Valérie, Parisienne Et Libertine Chapitre 2
Valérie, parisienne et libertine Chapitre 2
Après cette courte séance de plaisir (nous avions chacune des rendez-vous), nous avons quand même pris le temps pour un autre café. Assises dans le canapé nous échangions de petits gestes tendres, des baisers.
Vint rapidement le moment où nous devions vaquer à nos occupations ; sur le pas de la porte je décidais de lui en dire un peu plus sur la suite.
« La prochaine fois que nous nous verrons, je commencerai, comme je te lai dit, ton « éducation » . Dici là je tindiquerai quelques règles à suivre.
-Jai bien compris. Comment dois-je tappeler ?
-Tu peux continuer à mappeler Valérie et tu peux me tutoyer
-Merci Valérie
-Pour moi je verrai comment je tappellerai
-Vous,
euh tu feras comme tu veux. Je crois que jaime lidée des mots crus. »
Cette déférence naturelle me faisait entrevoir de beaux horizons avec Justine !
« Ce soir tu mécriras un mail pour me décrire, en détails, notre rencontre.
-Oui bien sûr, je le ferai »
Un dernier baiser et Justine partit.
Ce soir-là, alors que je regardais un vieux film de Losey, ma messagerie tinta ; message de Justine.
« Valérie,
Je te remercie avant tout pour ce moment aussi inhabituel que troublant. Cest la confiance que tu mas inspirée qui ma poussée à si vite me dévoiler. Même si jen ai honte, jen suis quand même heureuse, je portais ces désirs depuis de longues années !
En venant te voir, je nimaginais quand même pas en arriver où nous en sommes arrivées mais tout a commencé à basculer quand tu as posé ta main sur mon genou pour « minviter » à écarter les jambes et tu las vu, jai capitulé au moment où tu mas ordonné décarter les cuisses.
Personne ne mavait traitée ainsi et jai ressenti une vraie excitation à subir ce qui était pour moi une humiliation indécente.
Je ne devinais pas que le pire (ne le prend pas mal mais jétais tétanisée) était à venir.
Inutile de te cacher que depuis ce matin je pensais à cette rencontre, jy ai pensé sans arrêt, tes derniers mots dhier soir laissaient peu de place à léquivoque (Hmmm cette allusion aux bijoux intimes !). Pour être crue et tu me le pardonneras car tu en as eu la preuve, cette pensée lancinante mavait fait beaucoup mouiller, dès mon réveil, et lorsque tu as porté mes doigts à tes lèvres jétais mortifiée à lidée que mon odeur te repousse (je suis obsédée par mes odeurs !).
Ensuite, pour commencer par ce qui était encore impensable pour moi, lorsque je tai vu écarter les fesses au-dessus de mon visage pour mimposer cette caresse, lécher longuement ton petit trou, jétais heureuse de te la prodiguer moi qui ne lavais jamais faite ni reçue.
Lanal a toujours été tabou pour moi et mon mari ne me la jamais demandé ; tu vois comme je suis novice ! Jen ai découvert les prémices avec toi et jai aimé, beaucoup aimé, sentir tes doigts me pénétrer ; il était temps que je méveille (sourire).
Ta toison ma surprise, mais jai tant aimé respirer et lécher ton sexe, je voulais que ça ne finisse jamais ! Voilà tu sais (presque) tout . Presque parce que tu mavais réservée une autre surprise aussi agréable que satisfaisante pour moi qui navait jamais léchée une femme ! Jai tellement aimé te sentir couler dans ma bouche !
Ce soir mon mari est absent et je garde encore ton parfum sur mes lèvres.
Jai hâte de te revoir et de débuter mon éducation de soumise.
Je tembrasse
Justine »
Jai lu et relu ce message ; contente de ma nouvelle conquête, je laissais mon esprit échafauder des scénarios, des situations pour amener ma Justine à se livrer, à sabandonner. Ses mots en disaient long ; ça nétait pas la première fois que je rencontrais une femme qui découvrait, avec moi, soudainement ces plaisirs. Jen retirais beaucoup démotion.
