La Maîtresse De Mon, Mari
Je suspectais mon mari davoir une liaison avec une collègue. Je suis certaine de lavoir aperçu avec une fille plutôt sexy. Il massurais toujours que je me faisais des idées. Pour me le prouver il ma excitée tellement que je devenais comme une fontaine: javais ma culotte toute trempée. Je me souviens encore de cette nuit là. Il ma tout fait et je le lui ai bien rendu. Il a commencé par me caresser partout de bas en haut et de haut en bas. Je lui prenais le bite dans une main non pas pour le masturber: simplement pour quil bande bien. Ensuite il a mit sa tête entre mes jambes. Je sentais sa langue monter entre mes cuisses. Enfin quand il arrivait vers ma chatte, sa langue a dévié un peu. Il ma léché lanus pour la première fois. Il en a rentré même un bout. Jessayais douvrir mes fesses pour quil y entre toute sa langue, Il a abandonné pour venir dans ma moule. Je ne sais pas trop ce quil ma fait. Je ne me souviens quune dune seule chose: jai joui et jai encore joui quand il a pris mon clitoris dans sa bouche. Quand il sest relevé je voulais moi aussi le sucer: il na pas voulu. IL ne voulais quune chose jouir dans mon corps. Quand il sest mis sur moi, jignorais toujours sil allait me baiser ou menculer. Au fond, pour moi cest toujours loccasion dorgasme que se soit par le cul ou le con.
Il ma baisé et fort bien baisé. Il me semblait même quil me faisait lamour mieux quavant. Quand il a jouit, contrairement à ses habitudes il tendormais, alors que nous nous baisions encore, après que je lai excité.
Mes doutes recommençaient. Je me décidais à réagir: je le surveillais surtout vers 17 heures à la sortie du bureau. Il sortait seul pour aller dans un café proche. Un moment après une de ses collègue allait le rejoindre: ils partaient ensemble, bras dessus, bras dessous pour un petit hôtel.
Je navait plus de doute: il me trompait. Au début jétais désespérée quand jai eu une idée: voir seule à seule cette fille.
Le lendemain jarrivais à lapprocher. Je lui disais que je savais quelle faisait lamour à mon mari. Je ne sais pourquoi je lui ai demandé de venir baiser chez moi. Jétais surprise de cette demande. Elle aussi semble-t-il. Elle ma demandé si mon mari serait là, je lui ai répondu quil ne le méritait pas.
Le soir même mon mari était de mauvaise humeur: il ne parlait pas. Jen connaissais la cause. Entre temps javais mis au point une tactique. Javais eu une relation avec une amie plusieurs semaines avant que je le rencontre. Cette relation jen rêvais quelque fois. Il marrivais quelque fois de me masturber en me voyant entre ses bras pendant que je membrassais. Je ne voulais quun chose: me venger en jouissant avec sa maîtresse et lui. Pour commencer jallais dabord baiser son amie. En réalité javais menti: je comptais bien faire lamour avec la fille en attendant que mon mari nous trouve nues sur le lit de notre chambre.
Le lendemain donc son amie venait comme prévue. Elle était même sortie plus tôt, vers 16 heures. Je laccueillais donc par un baiser sur la bouche. A ma grande surprise elle y répondait: nos langue commençaient la danse de tout les amants. Sans perdre de temps, nous allions nous coucher. Je la déshabillait: elle était nue sous sa robe. Elle men faisait autant, jétais dans la même tenue.
Nous nous sommes encore embrassées avec plus de vigueur que la première fois. Collées contre lautre nous sentions nos seins durcir contre les autres. Elle me caressait les fesses pour passer un doigt vers mon anus. Je la laissais faire parce que jaime quand on me fait ça. Moi, je ne faisais que chercher son bouton. Elle écartait les jambes pour que je trouve facilement son clitoris. Je la branlais comme pour moi. De son coté, elle avait trouvé mon cul et y entrait deux doigts. Nos mouvement étaient coordonnées. Notre jouissance létait aussi. Nous nous sommes couchées sur le lit, sans même prendre le temps de le défaire. Nous nous sommes embrassées avant de continuer nos caresses sur le seins et nos mains descendaient plus bas.
Cest elle qui a recommencé avec deux doigts dans le cul. Jy répondait la première. Jétais dessous elle: nous avons changé de place.
Nous jouissions encore quand mon mari est arrivé. Quand il ma vu ainsi avec quel autre fille il en devenait tout rouge, par contre quand il sest aperçu qui était la femme à mes cotés, il est carrément devenu violet. Nous faisions celles qui ne lavaient pas vue, surtout que notre amante jouissait à cet instant. Pas trop rancunière nous linvitions à venir baiser avec nous.
Lexcitation faisait place à la jalousie. Nous le regardions quand il était nu, avec sa bite au garde à vous. Nous le connaissions assez pour savoir qu il était parti pour une longue période dérection: il pourrai nous baiser toutes les deux. Pour bien faire remarquer que jétais au courant de leur relation, cest notre commune amante qui lattirait vers elle: elle était encore sous moi.
Je laissais ma place. Il pouvais entrer dans sa maîtresses sans difficultés tellement elle était mouillée pas sa cyprine et ma salive. Il la baisait comme si je nétais pas là. Notre amie, heureusement pour moi, ne mavais pas oubliée. Elle posait une main sur mon bas ventre à la recherche mal commode de mon bouton. Quand elle le trouvait elle commençais une masturbation pas ordinaire: elle avait le vagin rempli de la bite de mon mari et trouvait le moyen de me donner du plaisir. Elle arrivait à me faire partir une ou deux fois.
Enfin il jouissait de là ou avant javais donner des orgasmes. Quand il sortait du vagin de sa maîtresse sa bite avait encore belle allure. Je me mettais en levrette: javais envie de me faire enculer. Pourtant je demandais à mon amie de passer dessous pour me sucer à la fois. Cest elle qui guidait le pine de mon mari vers mon cul. Quand il était à fond, elle a mit sa langue juste à lendroit que jaime: sur le clito.
Il bandait encore. Cette fois nous voulions jouir tous les trois ensemble. Il sest mis sur le dos.
Notre amante est venue se mettre sur lui après lavoir enjambé. Elle sest mise seule la queue dans son anus: elle sy est assise lentement pour faire durer le plaisir de la pénétration. Elle était les genoux pliés entre le corps de mon mari. Jattendais quelle se soit faite pénétrée à fond.
Placée comme elle était je pouvais également intervenir, surtout que je posais mon entre jambes sur la bouche de mon époux. Il léchais tout avec délice pour moi. Jétais penchée en avant: je pouvais branler lautre et lembrasser. Nous avons jouis tous le trois.
Maintenant deux ou trois fois par semaine nous baisons en trio. Pourtant la plus part du temps nous baisons entre filles: nous y avons pris goût.
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