Charlotte L'Allumeuse (2)
Chapitre 2: Mohamed Partie 2
Lui: « Tu sais que tu me fais bander, comme ça dans cette tenue ? »
Moi: « Pardon ?! Tes malade ou quoi ?! »
Oui, il fallait bien que je fasse au moins semblant de résister, ou au moins de ne pas comprendre. Je reste une femme et je ne vais pas dire oui au premier sourire ! Enfin si, mais cest toujours assez drôle de voir de quelle manière létalon en face de moi va sy prendre.
Lui: « Tu mas très bien entendu. Tu vas me dire que tu sors comme ça parscequil fait chaud ? »
Moi: « Oui, il fait chaud, mais tu as raison, jai aussi le droit davoir envie de plaire. Après, si tes pas capable de te retenir
»
Il marque une seconde darrêt. Il se sent un peu con, un peu déstabilisé, ça se voit. En plus de ne pas voir beaucoup de salopes comme moi dans la rue - même si je suis loin dêtre la seule - il ne doit pas être habitué à voir une femme qui lui tient tête et lui répond. Mais cest trop tard, il a vu une ouverture et son cerveau dhomme en chien ne peut plus résister. Il est à moi, à tellement vouloir être en moi.
Lui: « Comment tu veux quon se retienne quand vous nous résistez et que vous sortez comme ça, habillées comme des putes ? »
Moi: « Est-ce que je te résiste ? »
Ca y est, il a compris. Avec mon regard provocateur et mon petit sourire en coin, il ma démasquée en une seule seconde. Il a vu clair dans mon jeu, je ne suis pas sortie à moitié à poil juste pour allumer ou pour tester mes charmes. Il sait tout. Que je suis sortie habillée le plus court possible pour que les hommes me regardent, viennent vers moi et assouvissent ma soif de queue. Pendant quil me regarde dans les yeux et se demande comment transformer lessai, je le regarde de haut en bas pour savoir à qui jai vraiment à faire.
Il nest pas très grand, un mètre soixante-dix comme moi. Il est fin, pas de bide, pas de graisse, mais probablement pas de muscle.
Moi: « Jhabite à cinq minutes ici à pieds. Je te laisse trente secondes pour aller lannoncer à tes potes, ensuite on va chez moi ? »
Lui: « Tu mattends là. »
Il voulait avoir lair autoritaire alors quil était surpris comme un petit garçon à qui on vient doffrir un jouet. Cest un peu le cas, sauf quaujourdhui, le jouet, cest moi. Le temps de faire comprendre à ses potes quil va me soulever et on sen va en direction de mon appartement. Sur le chemin, personne ne parle. Lui, il nose pas, de peur de perdre cette chance. Moi, je nai pas envie de lui parler. Je me fous de savoir comment il sappelle, ce quil aime, ce quil fait. Je veux simplement un bon coup de bite et au revoir.
On arrive dans mon immeuble, je monte les escaliers pendant quil me suit. Je sens son regard posé sur mes fesses, et la pression commence à monter. Est-ce que je vais être capable de le satisfaire ? Est-ce que je vais prendre tout le plaisir que jattend ? Jouvre la porte dentrée et fonce vers ma chambre. Il referme la porte et arrive près de mon lit quelques secondes après moi.
Toujours aucun mot, toujours aucune tendresse, il se penche vers moi et commence à toucher mes seins. Il se fait plaisir et je laide, je les retire mon débardeur et mon soutif. Je suis maintenant seins-nu devant lui, pour son plus grand plaisir: il les lèche, les mordille, les malaxe avec ses doigts. Il fait ça sans aucune délicatesse, ce mec est un gouja, et ça me fait terriblement mouiller.
Je ne lui laisse pas le temps de sammuser bien longtemps. Il nest pas là pour son plaisir, mais pour le mien. Je lui retire son T-Shirt et commence à défaire son pantalon. Je ne me fatigue pas à tout lui retirer, jouvre juste ce quil faut pour faire sortir sans queue de son caleçon. Elle est plutôt longue, assez large, un joli morceau dans la partie haute de la moyenne. Je me penche pour le sucer pendant que Monsieur profite. Mais il ne va pas profiter bien longtemps, je veux simplement le faire bander au maximum pour quil soit le plus gros possible en moi. Quelques secondes plus tard, cest fait, je lui enfile la capote, retire ce quil reste de mes vêtements et me positionne à quatre pattes, en attendant quil vienne me prendre.
Je nai pas à patienter bien longtemps. Moins de dix secondes plus tard, je sens quelque chose de froid et humide se poser sur mes lèvres. Je ne suis pas une grande fan des préservatifs, mais là, pas le choix ! Je vais devoir my habi. Il ne perd pas de temps avec de la douceur, il senfonce directement en moi. Je me sens enfin prise, remplie par cette bite dune taille honorable. Mon rêve commence enfin à se réaliser.
Pendant près de dix minutes, il me prend en levrette. Sans un mot, sans un bruit, il me baise, sans sarrêter, il me prend, encore et encore. Je sens le plaisir monter petit à petit, quand il commence à gémir. Enfin, je nai plus limpression de coucher avec un robot. Mais avec un chien, qui pénètre la première chienne en chaleur quil a trouvé. Ce traitement me fait du bien, mais est bien trop court. Quelques secondes seulement plus tard, il se retire brusquement de ma chatte, retire la capote et éjacule sur mon cul, dans un râle libérateur. Moi, je reste sur ma faim, dégoutée dêtre tombée sur un mec qui ne tient pas. Où peut-être est-ce le traitement que réservent les hommes aux inconnues quils baisent
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