Cétait par contre la première fois que mon amante avait une telle différence dâge avec moi.
Javais aussi découvert son parfum intime que javais également conservé sur ma bouche ; il fallait que je dissipe ses appréhensions à ce sujet.
Au cours des jours qui suivirent, nous échangeâmes régulièrement ; comme moi elle aurait aimé que lon se voit mais il lui fallait trouver un de ces moments de liberté que sa vie de femme mariée lui autorisait rarement.
Le jeudi soir petit message :
« Je serai seule mardi et mercredi prochain
-Viens donc mardi, je suis prise mercredi
-Oh oui, simplement je voyage ce jour-là pour le boulot et mon train arrive à 20h35
-Pas grave, viens directement, je préparerai un petit diner.
-Je naurais pas le temps de me changer
-Ca nest pas grave non plus, tu nauras pas besoin de vêtements (grand sourire gourmand)
-Hmmm toujours très coquine !
-Tu naimes pas ?
-Si beaucoup
-Alors je tattends mardi soir
-Tu ne seras pas trop dure avec moi ?
-Sévère mais bienveillante et je sais bien que tu es novice
-Merci Valérie
La journée avait été torride, cétait en juillet lorsquà Paris le soleil se déchaine ; je préparai un dîner froid, salade, ceviche de dorade et, pour terminer une salade de fruits comme je les aime.
Trônait sur la table du salon les « jouets » à utiliser ce soir ; martinet, badine, brosse, pinces, poids, gode et plug pour ne citer que ceux-là et bien sûr, je loubliais, mon gode-ceinture.
Sur le lit javais posé une barre décartement. Jaimais dans une sorte de rite, étaler à lavance mes instruments et laisser mon esprit vagabonder sur leur usage.
Vierge de son petit trou comme Justine me lavait avoué, javais choisi un plug gonflable de petite taille ; il fallait quelle garde un bon souvenir de cette première fois !
Javais hésité à sortir la pompe et décidais que je la garderai pour une prochaine fois.
Si une première séance comporte son lot danxiété pour la soumise, crainte de pas être à la hauteur, celle de finalement ne pas supporter les « punitions » et humiliations infligées, cest aussi, pour la dominatrice que je suis, une épreuve.
Jaime passionnément que ma soumise partage mon plaisir, moi en infligeant, elle en subissant, cest pourquoi je mefforce de décrire ce quelle devra accepter ; en cas de refus de telle ou telle pratique je me range à son avis. Il est rare
quelle nexprime, plus tard, le désir de gouter à ce quelle avait initialement refusé.
Ainsi, je construis inlassablement mon scenario ; jen étais là de mes pensées.
Comme toujours dans ces moments qui précèdent une « première » rencontre il me fallait marcher pour bien aligner mes pensées. Décidée à braver la chaleur de laprès-midi, je partis vers les Tuileries pour y faire tourner et retourner lenchaînement des situations, caresses et sévices que je réservais à Justine.
Inutile de préciser que pendant ces heures davant, lexcitation a ses effets
humides dirais-je ! Petite tempête dans ma culotte !
Il était 19h lorsque je rentrai chez moi, très moite.
Je pris une photo de la table du salon encombrée par mes jouets, lenvoya à Justine en route vers Paris avec ces mots :
« Voici ce qui tattend et moi je tattends ! »
Elle ne répondit pas immédiatement. Quinze minutes plus tard son message disait :
« Merci Valérie. Je me prépare à tobéir. Pardon pour mon ignorance mais à quoi servent les pinces et la brosse ?
-Les pinces seront posées sur tes tétons et ta chatte, la brosse pour te « caresser »
-Cest douloureux ?
-Ca peut lêtre en effet mais tu peux renoncer
-Je ne peux pas déjà renoncer ! Jai confiance en toi
-Très bien.
