La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°739)
soumise en de bons thermes - (Hors-série) -
En ce premier jour de vacances, je suis allé aujourdhui un moment à la piscine afin de faire quelques longueurs pour décontracter mes muscles. Jai passé par contre les 20 dernières minutes dans le jacuzzi à rêvasser. Cest là quau bout dun petit moment, une main chaude sur ma croupe me caresse doucement, lexcitation monte, je métire ce rêve est merveilleux. Hummmm, je le trouve extrêmement réaliste.
- « Debout, ma belle ! »
Cette voix je la connais bien. Oui, très bien et lorsque elle me dis quelques chose, je dois lui obéir, je ne peux pas men empêcher. Il ma dit de me lever alors, sans me poser de question, je me redresse, me mets à genoux, jattends sagement.
La soirée dhier me revient à lesprit. Oh, oui, que de moment délicieux passé avec mon Maître vénéré. Pourtant le lieu ne sy prêtait guère. Cette chambre dhôtel anonyme au rideau déprimant, je regarde autour de moi. Je dois avouer que jamais je naurais cru prendre autant de plaisir sur ce tapis dun marron délavé ou encore attachée au bureau posé dans un coin. Non, je ne verrais plus les chambres dhôtel pareillement.
- Prépare-toi ! Nous partons bientôt.
- Oui, Maître
Ce fut la seule réponse que je pus répondre. Après tout, le Maître a toujours raison. Je monte dans la voiture. Je ne sais pas où Il memmène, mais ça na aucune importance. Jaime me laisser guider par mon Maître, ne plus penser, ne rien savoir. Finalement, nous nous arrêtons devant un grand bâtiment, le bois se mélange aux vitres teintées, ce qui mempêche de deviner ce quil y a à lintérieur. Une forte odeur de chlore me monte au nez dès que jentre. Une piscine ça ne dois être que ça ! Mon Maître, menvoie chercher deux entrées. La caissière me regarde dun air bienveillant. Elle est jeune à peu près la trentaine
Elle doit croire que nous sommes de simples nageurs. Mais connaissant mon Maître, je me doute bien quil a dautre chose à lesprit que nager.
Je remercie la jeune femme dun sourire et mempresse de me rendre auprès de mon Maître pour ne pas le faire attendre trop longtemps. Des escaliers nous mènent aux vestiaires. Ce dernier est séparé en deux parties par des cabines. Il y a près de la porte dentrée une salle où mettre les chaussures ainsi que des sèches cheveux. Puis derrière la rangée de cabines se trouvent les casiers et laccès au bassin. Mon Maître sort de son sac un maillot de bain bleu quil me donne. Il est simple, sans bretelle mais assez sage.
- Mets-le !
Lordre à claquer dune voix forte et laconique. Quand Il parle ainsi je sais que jai intérêt à obéir le plus rapidement. Je me dirige donc vers une cabine quand sa voix claque de nouveau.
- Où vas-tu ? Me demanda-t-il. Je ne tai pas autorisé à aller dans une cabine. Change toi ici !
Quoi, ici ? Mon cur saffole. Je ne dis rien pourtant mais mon esprit semballe et si quelquun rentrait ou si les personnes, dont jentends les voix aux casiers, voulaient partir ou se rapprocher ? Je reste statique, mon Maître ne dit rien, Il me regarde juste dun aire impérieux. Je baisse mon regard et comme un automate me déshabille. Quand je fus entièrement nue et seulement là, je pris le maillot pour lenfiler. Pendant toute la durée, mon Maître sétait assis sur un des bancs pour admirer le spectacle. Jétais en train de remonter mon bas, lorsque la porte dune cabine souvrit. Un homme en sortit. Il était petit blond et fort obèse et il devait peser dans les 120 kilos. Ses petits yeux vicieux se fixèrent directement sur mon sexe encore à découvert. Je me dépêchai de finir de mettre en place mon maillot. Javais honte, mais je me suis vite rendu compte à la moiteur de mon entre jambes que cette petite séance dexhibitionnisme improvisée mavait excité.
Cher Maître Vénéré, Vous mordonnez dattendre près de Votre cabine le temps que Vous Vous changez.
