux bites alors que Thierry mangeait mon sexe. Chaque fois que la langue touchait mon clitoris, je frissonnais de plaisir. Ce garçon n’était pas un amateur ! Il agita sa langue et caressa mon clitoris avec son pouce. Mes genoux se mirent à trembler. Un deuxième orgasme était proche. Je ne pus m’empêcher de crier :
• Continue s’il te plait !
• Souriez Madame MARTIN !

Il y eut un flash lumineux. Je levai les yeux et vis Jacques avec son téléphone. Je ne pourrais jamais nier ce qui se passait : à demie nue au milieu de quatre hommes jeunes tout aussi nus que moi...
Jacques demanda :
• Est-ce que Monsieur Martin et Amandine savent que vous êtes ici ?

Je secouai la tête d’une manière affirmative. Ils savaient qu’elle allait faire du porte à porte pour la paroisse. Je me sentis coupable. Je disais à mon mari que je faisais cela pour que les gens deviennent plus prudes. Elle était en train de trahir son mari comme son corps la trahissait elle.
Pierre lui pinça son mamelon. Surprise j’haletai :
• Non, arrêtez…

Il ne l’écouta pas et pris le téton dans sa bouche. Bruno fit de même de son côté. Les deux garçons suçaient mes seins tandis que Thierry léchait ma chatte.
J’étais trempée… mon fluide combiné avec la salive noyait mon entrejambe.
Jacques tapota le dos de son ami :
• Je pense que ça suffit, il est temps pour elle de nous faire plaisir.

Thierry acquiesça. Les garçons me sortirent du canapé pour me mettre sur ses genoux. Pierre arracha mon chemisier et le soutien-gorge. Mes gros seins se balancèrent. Les jeunes regardèrent avidement cette chair tendre et pâle de cette jolie quadra… Il ne me restait que ma jupe troussée et mes talons, ma culotte ayant disparu depuis longtemps.
Bien que connaissant la réponse, Je demandai naïvement :
• Qu’est-ce que vous faites les garçons ? Que voulez-vous de moi maintenant ?
• Oh… Madame MARTIN ! Vous ne devinez pas ?

Jacques caressa son membre à quelques centimètres de mon visage.
Je regardais cette bite qui était la plus grosse que je n’ai jamais vue. Je savais qu’elle allait grossir encore. Un peu de liquide pré éjaculatoire suintait sur le gland.
Pierre ajouta :
• Nous savons ce que vous voulez…

Les quatre garçons étaient debout avec quatre bites pour elle toute seule. J’avais faim sexuellement même si je ne voulais pas l’admettre. J’étais tellement en manque ! Jamais je n’avais eu de pensées lubriques comme ça.
Jacques saisit le dos de ma tête afin de mener ma bouche vers sa queue charnue. Il l’engouffra vers le bas jusqu’à ce que ses couilles tapent mon menton…
• Yeh les gars ! Nous avons touché le jackpot ! Une gorge profonde sans préparation !

Je toussais, j’avais les larmes aux yeux… mais Jacques m’obligea à reprendre son sexe. Après quelques instants, j’avalais sa bite avec facilité. Avec mes mains libres, j’attrapai deux autres membres. Je ne savais même pas à qui ils appartenaient. Avec mes pouces, j’enduisis ces tiges avec leur propre liquide pré éjaculatoire. Puis je les branlai vigoureusement.
Les garçons s’exclamèrent en chœur :
• Ouais super !

Instinctivement, je changeai de sexe pour en fourrer un nouveau dans ma bouche. Et je continuais à en branler deux autres. Je changeais avant qu’un garçon n’éjacule. Même si je n’étais pas une experte, Je semblais posséder un talent inné pour les fellations : Ce n’est pas ce que l’on pouvait croire d’une bigote comme moi !
Pourtant, lorsque j’avais eu des rapports avec son mari, au début, il avait su apprécier ma bouche puis il s’était lassé…
Avec ma langue, elle sentait toutes les différences de peaux des sexes des garçons. Le liquide pré éjaculatoire commençait à tapisser ma gorge. Ma chatte était en feu.
Et j’entendais les garçons se taper dans les mains :
• Cette femme est géniale !
• Ce sont toujours les plus culs-bénits qui sont les meilleures salopes !
• Je vous parie que cette salope va encore jouir !
• Eh les gars ! Elle est tout pour nous aujourd’hui. Elle ne voudra pas partir ce soir.
• Et demain, elle ne sera plus capable de marcher.