-Euh, tu sais, euh, je suis déjà très mouillée à force de penser à toi
-Fais ce que je te dis
-La clim du train est en panne ! Il fait une chaleur étouffante et je suis toute transpirante
-Cest la dernière fois que je me répète !
-Bien Valérie, jy vais
-Envoie moi un message pour mindiquer que tu as suivi mes instructions
-Je le ferai
Un quart dheure plus tard message de Justine
« Valérie, jai suivi tes instructions mais je suis un peu gênée.
-Par quoi es-tu gênée ?
Silence
-Par,
par mon odeur. Je tai dit ça me dérange
-Justine, il faut te débarrasser de ce fardeau idiot ! Ton odeur de femme est la tienne et je laime !
-Cest vrai ce que tu me dis ?
-Je suis très sincère ; et la mienne ?
-Oh oui tellement.
-Jai hâte de tembrasser
-Hmmm moi aussi ; jarrive bientôt
-Je tattends
pas sagement
-Tu me fais rire
Justine vêtue dun tailleur très sage arriva à 21h. Long baiser, très long baiser nos corps collés, elle les bras autour de ma taille en attente, moi débutant des caresses ; ma main passée dans sa culotte sur ses fesses, je les écartais de 2 doigts pour en promener un troisième le long de son sillon très humide. Je caressai doucement son petit trou qui souvrit légèrement sous la pression de mon doigt. Justine détacha ses lèvres des miennes pour poser sa tête sur mon épaule. Je lentendais doucement soupirer.
« Maintenant tu vas te déshabiller et ne garder que ta culotte »
Sans un mot elle se dirigea vers lendroit désigné et retira ses vêtements le regard baissé. Elle portait une jolie culotte blanche en dentelle qui, collée à ses lèvres, les dessinait. Je lui fis baisser la tête, relever ses cheveux et posait autour de son cou un collier de cuir que je refermais sans le serrer ; une laisse le prolongeait.
« Mets toi à 4 pattes et suis moi »
Je lamenais ainsi au milieu du salon et la fis se relever.
Assise dans le canapé, je la contemplais elle debout, mains sur la tête. Badine à la main, je la promenais sur ses seins, jouait avec ses tétons jusquà ce que je les voir durcir. Passage à lintérieur des cuisses quelle avait ouvertes dun simple coup de badine, je donnais quelques tapotements sur son entre-jambes encore couvert.
« Enlève ta culotte, agenouille toi et donne-la moi »
Mon visage à la hauteur de son pubis, le mince filet de cyprine qui collait à sa culotte lorsquelle la retira ne méchappa pas ! Elle me tendit le léger morceau de dentelle que je saisis par le gousset ; je constatais ce que je savais déjà. Venait le temps de lhumiliation.
« Tu nas pas honte de te présenter avec une culotte aussi humide ? »
Pas de réponse. Japprochais le gousset de son visage.
« Justine, je técoute.
-Cest toi qui mas demandé de me caresser !
-Ne mens pas ; il faut plus que ça pour que ta culotte soit ainsi.
-Pardon, jai pensé toute la journée à notre rencontre
-Cest déjà mieux ! Tu as pris une culotte de rechange ?
-
Nnnon pourquoi ? Jaurais dû, je ne savais pas !
-Tu ne vas pas repartir chez toi comme ça. Tu vas la nettoyer »
Je plaçais le gousset sur sa bouche .
« Vas-y nettoie ta culotte »
Justine sortit timidement la langue quelle promena de haut en bas.
« Sers-toi de tes lèvres, allez »
Elle tendit ses lèvres pour happer le tissu, le lécha, il fallait que je lencourage ; je pris doucement son visage dans mes mains.
« Allez ma petite chienne, fais-le pour moi, toute cette mouille elle a coulé pour ta maitresse
-Oui juste pour toi
Je vis alors Justine sappliquer, sucer voracement sa culotte jusquà ce que je la retire de sa bouche pour lembrasser.
Elle me rendit ce baiser sans retenue.
