La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°734)

Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode précédent N°733) - Un tête à tête sulfureux avec le Maître -

Je me retrouve maintenant dans la chambre du Maître. Nous venons de quitter discrètement la soirée, sous prétexte que demain matin, nous partirons tôt, Lui et moi à Genève, mais je n’en connais pas la raison… d’ailleurs en tant qu’esclave MDE, je n’ai pas à la connaitre, mais juste à suivre le Maître et à Lui obéir totalement.

- J’ai à faire là-bas ! m’informe Monsieur le Marquis, sans plus de détail.

Suivant l’ordre reçu, je fais couler un bain et ajoute une vingtaine de gouttes d’huiles essentielles pures, un mélange de lavande, de menthe poivrée, d’épinette noire et d’eucalyptus citronné.

- Reste ici, tu vas me laver et prendre soin de Mon Noble Corps.

Le Maître s’installe dans cette eau à bonne température, moi j’attends près de Lui, debout, bras croisés dans le dos, tête basse. Lui se prélasse tranquillement en s’allongeant de tout son long, parfois même en s’immergeant totalement.

- Tu as été un bon chien ! me dit-il en reprenant sa respiration et en s’essuyant les yeux.
- Merci Maître
- Tu as su bien donner tes trous de lopes, et Je suis sûr que tu y as pris du plaisir !
- Oui Maître, mais si vous me le permettez Maître, mon plaisir n’est que secondaire, je suis plutôt fait pour en donner à ceux qui m’utilisent.
- Tu as raison Mon Chien, tu dois te consacrer à Moi et à ceux à qui Je te donne, telle une bonne catin que tu es.
- Oui Maître
- Tiens approche, prends ce gant de toilette et viens me savonner un peu.

Le Noble se redresse et s’assied, avec une infinie délicatesse, je frotte ses épaules, son dos, ses bras et sa poitrine, et lorsque j’en ai terminé, Monsieur le Marquis se lève afin que je puisse poursuivre sa toilette. Sa Noble queue est tendue, raide et pointe vers le ciel.

Je ne fais cas de rien et poursuis la tâche qui m’est confiée en évitant consciencieusement de toucher cette divine virilité.

- Qu’attends-tu Mon chien pour laver mon membre ?

Je redouble d’attention et de soin, avec une infinie douceur, je m’emploie à laver ce sexe de plus en plus tendu. Je le sens frémir sous mes doigts… Je le décalotte, le savonne, puis je m’intéresse aux testicules, à la marge anale, aux fesses de Monsieur le Marquis. Lorsque Celui-ci estime que mon travail est suffisant, Il se rassoit et exige de prendre la douchette pour le rincer et lui laver les cheveux. Toujours dans l’eau du bain, le Maître me tend une de ses mains. Je m’empresse à poser un délicat baiser sur celle-ci, un baiser de Dévotion, mes lèvres effleurant juste ces doigts.

- Tu vas me manucurer un peu et me couper les ongles des mains et pieds.

Je considère ce temps comme un grand moment de total dévouement, un véritable privilège de me trouver en tête à tête, près de Celui qui me dresse, m’éduque et me permet de m’épanouir dans cette relation inégalitaire tant souhaitée. J’en bande ! Ma queue vient de se redresser subitement tant les ressentis sont extraordinaires, merveilleux, sublimes.

- Je vais te faire un autre privilège ce soir, Mon chien, et te laissant prendre un bain dans ses eaux et dans mes miasmes, alors que je vais me laver les dents et me raser un peu …
.
Le Maître sourit malicieusement, sans plus attendre je plonge dans la baignoire, je me lave soigneusement et scrupuleusement, puis rejoint le Maître assis sur son lit.

- Viens ici, à genoux devant moi…

J’approche rapidement, m’installe entre ses jambes entrouvertes.

- Tu connais le dicton, une petite pipe et au lit !

Le Maître est d’humeur joyeuse ce soir, il me tend sa verge toujours tendue, je l’avale d’un trait et la pompe avec gourmandise. Lui me fait des compliments.

- Tu pompes divinement bien Ma pute… un savoir-faire exceptionnel ! L’éducation que je te donne porte ses fruits.
Je comprends que ceux à qui je te prête me font tant d’éloges de ta bouche et de ta langue…

Ces mots m’enflamment littéralement, tous mes sens se sont réveiller, une terrible envie de me branler m’assaille… je suis comme fou ! Une érection hors norme à ma nouille !

- Suce-moi Ma pute, avale-moi, donne-moi du plaisir, je souhaite te récompenser de mon jus !

