Mes Vacances Chez Mamie

J’adore aller en vacance d’été chez mes grands parent. Pourquoi ? J’y suis bien, ils sont gentils, je fais ce que je veux c’est-à-dire pas grand-chose. LE lieu me plait également. C’est un petit village d’une centaine d’habitant tout au plus dont la moyenne d’âge est….Comment dire ???? Relativement élevée. Je dirais même plus très élevée. Le premier bourg de grande envergure est de 5000 habitant et se situe à une vingtaine de km. Autant vous dire qu’on y est tranquille ! Mes journées se résument en deux phases : une phase « grand parents » c’est-à-dire discuter, les aidés dans le travail quotidien et une phase « perso » où je disparais de longues demi-journées…

Pour ma partie « perso » je m’habille assez léger : petite robe d’été, et des baskets (sans paraitre trop vulgaire car tout le monde ce connait dans ce village). Je suis sans culote ce qui m’excite énormément. J’ai l’impression que tout le monde le sait. Il n’en est rien car ma grand-mère m’aurait déjà tué pour ça. Et je pars me promenée dans le village avec mon sac à dos. Après avoir fait mon tour habituel et salué les vieux du village ; je m’éloigne dans les champs. Je franchis quelques barbelé et m’enfonce dans un petit bois. Personne ne vient ici. Trop éloigné de la moindre route. Le bois n’est pas entretenus et il faut s’y frayé un passage. Mais après un moment de marche, le jeu en vaut la chandelle ! Il y a une petite clairière a flanc d’une petite falaise (enfin, je ne sais pas si le terme est bion car ça ne fait pas plus de 2/3 mètres) L’endroit est ombragé avec ce qu’il faut pour être en plein soleil. Un petit ruisseau couleur cristalline y coule doucement. Il y a même du sable à cette près d’une retenue d’eau où l’on peut s’y baigner ou plutôt s’y trempé car il n’y a pas plus d’un mètre de profondeur et la surface n’est pas très grande mais ça me permet de m’y rafraichir. J’y dépose également ma bouteille d’eau pour la maintenir bien fraîche. Et là… je lis.

Je lis des heures. J’entrecoupe ça de rafraichissements, de bronzage et de… masturbations. Je m’y mets souvent nue et j’imagine des tas d’homme me regardant le sexe tendu de désir. Je m’imagine soumise ou encore à faire l’amour de façon romantique à bestial. J’ai tout imaginé à cet endroit et j’y ai eu de nombreux orgasme…

A quelques jours de la fin de mes vacances, j’arrive et j’y découvre une boite. A l’intérieur, un sextoy tous neuf dans son emballage avec quelques mots « Afin que tu puisses nous faire profiter d’avantage de tes après midi ». Prise de panique, je suis partie sans oublier mon nouveau cadeau. Un voyeur ? Un maitre chanteur ? Un fou ??? Je n’y suis pas retournée cette année-là.

L’année suivante, j’ai mis plusieurs jours à me décider avant d’aller dans mon repère. Ma tenue était beaucoup moins coquine, plus randonneur… Je n’étais pas loin de défaillir lorsque j’y vis une boite sur le sentier qui menait à mon sanctuaire avec à l’intérieur un bikini deux pièces qui devait avoir en tout et pour tous 10cm carré de tissus « Sois la bienvenue Delphine. Comme tu peux le constater, personne n’est au courant au village. Soit sereine, je n’en parlerai à personnes. Je n’y mets aucunes conditions. C’est notre secret ». Apeurée mais étant habillée de façon légitime, je pris le risque de poursuivre mon chemin. A moins d’une centaine de mètres de mon repère, j’entendis des cris de plaisirs. Un couple devait sacrément s’y amusé. Je n’ai pas osé aller regarder. Je fis demi-tour les larmes aux yeux, ma cachette, mon lieux de prédilection, mon repère secret ne l’était plus. Arrivée vers le barbelé de la prairie, une lettre avec mon prénom. Mon voyeur de l’année dernière me suivait probablement. Je pris peur. J’ai courus jusque chez mes grands-parents et, une fois en sécurité, j’ouvris la lettre :