J’entendais ces dialogues. Et bien qu’ils soient dégradants, JADORAIS ! Je suçais alors avec encore plus d’entrain.
• Je vais te remplir, ma pouliche à gros seins !

PAS ENCORE ! Je ne voulais pas que quelqu’un éjacule déjà. Je changeai rapidement de bite. Une voix cria :
• Viens là ! Je vais baiser ta petite gorge de salope jusqu’à ce que je jouisse.

Une main prit ma tête et la remit sur la bite précédente. La voix mystérieuse poussa son membre jusqu’au fond de ma gorge, m’étouffant à moitié. Je ne résistai pas et l’étreinte se desserra. Désormais, je suçai ce sexe en rythme !
La voix dit :
• Aaaaaaaahhhhhh… je viens !

Effectivement, le sperme remplit ma bouche. J’avalai ce que je pus mais je toussai sur le reste. La bite continuait à gicler, éclaboussant mes lunettes, y laissant de longs fils gluants.
Je fermai les yeux alors que mes cheveux et mes seins recevaient leur part de foutre. Je finis d’avaler le sperme qui était dans ma bouche et retournai nettoyer le sexe du garçon.
Une voix demanda :
• Comment était-ce ?

Je levai les yeux. C’était Jacques qui avait éjaculé le premier. Je souris et dit :
• Délicieux…

Les garçons rigolèrent alors que j’engloutissais un autre sexe.
Une petite voix dans ma tête disait : « Que suis-je en train de faire ? » Une voix plus sombre répondait : « tu te fais plaisir. Il est temps que tu profites de bonnes bites. Il suffit des conneries bigotes. Ces garçons vont te faire monter au septième ciel et en bonne salope tu vas apprécier. »

Après que Jacques eut déchargé, les autres garçons voulaient faire de même. Thierry grogna alors qu’il vidait ses couilles au fond de ma gorge. Je pouvais entendre dans ma tête, le jet de sperme tapant le fond de ma gorge.
Ensuite Bruno ajouta sa décharge sur mon visage ! Chaque jet était plus gros et plus épais que le précédent. Mon mascara dégoulinait le long de mes joues. Mon rouge à lèvres débordait de ma bouche.
Les garçons s’assirent sur le canapé après avoir joui. Pierre était le dernier debout…
Même si j’avais déjà beaucoup reçu, j’en voulais encore plus…
Mon cœur battait. Je ne pouvais pas attendre de voir où il allait éjaculer. Le tapis ainsi que ma chatte étaient trempés.
Je vis du coin de l’œil que Jacques avait repris son téléphone et qu’il filmait. Je suçais les couilles de Pierre alors que mes mains travaillaient de haut en bas sur le pénis du garçon. Pierre gémissait :
• Quelle salope vous êtes ! Ils vous ont recouvertes de sperme et vous en voulez encore. Ne vous inquiétez pas, mes couilles sont tout autant remplies.

Les autres garçons applaudirent quand j’engloutis le membre profondément pour une gorge profonde ! Mais je la recrachai aussitôt à cause d’un haut le cœur !
Les gémissements de Pierre s’accentuèrent :
• Tu es prête Salope pour une autre bonne décharge ?

Sans attendre de réponse, il tira ma tête par les cheveux et grogna alors que giclait un flot de sperme sur mes lunettes.Puis il remit sa queue dans ma bouche et la remplit avant de ressortir pour finir sur mon visage et les seins.
Je semblais sortie d’une guerre de serpentins, des fils de matières gluantes couvraient mes cheveux, mon visage et mes seins. Certains étaient tombés sur ma jupe noire.
Pierre rejoignit les autres sur les canapés…
Je restai à genoux au milieu de la pièce, haletante.
Tout le monde souriait, même moi, tant j’étais repue de foutre !
Jacques applaudit :
• Dites quelque chose à la caméra Madame MARTIN !

La voix sombre dans ma tête résonna à nouveau : « Allez Salope ! Tu es leur sac à sperme maintenant. Tu ne peux pas avoir de regrets. Donne-toi en spectacle ».
Alors je dis :
• Mon Dieu, Je n'ai jamais vu autant de sperme. Vous les jeunes, vous savez comment faire avec une femme. Et en plus il est délicieux.

