Première Rencontre De Gouines
Ma première expérience de gouine.
En stage à pôle emploi à Bordeaux, un soir dété après les cours javais une petite soif et minstalle à lintérieur climatisé dun café place de la gare.
Sur la même banquette que moi je ne remarque pas particulièrement une jeune femme le nez plongé dans un bouquin. Je commande ma boisson tout en pensant à ma journée.
Soudain, ma voisine fait tomber son stylo, se baisse pour le ramasser et je sens sa main se poser ostensiblement et avec insistance sur ma jambe puis ma cuisse, comme une caresse. La jeune femme me regarde en sexcusant, se lève et se dirige vers la sortie. Je remarque une allure féline drapée dans une robe très courte dévoilant de belles jambes gainées de noir.
Prise dans mes pensées, je revois le film « la vie dAdèle » et sent monter en moi un désir indéfinissable et inhabituel.
Rentrée à mon hôtel, en mapprêtant à prendre ma douche, je sens que mon slip est abondamment mouillé ce qui mexcite et me donne envie de me masturber.
Je mapproche du coin de ma table de travail et me frotte langoureusement la chatte au niveau de mon clito. Je mouille de plus en plus, empoigne un paquet de crayons et me les enfourne jusquà ce que le va et vient me déclenche un orgasme qui me fait crier de plaisir.
Me revient alors limage et la sensation de cet après-midi au café.
Je ne pense plus quà retrouver cette femme et imagine la suite.
Le lendemain à la même heure je me rends au même endroit quhier.
Elle est là. Je la salue dun bonjour timide et massoie à la même place à côté delle.
Après avoir passé ma commande au garçon, il me vient la même idée du stylo mais cette fois cest moi qui agit.
Je me baisse pour ramasser et pose ma main sur sa cuisse. Le contact avec cette jambe gainée de soie me fait immédiatement de leffet et je sens que ma chatte shumidifie à travers mon collant. Aujourdhui je nai pas mis de culotte.
Surprise ! ma voisine, sans me regarder saisit ma main fermement et la fait remonter vers le haut de ses bas. Elle me fait progresser vers son entrejambe et là, dans une forêt de pilosité, je sens une humidité intense. Je sens que me seins deviennent de plus en plus dures et je me dis » jai envie ».
Marie, appelons-la comme cela, se penche vers moi et me chuchote : « viens chez moi. » Je lui réponds « pas aujourdhui, jai un rendez-vous dans une heure mais jai trop envie, suis moi dans les toilettes. »
Nous nous dirigeons toutes les deux vers le lieu indiqué. Nous choisissons la cabine pour handicapés car elle offre plus despace et de commodités.
La porte refermée, Marie me plaque contre la cloison, nos bouches se cherchent et se fouillent rageusement. La main droite de Marie remonte mes collants trempés de mouille et dun coup sec perce un orifice au niveau de mon clito. Elle me branle et de son autre
main, me pétri un sein en faisant glisser mon soutiens gorge.
Non lui dis-je, pas tout de suite, jai envie que tu mexcites en te branlant sur la cuvette, je me branlerai en même temps et tu me boufferas après quand je serai prête à jouir.
Donc nous sommes face à face, Marie assise jambes écartées une main se caressant une cuisse et lautre sexcitant le clito. Moi debout la main dans mon collant avec des va et vient entre ma fente et mon petit trou arrière. Lexcitation nous fait mouiller de plus belle. Marie me dit alors « viens me donner ton jus » je mapproche delle debout, jélargis un peu plus la déchirure de mon collant et plaque ma chatte sur sa bouche, elle gémit de plaisir et me suce frénétiquement en aspirant et mordilla mon clito. Sa main passe vers mon arrière et me titille lanus. « Cest bon vas-y enfonce tes doigts ». Le plaisir est sublime !
Cest alors que Marie me dit « jai envie que tu me fistes très fort. Regarde ma chatte est trempée de désir enfonce ta main entière jai trop envie.