« Viens maintenant me déshabiller »
Je me levais. Elle retira mon T-shirt (je navais pas mis de soutien-gorge) dégrafa ma jupe qui glissa ; javais mis pour elle une culotte noire en latex fermée par un zip qui courait du pubis jusquà la ceinture au-dessus de mes fesses.
Je fis glisser le zip, la matière élastique de ma culotte souvrit laissant apparaitre ma toison (je lavais taillée et je métais épilée les lèvres) devant son visage. Je le plaquais sans violence contre moi.
« Tu aimes ma chatte ?
-Oh oui Valérie, jen ai tellement envie »
Je massis, posai mes jambes sur ses épaules, relevai son visage et écartai mes lèvres.
« Là elle te plait ? Contemple-la, je te la donnerai plus tard
-Je ne peux pas la toucher, la lécher ?
-Non pas encore
-Je peux la sentir ?
-Oui tu peux la sentir
Elle sapprocha et je pouvais sentir son souffle chaud sur mon sexe ; jaimais ces moments de frustration qui faisaient monter lexcitation et la mettrait à ma merci.
« Je vais te préparer le cul ; mets-toi à 4 pattes sur le canapé »
Javais posé un coussin sur le dossier pour quelle y repose sa tête ; elle avait de belles fesses, rondes, un peu fortes comme je les aime. Je lui demandai de les ouvrir ; elle exécuta cet ordre impudique sans discussion. Je passai mes doigts pour constater quelle était toujours humide et jenfonçai un puis deux doigts, le deuxième avec difficulté.
Je les ressortis pour les plonger dans sa bouche
« Lèche bien ma petite chienne, donne-moi ta salive, bave sur mes doigts pour que je te dilate »
Justine sappliquait et je ressortis mes doigts enduits de sa salive pour reprendre la pénétration. Son cul commençait à venir au-devant de mon geste et je sentis le conduit étroit se relâcher lentement. Je saisis alors le plug gonflable qui sintroduisit sans difficultés.
« Je vais maintenant te dilater doucement. Tu sais pourquoi ?
-Oui Valérie je sais souffla-t-elle
-Alors dis-le
-Tu
tu vas menculer
-Cest ça je vais tenculer par ce que ton cul et ta chatte sont à moi
-Oui , ils sont à v.. à toi . Fais ce que tu veux
Je pompai doucement et je pouvais voir son cul souvrir sous leffet du gonflage. Je retirai le tuyau et la poire, la fis se lever.
Je descendis la main vers son sexe, elle écarta naturellement les jambes et je fus transportée lorsque mes doigts atteignirent sa vulve. Mes caresses saccompagnaient de ce doux bruit de succion, la chatte de Justine coulait abondamment ; je collais mes lèvres aux siennes et fis pénétrer mes doigts dans nos bouches. Elle les lécha avidement. Je les portai ensuite dans ma vulve pour les lui offrir à lécher. Que ce baiser était bon !
Détachant mes lèvres, je lui murmurais
« Tu sais que je vais te maltraiter maintenant »
Elle ne répondit pas mais à mon ordre se mit à quatre pattes. Je lentrainai, laisse dans une main, badine dans lautre vers la console qui se trouvait derrière le canapé. Je saisis ses seins lun après lautre que je posais sur le plateau de ce meuble ; une fois posées les pinces sur chacun de ses tétons, je commençais par jouer du bout de ma badine avec les pinces les faisant monter et descendre, les poussant pour enfin labattre sur ses globes. Elle sursauta aux premiers coups sans rien dire. Mes coups étaient fermes mais sans violence et je décidais que dix coups sur chaque sein seraient suffisants pour une première fois.
Lorsque je magenouillais à ses côtés en caressant ses seins légèrement zébrés de rouge je lui dis :
« Cest très bien pour une première fois
-Je veux plus Valérie
-Pas aujourdhui, pas encore, dautres épreuves tattendent.
