Collection Fantasme. Énorme Surprise (1/1)

Il y a un mois que j’ai épousé Jennifer quand cette aventure m’est arrivée.
Je dois la quitter pour mon travail car je vais à un séminaire de fin d’année à La Rochelle.
J’arrive dans un hôtel bon standing et je m’installe dans une chambre très spacieuse.
La maison mère nous a gatté en comparaison avec l’an passé où nous nous sommes retrouvés la dernière nuit au-dessus d’Annecy sur le mont Semnoz dans des yourtes où le système de chauffage était en panne et où pour nous rendre aux toilettes sèches elles aussi ayant des problèmes nous avons été dans l’obligation de faire nos besoins à l’extérieur malgré le froid et la neige.
Ajouté à cela 20 kilomètres en ski de fond nous ayant ravagés pour plus d’une semaine.

Je viens de subir une journée ennuyeuse avec des intervenants tous plus nuls les uns que les autres alors que je pourrais être entre les seins généreux de Jennifer que j’adore titiller, voir maltraité car elle aime que je lui fasse l’amour à la hussarde.
Chaque fois que nous faisons l’amour depuis les 5 dernières années ou nous nous sommes rencontrés, je la satisfais et j’arrive à déclencher rapidement un orgasme tellement elle est chaude.
C’est dans une soirée avec des copains que je dois reconnaître l’avoir levé à mon meilleur ami ce qui depuis nous a fâchés certainement à vie.

Il dansait avec elle quand dans une danse du tapis nous nous sommes retrouvés ensemble au dernier changement.
Un slow suivait et sans m’en rendre contre je l’ai gardé dans mes bras et sans que je pense à mal, je me suis mis à bander alors que machinalement elle frottait son vagin sur ma turgescence.
Quand j’ai pris conscience qu’il se passait quelque chose je l’ai pris par la main et nous sommes allées dans la salle de bain où je l’ai prise les fesses posées sur le lavabo.
J’avais fermé la porte derrière nous mais j’avais oublié que la chambre voisine avait une porte communiquante et quand elle s’est ouverte et que mon pote est entré les coups de poing que nous avons échangés entraînait notre rupture définitive.


Comme je l’ai dit 5 ans de bonheur à succéder à cet événement ce qui m’empêche de regretter de l’avoir commis.
La veille de mon départ c’est en pleurs qu’elle était car c’est la première fois que nous nous séparons hormis nos heures de travail.
Chaque année nous partons en vacances non loin d’ici à Pontailac près de Royan ou nous avons acheté un petit appartement dans une copropriété à 100 mètres de la plage.
C’est dans cet appartement qu’un jour de folie où nous avions gagné près de 200 000 € au casino de la ville qu’après avoir abusé de champagne elle m’a offerte sa petite fleur anale.
Sur le meuble de la salle dans un cadre une photocopie du chèque me rappelle ce doux moment ou ma bite a pénétré son petit anneau.
Nous seules savons pourquoi ce cadre est là et quand les copains s’émerveillent devant lui la petite rose qu’elle me tendait me suppliant de la déflorer arrive devant nos yeux.
Bref, je suis monté dans le train avec les deux ou trois copains qui partaient avec moi la regardant pleuré à grosses larmes jusqu’au moment où j’ai failli descendre.
J’ai failli le faire mais la fermeture automatique avant le départ m’en a empêché.

Je viens de finir de manger espérant que des membres de notre groupe m’entraînent dans la ville pour trouver un endroit sympa mais les uns et les autres se sont éclipsés pour rejoindre leur chambre afin d’appeler leur amie ou moitié.
C’est avant ce repas que j’ai eu Jennifer avec laquelle j’ai eu une érection aux mots peu châtiés que nous avons employés.

• Je te broute la chatte !
• Je te gobe le zob !
• Je te caresse la minette !
• Je te fais une fellation qui va te vider les couilles !
• Ta rosette est à la pointe de ma verge !
• Oui, tu as raison encule-moi comme tu sais si bien le faire !

Bref conversation tout à fait normale entre un mari et sa femme qui sont éloignés à la différence que j’ai eu beau me caresser j’ai attendu désespérément d’éjaculer quand sa maman qui est venue coucher chez nous pendant mon absence l’a appelé pour venir dîner.

Je me suis retrouvé frustré en ayant mal à la queue tellement j’avais bandé.
Dans l’impossibilité de me retrouver seul dans ma chambre je décide de descendre au bar de l’hôtel où nous avons bu un apéritif avant d’aller dîner avec les copains.
Je sirote un whisky quand.

• Avez-vous du feu ?

Je tourne la tête et à mon côté se trouve Claudia Schiffer en mien.
Blonds cendrés malgré un discret maquillage mais soulignant ses grands yeux de biche et surtout des seins à faire bander un eunuque.

• Non, excusez, j’ai évité d’avoir ce vice.
• Vous avez raison, je vais faire comme vous ce sera quelques minutes de vie de plus que je gagnerais.
• Vous êtes marié, je vois que vous avez une alliance.
• Oui, j’ai fait vœu à mon époux.
• Vous aussi ?
• Oui, j’ai épousé Jennifer il y a un mois après cinq ans de vie commune.
• Et vous la quitter déjà ?
• Par obligation, je fais un séminaire pendant trois jours avec ma boîte et je viens de me retrouver seul.
• Et vous, votre époux est absent ?
• Oui, je suis venue voir mes parents mais à leur âge je les ai quittés pour qu’ils se reposent toute la nuit.
• Vous les voyez souvent.
• Une fois par an car j’habite en Suisse dans les montagnes.
• Vous êtes monitrice de ski.
• Non, je fais des fromages avec des amies.

