La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°738)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château (suite de l'épisode N°734) - Le Banquier Genevois -
Le Maître me presse, à peine ai-je le temps davaler ma gamelle de café noir et la tranche de pain sec quil me faut me préparer et mhabiller. Je bande encore
Monsieur le Marquis me tend un cintre sur lequel est déposé un somptueux costume noir de très bonne facture, comme je nai jamais porté, un Hugo Boss !
- Tiens, cest pour toi et puis prends ça également ! Me dit le Maitre
Il me donne un sous-vêtement, une paire de chaussettes, une chemise blanche, une cravate noire. En mhabillant, je maperçois que le boxer est rembourré de ouate, tant au niveau du fessier que devant, sans doute pour mettre en évidence mon paquet et mon cul. La chemise est cintrée, comme dailleurs la veste de ce costume, le pantalon est étroit presque moulant, jai un peu de mal à le fermer. Monsieur le Marquis marrange la cravate et me demande de tourner sur moi-même afin de vérifier si la tenue lui semble correcte.
- Tu es très élégant mon chien, tiens regarde toi dans cette glace et prends cette paire de mocassin.
Je ne me reconnais tout juste. Il y a tellement longtemps que je ne me suis pas vêtu ainsi et même vêtu tout simplement ! Je repense à ce moment-là à une publicité dil y a quelques années où on voyait Gainsbourg dans un costume avec le slogan Un costume, ça vous change un homme. Eh bien, je confirme, je me sens véritablement un autre dans ce costume haut de gamme.
- Allez dépêche-toi, un taxi nous attend !
Le Maître est lui aussi très élégamment vêtu, un costume bleu marine de chez Louis Vuitton, une chemise bleu pâle, d'une cravate de la couleur du costume, des souliers coordonnés à lensemble. Avant de quitter la chambre, il se saisit dun cartable bleu marine, lui aussi de ce célèbre maroquinier, mondialement connu. Juste avant de refermer la porte de la chambre, le Châtelain sadresse à moi :
- Je veux que tu te comportes en gentleman ! Je vais temmener dans un monde à dix-mille lieux du tien, le monde de la finance internationale
Une injonction que je ne comprends pas vraiment, moi qui est lhabitude dêtre considéré comme une pute
Soit !
- Bien Maître, à vos ordres Maître.
Le Taxi est déjà là, il nous attend. Le Maître et moi nous installons à larrière du véhicule. Le chauffeur questionne :
- Où dois-je vous conduire, Messieurs ?
- Rues-Basses Fusterie à Genève à la Banque Internationale Morgan Stanley, lui répond Monsieur le Marquis.
- Bien Monsieur, nous y serons dans une demi-heure !
La voiture démarre, un silence de plomb sinstalle dans le véhicule. Je regarde le lac Léman en me questionnant. Quallons-nous faire là-bas ? Sans doute un rendez-vous dAffaires, mais pourquoi diable le Maître memmène-t-il avec Lui ? Je lignore totalement
Monsieur le Marquis a sorti un dossier du cartable et le feuillette tranquillement, lorsque soudainement son téléphone portable sonne. Il regarde le numéro safficher et peste un peu, il décroche tout de même
- Oui Walter ! répond-il un peu sèchement
-
..
- Je nai vraiment pas le temps de moccuper de ça pour linstant. Je pars chez mon Banquier à Genève. Je te rappellerai plus tard, en attendant tu agis pour le mieux, et sil faut sanctionner, tu nhésites surtout pas
. Désolé, à plus tard.
-
..
- Merci, au revoir Walter.
Le Maitre hausse les épaules, il maugrée quelques mots incompréhensibles, manifestement ce coup de téléphone semble le contrarier. La voiture entre dans Genève, la circulation devient plus dense. Nous traversons un quartier daffaires, puis un second. Je regarde ces hommes et ces femmes accrochés à leur téléphone portable marchant à grands pas, tous semblent stressés. Dieu quil est agréable de vivre au Château me dis-je ! Je ne les envie pas, je préfère nettement mes contraintes desclave soumis et enchainé que les leurs. Le chauffeur de taxi, resté jusquici silencieux nous annonce notre arrivée prochaine. En effet, la voiture stationne peu après devant un immense bâtiment moderne, affichant par sa façade, le pouvoir financier ! Un voiturier se précipite et ouvre la portière de Monsieur le Marquis en saluant.
- Bienvenue à la Banque Morgane Stanley, Monsieur le Marquis ! Toujours très heureux de vous y accueillir
- Bonjour Monsieur ! répond le Maître.
Le voiturier me salue respectueusement, jen suis surpris. A mon tour, je lui souhaite le bonjour courtoisement. Nous regagnons le rez-de-chaussée du bâtiment, entrons dans un sas de sécurité. Les portes souvrent. Un agent de sécurité nous précise que Monsieur Blowell va nous recevoir dici quelques minutes et nous demande de bien vouloir patienter dans le petit salon juste à côté. Deux immenses sofas en face à face sont installés. On nous apporte un saut glacé à Champagne pour nous faire patienter ainsi que deux coupes en cristal
Du Champagne ? Juste pour quelques minutes à attendre ! Cest vraiment le grand luxe !