-Je sais Valérie, je suis prête
Tant de bonne volonté méritait dêtre récompensée. Je retirai avec douceur les pinces et léchai ses tétons endoloris. Je la fis sallonger, posai ma chatte sur sa bouche pour la frotter ; je sentis ses lèvres souvrir et se fermer sous mes va-et-vient et à mon tour je plaquais ma bouche sur son intimité. Je relevai ses cuisses pour la lécher, sa cyprine menivrait. Au bord de jouir je cessai mes caresses, relevai le buste et posai mes fesses sur sa bouche dans une demande sans équivoque. Delle-même elle mouvrit pour prodiguer cette caresse intime si nouvelle pour elle. Je saisis le plug qui la pénétrait pour le faire aller et venir. Justine encore vierge il y avait peu lançait son bassin au-devant de mon geste, son petit trou maintenant dilaté absorbait le plug ; elle commença à gémir, je collais ma chatte sur sa bouche et, sans cesser de branler son cul, je la léchai moi aussi sans retenue. Notre premier orgasme fut bruyant, puissant et synchrone ! Je mabatis sur elle.
Nous restâmes ainsi un long moment.
Je brisai ce moment, massis sur son ventre et posai une première paire de pinces sur les lèvres de son sexe puis une deuxième ; Chaque paire reliée par une chainette, je les saisis et débutais son apprentissage des étirements. Doucement au début, jaccentuais au fur et à mesure la force de mes gestes, tirant les pinces vers le haut, vers le bas, les écartant. Justine, sans crier, gardais ses cuisses écartées comme pour maider. Je laimais ainsi, offerte à mes envies, se laissant aller à subir cette épreuve que je savais douloureuse pour lavoir vécue.
« Cest le début de mon travail de ta chatte et je vois que tu aimes ça petite chienne. Cest un bon début !
-Ma chatte tappartient, tu peux en faire ce que tu veux
-Alors lève toi
Debout, elle se tenait devant moi. Jaccrochai alors des poids sur chacune de chaînettes, les fis se balancer ; Justine se mordait les lèvres. Je fis durer ce manège que je corsais en rajoutant des poids et, laisse en main je la promenai dans le salon ; les poids venaient frapper ses cuisses freinant leur ballotement naturel. Je lobligeai alors à marcher cuisses écartées. Libres de se balancer, jobservais sa démarche obscène et maladroite. Après de longues minutes je mis fin à lépreuve, retirai pinces et poids et lui massai ses lèvres meurtries. Le constat que son excitation ne lavait pas quittée me rassura et me donna cette satisfaction du plaisir partagé.
« Remets-toi à quatre pattes et lève bien tes fesses »
Dans cette belle position, je commençais par introduire un gode dans sa chatte ; de belle taille, elle lengloutit sans difficulté et par un jeu de liens qui entoura ses cuisses, je le maintins enfoncé.
Mon gode-ceinture à la main, je lobligeai dabord à le fixer puis à le lubrifier avec sa salive, une fois enduit et luisant, je mapprochai de son cul offert, retirai le plug ; son petit trou bien ouvert accueillit mon appendice qui se fraya un chemin.
« Te voilà remplie, cest bon nest-ce pas ?
-Oui cest tellement bon, je tattends
Son bassin ondulait, le gode bien en main, je la branlais tandis que jallais et venais à un rythme doux entre ses reins. Ses ondulations saccélérèrent à devenir amples et puissantes, je labourais son cul ; je ralentis tous mes mouvements pour ensuite les arrêter, la laisser reprendre son souffle, son souffle qui murmura
« Vas-y Valérie, défonces moi fort encore, plus fort »
Je posai un doigt sur son clito et repris mes pénétrations pour la sentir se déchaîner, jeter son bassin au-devant de moi jusquà lentendre dune voix étouffée répéter « Je vais jouir, oui je vais jouir, je vais jouir
»
La main couverte de sa mouille jaccélérai mes mouvements lorsque dans un long cri elle eut un orgasme qui nen finissait pas.
A suivre
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