Je clignai de l’œil devant la caméra, enlevant le sperme de mes joues pour le mettre dans ma bouche.
Pierre tapa sur la main de Thierry qui voulait continuer…
Je savais que leurs bites auraient besoin de récupérer avant de pouvoir servir à nouveau.
• Voulez-vous que je joue avec ma chatte les garçons ?

Devant cette offre des cris d'approbation éclatèrent dans la pièce….
Je me mis sur me dos après avoir enlevé ma jupe. Toutefois, je gardai mes talons hauts. Ayant parfois espionné son mari sur internet, je savais qu'une fille nue avec talons excitait les hommes. Je pensai que je n'avais jamais fait cela avec mon mari. Cet idiot me voulait baiser que la lumière éteinte !
Thierry poussa Pierre :
• Vas chercher ton vibromasseur !

Je souris et je m’exclamai :
• Oh les garçons, vous avez un jouet pour moi ? Je suis contente car je ne peux pas attendre que vous bandiez à nouveau.

Pierre revint avec l'objet et en me le tendant, il dit :
• Il suffit de le poser où vous voulez.

J’actionnai l'interrupteur que Pierre m’avait montré, sentant immédiatement la puissance de l'objet.
Le bourdonnement fut intimidant au début. Mais le fait que les garçons attendent, impatients, je fus rapidement excitée à l'idée de l'essayer.
Je n’avais jamais osé en acheter un pour se satisfaire et palier les déficiences de mon mari…
Je frottais le vibromasseur contre l’intérieur de ma cuisse. Un picotement envahit mes jambes.
Je levai les yeux vers la caméra… mon corps brûlant me culpabilisait.
Mon mari était sûrement encore à la maison, regardant le match alors que je me donnais à des jeunes de l'âge de ma fille.
Je ne pouvais imaginer que ma fille Amandine, qui devait être sexuellement active maintenant, puisse avoir le même comportement.
La pensée de mon entourée de queues excitées me terrifiait.
Le vibro atteint finalement les lèvres de ma chatte. Je frissonnai violemment à ce contact. Mon dos voûté et mes hanches jetées en avant, je fermai les yeux, laissant échapper un profond gémissement de satisfaction.
L'un des garçons dit :
• Oh merde ! Regardez cette mère de famille comme elle est excitée !
• Je vous ai dit que ces salopes de catholiques sont les plus chaudes !

Je reconnus la voix de Pierre mais cela ne m’empêcha pas de continuer de jouer avec le vibro que je glissais entre mes lèvres débordant de cyprine puis je l’introduisis jusqu’à la garde au fond de mon vagin. Cette introduction vibrante me fit partir immédiatement dans une jouissance démente qui m’arracha une sorte de rugissement.
Pierre dit en riant :
• Vous vous rappelez de la fille qui est venue il y a quelques mois. Elle s'appelait Agathe. Elle venait nous faire son discours pour la paroisse, tout comme cette salope là.

Je savais qu'ils parlaient d'Agathe TOURNIER, c'était son nom complet. Une belle jeune femme intelligente comme sa fille.
• Nous l'avons baisée tant que nous pouvions. Et vous vous rappelez qu'elle est revenue un mois avant de faire son mioche.
• Oui, Oui, nous l'avons complètement défoncée à nouveau.

Je les écoutais. Je ne pouvais croire que c'était ces garçons qui avaient couché avec Agathe. Cette fille avait un avenir prometteur. C'était une jolie petite blonde qui n'avait eu que des bonnes notes depuis le cours élémentaire.
J’imaginais son visage strié du sperme des garçons comme le mien l'était. J’imaginais les fils de sperme entrelacés dans les nattes blondes, sa chatte serrée sur leur bite jusqu'à ce qu'elle déborde de foutre. D'ailleurs elle était sûrement vierge avant.
Et puis elle était revenue, engrossée par un des garçons, ne pouvant savoir lequel. Et elle reviendrait encore.
C'était, aux dires des garçons, une vraie salope avec des désirs inassouvis tout comme elle, allongée sur le plancher. Voilà pourquoi elle n'avait rien dit à personne. Elle ne pouvait supporter d'avouer à ses parents quelle salope elle était.
• Mais cette pute là est différente. Regardez comme elle joue avec son sexe. Elle n'est pas timide comme Agathe. Rappelez-vous qu'il a fallu presque une heure d'amusement avant que la fille ne cède. Cela a pris cinq minutes pour cette salope de mère de famille.
• Mais Thierry ! Il s'agit là d'une femme mature. Bien sûr, elle se conduit comme une salope mais je crois qu'elle n'a jamais eu auparavant ce genre d'attentions sexuelles. Elle rêvait probablement de quatre jeunes bites la fourrant mais elle n’en connaissait pas. Dites-moi Madame MARTIN, à quel point voulez-vous nos queues en ce moment ?