Vous mamenez près du grand bassin puis Vous mordonnez daller faire des longueurs pour me tenir en forme. Vous mavertissez aussi que Vous seul décidez de quand jaurais assez nager. Je mélance avec entrain. Peu de personnes sont dans la piscine. Il est encore tôt et seuls quelques adultes sont là. La plus part fond des longueurs tout comme moi, seul un couple est dans le jacuzzi. Ils doivent avoir la quarantaine. Elle est rousse et ses cheveux restent secs et bouclés comme si elle avait tout fait pour ne pas les mouiller. Tandis que lui, avec ses cheveux noirs, courts et taillés dans tous les sens, on lui donnerait facilement un peu moins que son âge. De plus se yeux pétillent de malice comme un petit garçon qui sapprête à faire une bêtise.
Je ne sais pas depuis combien de temps je nage, mais je sens mes jambes faiblir, mes bras me font mal et je nage de moins en moins vite. Je Vous regarde, mais couché au soleil derrière la bais vitrée Vous lisez le journal et semblez très indifférent de mon sort. Ce que je ne sais pas cest que Vous mobservez depuis le début, et que Vous avez remarqué que je faiblissais mais Vous voulez que je sois tellement fatiguée afin que je Vous en sois reconnaissante de me faire arrêter mon effort.
Ce qui évidement se passa. En effet, lorsque Vous me faites signe de Vous rejoindre dans le jacuzzi que Vous venez de rentrer je suis si contente darrêter de nager que je Vous remercie pour Votre bonté. Cest là que Vous me demandez de Vous montrer ma reconnaissance. Je reste interloquée. Comment puis-je Vous montrer ma reconnaissance dans ce lieu public ? Mais je nai pas le temps de poser cette question à haute voix, que Vous me prenez ma main pour la poser autour de Votre sexe.
Je me retourne pour voir si le couple à remarqué quelque chose. Mais ils ont les yeux fermés et la tête basculée en arrière. De plus les bulles empêchent de voir ce qui se passe sous leau. Mon autre main rejoint vite la première pour alterner caresses douces et plus appuyées. Vous mettez Votre tête en arrière et semblez profiter du massage. Je Vous entends même grogner de plaisir lorsque je me mets à Vous massez avec douceur les couilles. Ce massage marin dure un moment quand tout dun coup Vous me chuchoter.
- Grimpe sur moi et empale-toi. Ne fais pas de mouvements. Pose ta tête sur mon épaule. Fais semblant de dormir et surtout ne bouge surtout pas, quoi quil arrive.
Jexécute tout de suite Votre ordre. Jai limpression davoir attendu depuis le réveil le moment ou enfin je Vous aurais en moi. Je me mets comme Vous mavez ordonné et reste immobile, empalée sur Votre volumineux sexe dressé à lextrême. Lenvie de faire des vas et viens pour mieux Vous sentir se fait forte. Mais je reste immobile. Je ne peux mempêcher de sursauter quand Vous bouger pour Vous mettre dans une meilleure position. Le frottement sur mon clitoris a été bref mais intense. Les yeux fermés, la tête appuyée sur Vous, le corps totalement détendu, je sens cette excitation sourde qui monte en moi. Quand une voix grave me parvient aux oreilles.
- Monsieur excusez-moi. Mais les rapports sexuels sont interdits dans lenceinte de la piscine.
Cest le maître-nageur. Vous lui expliquez dun air tout à fait convaincu que je me suis juste endormie et que pour plus de sûreté Vous préférez me tenir contre Vous afin déviter tout risque de noyade. Puis Vous lui posez quelques questions sur la formation nécessaire pour être maître-nageur, pendant ce temps, je me force à être le plus statique possible. Mais tout dun coup, je sens Votre main descendre le long de mon ventre pour parvenir à mon clitoris que Vous massez avec lenteur. Cest merveilleux, je sens lorgasme monter, restée sans bouger étais déjà dur avant, mais là ça devint carrément une réelle mentale.
Jessaye alors de me ressaisir en écoutant Votre conversation, mais je narrive pas à penser à autre chose quau plaisir que Vous me donnez. Je frissonne de plaisir, jespère que le sauveteur vas bientôt sen aller pour que je puisse jouir en paix, mais voilà que Vous accélérez Vos caresses. Jentre carrément en transe, lorgasme déferle sur moi. Je me retiens de ne pas crier, je me force à rester statique et Vous pendant que lorage se déchaîne en moi, Vous continuez Votre conversation comme si de rien était.
