Quatuor 2- Marion À La Maison


PREAMBULE

Le premier chapitre a été écrit à la demande de Caro. Elle souhaitait faire une surprise à Fred, son chéri et amour de mari, lecteur d'HDS. Pour cela, elle recherchait une petite souris complice, comme moi, capable de l’aider à écrire une histoire à quatre mains. Je suis toujours en recherche d’émotions et suis ravie de me mettre au service du plaisir de leur couple. Je dois avouer que j’adore aider ces amoureux à pimenter leur sexualité. Caro était fébrile d’excitation à vivre ce moment d’écriture et je comprends pourquoi.

Fred a découvert le premier volet de cette histoire sur le site vendredi, ce qui tombait bien car le couple était seul sans les trois s ce week-end-là, pris en charge par les parents de Caro. Le couple avait prévu de faire un bon coup de propre chez eux et ne voulaient pas avoir les gamins dans les pattes.

Échauffé par la découverte de cette histoire surprise, Fred a titillé Caro par sms jusqu’au soir. Une fois qu’il est rentré, ils se sont jetés l’un sur l’autre, embrassés fougueusement, Caro fière de sentir la queue bien dure sous les jeans de son amour.

Elle lui avait fait couler un bain et fit sa timide en ne voulant pas l’accompagner. Mais elle n'eut pas eu longtemps le choix, car il s’empressa de la déshabiller. Ils étaient clairement envoûtés par le texte publié, et leurs esprits ne se concentrait sur rien d’autre que leur plaisir du moment et leurs sens.

Caro essaya de calmer le feu en Fred en mettant de la musique douce sur mon smartphone tout en tirant le store de la salle de bain pour tamiser l’ambiance. Elle fit semblant de raconter sa journée, mais il leur était impossible de ne pas continuer à se brûler d’envie dans les yeux l’un de l’autre.

Fred la savonna intégralement, avec la fleur de douche, Caro étant tantôt debout devant lui, une jambe levée sur le rebord, tantôt à genoux entre ses cuisses. La baignoire d’angle permettait justement de ne pas trop se contorsionner.

Fred s’était souvent et longuement attardé sur les parties sensibles de l’anatomie de sa chérie. Caro adora qu’il lui “griffe” gentiment les seins atténués par la douceur d’un gel douche. Ses tétons en feu étaient restés érigés pendant toute la séance. Caro avait l’entrejambe particulièrement sensible et lorsqu’il s’approchait dangereusement de ses parties les plus intimes, elle frissonnait de désir, en attendant que cela !!

Fred pénétra Caro de ses doigts, tandis qu’elle lui caressait le plus lentement possible son sexe extrêmement bandé pour l’occasion. Entre deux baisers longs, appuyés et passionnés, ils essayèrent de reprendre leurs esprits. A son tour, Caro fit mettre son chéri debout, mais le savonnage ne dura pas longtemps. A genoux face à lui, elle lui prodigua une belle fellation d'anthologie, dont elle espérait qu'il se souvienne longtemps.

Il voulait ensuite l’emmener dans la chambre, mais Caro avait envie de lui, là, dans le bain, directement ! Elle s’était placée sur lui, à califourchon, se positionnant la queue mâle bien en place dans son ventre. En assez peu de temps Fred l’avait déjà faite jouir. Caro était montée très vite dans les tours, ne sachant pas comment son amour pouvait rester serein.

Il se sont rincés, tant bien que mal, Fred séchant amoureusement le corps de naïade de son amoureuse, avant de la prendre dans une levrette déchaînée sur le lit. Caro avait les cuisses en feu et pour la première fois de sa vie sentit son liquide intime qui abondait aussi bien dedans (normal !), qu’en dehors, et tout le long du haut de ses cuisses… c’était tonitruant.

Fred y est allé de son orgasme bien expressif, beuglant dans le creux de son cou, en lui tirant les hanches et en embrassant sa peau.

Les deux tourtereaux se sont affalés sur le lit, épuisés par les orgasmes et la force de ces moments uniques partagés dans le secret de leur couple. Le long week-end ou ils étaient seul tous les deux ne faisait que commencer.



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RESUME EPISODE PRECEDENT

Le sentiment de devoir accompli, vous comprendrez que je ne pouvais résister au plaisir d’écrire avec Caro une suite à cette histoire qui a tant inspiré leur joli petit couple romantique.