- Assieds-toi ! Mordonne le Maître
En me voyant faire, il me reprend sèchement :
- Non, pas par terre, sur le sofa, jai exigé que tu te comportes en gentleman, nai-je pas été suffisamment clair ?
- Si Maître ! Veuillez me pardonner, je lui réponds
- Alors exécute mes ordres, nom dun chien ! Tais-toi et déguste cette coupe de Champagne en silence, je suis certain que ce nest pas tous les jours que tu as loccasion den boire
Le dialogue sarrête là, Monsieur le Marquis se précipite sur son téléphone et appelle.
- Walter ?
-
- Jai juste quelques instants à taccorder, juste pour te dire que tu dois sévèrement punir cette chienne irrespectueuse de ses engagements auprès de Moi, le Maître. Quas-tu prévu comme sanction ?
-
.
- Non, ce nest pas suffisant, je veux que tu lui administres le fouet, cinquante coups matin et soir pendant deux jours, ça lui apprendra à cette petite garce ingrate
-
..
- Oui cest ça
-
..
- Ok, très bien, je te laisse gérer ainsi, parfait
bonne journée à toi !
Le Maitre raccroche, je sens son regard se poser sur moi, tête basse, mains posées sur mes cuisses légèrement tenues écartées.
- Ta posture est parfaite.
- Merci Maître.
- Je vais être reçu par mon banquier pour des affaires financières très importantes concernant mes diverses sociétés. Tu mattendras assis là-haut à quelques étages, sagement, dans une petite pièce juste à côté du bureau où je vais être reçu. Je veux que tu te tiennes ainsi, dans une posture révérencieuse et respectueuse. Lorsque jen aurai terminé, un assistant de Monsieur Blowell ira te chercher pour te reconduire jusquà Moi. Suis-je clair ?
- Oui Maître. Merci Maître.
Nous patientons encore quelques minutes, pendant ce temps, le Maître savoure sa coupe de Champagne
lorsque soudainement la porte du salon souvre.
- Cher Ami
cher Monsieur le Maquis, comment allez-vous ?
- Fort bien Monsieur Blowell, très très bien, mon cher Ami !
- Avez-vous fait un bon voyage ?
Les deux hommes séchangent quelques banalités, je me suis relevé en même temps que le Maitre. Monsieur Blowell me serre la main en me saluant gentiment
- Bonjour Monsieur !
Je réponds révérencieusement. Monsieur Blowell me questionne.
- Vous êtes ?
Surpris et embarrassé, je réponds timidement, une idée qui me traverse lesprit.
- Le secrétaire particulier de Monsieur le Marquis !
Le Maître sourit discrètement, puis me fait un clin dil tout aussi discret. Ouf, ce signe dinstinctif me dit que je nai pas commis d'impair, ni derreur
- Nous pouvons y aller, si vous le voulez bien ! lance alors Monsieur Blowell.
Nous regagnons un ascenseur et montons au dixième étage. Arrivés devant la porte du bureau de Monsieur Blowell, le Maître linterpelle.
- Je préfèrerai que mon secrétaire mattende ici dans ce couloir !
- Nous avons une petite salle dattente à deux pas, je peux ly conduire.
- Très bien ! Réponds le Maître.
Je minstalle assis selon les instructions données préalablement par le Maître. Monsieur Blowell me propose un cigare. Je le refuse, ne sachant pas si jy suis autorisé. Il me quitte alors quelque peu dépité, jattends sagement
Lattente est longue, très longue, combien de temps je nen sais rien
Cela fait peut-être maintenant deux heures que je suis là, immobile, tête légèrement inclinée vers le sol. Mes muscles se sont engourdis, jai une crampe au mollet droit. Cette douleur étrangement exacerbe mes perverses idées, je me mets à bander tout seul
Le fait de ne servir à rien mexcite ! Cest fou ça... me dis-je ! Je suis plongé dans mes soumises pensées, lorsquun homme arrive.
- Monsieur, sil vous plait !
Je lève la tête et souris.
- Monsieur le Marquis en a quasiment terminé de son rendez-vous, il me demande de venir vous chercher et de vous reconduire à lui.
Je me lève et suis cet homme. Il frappe à la porte du bureau de Monsieur Blowell, ouvre et dun geste me demande dentrer. Le Maître est là, assis dans un spacieux et confortable fauteuil, derrière un immense bureau avec un verre de Martini à la main et un cigare La Havane. Face à Lui, Monsieur Blowell. A ces côtés un homme, jeune, tient un parafeur. Je reste en retrait quelque peu en attendant que la conversation se termine.
- Encore une fois, cest un très beau projet Monsieur le Marquis. Nous venons de signer un bon contrat, je suis heureux encore une fois que la banque Morgane Stanley puisse vous accompagner. Vous savez bien quavec nous, nous vous suivrons toujours sans aucun problème dans vos investissements financiers et immobiliers !