Je suis fatiguée, je ne peux plus bouger, je suis complètement liquéfiée par le plaisir que Vous venez de moffrir. Des larmes de bonheurs coulent lentement, Vous les essuyer. Puis me prenant par les hanches Vous me faîte faire quelques mouvements de vas et viens Puis dans un grand soubresaut Vous éjaculez au plus profond de mon être. Je redresse la tête, le couple nous regarde dun air entendu en nous souriant. Le maître-nageur rentrant à sa place nous tournait le dos... Une chose est sûre, je ne pourrais plus jamais aller dans un jacuzzi sans repenser à ce magnifique moment passé en Votre compagnie.
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Deuxième jour aux bains thermaux.
Bon ok, il est médecin privé, il touche sa retraite et travaille toujours sans déclarer pour des personnes riches. Mais cet étalage de richesse, ce mode de vie matérialiste nest pas vraiment mon truc. Je suis dailleurs gênée par cette prodigalité. Je sais que ça ne risque pas darriver, mais jai toujours cette sensation que jai une dette envers lui. Je dois avouer que même sil ne mattire pas du tout sexuellement, je nai pas pu mempêcher de fantasmer sur le fait quil moblige à le remercier, à le payer en nature.
Je me vois à genoux la bouche e par ses mains, jai envie de me dégager, je nai pas envie de le prendre en bouche mais je suis obligée, il me force, je suis attachée, je ne peux me débattre. Son vit métouffe, mes yeux coulent, jessaye de retirer ma tête par à-coups mais sa main sur le contour de ma tête mempêche le moindre mouvement. Lorsque je ferme les yeux je me vois donc à genoux sa verge enfoncée jusquau fond de ma gorge, son gros ventre en avant reposant presque sur ma tête, ses couilles écrasées contre mon menton, son corps agité par des soubresauts lorsquil éjacule. Je lentends me dire
- « Aller ma salope, remercie moi comme il faut ! Applique toi pour tout ce que je tai offert ! Humm, cest bon, ma petite chienne ! Tiens avale, avale le bon jus de médecin ! »
Mais le plus dur, Maître, cest cette sensation de honte. Honteuse de penser ça dun grand-père tout ce quil y a de plus honnête, honteuse dimaginer de telles scènes, davoir de telles pensées et honteuse dêtre mouillée en y pensant
Est-ce normal, Maître, ce sentiment de honte ?
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Troisième jour à lhôtel et de nouveau aux bains thermaux.
Je Vous attends depuis 10 minutes déjà, dans mon esprit, je me repasse le pourquoi du comment je suis arrivée ici. Vous maviez donné rendez-Vous il y a une semaine déjà, Vous mavez envoyé par mail, ladresse, lheure, le jour et comment Vous me vouliez. Puis plus rien. Durant ces 7 jours pas une nouvelle, pas un mot, pas une parole. Le stress est bien monté, je me suis demandé si Vous désiriez toujours que je vienne, si Vous maviez oublié, pourquoi Vous ne me parlez plus. Vous ai-je mécontenté ? Sûrement, mais je ne sais ce que jai fait. Il me faudra être parfaite aujourdhui pour me faire pardonner.
Les yeux bandés, jattends nue devant cette porte entrouverte, jentends des voix dans le couloir, cest celle très reconnaissable de la concierge, je rougis en pensant à ce quelle doit croire de moi. Je me revois en effet, selon Vos ordres, à genoux devant elle pour lui demander la clef de lappartement.
- « Mon Maître, ma envoyé chercher les clefs pour lui préparer un lieux digne de sa venue et pour préparer sa chienne ! »
Cette phrase narrête pas de me revenir en tête, cest celle que jai osé prononcer devant cette dame. Oh, comme je me suis sentie chienne, comme je me suis sentie inférieure et comme jai fini excitée par cette simple phrase. Un bruit de porte que lon ferme se fait entendre sur le perron dà-côté. Cest le voisin et mon visage pourtant déjà rougie de honte prend une teinte tomate en pensant à ce que lui doit penser de moi. Son sperme, me coule dans le dos, je me sens sale, mais jamais je noserais me laver. En effet, Vous maviez écrit que Vous me désirez déjà utilisée quand Vous arriverez, et pour ce faire Vous aviez laissé deux numéros dappartements où je pourrais trouver ce que je cherche. Je me suis rendue donc en string, comme demander au premier numéro. Jai sonné et me suis mise à genoux pour attendre que lon vienne me répondre. Je me souviens de lexcitation, de la peur et de la douleur dans les genoux car le tapis était rugueux. Je me souviens aussi du soulagement mêlé de déception lorsque personne na répondu. Je me vois me rendre au deuxième numéro, toujours aussi stressée, la sonnerie retentie. Jai tout juste le temps de me mettre à genoux avant quun homme dune trentaine dannée apparaisse.