Nous discutons de la pluie et du beau temps quand le serveur vient encaisse les verres car le bar ferme.

• Bien allons-nous coucher, je connais bien la ville et en décembre nous ne trouverons rien d’intéressant d’ouvert.

Nous quittons le bar et rejoignons les ascenseurs.
Elle monte et appuie sur un bouton.
Je la suis et nous montons.

• J’ai oublié de vous demander à quel étage vous allez.
• Au deuxième.
• Mince, j’ai appuyé sur le 3.
• Aucun problème je vais redescendre.

Nous passons devant le 2 et nous arrêtons au 3.

Elle doit me frôler pour sortir quand elle me prend la bouche dans un baiser fougueux.
Je l’enserre et je lui rends son baiser alors qu’elle a mis son pied dans la porte qui s’ouvre et qui se ferme.

• Viens.

Là encore elle prend l’initiative et après avoir passé sa carte magnétique dans la chambre la plus proche de l’endroit où nous descendons elle m’arrache littéralement mes vêtements.
Oublié Jennifer, oublié son époux.

• Baise-moi, tu me plais, j’adore ta belle queue.

• Heureusement qu’elle dit belle et pas grosse car je suis un homme normal mais qui sait satisfaire une femme.

Une femme oui, mais une goulue c’est la première fois que j’en ai une sous moi directement dans le vestibule où elle m’entraîne au sol et où sa bouche vient me gober pendant qu’elle me présente sa chatte entièrement épilée et que je suce avidement.
Sa grotte est profonde et pas farouche du tout.
Elle coule littéralement au point de m’envoyer des jets de cyprines sur le visage.
Je la quitte le temps de la tirer littéralement sur le lit, elle s’écroule les jambes écartées, ma langue pénètre sa chatte qu’elle m’offre en écartant ses grandes lèvres me faisant découvrir son bouton qui quand je le suce déclenche de nouveau de longs jets de son liquide que je bois avec avidité.

• Viens remet moi-là.

Ses désirs sont des ordres, je la retourne la place en levrette et la poignarde.
Les cris qu’elle pousse comme si mon sexe la rendait folle son doux à mon oreille car je suis fière de faire jouir une telle femme, Jennifer sait s’exprimer quand je la pénètre mais là, je dois reconnaître que cette femme sait prendre son pied.

• Éjacule fumier, tu as voulu mon sexe tu l’as, défonce-moi.

Pas besoin de me dire deux fois, je l’arrose copieusement tombant à son côté en sueur.
Nous nous reposons quelques minutes avant que je sente sa bouche venir me pomper, il semble que j’aie déclenché dans cette femme ses instincts les plus bas car elle me quitte soulève ses jambes vers le ciel.


• Tu bandes de nouveau viens m’enculer, j’adore quand on m’encule.
• Ton mari te le fait ?
• Mon époux entre nous tout est cérébral.

J’ai bien du mal à comprendre mais pourquoi hésité à lui faire ce que j’adore faire à ma femme, quitte à la tromper, trompons là à fond surtout au fond du cul de cette femelle qui semble m’avoir choisi pour tromper celui qu’elle nomme toujours de la même manière sans jamais prononcer son vrai nom.
Une fois de plus j’éjacule.

Il est un peu plus de 5 heures quand je me réveille.
Grâce à la veilleuse que nous avons laissé allumer je vois mon ange blond dormir dans une pose lascive une main sur sa jolie chatte tant de fois pilonnée ces dernières heures, son autre main avec son alliance à hauteur de ses lèvres comme si elle l’embrasse en rêvant de son époux.
Je récupère mes affaires discrètement et je quitte la chambre.
Je retourne dans mienne après un dernier regard sur ce qui aura été un joli intermède dans ma vie de couple.
À 8 heures 30 le réveille se déclenche car j’ai à 9 heures le petit déjeuner avec toutes les personnes de la société.
À l’heure prévue après avoir changé de chemise celle d’hier était irrécupérable tellement les envies de sexe de ma partenaire de la nuit dont le prénom m’est inconnu la mise en mauvais état.
J’arrive à l’ascenseur, celui-ci est au 5e et descend pour s’arrêter au 3e.
Il repart et la porte s’ouvre, une none est à l’intérieur, je monte à ses côtés quand un moment nos regards se croisent.
Le visage d’ange que cette bonne sœur me montre me met le doute.
Nous sommes au rez-de-chaussée elle descend tirant sa valise à roulette, malgré ses petites chaussures plates sa démarche chaloupée me montre que je suis dans le vrai.
Elle sort sur le trottoir où je la suis et où un taxi est garé, le chauffeur met sa valise dans le coffre pendant qu’elle s’assoit à l’arrière, un instant notre regard se croise et le sourire qu’elle me montre me confirme que j’ai bien vu.
Le taxi démarre emmenant mon ange ou mon démon, Dieu seul le sait.

De retour dans le restaurant, mes copains sont déjà à table.

• Tu en fais une tête, tu es radieux, on dirait que tu viens de croiser un ange.

Ange ou démon comme je viens de le penser, Dieu reconnaîtra les siens…

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