Le vibromasseur était toujours pressé au fond de sa chatte ! J’en tremblais de désir tout en écoutant leur conversation. Je les voulais en moi ! Je ne pouvais plus attendre et je ne voulais pas que sucer des bites. Je suppliai :
• S'il vous plaît ! Prenez-moi en... sandwich ? Est-ce bien le terme ?

Je voulais sentir leur sperme chaud à l'intérieur de moi ! J’étais encore fertile mais ce n'était pas un sujet de préoccupation à l'instant. Je réglerai ce problème plus tard. Je prenais le risque… J’irais voir notre ami le pharmacien ! Je demandai aux garçons :
• Je veux vous sentir éjaculer en moi les garçons ! Pas de préservatifs.

Si Agathe pouvait le faire alors… elle aussi.
Cette petite pute n'avait probablement pas su les assouvir convenablement. Je ne pouvais m'empêcher de ressentir de la jalousie. Pour quelle raison était-elle jalouse ? Elle n'était certainement pas la première à passer dans leurs mains.
Mon esprit divaguait. Avec un vibromasseur dans ma chatte humide, le visage recouvert de sperme, j’étais plus excitée que je ne l’avais jamais été.
• Ne vous inquiétez pas Madame MARTIN, nous allons bien nous occuper de vous. Nous vous montrerons des choses que vous ne connaissez sûrement pas !
• Elle veut que nous la baisions comme la petite Agathe, les gars ! Nous avons une nouvelle salope ! Qu'en dit votre mari Madame MARTIN ?
• Qui ça ?
• Votre mari assis dans votre maison qui n'est pas au courant que vous êtes une sale traînée, allongée dans un salon miteux en train de vous masturber devant quatre jeunes ?

Je poussai plus fort le vibromasseur dans mon sexe, essayant d'ignorer les commentaires. Mes genoux tremblèrent et je criai ma jouissance, les yeux révulsés, bouche ouverte.
Les garçons regardaient mon orgasme : je me cambrais, mes jambes étranglant le vibro enfoncé une nouvelle fois au fond de ma chatte.
• Dites Madame MARTIN ? La prochaine fois que vous viendrez, pourrez-vous amener votre fille Amandine ? Je vous laisserai utiliser ce jouet sur elle.

Ils se moquaient mais je ne m'en souciais pas. Leurs commentaires ne me touchaient pas.
J’étais une salope, leur salope. Cette pensée me fit frissonner alors que je me remettais de mon orgasme.
• Êtes-vous prêts les garçons ? Baisez-moi s'il vous plaît…

Je jetai le vibro vers eux. Pierre m’attrapa un bras avec facilité et m’attira vers lui, son membre en érection dans son autre main. Il sourit :
• Je veux être le premier dans cette chatte !

Bruno ajouta :
• Viens là salope !

Il se dirigea vers elle, l'attrapa par les cheveux violemment.
Je criai de douleur mais je fus rapidement étouffée par la queue qu'il enfourna dans ma bouche.
Puis il commença à se branler dedans. Je levai mes yeux pour le regarder… Il ne souriait pas.
Je sentis que l'on caressait mon cul puis des doigts s’enfoncèrent dans mon antre humide….
Je relevai mon fessier pour faciliter l'inconnu derrière moi.
Un claque tomba sur ses fesses. Je grognai mais je gardai mon cul en l'air.
• Laisse la place Bruno !
La bite quitta ma bouche. J’essayai de la rattr mais sans succès.
Des mains puissantes saisirent mes hanches, d'autres mes bras. Je fus soulevée et remise debout, penchée en avant. J’enroulai mes bras autour de la taille de l'homme devant moi. Puis j’avalai le membre à demi dressé devant mes yeux.
Enfin je sentais une première queue frotter ma motte. Elle la taquinait, caressant de haut en bas sans la pénétrer. Je recrachai la bite de ma bouche et murmurai :
• S'il vous plait... ne me faites pas languir !