Monsieur le Marquis s’est allongé sur le lit en s’étirant de plaisir. J’avale, j’aspire, j’engloutis, je gobe et dévore ce Noble sexe sans relâche, tel un forcené jusqu’au moment où le Maître me bloque la tête avec ses deux mains. Sa queue logée profondément en moi se fige un instant puis laisse échapper en jets drus et successifs ce nectar intime épais et abondant que je déguste avec délectation comme s’il était symbole de puissance et d’immortalité.

- C’est bien Mon chien, tu as su œuvrer correctement. Il est temps de nous reposer, une longue journée nous attend demain. Tu vas dormir ici, aux pieds du lit avec cette seule couverture.

J’ai bien du mal à m’endormir tant l’envie de jouir me taraude, j’empoigne les pieds du lit de mes deux mains pour m’éviter de commettre l’irréparable, l’impardonnable. Peut-être pour la première fois, je ressens le besoin de jouir comme un manque. J’ai l’impression d’être un qui n’a pas pris sa dose. Le Maître quant à lui, reput, dors déjà paisiblement…

En cours de nuit, je suis soudainement réveillé, j’entends le Maître se lever et aller farfouiller dans l’armoire ou sont déposés les sacs contenants les accessoires BDSM. Je ne bouge pas, feins même de dormir. Mais lorsqu’un doigt lubrifié glisse et s’introduit dans mon anus, je sursaute, frémis et pousse un gloussement ! En lieu et place de ce doigt, je sens maintenant un objet rond et dur au contact de mon trou. Instinctivement, je m’écarte, soulève mes fesses, me cambre. L’objet rond d’un diamètre peu important glisse en moi et me pénètre sans réelle difficulté.
Mais sitôt après cette première pénétration, une seconde, une nouvelle boule d’un diamètre supérieur s’insère et glisse en moi, puis une troisième toujours plus large, et enfin un quatrième qui elle a bien du mal à passer et à entrer.

- J’étais tellement épuisé hier au soir que j’en ai omis de te bourrer le cul avec ces boules de geisha, ma petite chienne, tu peux te rendormir maintenant !

Je remercie le Maître et tente de retrouver le sommeil… Bien difficile, tant l’excitation me tourmente. Je bande encore et toujours. Combien une petite branlette pourrait faire baisser la pression. Mon cul encombré ne me laisse pas de répit. Je deviens comme fou ! Le Maître s’est recouché, sa respiration est redevenue lente, il a du se rendormir, m’abandonnant à mon triste sort. Ce n’est peut-être qu’au bout d’une heure que je parviens enfin à m’endormir. Le jour s’est levé, Monsieur le Marquis également, cette fois-ci je ne l’ai pas entendu. Pour me réveiller il me donne un petit coup de pied sur les fesses.

- Debout Mon chien !

Je me redresse subitement, oubliant ces boules insérées dans mon cul. Elles se rappellent à moi, je sursaute, cette petite douleur m’excite de nouveau, ma queue s’enflamme, je mouille… Le Maître me demande de me tenir debout, dos à Lui, les bras à l’horizontal. Il pose sa main directement sur mon intimité et me découvre trempé

- Dis-moi, les boules de geisha te font de l’effet !
- Oui Maître.
- Tu es chaud comme la braise Ma pute !
- Oui Maître

Je glousse et frémis encore sous les pressions que le Maître exerce sur mes couilles. Mais soudainement, sans prévenir, il me retire les boules de geisha d’une traction ferme. Une décharge de plaisir m’irradie alors dans tout mon corps. Je gémis et ai bien du mal à garder la position imposée par le Maître. J’y parviens cependant aux prix d’une formidable maîtrise. Monsieur le Marquis me fait attendre un peu ainsi, puis m’ordonne :

- Mets-toi à plat dos sur le lit, bras tendus derrière la tête ; chienne !

J’obéis alors que le Maître me place un bandeau sur les yeux puis des bracelets de cuir aux poignets Il attache des chaines aux anneaux de ceux-ci.
Il m’attache encore avec une deuxième paire de chaines, venant, elle, de derrière le lit, avec pour ambition de me faire tenir les mains jointes les bras étirés vers la tête du lit. Monsieur le Marquis place alors un duplicata de ces bracelets de cuir à mes chevilles et les fixe aux pieds du lit me forçant à écarter largement les cuisses. A chaque attache supplémentaire, je sens mon désir monter un peu plus encore, ma queue arbore une érection autant puissante qu’éloquente. Je reçois une douce et très rapide caresse sur ma cuisse droite puis plus rien. Quelques secondes passent, elles me semblent des heures, tant je suis impatient. Je me sens offert et ai envie de hurler ma terrible envie de jouir. Enfin une main glisse sur mon abdomen trempé et glisse à la lisière de la zone sensible. Le Maître me caresse le gland, me l’embrasse même… Je gémis à chaque contact de ses lèvres. J’ai l’impression que ma queue va exploser tant ses doigts m’effleurant son agile. Je gémis et étouffe mes supplications.