« Chère Delphine ; Mes cadeaux avaient pour but de t’éloigner de ce lieu. Ce n’est pas ton royaume, c’est le nôtre. Crois-tu logique que cet endroit soit parfaitement entretenus alors que tu n’y a jamais rien fait ? Connais-tu beaucoup de mini plages de sable au bord de ce ruisseau ? Ne trouves tu pas ça étranges qu’aucuns chasseurs, randonneurs y viennent ? C’est un endroit privé ! Lorsque tu as découvert cet endroit, tu étais bien trop jeune pour que je te demande de ne pas y venir.
C’était bien trop risqué que tu en parles et que notre cachette soit découverte. Ma femme et moi sommes donc obligés de déserter ce petit paradis lorsque tu viens en vacances. J’ai essayé de te faire peur. Je m’en excuse. Maintenant, tu sais. C’est à nous et pas à toi. Nous t’autorisons à y aller. Mais, maintenant que tu es en âge, saches que nous n’avons plus l’intention de te le laisser pour toi toute seule. Nous irons quand bon nous semble et nous y ferons ce que nous voulons. Que tu y sois la première ou que tu arrives après nous, nous nous installerons. Saches cependant que tu y es la bienvenue et que si ça te plais, tu peux rester à nos côtés. Maintenant, le chantage…. Cette histoire est secrète, elle est entre nous. Nous ne dirons jamais rien. Fais de même. Si par hasard tu en parles, saches que j’ai une vidéo de toi l’année passée… Passes de bonnes vacances. »

Une multitude de sentiments se bousculaient dans mon esprit. Voulaient-ils que j’y aille ? N’étais plus la bienvenue ? Ils m’avaient privé de mon repère ! Non.JE les avais privé de leur sanctuaire. J’avais très envie d’y aller, ne serais ce que pour savoir qui, parmi tous ces vieux, vivaient encore d’amour et d’eau fraiche. En même temps… Y aller en randonneuse… c’était pas très fairplay. J’ai réfléchis une bonne partie de la nuit. Très excitée j’ai décidé d’y aller. Comme les années précédentes, dans le même genre de tenue. Arrivée là-bas, je me suis installée et j’ai lus. Impossible de me concentrer tellement je mouillais. Je n’osais pas cependant me toucher. J4ai trouvé le temps long ! Pour la première fois, ce n’est pas ce à quoi je m’attendais. Je ne voulais pas être seule. Mais j’ai faits choux blancs. J’y suis retournée le lendemain. J4ai poussé jusqu’à mettre ce bikini. Je me sentais ridicule là-dedans, honteuse. Il cachait tous juste mon abricot et mes tétons. LE reste n’était que nœud et ficelle. J’avais opté pour une robe noire volante qui était assez opaque afin que je sois sure que ma tenue dessous soit invisible.
Pendant tous le trajet, j’étais partagée entre peur et excitation. A 50 mètres du repère, j’entendis des voix. J4ai faillis faire demi-tour mais j’ai quand même poursuivis ma route. « Bonjour » dis-je d’une voix mal assurée. Un couple, petite soixantaine était là. Nus sur deux serviettes en train de lire. Ils se tournent « bonjour Delphine » disent-ils d’une seule voix. Merde ! Jacques et Jacqueline. Jacques et la seule personne du village à ne pas avoir de ragots sur lui. Si ma grand-mère savait… Avec son visage sympathique, son ventre imposant et… son zizi … heu… petit… Est-ce à cause de son ventre que j’ai l’impression que son sexe et bien en dessous de la moyenne ? Je digresse, pardon. Jacqueline, quant à elle, est considérée, a l’inverse de son mari, comme une asociale. Toujours vêtue comme une petite vieille. Mon dieu comme elle ne l’est pas. Son physique ferait pâlir facilement 50 % des femmes trentenaires ! Mis à part ses pattes d’oies, pas de rides. Son ventre est plat sans vergetures alors qu’elle a eu deux s, ses seins... imposants... Me rendent jalouse !

Je m’installe un peu à l’ écart. Personne n’entame la conversation. Je me mets à lire, ou plutôt à faire semblant. Je regarde leurs corps. Le yin et le yang. La belle et la bête… Jacqueline me jette un œil :

« Tu ne te fais pas bronzer ?

- Non.

- Pourquoi ?

- C’est que... ?J’ai pas choisis la bonne tenue !

- Ha… On t’avait pourtant prévenue non ? allez ! rassure-toi ! On tas déjà vue à poil dans des positions bien plus dégradantes ! »