Je passai ma langue sur toute la longueur de la bite que je venais de délaisser afin ne pas décevoir son propriétaire.
L’un des garçons demanda :
• Pourquoi es-tu si long Pierre ?
• Je veux l'entendre supplier !

Il continua à frotter son membre contre elle, excitant ma chatte qui ruisselait de plus en plus.
Je criai à nouveau :
• S'il vous plaît, baisez-moi ! Enfoncez votre queue dans ma chatte, j'en ai besoin !
• Voilà exactement ce que je voulais entendre !

La verge de Pierre força son chemin dans mon vagin… Ma bouche s'ouvrit, happant l'air. Ma chatte était beaucoup plus serrée que je ne le pensais. Ou alors Pierre avait le plus gros sexe qu'elle n'ait jamais eu.
Ses couilles tapèrent ses fesses avant qu'il ne recule puis pousse à nouveau. Les seins nus rebondirent violemment. Une main saisit sa tête et une bite força sa bouche. C'était la première fois que J’avais deux pénis en moi à la fois. J’ADORAIS !
Les garçons criaient de joie pendant que deux des leurs me baisaient. Des mains claquaient mon cul nu. Mon bassin accompagnait Pierre en rythme. Les coups devenaient plus rapides. Mon vagin était brûlant d'excitation.
Pierre, triomphant cria :
• Madame Martin, Votre chatte est fantastique !

A chaque poussée du jeune homme, je pouvais le sentir la pénétrer de plus en plus à l'intérieur de mon sexe. Mes gémissements auraient été bruyants s’il n’y avait cette bite dans ma bouche.
En rythme, les garçons me tiraient chacun de leur côté. Les doigts de Pierre étaient enfoncés dans mes fesses. Bruno me tenait par les cheveux. A chaque fois que Pierre poussait, lui tirait… sa queue touchant le fond de la gorge et ses couilles battant mon menton.
Soudain, les doigts de Pierre serrèrent mes hanches : Je sentis son sperme chaud se répandre en moi. Leurs fluides se mélangèrent et commencèrent à suinter hors de ma chatte !
Les deux garçons changèrent de place… Pierre poussa sa verge toujours dressée dans ma bouche pour se la faire nettoyer. Bruno se plaça derrière et me pénétra séchement. Son sexe était moins gros que celui de son ami mais il prit un rythme régulier et rapide qui compensa.
• Zut Pierre ! Tu l’as distendue !
• Elle était aussi serrée que la petite Agathe. Je l’ai préparé pour vous les gars.
• Mon œil que tu l’as préparée... Tu sais très bien que nous les aimons tout aussi serrées que toi.

Lorsque Pierre considéra que son membre fut assez propre, il repoussa ma tête.
Avide, Jacques pris sa place. J’étais heureuse de retrouver ce sexe dans ma bouche.
De la sueur roulait sur mon front, ainsi que sur mon corps et du jus coulait de ma chatte le long de mes jambes.
Un pouce appuya sur son anus. Elle se tortilla pour essayer de l’arrêter mais finalement il pénétra son petit trou. Elle cria :
• AAHHHHHH !
Jacques suggéra alors :
• Une bite dans son cul !
Je n’avais jamais été sodomisée et ne le voulais pas. Cependant, dans mon état présent, je n’osais pas dire non aux garçons. Je savais qu’ils ne m’auraient pas écoutée de toute façon.
Mon mari avait voulu et elle avait toujours dit non, tout au plus avait-il tenté de lui glisser un doigt dans le fondement !
Mais mon mari ne m’avait jamais utilisée comme ces jeunes... Le pouce est resté dans mon cul jusqu’à ce que Bruno éjacule à l’intérieur de ma chatte !
Mes genoux se dérobèrent lorsque le doigt sortit de mon anus. Mon corps trembla alors que j’avais mon quatrième orgasme de la journée.
Je recrachai la bite de Jacques et je m’effondrai sur le sol, épuisée. Le sperme s’échappait de ma chatte.
Qu’est-ce qu’il m’avait mis !
Je pouvais voir les garçons marcher autour de moi. J’avais la sensation d’être une proie qu’on s’apprête à dévorer !
Mes yeux rencontrèrent ceux de Bruno au-dessus de moi….
De son membre tombaient des gouttes sur mes lunettes. Le garçon s’accroupit sur mon visage et enfourna sa verge dans ma bouche, ses couilles reposant sur mon menton.
J’étais complètement bâillonnée mais j’aimais le goût du mélange de sperme et du jus de ma chatte.
Un autre garçon avait repris le vibromasseur pour jouer avec mon sexe : je fermai les yeux pour savourer !
Puis, sans que je puisse réagir, la bite dans ma gorge gonfla et explosa, des jets de sperme chaud inondant ma gorge !
Bruno grogna, jura pendant qu’il déchargeait puis il soupira, détendu. Son engin était strié de rouge à lèvres et de filets de sperme blanc lorsqu’il le sortit.
Je recrachai un peu de sperme et je souris aux jeunes.
Thierry s’étonna :
• Dis donc Bruno ! Je ne comprendrais jamais comment tu as pu éjaculer deux fois en une minute dans cette chienne ?
• Je ne sais pas non plus. Mais ne vous inquiétez pas Madame Martin, vous aurez une autre ration !

