Après Un Claquage
Après un claquage ;
Cela fait deux heures que nous jouons, et je commence à fatiguer, mes jambes ne répondent plus comme au début, mais je suis trop fier pour renoncer et pourtant je le devrais ; rapidement je suis dépassé et en voulant récupérer une balle, une violente douleur me déchire la cuisse ; mon adducteur vient de lâcher et cest aidé par mon ami que je quitte le court de tennis. Jai voulu tenir tête à mon copain, mais je manque dentrainement et le résultat est là ; à 50 ans, jaurais du être plus sérieux ; tant pis pour moi ; cest alors que mon ami me propose de téléphoner à une de ses connaissances afin quil me soulage et cest avec empressement que jaccepte.
Lhomme maccueille chaleureusement une heure plus tard, et mon copain me laisse « entre bonnes mains ». Cest un gaillard dun 1.85m, bien charpenté, souriant ; il me fait retirer mon short et me désignant un canapé, il me fait allonger à plat ventre et commence un massage avec de lhuile ; je ne sais si cest lhuile ou la douceur de sa main, mais ma jambe se détend assez rapidement. Sa main glisse sur ma cuisse et remonte à la limite de ma fesse, car dit-il la contracture est assez haute ; je ne men plains pas car la douleur est bien moins forte, et quand il me demande si cela me fait du bien, cest avec un soupir de bien être que jacquiesce.
Sa main remonte maintenant à la limite de mon entrejambe et à certain passage, ses doigts sinfiltrent sous mon slip, remontent sur ma fesse pour redescendre le long de mon sillon, effleurant parfois mes bourses ; je suis trop bien pour protester, bien au contraire je me laisse faire et devant le manque de réaction négative de ma part, ses geste sont de plus en plus appliqués , touchant à chaque passage mon petit trou pour finir à pleine main sur mes couilles ; le traitement commence à faire son effet, pas sur ma cuisse , mais sur mon sexe qui se tend d plus en plus et jai du mal à retenir mes gémissements de plaisir.
« cela te fait du bien ? » la phrase est à double sens et ma réponse est claire « oh oui « ; pour être plus « à laise, », il me retire mon slip et cette fois sa main me caresse directement mes attributs, soulevant mes boules pour me caresser le sexe ,le dégageant de sous mon ventre pour mieux le branler ; mais rapidement son doigt revient sur mon anneau et lenduisant de salive, il le fait vriller sur la corolle qui rapidement se distant . « tu as envie que je continue ? sans un mot, je hoche la tête, écartant un peu plus mes cuisses, lui ouvrant ainsi une totale vision sur ma raie, lui facilitant ainsi la pénétration de son doigt, bientôt suivi dun deuxième ; huilant souvent louverture, il me dilate facilement et quand trois doigts me dilatent le fion, je me cambre pour quil me pénètre un peu plus ; ma queue est tendue , mon ventre réclame une possession non connue depuis longtemps ; car si je suis marié, jai perdu ma virginité anale lors dun séjour au Maroc, sodomie renouvelée plusieurs fois depuis mais cela fait plus dun an quun homme ne ma pas possédé. Sa main quitte mon fessier, et se plaçant face à mon visage, il baisse son pantalon, laissant apparaitre un sexe de très belle taille ; il approche sa queue de ma bouche et me dit suce moi ; ma langue vient au contact de son gland, puis descend le long de sa verge, et de ses boules, il appuie la pression sur ma bouche mobligeant à le prendre en bouche ; elle est longue, épaisse, un gros gland turgescent ; me prenant la tété , il se branle entre mes lèvres, senfonçant jusquà ma glotte et ne se retirant que lorsque que jai un haut le cur. Ma main lui pétrie les boules, les encerclant pour les tirer vers le bas, ce qui rapidement lamène à la jouissance ; un flot de sperme se répand dans ma bouche, jets puissants, sucrés, si nombreux que sa semence sécoule sur mes joues.
Quand il se retire, je pense que la séance est finie ; mais il nen a rien ; il bande toujours autant et menduisant la raie de son huile, il positionne son gland sur ma rosette ; me mettant à quatre pattes sur le canapé, il le frotte, puis doucement appuie pour senfoncer ; mon conduit souvre, puis dune plus forte poussée, il me possède totalement.
Quand je suis reparti, ma cuisse me faisait aussi mal, mais ce nétait pas le seul endroit ; mais cest moi qui lui ai sollicité une autre séance, ce quil a accepté pour le lendemain soir.
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