OK… Là je sais pourquoi on la considère comme une asociale ! Elle sait mettre en confiance les gens elle. Plus par défit que par envie, je fais tomber ma robe. JE regrette instantanément mon geste. Jacques pose son livre et regarde. « T’as mis mon cadeau ? Il te va à ravir ! » JE pars déposer ma bouteille dans le ruisseau et retourne m’allonger sur ma serviette.
JE pointe, je mouille, et je suis sure que ça se voit ! Mais, cette honte ne me calme pas ; elle m’excite d’avantage. Encore à peine d’excitation et le tissus ne Pourrat cacher que la pointe de mon téton ! (non je ne suis pas du sud.) Je me plonge dans mon livre. J’arrive à comprendre un peu mon chapitre mais j’ai l’impression qu’ils me matent. J’ai envie de me doigter. Là. Maintenant, devant eux. Mais je n’ose pas. Je détourne quelques secondes le regard vers eux. Jacques lit sur le dos. Le sexe tendu. Sa femme le tripote. Jacqueline est sur le côté, derrière son mari par rapport à moi. Elle me regarde sans la moindre gène. Elle a une jambe allongée, l’autre repliée. Je suppose que son mari la tripote également mais je ne peux voir plus précisément. Elle me fixe du regard. J’ai envie de passer ma main entre mes cuisses… non ! Il ne faut pas ! Finalement, Jacqueline lui monte dessus. Elle prend la verge de son homme qu’elle introduit en elle. Elle se colle à lui. Je les entends se dire des mots doux. Ils vont doucement. De lents vas et viens. En mon fort intérieur je prie pour qu’elle se redresse. Redresse toi un peu stp me dis-je. Je veux mieux voir ; plus en détail mais je suis paralysée. Je n’ose bouger. Je regarde sans oser me toucher. Moi qui pensais que j’allais être le spectacle de ses deux voyeurs, me voilà fascinée par leurs ébats. Après un certain temps (que je ne saurais déterminer) elle s’est retirée. Lui a demandé de s’allonger dans l’autre sens puis s’en empalée de nouveau sur lui. Ce coup-ci, elle lui tourne ne dos, elle me fait face. Jacques ne me voit plus, sa femme me cache. Elle ondule sur lui, c’est un régal. Elle se doigte le clito, ce caresse les seins. Ce spectacle est pour moi… Jacqueline me fait signe de m’approcher. J’hésite. Une seconde. Je vais silencieusement près du couple. Je vois le sexe de jacques apparaitre et disparaitre en elle. Elle me prend la main et la pause sur sa cuisse. Je me laisse faire. Elle me fait caresser les couilles de son mari. J’entends un « hum… c’c’est bon ! Encore chérie » je recommence seule. Je me rends compte que ses couilles sont toute lice, comme tous son corps, comme sa femme. Elle me reprend la main pour la dirigée sur ses seins, son ventre, son clito et de nouveau les couilles de son homme.

Je refais sagement le même parcourt. Elle se penche un peu et tente de défaire mon haut de bikini. Je me recule. Elle n’insiste pas. Je reprends mes caresses ils gémissent plus fort et bouge de façon plus ample.ma main gauche part dans ce qui me sert de « string » je me doigte et les caresse. Pourquoi ne suis-je pas ambidextre ? Je suis partagée. Plus moi ou plus eux ? Le destin ne m’en fera pas choisir. « Je vais bientôt jouir « dis jacques dans un râle. JE repars vers ma position initiale silencieusement. Jacqueline ce retire. Elle lui met une capote. Je les regarde faire. Elle me regarde « tu préfères nous voire de face ou de côté ? » J4opte pour la deuxième solution. Les voilà en levrette. Ils me regardent. Ses coups de reins sont assez puissants et les seins de Jacques bougent plus que ceux de Jacqueline. Pendant que Jacqueline ce fait ramonée, elle m’explique que le préservatif est indispensable car il éjacule beaucoup trop de sperme à son gout. Jaque rigole et reprends plus fort. Il me regarde, la pilonne. Il me regarde avec une telle intensité que j’ai l’impression que c’est moi qui reçois ces coups de bites. J’en peux plus. Je défais le bas de mon bikini. Me met à genoux et me doigte vigoureusement. J’ai l’impression qu’il me baise. Qu’elle me lèche. Ça va de plus en plus vitre, de plus en plus fort. JE ne sais pas si Jacqueline à simulé mais ils ont jouis en même temps. Entrainant de par le fait ma jouissance.

J’ai eu comme un vide à ce moment-là. Je ne peux décrire ce qui s’est passé. Lorsque je me souviens de nouveau, ils étaient habillés. Le sourire aux lèvres. Rassure-toi Delphine. C'est un secret entre nous ! Et, on en viendra que trois fois par semaine, le mardi et le jeudi et le dimanche. Le reste du temps ce lieux et à toi. Fais comme tu fais habituellement ! Ne laisse rien trainé ! D’ailleurs, bravo ! C’est are les jeunes qui laissent pas leurs papiers ou sachet !

Je suis restée. J’ai réfléchis. JE serai là le mari, jeudi et dimanche également. Non mais…

Le soir chez ma grand-mère, nous mangions une ratatouille.

« Elle est trop bonne mamie !

- C’est Jacques qui m’a amené les aubergines et les courgettes. Qu’il est gentil ! et, c’est bien le seul du village à ne pas avoir d’embrouilles !.

Un ange passe, vêtu d’un microkini.

« Si tu le dis mamie, je veux bien te croire ! »



Voilà. Désolée pour l’orthographe.

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