Le vibromasseur bougeait de ma chatte à mon cul. Si ça avait été un gode, je l’aurais enfoncé en moi ! Mon jus mélangé au sperme descendait sur son trou du cul.
Jacques commanda :
• Mettons là sur le canapé les gars !

Ils me tirèrent vers le haut. Je titubais comme une ivrogne, essayant de me tenir debout. Mais mes genoux étaient trop faibles pour me soutenir sur mes talons hauts.
Ils me jetèrent sur le canapé où je me reposai le temps que quelqu’un s’intéresse à nouveau à moi !
Jacques s’assis et me tira sur ses genoux. Il étendit ses jambes, je pouvais enfin voir tout ce qui sortait de ma chatte. Le sperme couvrait mes cuisses et goutait sur mes jambes repliées sous moi…
La queue de Jacques était rigide. Il prit du liquide pour me lubrifier le cul !
Je couinai lorsque le doigt entra, puis un second mais ils coulissaient avec facilité même si je continuais à me plaindre, juste un peu pour la forme !
• Du calme Madame MARTIN. Lorsque ma bite va vous pénétrer, alors vous aurez raison de crier. Elle est beaucoup plus grosse que mon doigt !

Il écarta mes fesses de mère de famille n’ayant jamais goûté à la sodomie tout en me soulevant légèrement. Je me laissais faire, trop fatiguée pour résister à quoi que ce soit d’autre, mais aussi pleine d’une envie malsaine : Là où j’en étais, plus rien ne m’importais que de JOUIR !
Il avait raison... Je criai quand je m’assis sur son membre. J’eu l’impression d’être coupée en deux. Les larmes me montèrent aux yeux alors que Jacques ne montrait aucun relâchement. Il stoppa une fois pour lubrifier sa queue avec du sperme puis continua à la faire descendre sur son pieu.
• Non ! S’il te plaît ! Je ne peux pas Jacques ! Elle est trop grosse pour moi !

Sa queue ne semblait pas finir. Mais elle rentra complètement.
Je fis de son mieux pour la serrer mais je sentais que mon cul était entièrement dilaté. Voilà pourquoi je ne voulais pas que mon mari me prenne par là.
Jacques reprit :
• Je suis flatté de savoir ce que vous pensez de mon attribut Madame MARTIN. Attendez que la douleur disparaisse et vous vous sentirez au septième ciel. Thierry, donne-lui quelque chose pour soulager la douleur.