- Mon Maître, va daigner me rendre visite, mais avant son arrivée, Il désirait que je sois à quelquun dautre, voulez-vous je vous prie me rendre ce service de me baiser comme une chienne ?
-Je ne pense pas salope, dit-il en glissant sa main dans son pantalon, car vois-tu je suis fidèle à ma copine.
Un sentiment de panique menvahit, comment vais-je pouvoir contenter mon Maître, si il se refuse à mutiliser. Je me mets à pleurer, je lui dis que je suis prête à tout. Quil faut quil me prenne car mon Maître, men voudrait et aussi que je serais punie.
- Punie ? Mais cest une bonne idée ça, cest tout ce que mérite une salope comme toi.
- Je vous en supplie prenez-moi comme une chienne.
- Bon, je veux bien te rendre ce service, mais seulement si tu acceptes que je te prenne par derrière en tenculant, après tout ma copine me refuse toujours cet accès et je dois avouer que ça me manque.
- Merci, Merci, Monsieur, enculez-moi !
- Aller enlève ce string et retourne toi, salope !
- Quoi ici, sur le palier ?
- Ben, oui, salle chienne, déjà que je perds du temps pour toi, je ne vais pas en plus te suivre pour tinstaller comme tu le voudrais. Faut pas exagérer !
Je me suis alors retournée en le remerciant, mon string fut vite arraché, il ne prit même pas la peine de me lubrifier, cest à peine si il me cracha dessus quil me pénétra sauvagement à la hussarde. Son entrée fut très douloureuse, javais limpression quil me déchirait. Il me besogna comme un sauvage, violemment sans préambule, ces coups de boutoirs virils violant mon anus sans ménagement. Par ailleurs mon fondement reste douloureux encore maintenant. Je dus me retenir de crier. Il fit quelques vas et viens puissants puis il se retira et éjacula sur mon dos. Je le remerciai et il mobligea à le nettoyer de ma langue pour bien le finir. Cest avec son sperme dégoulinant que je pus retourner à lappartement me mettre en position, la honte et lexcitation ainsi que la frustration de navoir pas joui se mélangeaient en moi
La porte souvre, je sens le souffle froid de lair frais, je reviens à la réalité brutalement, jabandonne mes souvenirs pour me concentrer uniquement sur Vous. Enfin plutôt sur la présence que je sens. Je tente de deviner ce que Vous voyez, ce que Vous pensez. Je Vous entends faire le tour de lappartement, visiter les deux chambres, passer devant les murs blancs, sarrêter quelques secondes devant le poster des cascades, et Vous asseoir dans le canapé. Puis le silence, je sais que vous mobserver sans dire mot, je sens votre regard pesant sur moi. Puis un coup de sifflet retentit assez fort pour me faire sursauter mais pas assez pour déranger les voisins. Je comprends que je dois venir près de Vous. Je me dirige à laveuglette, je Vous entends rire lorsque je tape dans quelque chose. Puis je suis à Vos pieds. Vous me demandez de Vous raconter mon arrivée ici. Je me mets à parler et pendant ce temps Vous me caressez les cheveux comme on caresse une chienne obéissante.
Lorsque jarrive à lépisode du voisin, Vous me faites me coucher en travers de Vos genoux. Et tout en Vous parlant, Vous admirez les longues traces de sperme qui sécoulent lentement de mon dos vers mon fondement. Lorsque jai terminé mon récit, Vous menlever le bandeau, Vous me félicitez davoir bien suivi Vos ordres, Vous mavouez que Vous êtes fière de moi et Vous menvoyez laver les traces dun autre homme que Vous, mon Maître. Puis Vous mavertissez que même si Vous êtes content de moi, la journée est loin dêtre finie
Vous ajoutez que comme on est dans une station thermale, ce serait dommage de ne pas profiter des bains.
- Par ailleurs, jai un petit présent pour toi, ma salope.