Rassasiées mais épuisées nous remettons de lordre dans nos habits et sortons de la cabine.
Surprise !! il y a quelquun au lavabo .
« Bonjour mesdames. Cétait bon ? je vous ai entendu. Ça avait lair très excitant. »
Confuses nous ne répondons pas , la dame plus âgée que nous, sapproche et promène sa main sur nos jupes au niveau du pubis. Nous pourrions très bien nous entendre, voici mon n° de tel. Elle sort de son sac un mini gode avec le numéro inscrit dessus et le donne à Marie. «merci et peut être à plus indique Marie »
Nous sortons et après avoir échangé également nos numéros, nous promettons de nous revoir.
Après mes cours, le soir à la réception de lhôtel, je me prends à regarder toutes femmes qui arrivent. Une attire particulièrement mon regard. Belle plante, belles jambes, jupe très courte, je repense à le séance au café . Après les formalités de réservation, la femme se baisse pour rassembler ses bagages ce qui lui remonte sa jupe à mi-cuisses et je maperçois quelle na pas de culotte. Mon sang ne fait quun tour et je sens que je viens denvoyer un jet de cyprine dans mes collants. Je me ressaisis et mon te dans ma chambre.
Nen pouvant plus de désir, jappelle Marie, lui donne ladresse de lhôtel et nous convenons dun rendez-vous pour dîner à lhôtel.
21h nous sommes attablées dans un coin un peu retiré sous une lumière tamisée.
Pendant le repas nous parlons très peu , nos mains se frôlent très souvent et je sens que Marie me caresse les jambes de son pied déchaussé jusquà remonter dans mon entrejambes.
Le doux frottement de ses bas contre mon collant nexcite au plus haut point et ma chatte commence à être moite.
Le repas se termine tout en excitations et nous décidons de monter dans la chambre.
Après avoir lié nos bouches et nos langues rageusement, Marie me demande à passer à la salle de bains. Je massieds sur le canapé en attendant et quand Marie ressort, elle a gardé son long manteau noir mais visiblement elle est nue dessous car japerçois un sein qui déborde de lencolure,. Elle se plante devant moi, ouvre langoureusement son manteau et laisse émerger un énorme gode ceinture plaquée sur son pubis.
« Suce » me dit-elle
Surprise mais envieuse, je mexécute et enfourne la queue en la mouillant abondement de salive.
« Suce, suce, après je vais te baiser »
Les mots crus mexcitent je sens que je mouille en me caressant. Marie natt par les cheveux pour mieux accompagner les va et vient. Elle se retire et me demande : « Je te baise ou je tencule ? » je lui réponds « les deux »
Elle retire la queue de ma bouche, me bascule pour atteindre mon cul, me fais quelques tapes pour me décontracter, mouille abondamment mon trou de sa salive, le prépare avec ses doigts et enfourne la queue
Jexulte ! « Vas-y ! plus profond ! baise-moi ! oui cest bon, encore, encore ! » lorgasme ne se fait pas attendre. Jéclate en envoyant un jet énorme de cyprine sur le parquet. Marie se baisse et lape goulûment ma mouille. Sa croupe en lair, je vois sa chatte béante trempée et la couvre de ma bouche pour la déguster. Marie pousse un cri de jouissance en minondant la bouche.
Epuisées, nous nous affalons par terre et sombrons dans un sommeil profond.
Au milieu de la nuit nous nous réveillons enlacées, Marie me demande si elle peut rester jusquau petit matin et bien sûr jacquiesce.
A 7h00 le réveille sonne et à ma grande surprise, Marie est partie. Elle a laissé un mot : « cétait merveilleux. »
Toute la journée jai pensé à cette folle nuit et en sortant du cours, je reçois un appel de Marie.
« Tu vas bien ? ça ta plu hier ? en retrouvant le gode miniature que nous avait donné la femme des toilettes du café avec son tel, jai pensé quon pourrait linviter »
« Oh oui, chez moi comme hier, ça me plairait ! »
« OK je men occupe. » et elle raccroche.