Thierry sourit. Il laissa sa queue courir le long de sa chatte :
• Dites-moi Madame MARTIN que vous n’avez-vous pas envie de tout ça ?
J’acquiesçai un peu comme une somnambule, alors que mes larmes continuaient de couler.
Mon cul était rempli et je ne pouvais pas dire si c’était désagréable ou agréable. Mais j’oubliai vite cette sensation vite quand Thierry m’enfila.
Je le regardai plonger sa bite tout au fond de moi et la retirer couverte de filaments blancs collants. Ses mains tripotaient mes gros seins torturant les bourgeons.
Pierre avait retrouvé sa rigidité. Il se leva pour une autre fellation. Je secouai la tête négativement : J’avais la mâchoire endolorie. Mais Pierre ne voulut pas comprendre le message. Mes lèvres engloutirent la queue une fois de plus.
Dans son esprit, la voix sombre revint : « Il y a trois bites en toi maintenant sale pute. Je parie que tu aimerais avoir un quatrième trou pour que Bruno puisse vous rejoindre. Il va devoir se contenter de tes mains ».
J’attrapai le membre de Bruno ainsi que ses couilles. Finalement, Jacques avait assez assoupli mon cul.
Désormais, je rebondissais violemment sur sa queue, mes seins se balançant de haut en bas alors que les autres garçons faisaient de leur mieux pour garder leurs engins dans les autres orifices.
Mon cul était engourdi. Je ne contrôlais plus le bas de mon corps.
Puis je pris conscience de l’éjaculation de Thierry dans ma chatte.
Ensuite, les trois jeunes alternèrent. Thierry remplit ma bouche, Bruno ma chatte et elle prit Pierre dans ses mains pendant que Jacques pilonnait mon cul violemment et s’y lachait.
Bruno faisait la même chose à ma chatte. Jacques utilisa ses mains pour écarter plus largement les cuisses afin que Bruno puisse encore plus la pénétrer.
Bientôt, mes trois trous furent remplis de sperme chaud. Thierry déchargea abondamment dans ma bouche, Bruno dans ma chatte avant de finir sur ma poitrine. Et Jacques remplit mon cul avant de me jeter un peu rudement.
J’atterris sur le sol. Le liquide séminal suintait de mon trou encore ouvert, béant après le passage du pieu de Jacques.
Pierre ne perdit pas de temps, il sauta sur moi et m’encula instantanément. Immédiatement il me bourra, le passage était fait ! Il pouvait entrer sans peine son gigantesque mandrin !
Je fis de mon mieux pour tenir ses fesses ouvertes, écartant mes globes pâles, l’acceptant au plus profond de moi.
Les autres garçons sortirent de la pièce pour aller se nettoyer.
Pierre avait certainement la plus grosse queue des quatre. Il semblait remplir tout l’espace de son derrière. Ses yeux fermés, elle mordit son pouce pour s’empêcher de couiner. Malgré son cul engourdi, elle pouvait sentir le sexe à l’intérieur d’elle.
Pierre la pilonna avec facilité maintenant. Son cul était encore serré mais le sperme de Jacques aidait le membre à coulisser. Le garçon savourait cet instant où sa jeune bite perforait le trou interdit de cette mère de famille.
• Je vais jouir Madame MARTIN ! Je vais remplir ton cul de salope. Tu ne savais pas ce que tu étais vraiment vieille bigote. En fin de compte tu n’es qu’une autre de ces ménagères salopes accrocs au sexe.

Entendant ses railleries, je me mis à pleurer mais je dis aux travers de ses pleurs :
• Tu as raison. C’était trop bien pour arrêter.
Je ne dirai pas à son mari que j’avais été violée, baisée et sodomisée… Et je reviendrais, tout comme Agathe ! Je reviendrais !
Et si je n’obtenais pas satisfaction ici, j’irais ailleurs. Dans cette partie de la ville ou ailleurs, je trouverais facilement.
Je compris pourquoi Agathe n’avait rien dit… Je pourrais même sympathiser avec elle pour revenir.
Pierre poussa une dernière fois sa bite au fond de mon cul et dit :
• C’est pour toi… Salope !

En même temps, son sexe gonfla et me remplit le cul avec une décharge de liquide chaud, la troisième que je recevais de lui.
Le jeune sortit son membre et finit d’éjaculer sur mon dos. Au même moment, un autre orgasme me terrassa. Je frissonnais sous le poids de Pierre, ses hanches cognant le sol avec enthousiasme en plein extase :
• Oh mon Dieu… Pierre ! Tu es inépuisable !