Le premier volet de l’histoire expliquait comment Fred et Caro avaient découvert que leur baby-sitter Elodie (moi) avait une copine (Marion) et comment cette étudiante asexuée s’était soudain dévoilée en femme lesbienne. Caro proposa à Elodie d’inviter sa copine à la rejoindre chez eux pour sa nuit de baby-sitting. Une fois Caro et Fred rentré tard dans la nuit, ils font l’amour en sachant que la petite cloison entre leur chambre et celle des deux filles leur permet de suivre leurs ébats. Caro fantasme régulièrement depuis un certain temps de voir son homme dans les bras d’autres femmes.

Nous poursuivons donc cette petite arnaque sensuelle où le jeu à toute sa place, pour la dévoiler aux voyeurs que vous êtes. Bonne lecture et faites-vous plaisir.


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Il était neuf heures du matin quand Caro et Fred traversèrent le salon jonché des livres de cours de leurs gamins. Les devoirs à domicile avaient commencé tôt. Ils arrivèrent en cuisine tout habillés, en se tenant la main. Marion et Elodie prenaient le petit déjeuner vêtues de leur grand tee-shirt de la veille. En voyant ses parents, le petit lâcha immédiatement l’information devant ses frères médusés.

- Maman, Elodie s’est laissé embrasser par sa copine sur la bouche

Les deux autres Loulous pouffèrent de rire et les corn flex qu’ils mangeaient partirent un peu dans tous les sens. Le petit ne savait pas trop bien pourquoi cette vérité qu’il avait énoncé avait généré l’éclat de rire de ses frangins. Mais le vol des céréales le fit bien rire.

Elodie toute rouge et super gênée avait la tête plongée dans son bol de lait tandis que Marion rigolait de cette spontanéité adorable.
Caro embrassa la tête du petit :

- Mais tout le monde a droit à un amoureux ou une amoureuse.

- Tu as une amoureuse toi aussi Maman ? Le regard de Caro glissa naturellement vers Elodie qui perçut cela et se bloqua

- Maman est amoureuse de Papa tout simplement. Fred avait pris le relais et changea de sujet.

- Et Papa à une faim de loup.

Cela fit sourire Marion qui pensa à l’énergie que ce mec avait dépensé la veille. Il devait avoir faim en effet après ce qu’il avait mis à son épouse hier soir. Marion ressentait à la fois de la jalousie et de l’envie. D’autant plus qu'Elodie avait refusé de faire l’amour sous le toit de cette maison hier soir et ce matin. Alors par petite vengeance personnelle, son sourire envers Fred se fit plus sexy.

Les garçons devaient être au foot pour dix heures et c’est Fred qui gérait cette activité entre mecs. La tribu des hommes partie, Caro se retrouva seule avec les filles.

- Ils sont adorables vos s, lâcha Marion

- Merci c’est gentil, mais parfois ils me sortent par les yeux.

- Votre mari n’est pas mal non plus. Marion caressait un cadre de photo où on voyait le couple le jour de leur mariage. Caro déglutit en voyant cela, imaginant une femme comme Marion se faire prendre par son chéri, ce fantasme qui l’accompagnait depuis si longtemps et qui n’arrêtait pas de grandir.

- C’est un amour il s’occupe très bien des s… Caro se surpris à faire la promotion de son mari à Marion

- Il s’occupe bien de vous aussi... Marion n’avait pas pu s'empêcher de sortir cela et Elodie la fusilla du regard.

- C’est mon mec quoi. Normal. Caro marquait son territoire mais fondait de fierté en comprenant que Marion n’était pas insensible aux charmes et aux performances de son mari.

- On va y aller nous, poursuivi Elodie pour mettre un terme à cet échange

Les filles finirent de ranger la cuisine et le salon, Marion n’hésitant pas à se pencher plus que de raison pour ramasser le reste des corn Flex au sol et charger le lave-vaisselle, dévoilant sans gêne sa culotte blanche sous son tee-shirt ample

- On se douche et on y va.