Je Vous vois sortir deux pièces de tissus dun bleu profond, Vous mordonnez de les mettre, je comprends vite que cest un costume de bain, mais comme jen ai jamais porté ! En effet, le bas est tellement petit quil me cache à peine les fesses et sur le devant mes lèvres ressortent si je marche trop vite ou écarte trop les jambes. Quant au haut, cest une véritable atteinte à la pudeur à lui seul. Il est tellement serré que mes seins ressortent du bonnet. Et il est tenu par un seul lien qui sattache derrière mon dos. Tirez une seule fois et je me retrouve la poitrine à lair. Une fois Votre cadeau enfilé, je me remets devant Vous en position dattente.
- Alors ma belle chienne, heureuse du cadeau de ton Maître ?
- Oui Maître Vénéré, je Vous en suis infiniment reconnaissante !
- Alors viens me le prouver, suce-moi, pour que je sois présentable. Cest que tu es bandante dans cette tenue, petite chienne.
Je mapproche à genoux de Vous et jentrouvre Votre pantalon, Votre sexe déjà bien gonflé se redresse et pointe virilement vers ma bouche. Je Vous caresse quelques instants avec douceur, puis Vous prends en bouche. Cest un véritable plaisir davoir de nouveau cette colonne de chair en moi. Je ressers mes lèvres et doucement entame un va et vient profond. Votre main se pose sur ma tête, Vous nessayez pas de mimposer un mouvement, Vous me laissez faire à ma guise, mais je sens que Vous désirez que je Vous suce profondément, alors jaccentue mes mouvements, Vos couilles viennent frapper mon menton. Vous gémissez, puis sans avertir, Vous me retournez, ma tête en appuis sur le canapé, Vous Vous retrouvé dessus, les jambes de part et dautre de mon visage. Vos mouvements deviennent plus violents, Vous entrez puissamment en moi, Vous restez au fond de ma gorge jusquà ce que je ne puisse plus respirer, puis Vous Vous retirez. Vous mutilisez comme un vulgaire trou, je ne suis rien de plus quun endroit excitant où poser Votre vit long et durci. Je ne puis ni bouger, ni me retirer sur le canapé et Vos mains minterdisent tous mouvements. Enfin Vous Vous immobilisez au plus profond de ma bouche. Des jets de sperme me descendent directement dans lestomac. Lorsque Vous avez fini déjaculer et que jai tout avalé, comme une bonne chienne qui lape ce que lui offre son Maître. Vous me laissez me relever et Vous me dites de descendre dans la voiture. Je me penche pour prendre une robe afin de me couvrir lorsque Votre voix éclate sèchement :
- Que fais tu chienne ?
- Je, heuuu, je me couvre, Maître.
- Tai-je donné lautorisation ?
- Non, Maître, murmurai-je en baissant les yeux.
- Allez, reposes moi ça et vas dans la voiture. Et que je ne te revois plus faire quelque chose sans mon autorisation !!
- Oui, Maître.
Cest dans cet habit qui montre plus quil ne cache que je descends les étages de limmeuble, je croise la concierge qui me dévisage avec un regard hautain, puis rouge de honte je vais masseoir dans Votre voiture. Vous arrivez tout de suite après, Vous me faites écarter les jambes, Vous passez une main entre mes lèvres humides de ma chatte et Vous faites la réflexion que je suis mouillée dexcitation, malgré ma réticence première de sortir ainsi vêtue. Durant tout le trajet, je nosai refermer les jambes car Vous ne me lavez pas ordonné, je restai donc ainsi le sexe béant ouvert à tous les regards. Une fois arrivés dans le parking de la piscine, Vous menvoyer un linge et Vous ordonnez de me couvrir pour ne pas choquer les s que lon pourrait croiser. Cest quune fois dans la partie réservée aux personnes majeures que Vous me faites poser mon linge et dune voix dure, vous me dites :
- Tu nen auras plus besoin, laisse-le là, tu le récupéras ce soir. Et redresse toi, tu dois être fière de ton corps de salope ! En attendant que je me change, reste là, les mains dans le dos, la poitrine en avant sans bouger et sans regarder les personnes qui passent dans les yeux. Et rappelle-toi, quoi quil arrive, ne bouge surtout pas.