Le garçon me laissa là, vautrée dans la fange. Ma tête reposait sur le sol et je pouvais voir les brochures que j’avais apportées, éparpillées tout autour de moi !
Je relevai mon visage, une feuille collée sur ma joue. Le sperme avait séché dans mes cheveux mais j’étais encore humide partout ailleurs.
Je relevai tant bien que mal mon corps endolori et réussis à garder l’équilibre sur mes talons.
Je ne vis ni ses vêtements ni les garçons.
J’errai jusqu’à la salle de bain. J’aperçus une nouvelle femme dans le miroir. Mon beau chignon était complètement défait et parsemé de longs brins blancs. Mon rouge à lèvre barbouillait mon visage. Des filaments blancs pendaient de mes lunettes sur mes joues. Des larmes séchées complétaient le tout.
Je ris : « je suis mignonne après tout !».
Mes seins aussi étaient couverts de sperme mais le pire c’était ma chatte. Elle dégoulinait, formant une flaque sur le sol. Mon cul aussi, laissait le liquide couler le long de mes cuisses.
Je m’assis sur les toilettes pour uriner et nettoyer mon sexe.
Jacques passa devant la et prit une photo d’elle en demandant :
• Comment c’était Madame MARTIN ? Avez-vous passé un bon moment ?
Je hochais la tête :
• Les garçons, vous savez y faire avec les filles. Je ne sais même plus combien de fois j’ai joui.
• Votre mari ne peut pas vous satisfaire comme ça n’est-ce pas ?
Je pensai : « devrais-je laisser mon mari me faire cela, baiser mes trois trous ? Il ne pourrait pas de toute façon. Et je n’ai plus envie qu’il m’approche »
Jacques haussa les épaules avant de s’éloigner. Elle l’appela :
• Qu’avez-vous fait de mes vêtements les garçons ?

Je lavai mes mains avant de courir après lui. Dans la cuisine, il me tendit une lingette chaude. Le maquillage et le sperme essuyés, je me sentais nue. Je saisis son sexe, demandant où était mes vêtements.
Jacques fut désolé :
• Je ne peux plus Madame MARTIN. Si vous en voulez encore il faudra revenir. Vous pourrez même amener votre fille si vous voulez ! Ça pourrait être intéressant mais je ne pense pas qu’Amandine aimerait voir sa mère labourée pas ses anciens camarades de classe.

Jacques me tendit ma jupe et mon chemisier. Les boutons étaient complètement arrachés et le soutien-gorge était introuvable.
Je fis de son mieux pour me vêtir convenablement avec le reste de ses vêtements. Jacques me conduisit à la porte. Ils échangèrent leur numéro avant que je ne sorte.
Les hommes dans la rue la regardaient différemment que plus tôt quand elle était entrée dans la maison.
Je pensais qu’ils savaient ce que j’avais fait... ou subi !
Heureusement, j’arrivai à ma voiture sans problème… En cherchant mes clés, je découvris mon soutien gorge bourré dans une poche…
Je mis peu de temps pour rentrer chez moi… Une flaque de sperme s’étalait sur le siège… Une partie de moi voulait partir et ne jamais revenir, une autre voulait aller exhiber ma chatte gluante devant mon mari…
Mon téléphone sonna. J’arrêtai le moteur de la voiture et le pris : Jacques m’envoyait des photos ainsi que des vidéos. Au début je me reconnus à peine. J’étais hébétée et couverte des premières décharges des garçons. Je réalisais que cette vidéo aurait pu servir comme moyen de chantage. Heureusement, j’étais toute disposée à revenir les voir.

J’avais apprécié l’expérience et la considérait comme une récompense de Dieu. Cette pensée fuit mon esprit !
J’avais eu de la chance et j’avais été bien baisée c’est tout. Mon téléphone sonna à nouveau. C’était une photo de la bite à Jacques. Il écrivait : « Nous espérons que vous reviendrez ». Elle prit une photo d’un de ses seins et lui envoya en répondant : « Oui je reviendrai bientôt, je ne sais pas si je pourrai attendre longtemps vos queues »
J’aplatis sa jupe, fit de son mieux pour tenir mon chemisier fermé. Malheureusement, je ne pouvais refaire mon chignon.
Je sortis de la voiture et remontai l’allée de la maison. Le soleil me brûlait le dos.
En poussant la porte, je dis d’une manière enjouée :
• Hello chéri, je suis rentrée !
Mon mari répondit du salon sans même quitter l’écran du téléviseur :
• Salut Chérie ! Tu as passé une bonne journée ?
• Oh tu ne le croirais pas ! Une très très bonne journée.

Mon mari regardait la télévision et ma fille était recroquevillée contre lui. Un brin de culpabilité me tenailla. Puis une larme de bonheur et culpabilité roula sur sa joue : « Vivement la prochaine fois »

à suivre…

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