- OK, moi je vous laisse, je fonce chercher le pain, je reviens dans un quart d’heure, vingt minutes.
Caro prit les clés de la voiture, sortie par la baie vitrée de la cuisine et disparut. Marion en profita pour aller embrasser sa chérie et rigoler de cet épisode où le gamin les avait trahies.
Caro n’avait en fait été qu’au congélateur du garage récupérer deux baguettes, ayant sentie une tension sexuelle dans l’air entre les deux filles. Elle leur laissa quelques minutes et quand elles eurent disparu de la cuisine, Caro revint par la baie vitrée dans la maison, sans faire de bruit. Elle s’assit dans le canapé car Fred avait disposé un miroir qui permettait de voir qui se trouvait dans le couloir. Quand ils se faisaient des bisous lovés dans le canapé, cela leur permettait de voir si les s arrivaient. Comme la salle de bain était au fond du couloir, si la porte restait ouverte et la lumière allumée, on pouvait voir pas mal de choses.
Caro activa la caméra de son portable, fit un zoom sur le miroir et ne put s'empêcher de filmer ce qu’elle voyait afin de le partager peut-être plus tard avec Fred.
Marion était nue, de dos, enlacée dans les bras d’Elodie, qui lui donnait un tendre baiser. Caro contemplait la chute de rein de la jeune adulte, ses fesses magnifiquement dessinées, prolongeant des cuisses qui semblaient tout aussi douces… Les mains d’Elodie descendirent dans le dos de sa chérie pendant son bisou. Elle avait les yeux clos pour profiter de cet instant.
Caro ressentait le trouble de voir ces deux femmes s’embrasser sans retenue, et de découvrir partiellement le corps de Marion, cette bombe, disons-le !
Elle repensa à la fin de soirée d’hier, au fait que Fred s’était montré très en forme, très enclin à rentrer dans ses délires, ses provocations… Le début de matinée fut rapide pour lui et il n’avait pu s’attarder auprès des deux invitées. Caro, curieuse, envieuse, tendait l’oreille pour essayer d’entendre les filles.
Elodie était nue dans la baignoire et Caro ne pût apercevoir que le haut de son corps. Elle n’avait pas entrepris de se laver les cheveux, trop long à sécher, à lisser, trop de boulot ce matin. Elodie prendrait le temps dans la journée de reprendre ses habitudes une fois rentrée chez elle. De fait, elle avait retenu avec une pince ses cheveux sur le sommet de sa tête. Caro apprécia de voir le cou fin et soyeux de sa baby-sitter. Assise dans la baignoire, le cou et les épaules enduites de mousse, Elodie semblait jouer avec la pomme de douchette sur le bas de son corps… Caro s’attarda sur la petite poitrine d’Elodie qu’elle voyait pour la première fois. Son trouble s’accentua encore et des petits fourmillements familiers se firent ressentir dans tout le corps de la jeune quadra !
De son côté, Marion était dans la cabine de douche, moderne, spacieuse. Un pied levé sur un tabouret, le corps complet luisant d’eau et de gel douche, debout face à sa chérie, séparée par une paroi de verre parfaitement transparente. Elle aussi avait la pomme de douche dans la main et le jet assez puissant, clairement dirigé vers son intimité. Il parût à Caro que les deux nénettes s’envoyaient des regards coquins, complices et emplis de tensions érotiques. Aucun doute pour Caro qui était aux anges de découvrir cela : les deux chéries étaient en train de s’adonner à la masturbation l’une en face de l’autre, bien aidées par les jets d’eau et par leurs doigts…
Autant la veille Caro et Fred s’étaient donnés délibérément en concert, partageant la mélodie de leurs ébats, autant ce matin, le couple de filles se donnait en spectacle intime… mais tout ça était-il bien involontaire ? Caro n’en doutait pas, l’une des deux avait sciemment laissé entrouverte cette porte de salle de bains dans le but, sans ambiguïté, d’être clairement observées. Caro pensa à Fred qui loupait cette séance particulière. Elle se ferait un plaisir de lui montrer la vidéo et de lui commenter. A son tour de dispenser des histoires érogènes pour exciter son mec !!

Le fait est que Marion se fit jouir en premier, emportant dans son élan Elodie qui à son tour exprima son orgasme. Caro, qui ne se masturbe jamais, probablement sous le poids de son éducation, se sentit toutefois très mouillée et chatouilleuse. Pour la première fois de sa vie, elle n’aurait pas dit non à se caresser vraiment, sans pudeur. A plus de quarante ans, tout lui était désormais permis.

Elle avait une grande envie de se retrouver avec les filles. Elle fit claquer la baie vitrée, comme si elle rentrait de la boulangerie. Elle posa bruyamment les clés de voiture sur la table de la cuisine et rangea des chaises pour manifester sa présence dans la maison. Puis elle fit sa surprise en voyant la salle de bain allumée et c’est donc tranquillement qu’elle se dirigea vers les filles. Elle fit comme si leur nudité ne l'impressionnait absolument pas, pourtant elle sentait que sa voix n’était pas naturelle :

- Tout va bien les filles ?

Caro se planta devant le miroir et commença à se maquiller, évitant de les regarder. C’est bien sûr Marion qui répondit tout en sortant de la douche, toute dégoulinante :

- Super oui, merci, elle est super votre douche. Elodie préfère un bain car elle n’en a pas chez elle

- Si vous voulez, tant que vous avez les pores ouverts, j’ai des masques à vous offrir.

