Fantasme À L'Aéroport
Le terminal de laéroport de Madrid était très fréquenté ce jour daoût. Cétait la fin de lété, mais à Madrid, le soleil brillait encore, le ciel était toujours bleu, et la chaleur était pesante.
La capitale espagnole est une ville dynamique où lon croise beaucoup de jeunes couples. Evidemment, je suis plus intéressé par les jeunes hommes que par leurs copines ou leurs femmes. Cest juste une question de goût. Ce jour-là, jétais arrivé très tôt à laéroport, peur de rater mon avion, et pour joindre lutile à lagréable, jen ai profité pour regarder défiler les beaux gosses musclés, bronzés, espagnols ou internationaux quimporte
Javais dû en mater des dizaines. Alors dans laprès-midi, jétais surexcité. Et je pensais de plus en plus à un éventuel plan cul et / ou suce. En sachant que, dans de telles circonstances, ça serait difficile : primo, je ne parle pas la langue de Cervantès, donc pour aborder un partenaire, ça serait plus que délicat, secundo, je ne connaissais personne, et en plus à laéroport où faire mes affaires avec un mec ? Nempêche que lenvie de sucer une bite me prenait de plus en plus, au point de devenir obsédante les yeux en permanence rivés sur les braguettes masculines que je voyais. Jaurais dû les compter- il manque ici une information capitale : combien de bites jaurais pu sucer et combien de vidanges jaurais pu donc effec ! A combien dhommes aurais-je pu rendre service ? Cest vrai, je considère la fellation comme une bonne action: bien pomper un homme, cest le rendre heureux ! Cest pour cette généreuse raison que je suce autant !!
Les Espagnols, comme les Méditerranéens, prennent leur temps. Ils ont bien raison. Et le temps défilait lentement. Assis dans un café, javais dû boire des litres d « Americano », et conséquence naturelle, javais envie daller aux toilettes
Jimaginais y aller pour faire pipi et aussi me branler un bon coup, accessoirement. Mater des paquets toute la journée, ça remplit les couilles, et cest mieux de les avoir vidées.
Je me dirige donc vers des toilettes près du café. Elles sont relativement peu fréquentées. Cest super, si jamais mon souffle devenait haletant quand je mastiquerai le manche. Je ne sais pas pour vous, mais moi, jaime bien me branler dans les urinoirs, cest mon côté un peu exhib du genre : « Après tout, jai pas besoin de me cacher ». Je me positionne donc devant lurinoir à gauche, et arrive un agent dIbéria compagnie nationale espagnole qui vient pisser à deux urinoirs à ma droite. Je pisse - tant pis pour la branlette, je referai un tour aux chiottes plus tard - et quand je termine, en me retirant, je jette un il à droite et je vois ce mec qui tient sa bite. Le peu que jen ai vu ma laissé deviner une tige bien large. Mais bon, cest trop tard, je dois quitter cet endroit, encore plus excité quavant. Je me lave les mains, lhygiène, cest important, et je vois dans le miroir cet agent qui se lave les mains aussi. Et nos regards se croisent : il doit avoir dans les 37 40 ans, brun, assez beau gosse, musclé, viril, et la coiffure impeccable. Mais surtout, ses yeux laissent échapper quelque chose de coquin, voire torride jaimerais prendre ça pour une invitation à une bonne partie de cul, mais je me dis que ça doit juste être le sang espagnol.
Du coup, je quitte les chiottes, la queue entre les jambes, et je retourne masseoir pas très loin. Et jattends. Jattends quelques minutes pour revoir ce type à la grosse queue, a priori, mais il ne sort pas. Bizarre. Très bizarre même parce que je me suis installé à un endroit où je le verrai sortir : il ne peut pas quitter les toilettes sans passer devant moi ! Et puis, une idée me traverse lesprit. Je me dis : « Si dans deux minutes, il nest pas sorti des chiottes, alors ça veut dire quil attend un plan cul, et dans ce cas-là JE FONCE ET JE LE POMPE !!! »
Et ce qui devait arriver est arrivé. Quand je me redirige vers les toilettes, sort ce bel homme et on se croise.
Il était si chaud quil avait déjà sorti ses grosses burnes aussi. Alors que faire ? Après tout, je nallais quand même pas le laisser en plan le pauvre, et une grosse queue comme ça, ça ne se refuse pas. Je me suis donc baissé et jai pris son zob dans la bouche et je lai à peine suc é pour y goûter, et pour lui faire comprendre que « Oui, ton chibre a bon goût, et je veux pomper ton jus, mec !! »
On est allé sisoler dans des toilettes, et sans même fermer la porte, je me suis accroupi, et jai pris son gros sexe dans ma bouche. Je lai sucé goulument, avec plaisir. Je me suis redressé pour lembrasser mais il a tourné la tête en disant « No ». Ca, et la bague au doigt : il était marié, sûrement à une Maman magnifique mais qui ne le suce plus !
Sa femme ne sait pas ce quelle perd : moi je lai pompé, jai massé son gland avec ma langue, je lui ai léché les couilles, et je remontais jusquà son prépuce. Je sentais quil aimait ça car il gémissait discrètement. Moi aussi, je gémissais, je remuais un peu le cul, je me sentais comme affamé. Jaurais pu le pomper pendant des heures ce gros calibre, mais il fallait faire vite : il devait certainement retourner au boulot et moi prendre lavion. Je lai sucé, en accélérant la cadence, en le masturbant aussi. Je caressais ses cuisses fermes et son cul bien rebondi ce qui mexcitait encore plus.
Je ne pouvais plus men empêcher, je voulais du sperme, je voulais goûter et avaler son jus de mâle viril. Et donc, sans retirer sa queue, jai aspiré jusquà ce que je sente son liquide dans ma bouche, de bonnes giclées de sperme chaud sont venues me remplir. Il a sorti son gros sexe et jai vu une dernière goutte blanche sur son gland que je me suis empressé de lécher avant quil ne lessuie : je naime pas le gaspillage ! De la bonne crème comme ça en plus, directement à la source, on ne la gaspille pas !
Il est parti après sêtre essuyé la bite avec du papier toilettes, il est parti se laver les mains. Moi, jai attendu un peu, le temps de me remettre de tout ce plaisir quil mavait donné. Et puis, jai quitté les chiottes, et je nai plus arrêté de penser à cette bonne bite bien juteuse que jai eu le bonheur de pomper. Limprévu, ça a du bon ! Et surtout, mon bel Espagnol ma permis de réaliser un fantasme.
Je dois lui dire : « Muchas gracias ! »
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