C'Est Ça Qui M'A Rendu Gay

Mon père était militaire de carrière dans l'armée Française. Chef d'état-Major, il a été en poste à Alger, Marseille et Tripoli. Je parle courament Français, Anglais et Arabe. J'avais 18 ans, quand je suis entré à l'institut des maladies tropicales de Marseille. Cette année-là, fut, mémoire de marseillais, l'année la plus chaude du siècle.
Mon père avait 11 s. J'ai été le seul à poursuivre mes études. Malgré son gros salaire, il avait du mal à subvenir à mes besoins. D'abord à cause du nombre de ses s, ensuite, à cause de ses maîtresses laissées dans les différents postes qu'il a occupé. Il était coureur, comme on dit.
Cette fameuse année, à l'IMT, on avait eu l'autorisation de venir en short, vu la canicule. Il y avait beaucoup de noirs dans ma promotion. Ces étudiants étaient obnubilés par la blancheur de ma peau, et en plus, constellée de taches de rousseur.
Vu la position sociale de mon père, j'avais obtenu une bourse. Les autres étudiants, savaient donc que je n'étais pas riche. L'IMT non plus. Dans certaines classes, il y avait encore des pupitres à deux places, comme dans le temps, avec encrier et cadres de métal. A mon premier cours, ce fut un noir qui s'assit à côté de moi. Il se serra vers le centre du pupitre, pour pouvoir poser sa main sur ma cuisse.
- Ca s'att ? Demanda-t-il.
- Quoi ?
- Ces taches ?
- Non. Je les ai depuis que je suis né.
- Je peux toucher ?
- Il me semble que c'est déjà ce que tu fais. Non ?
- Oui, mais dedans ! Dit-il en glissant sa main sous mon short.
J'ai essayé de retirer sa main, et il s'est penché à mon oreille. De son autre main, il me tendit une jolie montre. Mon père ne pouvait pas m'offrir ça. J'ai lâché sa main, qui s'est aventurée plus loin sous mon vêtement.

Ses doigts se sont enroulés autour de ma pine pour tâter ma réaction. Elle était déjà raide.
- Eh ! Mais ça a l'air de te plaire !
Je rougis.
Le lendemain, un autre garçon avait pris sa place. Quand il posa sa main sur ma cuisse, il me tendit les clés d'un vélomoteur.
- Tu pourras le conduire quand tu voudras...
Et sa main prit le même chemin que celle du garçon noir. Un autre élève prit cette place, le jour d'après. Même cause, mêmes effets, cadeau et attouchements. Les enseignants ne se sont jamais aperçus de rien.
Le vélomoteur était rangé dans un parking souterrain. Son propriétaire m'y conduisit pour honorer sa promesse. Quand on est arrivé, les deux autres étudiants nous attendaient. Ils m'ont entraîné dans un coin sombre et ont commencé à glisser de nouveau leurs mains sous mon short.
L'un d'eux m'a dit :
- Ce serait plus simple, si tu l'enlevais !
Ils n'ont pas attendu ma réponse. Ils ont déboutonné ma ceinture et ont baissé mon short. L'un des trois s'agenouilla et prit ma pine entre ses dents, à travers le tissu de mon slip. Le deuxième était resté debout derrière lui et malaxait mes fesses. Le troisième était derrière moi, et avait sorti sa queue. Ce dernier s'agenouilla, agrippa mon slip sur mes hanches et le fit glisser à mi-cuisses.
- Putain, les gars ! Ce mec, il a un cul ! Rien qu'à le regarder, j'ai envie de me branler !
Ne décelant aucune velleité de ma part, le deuxième sortit sa queue, lui aussi, et, la tenant à pleine main, il la tendit vers ma bouche.
Ils étaient trois. J'ai cru que je n'avais pas le choix, alors je l'ai ouverte, et le gros gland s'introduit entre mes lèvres. Le garçon se mit à onduler des hanches, faisant glisser son sexe sur ma langue. J'étais encore vierge. Internet n'existait pas encore, et la pornographie n'avait pas encore droit de cité.
Les BD érotiques non plus. Je ne savais pas m'y prendre.
Le sexe du garçon glissait de plus en plus vite, et de plus en plus loin, entre mes lèvres. Bientôt, les poils de son pubis, me chatouillèrent le nez. Ses grosses couilles, s'écrasaient sur mon menton. Après quelques minutes, il posa ses mains sur ma nuque et enfonça sa queue toute entière, dans ma gorge. Ses reins étaient arqués. Je n'ai rien senti arriver. J'ai senti un soubresaut dans ses reins, et le sperme a coulé sur ma langue. Ca avait un goût salé plutôt surprenant. J'ai tout avalé. Le gars est ressorti de moi, l'air plutôt content.
Celui qui était derrière moi vint prendre sa place. Maintenant, je savais quoi faire. Je saisis la pine et lui adressais quelques coups de langue bien placés. Le gars s'adressa à ses copains :
- Putain, dit-il, ou il l'a déjà fait, ou il apprend vite !
J'ai fait glisser mes lèvres le long de sa tige. Je l'ai recrachée, et ma langue est allée titiller la couture entre elle et le gland. J'ai déposé un bisou sur la petite fente, puis ma langue l'a échauffée.
Celui qui était dans ma bouche, ést passé derrière moi. Il s'agenouilla et caressa mon cul. Je me tortillais sous ses mains. Ma queue se raidit et s'allongea. Le gars de devant, s'adressa à celui qui me caressa les fesses.
- Eh, mec ! Tâches de prolonger, il aime ça. Quand t'as posé la main sur son cul, sa pine a doublé de volume. Qu'est-ce que ça va être quand on va l'enculer !
Les caresses se sont prolonger, les mains de plus en plus fermes. Puis les mains ont écarté mes fesses, et j'ai senti le gland d'une pine se poser sur mon petit trou. Son propriétaire poussa lentement pour le faire entrer dans mon cul. Instinctivement, j'ai tendu mes fesses en arrière, afin de faciliter la plongée du membre dans mon cul. Au bout de cinq ou six aller-retours, j'ai senti le contact des cuisses de mon enculeur puis le chatouillis de ses poils dans ma raie.
Un dernier et violent coup de reins, et je sus que la bite était enfoncée toute entière dans mon cul. Le gars s'est soulagé et son sperme a coulé. Ses comparses ont fait de même. Le sperme de leur prédécesseur, leur a servi de lubrifiant. Je ne sais pas s'ils avaient prémédité leur coup, mais ils m'ont sodomisé par ordre de grosseur de bite. De la plus petite, à la plus grande. Comme pour m'habi à en prendre des grosses. Serait-ce cet épisode qui m'a rendu gay ? Je ne sais pas. Toujours est-il, qu'aujourd'hui, je ne sais pas faire l'amour en couple. Il faut toujours que j'ai une pine dans la bouche et une dans le cul, voire plus.
Il parait que j'ai beaucoup de chance. La nature m'a donné un cul qui attire les regards des hommes et des femmes, et surtout, leurs mains et leurs bites.

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