- Oh super idée de se faire un atelier fille. Marion ne cachait pas sa nudité alors qu’Elodie s’était mise en boule dans la baignoire en mode fœtus, cachant ses petits seins adorables. Provoquante et toujours sans serviette sous la main, Marion se planta à côté de Caro, lui offrant une vue sur son corps via le miroir où elle se maquillait.

- Vous êtes super complice avec Fred, cela fait plaisir de voir un couple fusionnel. Marion était à dix centimètres de Caro. Elle attrapa un rouge à lèvres pour regarder la marque.

- Oui mon mec est super. Caro ne pouvait cacher ce qui faisait sa fierté, mais essaya de ne rien laisser paraître de son trouble. Cette Marion lui tournait autour en mode féline.

Marion resta face au miroir aux côtés de Caro et sans demander utilisa le rouge à lèvre pour se le mettre en mode sexy, en regardant fixement le regard bleu de Caro. Si elle ne se gênait pas pour lui emprunter son rouge à lèvre, se gênerait- elle pour lui emprunter son mec ?

Profitant de cet échange silencieux particulièrement brûlant entre Caro et Marion, Elodie sortit du bain en attrapant rapidement sa grande serviette. De dos, elle se la passa sous les aisselles pour cacher la majorité de son corps, dans des gestes rapides et hyper pudique.

Après deux ans avec Marion et tout ce qu’elle lui avait fait vivre et découvrir, Elodie savait que sa chérie était très libre, ouverte mentalement et sexuellement. A voir la façon dont Marion s’était placée nue aux côtés de son hôte Caroline, Elodie se demanda si elle n’allait pas la retourner face à elle afin de l’embrasser sans vergogne. Elle en était bien capable. Elodie voyait déjà Marion se faire peloter les seins qu’elle avait bien ferme et rond par la mère de famille. Elodie savait que Marion visait Fred et qu’elle allait utiliser Caro pour l’amener à elle.

Marion se sentait tout autant attiré par Caro, cette femme d’expérience, pulpeuse, plus à l’aise qu’Elodie, que par Fred, le père de famille, qui semblait stable, puissant, dynamique et endurant ! Son esprit de bisexuelle n’était pas un secret pour sa chérie Elodie, alors elle n’allait pas masquer ses envies envers ce couple !

C’est Elodie qui la freina, comme d’habitude, entourant ses épaules dans un drap de bain comme pour la retenir. Elodie faisait cela dans son style, avec une grande douceur, l’épongeant comme elle savait le faire. Cela tira Marion de ses rêveries et l'empêcha surtout de poursuivre ses regards de braise sur Caro et de s’approcher encore un peu plus d’elle.

Caro, elle, se sentait plus "attirée" par la douceur, la fragilité de sa baby-sitter que par le sans gêne de Marion. Elle percevait en Marion, un appétit, oui une forme de voracité, tel un vautour tournant au-dessus d’une proie.
Pour Caro, les 4-5 secondes qu’avait duré la sortie et l’exposition d’Elodie à son regard attentif dans le miroir les avaient mises toutes les deux dans un état de trouble certain.

- Nous devons rentrer Caro, j’ai des évaluations bientôt et Marion a du travail aussi.

Elodie savait que si elle n'interrompait pas ce qui se passait cela risquait de partir en vrille pour de bon.

- Pourquoi pas jeudi ou vendredi, si vous voulez qu’on passe un moment toutes les trois pour un atelier soins, beauté ?

L’objectif d’Elodie était de casser ce cercle infernal d’émotions qui débordaient. Tout le monde se mit d’accord sur Vendredi et Elodie se sentit soulagée d’avoir gagné un peu de temps.


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Caro titilla Fred toute l’après-midi avec cette vidéo :

- Mon chéri, j’ai capté les filles dans la salle de bains ce matin, cela a dépassé mes espérances… Attends que je te montre, ou alors tu préfères que je te raconte, sans voir ?

- Arrête chérie, tu ne les as pas espionnés pendant leur toilette quand même ? Fred était étonné par sa chérie, elle qui a un côté prude. Je te trouve très coquine depuis quelque temps …

- Ben quoi, elles avaient laissé la porte de la salle de bain grande ouverte, j’ai vu pas mal de truc depuis le miroir du salon, et crois moi, ce sont deux belles coquines !

Fred était excité par le teaser que venait de lui faire sa femme. Il se monta tout seul le film dans sa tête. Caro lui annonça qu’elle avait envie de se faire démonter dans le salon, sur le grand canapé familial comme lors de leurs premiers ébats dans cette maison. Elle se sentait redevenir ado, espiègle, joueuse mais avec toute la force de son expérience.