- Je savais que je pouvais compter sur vous, même si les sommes mises en jeu sont très importantes, mais vous connaissez bien ma gestion rigoureuse. Je vous ai fait gagner de largent, beaucoup dargent Monsieur Blowell.
- Cest exact, Monsieur le Marquis, mais voyez, nous savons être reconnaissants, nous vous réclamons juste le minimum de garanties, justes celles que nous impose la loi, lui répond Monsieur Blowell en se levant de son fauteuil et en contournant son bureau pour venir à ma rencontre. Merci encore de votre confiance laquelle vous le savez, vous naurez rien à redire
.
Je vois ledit Monsieur Blowell sapprocher près de moi, sourire aux lèvres, me contourner en me dévisageant de la tête aux pieds. Il reprend son dialogue :
- Surtout que vous savez toujours mapporter du plaisir ! lance-t-il dune voix monocorde.
Et là subitement, je ne comprends plus rien, ou si, plus exactement je commence à tout comprendre. Monsieur Blowell de son index replié me soulève le menton, me lance un regard froid et vicieux, puis matt par la cravate et mentraine ainsi juste devant son bureau. Mes cuisses se heurtent au montant de cette table mais toujours tiré par la cravate, je nai dautre choix que dincliner mon torse et de poser ma poitrine sur le plateau du bureau.
- Votre secrétaire particulier à un cul plutôt saillant sinon arrogant Monsieur le Marquis ! lance Monsieur Blowell tout en tirant fermement encore sur la cravate et en riant perversement.
Une main se saisit de ma chevelure, je suis contraint à redresser la tête.
- Et une bouche sans doute toute autant délicieuse.
Le Maître, toujours assis, sirotant son Martini, tirant une bouffée de son impressionnant cigare, ne dit pas un mot, je sens son regard porté sur moi, attentif à mes moindres et éventuelles défaillances.... Je me laisse conduire et faire. Des mains, celles du jeune banquier se tenant tout à lheure près de Monsieur Blowell, ont glissées sous mon abdomen, et cherchent le bouton fermant mon pantalon. En en un rien de temps je me retrouve cul nu, chemise et veste retroussées à mes épaules. Jentends pour la première fois, le jeune banquier minterpeller :
- Ne ta-t-on pas appris à écarter les cuisses et cambrer ton cul ? petite salope.
Jobéis dans linstant sans rien dire. Mais le même jeune banquier intervient de nouveau.
- Ne ta-t-on pas appris à texcuser chienne ?
Deux claques tombent sur mon cul.
- Pardon Monsieur, je vous présente mes plus humbles excuses, Monsieur.
Mais le jeune banquier rétorque encore.
- Ne ta-t-on pas appris à remercier à chaque fois que lon sintéressait à toi ?
Le sadisme et les humiliantes paroles suffisent à mexciter. Je sens ma tige se redresser et se heurter au montant du bureau.
- Et en plus, il bande ce porc
reprend encore le jeune bureaucrate au col blanc, avant de rajouter Avec toutes ses fautes commises une punition me semble la bienvenue, quen pensez-vous Messieurs.
- Fautes avérées, sanctions obligées ! répond le Maître sévèrement.
Monsieur Blowell ouvre une immense armoire face à moi, dans laquelle un nombre incalculable dinstruments de flagellation sont soigneusement entreposés et suspendus.
- Que choisis-tu comme instrument, chien ? me demande-t-il
Je réfléchis quelques secondes, tout au plus
- Dépêche-toi, on ne va pas y passer la journée ! reprend-il
- La cravache, Monsieur.
- Réfléchis bien avant de donner une réponse, car si elle ne me convient pas je double la mise. Combien de coups ?
Bien vicieuse question, à moi de déterminer linstrument et le nombre de coups à recevoir. Ces hommes-là sont de grands pervers. Jhésite et marmonne.
- Dix coups Monsieur
- Combien, je nai rien entendu ?
- Dix coups Monsieur ; Dis-je plus fort.
- Ca me va.
Ouf pense-je ! La douleur du premier coup me semble insoutenable et me monte immédiatement les larmes aux yeux mais oh mon dieu, il me fait bander encore plus fort !... Lors du second, je bouge un peu
- Ne bouge pas chien ! Si tu bouges on recommence
Le troisième est dune intensité redoutable, je serre les dents et les poings mais ne bouge pas.
- On recommence, tu nas pas compté.
Jencaisse les huit coups suivants dans leffort et la douleur mais avec une sensation bien étrange, telle une décharge de plaisir, jai limpression que je vais partir
Ma queue raide coincée sous mon abdomen, malmenée dès mon réveil, est prête à laisser exploser ma jouissance. Au neuvième coup, je maffole et suis prêt à annoncer que je vais jouir. Au dixième mon corps tremble de pied en cap. Ouf, je nai pas joui...
(A suivre
)
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