Initiation D'Un Puceau, D'Un Jour !
Mes parents ont divorcé et ma mère s'est retrouvée seule avec trois s. Elle a trouvé un travail comme femme de chambre, dans un hôtel de passes. Les putes nous avaient pris en pitié, mes frères et moi, parce que notre père nous avait abandonnés.
L'une d'entre elles, Lola, m'avait à la bonne. Quand ma mère travaillait et que je restais dans notre chambre, Lola passait me voir. Elle avait promis à ma mère de ne rien me faire, ni me montrer, avant que j'ai 18 ans. Moi, j'étais plutôt intéressé. Elle avait un cul ! Des BD érotiques circulaient dans le bordel. J'ai réussi à m'en procurer quelques unes. Il y en avait une, dont le nom m'échappe, et qui m'avait beaucoup servi à me branler la pine. C'était un sadique, qui, pour se venger d'une femme, la dénudait, lui liait les mains, et suspendue à un hélicoptère, lui avait promis de la plonger nue, dans un puits de bitume. J'étais en train de m'astiquer le poireau, quand Lola ouvrit la porte des toilettes.
- T'as eu 18 ans hier, pas vrai ?
- Ouais, répondis-je, fièrement !
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Je lis une BD !
- Et tu te branles ?
- Ca te gêne ?
- Non, mais tu peux faire mieux !
- Ah ouais ? quoi ?
Elle releva sa robe et me montra son cul. Elle ne portait pas de culotte.
- Embrasses-moi ! dit-elle ! Et elle me tendit son cul. Je déposai un bisou sur ses fesses. Sa main se glissa entre mes cuisses, et s'empara de ma queue que je serrai entre mes doigts. Elle était brûlante. Elle se laissa tomber à genoux, et prit ma bite dans sa bouche. Sa langue léchait ma pine, visitant les moindres parties sensibles de ce futur instrument de plaisir. Elle me regardait dans les yeux, juste avant que ses lèvres ne se referment sur mon gland.
- Ah, ces jeunes, s'enflamma-t-elle, toujours prêts pour la baise !
Elle me regarda avec tendresse.
- Je vais faire de toi, le meilleur baiseur du quartier...
Elle était en train de se foutre à poil. Instinctivement, je comparai son corps à celui de la femme de la BD. Elle était cent fois plus belle. Je me voyais en train de lui lier les mains à l'hélicoptère. Ma pine se tendit de nouveau.
- Je te fais de l'effet, on dirait !
- J'ai jamais vu un beau cul comme le tiens !
- Tu veux te le faire ?
- Ouais !!!
Elle se retourna et me prit par la main. Elle s'agenouilla contre le lit et m'attira vers elle. Elle saisit ma pine, et la dirigea vers son cul. J'ai écarté ses fesses et plongé ma bite dans son trou. Soudain, la rage m'a pris, et je l'ai défoncée. Mon sperme a coulé encore une fois. Elle s'est dégagée et a repris ma pine dans sa bouche. C'était gluand, mais elle m'a nettoyé. Quand elle s'est relevée, des filets de bave et de sperme mélangés, coulaient de sa bouche.
- Voilà, dit Lola. Tu es fin prêt. La prochaine fille qui tombera sur toi, ne le regrettera pas.
- Lola ?
- Oui, Simon ?
- Je peux te prendre le cul, encore une fois ?
- Et en plus, t'as les mots qui vont avec ! Vas-y, baises-moi.
Je l'ai enculée, encore une fois, et je bandais toujours.
- Vous les mômes, vous avez toujours la santé ! Allez, grimpe, me dit-elle, en s'asseyant sur le lit.
Je montai sur ses cuisses, et enfonçai ma queue dans sa moule. Subrepticement, elle glissa un doigt dans mon cul, et j'éjaculai immédiatement. Elle me repoussa en arrière, et se glissa sur mes cuisses. Elle se colla à mon torse, se souleva, j'étais encore en érection.
- Tu bandes encore ! T'en veux encore ?
- Je suis amoureux de ton cul !
Elle se souleva, posa ma pine sur sa rosette, et se laissa retomber. Ma queue disparut au fond de son cul.
Je me penchai pour sucer ses seins. Bon dieu, quel tableau. On eu dit une déesse. Je glissai mes mains sous ses fesses. Elles paraissaient faites pour moi. D'abord, il y avait la vue. Elles étaient petites, rondes et fermes. Ensuite le toucher. Mes mains épousaient complètement le galbe de ce cul magnifique et puis, quelle moiteur, presque aussi douce que sa bouche. Une fois, ma queue était au fond de son cul. Elle s'est assise sur mes cuisses, et a relevé ses genoux contre son torse. J'ai passé mes bras autour de ses cuisses et enfoncé encore plus profond, ma pine dans son cul. J'ai joui, pour la quatrième fois.
Quand ma mère est rentrée, elle m'a trouvé endormi, un sourire de de satisfaction sur les lèvres.
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