- Tu as envie de jouir Mon chien, je le sais, je le sais depuis hier alors que tu me pompais…
- Oh oui Maître, je vous en supplie, puissiez Vous m’autoriser à jouir !
- Seul moi décide de tes orgasmes, tu le sais Mon chien
- Oui Maître…

De manière complètement inattendue, je sens quelque chose passer sur ma verge. Je reconnais l’objet : un vibromasseur ! Je réagis immédiatement, me cabre, gémit et halète sous les caresses de l’objet. De temps à autre, le Maître s’amuse, faisant passer le vibro sur et sous mes couilles, dans ma raie anale écartée, puis revient sur mon sexe dru provoquant à chaque fois des plaisirs totalement inattendus, courant tout le long de mon corps jusqu’au bout de mes doigts et orteils. Monsieur le Marquis joue ainsi de longues minutes, m’accordant parfois des temps de repos afin de permettre à la tension de redescendre, car semble-t-il, il souhaite que cette séquence dure un certain temps. Maintenant ce sont Ses doigts qui me titillent le gland, mais aussi mon trou. Un majeur me pénètre. Je décolle encore rapidement, j'halète fortement. Mais le Maître arrête ses caresses sur ma tige alors qu’il glisse un deuxième doigt dans mon cul souple, dilaté, chaud bouillant.

- Ca va, ma chienne ?
- Oh… aah… oui Maître
- C’est parfait

Tout en parlant, le Maître à ajouter un troisième doigt dans mon cul

- Je sais que tu aimes ça salope !
- Oui Maître
- Pardon ?
- Oui Maître, j’apprécie ce que vous me faites ! Dis-je avec difficulté tant ma respiration était saccadée
- Tu aimes te faire remplir le ventre alors que tu es soumise comme une chienne
- Oui Maître !
- Je n’ai pas bien compris ! Insiste le Maître
- Oui Maitre j’aime me faire remplir le ventre comme une chienne.
- C’est bien, et moi j’aime te remplir ou te faire remplir comme une pute…

Je gémis à une caresse plus forte, alors que le Maître empoigne ma queue décalottée. Je réagis au quart de tour et mes gémissements se font plus intenses. Je bouge les hanches mais n’ai pas suffisamment de latitude de mouvement dans cette position. La main du Maître s’arrête encore juste avant qu’un orgasme me foudroie. Je vais devenir fou ! Je reste là dans cette situation, en plein désir, tout mon corps le réclame. Je lutte pour ne pas supplier pour ne pas dire « par pitié, faites-moi jouir ! ça fait des jours que je n’attends que ça ! » Je n’ai envie que de ça ! Monsieur le Marquis tire sur mon prépuce, surpris je crie.

- Tais-toi salope !

J’obéis et attends silencieusement la suite. Je sens mon gland être enserré, une sensation étrange à la fois douloureuse et agréable.

- Ecoute-moi attentivement, ton gland est maintenant relié à une machine, une sorte de branleuse automatique. Elle va s’occuper de toi avec l’intensité et le temps que je déciderai, j’ai la commande en main. Tu peux hurler tout ton saoul mais je t’interdis de jouir. Tu entends, je veux que tu te contrôles.
- Bien Maître.
- Tu n’as pas l’air convaincu !
- J’obéirai Maitre.

La machine se met alors en marche et immédiatement je suis submergé. L’appareil enserre doucement mon bout de chair gorgé de sang, le malaxe, appuie, le tourne. La machine s’arrête.

- Maitre, je ne vais pas tenir très longtemps.
- Et pourtant, tu vas devoir ma chienne, attention je reprends

L’intensité est beaucoup plus vive, je veux resserrer les cuisses ou bouger, impossible. J’ai du mal à respirer. La machine s’arrête…..puis redémarre, s’arrête de nouveau toujours juste avant que je jouisse… Et ainsi pendant un bon quart d’heure… Et lorsque le Maître décide de mettre fin à cette délicieuse , je suis heureux d’avoir tenu mes engagements !

(A suivre…)

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!