Puis Vous partez tranquillement dans les vestiaires à côté pour Vous changer. Je ne bouge pas malgré lenvie que jai de cacher mon corps aux regards masculins que je sens peser sur moi. Je ne bouge pourtant pas quand une main meffleure le dos, ni quand une autre me caresse les fesses. La première main revient (enfin je crois que cest la même) je ne vois pas lhomme car il est dans mon dos, mais je sens son souffle court et excité, je sens sa transpiration et sa main moite sur mon corps. Jai envie de crier, de me retourner, de le gifler, mais je ne bouge pourtant pas. Sa main sinfiltre sous mon maillot et je vois ses doigts qui sapprochent de ma chatte. Je commence à trembler. Soudain la porte du vestiaire souvre, Vous apparaissez, je me sens soulagée, enfin Vous êtes là, Vous aller intervenir, Vous aller lui dire de retirer sa main. Mais à ma grande surprise Vous Vous asseyez sur un banc et Vous observez la scène.
La main est parvenue à écarter mes lèvres et des gros doigts commencent à me pénétrer, je sens lhomme se coller contre mon dos, je sens son sexe dur contre mes fesses, puis son autre main jusque-là inactive entre en action, elle monte vers ma poitrine et empoigne mes seins à travers le tissu. Jentends lhomme grogner, il entame des mouvements de vas et viens avec ses doigts et fait de même avec son sexe sur mes fesses. Il mutilise comme un vulgaire objet pour jouir. Bien que tremblante et apeurée, je suis aussi terriblement excitée. Lhomme est un véritable expert et bientôt je sens lorgasme enflé, jai envie de jouir, mais jai encore un peu peur de mabandonner. Je relève la tête et croise Votre regard. Vous me souriez, et cest mon regard accroché au Votre que je me laisse aller. Cest comme si cétait Vous qui moffrez ce plaisir au travers de linconnu. La jouissance explose. Je me mort la lèvre pour ne pas crier, mais mis à part mes jambes qui tremblent de plaisir, je ne bouge toujours pas.
Lhomme retire sa main de ma poitrine, mes seins compressés me font mal. Je le sens glisser sa main entre nos deux corps. Il baisse son slip de bain et veux faire de même avec le mien. Mais Vous intervenez, Vous lui dites que je Vous appartiens et quil ne désire pas que je sois utilisée par quelquun dautre encore une fois aujourdhui. Lhomme soupire que cétait trop beau pour être vrai et que maintenant il devra se débrouiller avec une érection denfer impossible à cacher. Vous lui proposez alors que je le finisse à la main, mais pas ici. Dans un lieu un peu plus distrayant. Cest dans le hammam que Vous nous amenez. Un seul homme se trouve dans le coin, mais semble dormir et avec la buée, il ne risque pas de toute façon de voir grand chose. Vous mordonnez de donner du plaisir à lhomme, je prends sa verge en main et je la caresse, alternant des frôlements délicats et des caresses plus serrés. La vapeur fait bien coulisser sa pine, je sens Votre main défaire le lien du haut de mon maillot et celui-ci séchoue sur le sol. Je prends lhomme entre mes seins et continue à le branler. Quelques vas et viens plus tard il éjacule abondamment sur ma poitrine et mon visage. Il Vous remercie de Votre générosité puis sans un regard pour moi sort du hammam. Vous menvoyer à torse nu me laver dans la fontaine qui se situe au milieu de la salle. Quand je reviens vers Vous Votre volumineuse bite est déjà sortie.
- Chevauches ton Maître, et donne Lui du plaisir, chienne !
Furent les seuls mots prononcés. Je me mis à genoux sur vous écarta mon bas et descendis sur Vous. Jenfouis Votre queue au fond de mon vagin avec un immense plaisir. Jai beaucoup de peine à me retenir de gémir alors que je venais de jouir. Mais enfin Vous me pénétrez, oui enfin je Vous sentais en moi. Javais limpression davoir attendu ce moment toute la journée. Je me mis à sautiller sur votre manche. Votre queue me pénètre puissamment, au bout dun moment, jéclatai de jouissance, puis je sentis Votre sperme memplir et je compris que javais accomplis mon rôle comme il fallait puisque javais donné du plaisir à Vous mon Maître. Un autre râle se fit entendre. Je me retournai juste à temps pour voir lhomme qui dormait se caresser une dernière fois et éjaculer devant notre spectacle.
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