Cette idée me fait tourner la tête, jimagine cette femme plus âgée que nous, dont la poitrine me paraissait très agressive mais avec une croupe à faire envie.
A tout hasard, je passe par le café « des rencontres » et surprise : elle est là assise devant un verre.
Je massois à côté delle et demblée me dit « jai eu un coup de fil de votre copine et jai vraiment envie de baiser avec vous, je veux être votre jouet sexuel. Jaccepterai tout, jaime particulièrement luro. »
Je passe ma main sous la table lui caresse la jambe et remonte jusquà son entrejambe.
Elle na pas de culotte et je sens sa chatte humide. « Pas tout de suite » me dit-elle.
Etes-vous daccord pour ce soir ? » Je réponds oui, lui donne ladresse de lhôtel et le numéro de la chambre pour 21h. Je retire ma main, me lève et me dirige vers les toilettes en espérant quelle va me suivre. Après quelques minutes dattente excitantes et pleines de fantasmes elle ne vient toujours pas. Jentre dans la cabine des WC que nous avions expérimentée et me souviens de la balayette. Je la saisis et me lenfourne dans la chatte jusquà me faire jouir.
Je ressors, la dame a disparue.
Jappelle Marie et fixe le rendez-vous.
A 20h30 Marie sonne à la porte toujours avec son grand manteau noir. Elle na pas froid aux yeux, elle est encore nue dessous avec juste une porte jarretelles et des bas noirs.
Nous convenons dun scénario.
Nous attendrons notre invitée allongée nues sur le sol, dans la pénombre les jambes écartées devant un récipient rempli durine et un énorme gode en ventouse sur le sol.
Ensuite, libre cours à notre imagination.
21h précises, notre hôte arrive. Sonne à la porte et sans réponse pousse le chambranle.
Elle comprend la mise en scène et savance vers nous sans un mot. Dans la lumière tamisée nous découvrons son corps qui se dénude lentement. Appelons la Chris. Chris nous offre une poitrine opulente, de longues jambes gainées de bas noirs et une culotte à fente ouverte. Pendant quelle se caresse les seins, écarte les cuisses, nous lui intimons lordre de plonger sa tête dans le récipient de pisse de bien se mouiller de remplir sa bouche et de venir tour à tour remplir notre chatte de cette pisse. Lorsquelle se penche sur moi pour sexécuter façon 69, ses seins me frôlent la figure et je sens un jet de mouillé partir de ma chatte.
A la fin du jeu quon lui a imposé, nous lui intimons lordre de nous arroser de sa pisse et de nous nettoyer avec sa langue. Elle sy était préparée et nous inonde le ventre et les seins de son champagne doré cest chaud et très excitant. Pendant le nettoyage ses seins se balancent entre nous deux et elle nous offre un spectacle hyper sexy sur sa chatte velue et trempée.
Complètement nympho, à la vue de lénorme gode, sans nous prévenir, elle sempale avec violence et se déchaîne sur la queue artificielle. Elle a un orgasme violent et interminable qui nous subjugue.
Comme elle a souhaité être notre jouet sexuel, nous décidons de la fister à chacune notre orifice. Marie choisit sa chatte et moi son cul. Visiblement, elle a lhabitude car nos deux poings la ramonent jusquau coude. Du jamais vu ! nos va et vient lui procurent une multitude dorgasmes accompagnés de cris de plaisir et de jets de mouille comme une fontaine.
Nous sommes tellement excitées que nous lui demandons à chacune de nous fister à son tour moi dans le cul et Marie dans la chatte. Cest à notre tour de jouir intensément et bruyamment.
Archi épuisées, nous nous couchons sur le sol et sombrons dans un sommeil digne du repos du guerrier.
A notre réveil, après le rhabillage, nous jurons de recommencer si possible dans un lieu insolite pour ajouter à lexcitation. Chris nous fait comprendre que le lieu pourrait nous amener vers un partenaire non moins insolite.
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