Caro attendit le soir que les s furent couchés et endormis pour montrer à Fred la vidéo des filles dans la salle de bains. Il était bien 23h00 quand ils s’installèrent au salon.
Caro pouvait projeter la vidéo de son téléphone vers le grand téléviseur. Fred était extrêmement impatient et voulait sans attendre découvrir ce que sa femme avait capté !

- Mais attends un peu mon amoureux, tu ne préfères pas que je te raconte un peu avant, comment j’en suis arrivé là ?

- Allez si tu veux, déshabille-moi pendant ce temps-là !

Caro baissait la voix volontairement, elle se savait plus suave, féline ainsi et cela plaisait à Fred. Il quitta d’ailleurs lui-même son tee-shirt, pendant qu’elle avait mis au jour son sexe déjà bandé. Nu, Fred voulait se placer face à la télé, mais Caro ne voulait pas qu’il matte directement les copines. Elle se frotta contre lui, en enlevant aussi ses vêtements. Elle ne portait qu’un shorty et un tee-shirt, comme tenue de nuit, et elle fut rapidement dans le même état d’excitation que son mec.
Elle lui raconta son petit stratagème pour rester dans la maison, en douce. Et elle le remercia encore pour le miroir qui donnait vers la salle de bains.

Elle avait Fred à s’allonger sur le dos, la tête vers la télé, afin qu’il ne puisse pas la voir. Elle était extrêmement lubrifiée et se plaça sur son homme dans un gémissement de satisfaction. Ayant enclenché la vidéo depuis son portable, c’est elle qui la voyait et elle semblait la revivre intensément, comme ce matin.
Fred se sentait frustré dans cette position, mais tous ses sens en éveil, il profitait du son, enfin du bruit de l’eau dans la vidéo. Cela était assez désagréable à ses oreilles !

En fait, c’est Caro qui faisait la bande son, elle décrivait tout ce que les filles avaient fait ce matin dans la salle de bains. Elle sentait son sexe s’humidifier encore davantage en expliquant cela à Fred, et elle percevait l’extrême raideur de son mari en elle. Elle lui susurra les détails des images qui défilaient à l’écran. Fred lui avait pris les hanches et elle se dandinait assez lentement sur lui, au début, voulant contrôler les débats !

Entre eux, cela coulait de source. Cela coulissait même très bien et Fred savait entrer et sortir de l’antre humide de sa chérie, pour mieux s’y replonger dans la seconde d’après.

Caro expliquait en détail les corps des filles et leurs gestes érotiques, et la façon dont elles s’étaient faites jouir avec les jets d’eau. Caro exprima son trouble de les avoir vu et Fred la supplia pour enfin voir ce qu’il en était ! Mais le couple soudé resta dans cette position.

Caro devait faire un effort dingue pour ne pas se laisser submerger par le plaisir. Toute désireuse et excitée depuis ce matin et la découverte de la jouissance de deux lesbiennes.

Fred savait qu’elle ne tarderait pas et tant pis, il voulait lui faire plaisir. Il aurait surement le droit de regarder la vidéo à un autre moment.
Il savait comment “baiser” sa femme pour la faire défaillir. Il imprimait le rythme avec son bassin et ses coups en elle. Il savait l’effet que lui faisait ses larges mains sur ses fesses. Il avait pris fermement ses deux globes dans ses mains et il serait. Cela l’aidait à mieux la faire swinguer sur sa queue !
Caro voulait qu’il rapproche encore ces mains de son entre fesses, et elle mourait d’envie de sentir un de ses doigts la titiller de ce côté. Fred n’avait jamais pu, enfin, n’avait jamais été autorisé à y mettre le doigt, mais ce soir, plus il s’approchait, tout en la besognant, moins il sentait de retenue de la part de sa chérie. Alors de son majeur droit, bien dressé entre ses autres doigts pliés, il s’aventura sur le petit trou de sa femme. De son autre main, il lui écartait un peu les fesses. Caro se sentit partir, elle voulait ça, dans son for intérieur. Son désir fut décuplé en revivant l’orgasme d’Elodie au travers de l’écran. Celui de Caro ne l'intéressait qu’à peine !
Elle sentit bien le majeur de son époux dans son œillet et elle se jeta en arrière pour mieux l'accueillir et le faire progresser. Fred ne tiendrait pas plus longtemps, cela montait en eux de toutes parts et les vagues de plaisir les firent succomber quasiment en même temps dans des gémissements étouffés mais véritablement profonds et d’une grande intensité charnelle entre les époux, toujours plus amoureux que jamais.

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