Sauter Le Pas...Les Tâches Ménagères !
Je ne sais pas ce quil en est pour vous, les mecs, mais moi, le célibat, cest pas un truc fait pour moi ! Labruti qui a dit quil vaut mieux vivre seul que mal accompagné ne connaît rien à la vie quotidienne ! Depuis que je suis divorcé, jai limpression daccumuler les conneries !
Déjà, au quotidien, gérer les courses, le ménage, les repas à préparer, les lessives, les factures, je ne sais pas comment on peut faire tout ça en plus du boulot. Bon là, les filles sont plus douées que moi, elles savent tout faire, sont organisées, efficaces,
Je les félicite !
Le ménage, je my tiens car je naime pas vivre dans la saleté mais alors la bouffe, le repassage (étant assureur, je port des costumes), les courses,
je suis DEPASSE !!! Je suis devenu le roi du sandwich et du micro-onde, je sais où je peux commander des plats livrés à domicile. Les lessives, je ne vous raconte même pas les expériences que jai pu faire : ça déteint les fringues ? Ah ouais ! Jai fusillé des chemises, vous nimaginez même pas !
Pourtant, ne croyez pas que, marié, je ne faisais rien ! Cest faux ! Mais ma femme me disait : « Fais-ci, fais-ça, va récupérer tel truc, va acheter tel autre ». Moi, je faisais tout comme elle disait et ça mallait bien !
Comme on ne se refait pas, jai beaucoup dragué au supermarché dans le rayon des produits ménagers : « Oh excusez-moi mademoiselle, ce produit vous connaissez ? Là, je suis un peu perdu face à tout ce choix. Vous prenez quoi vous ? » « Ah oui, vous me dîtes que cest bien ça ? » et bla bla bla. Jen ai ramené plusieurs dans mon lit comme ça pour tester un autre produit totalement bio !
Un samedi, jétais super motivé : grand nettoyage de printemps, lessive en route, courses pour deux mois au moins, rattrapage du courrier en retard et tutti quanti ! Je mapprêtais à commencer quand jai reçu un message de Jonathan, le petit beur que jai dépucelé et que je navais pas revu depuis ce jour.
Bon, jai fait le ménage, fait le lit (quoiquinutile !) et jai empilé le linge sale dans la panière de la salle de bains et jai repris une douche. Soyez cool les mecs, cest déjà pas mal comme tâches ménagères !!!
Jai entendu le bruit de son scooter dans la rue, rien que ça ma fait bander ! Il est arrivé, a frappé à la porte, jétais derrière, jai dû résister pour ne pas ouvrir immédiatement, le choper pour le foutre à poil et le baiser comme jen rêvais. On nest pas des sauvages quand même !
Jai quand même ouvert, lair tranquille, jai fait mine de ne pas trop le regarder alors que jai bien vu son T-shirt bleu échancré et son jean slim noir. Il est entré, ma fait la bise, en fait, il ne savait pas trop quoi faire. Je voulais le maintenir dans cette fébrilité, ça me permet de garder lascendant et il mexcite quand il est mal à laise. Je linvite à sassoir sur le canapé, je minstalle à côté de lui, je lui propose un truc à boire, il accepte, ça membête, moi je veux juste le sauter ! Voilà quil prend son élan et me dit quil a rencontré une copine, quil a envie de coucher avec elle mais quil vit mal ce que lon a fait ensemble. Il me dit quil nest pas attiré par les hommes, quil veut éclaircir ça avec moi, et bla bla. Moi je ne comprends rien à sa démarche, je men fous, il commence à me gonfler, je me penche sur lui et lembrasse à pleine bouche. Il me rend mon baiser, je lui mets une main sur la cuisse et je remonte vers son paquet, il est raide, son jeans va craquer sil ne se calme pas.
Cest bien un mec ça, sa tête lui commande de dire un truc mais sa bite fait exactement linverse ! Donc, je lui demande : « Tas envie de recommencer ? », « Oui » me répond-t-il ! Là, cest clair au moins, pas besoin de discours philosophiques, on règle tout ça au lit et basta !
Je lui déboutonne son pantalon, je plonge la main dedans, jatt sa bite qui est bouillante, le sang tape fort dedans pour la raidir, je le branle, il se met à gémir. Il me malaxe la bite à travers mon jeans, je louvre et le descend sur mes cuisses pour quil soccupe de moi, il prend ma queue en main et la branle à son tour.
Après une bonne période dembrassades, je descends pour lui enlever son T-shirt, je mordille et suce ses tétons, je descends doucement sur son ventre tout plat, sa peau a lair fine, je le lèche tandis que mes doigts triturent ses tétons, il gémit, ses mains sont posées sur ma tête. Enfin, jarrive sur son pubis, peu fourni mais bien noir et très frisé, jembrasse le bout de son gland en le regardant dans les yeux, je le lèche à grand coup de langue. Son sexe est circoncis, il sent bon, il fait bien 17 ou 18 cm, assez fin mais dur comme de la pierre. Tout en le suçant, je descends son pantalon et le lui enlève. Il est entièrement nu et abandonné. Il ne connait plus ni copine ni culpabilité, il se donne et sabandonne à son plaisir et moi, je compte bien en faire de même et en profiter au maximum !
Je lâche son pénis pour gober ses couilles, elles sont peu poilues, assez grosses, bien rondes, et, vu les gémissements quil pousse quand je les lui suce, très érogènes. Tandis quil se laisse de plus en plus aller à ce moment de plaisir, javenture deux doigts dans sa raie, je la caresse puis je mattarde sur son trou, il est très petit, serré. Je mouille mes doigts et force lentrée qui ne résiste pas longtemps. Je commence à le limer en le suçant toujours.
Il finit par marrêter en me disant quil est prêt à venir. Je me relève et lui donne ma bite à sucer.
Comme on est dans le salon, je dois aller dans la salle de bains ou la chambre pour récupérer des capotes. Quand il me voit me lever, il me retient et me dit : « Tinquiète, je suis clean, tes le seul ! ». Bon, va pour le bareback, moi aussi je suis clean. Dun coup, je réalise quil va être le premier mec que je vais prendre sans préservatif, il a une copine, cest quand même tromper sans capote ! Je le mate, jai devant moi, un mec mignon, à poil, chaud bouillant, prêt à me donner son cul et moi, je bande comme un âne, tant pis pour la morale ! On va dire : Pas vu, pas pris !!!
Il sallonge sur le dos, moi entre ses cuisses, je lembrasse et, en même temps, je guide ma bite contre son trou, le gland sécrase dessus, je pousse, il cède, je rentre doucement mais régulièrement. Je le sens se crisper, je ralentis, il mencourage à continuer. Je progresse, il grimace, je marrête, il shabitue, je pousse et, dun coup, tout rentre, mon gland touche le fond et mes couilles claquent contre ses fesses. Il pousse un cri de douleur, je ne bouge plus, il se détend peu à peu, pose mes mains sur mes hanches, je commence les va-et-vient très tendrement. Comme il a lair dapprécier, je lembrasse à nouveau et je mactive de plus en plus en lui. Il ahane de plus en plus, nos bouches se décollent, je le regarde, il a les yeux fermés, il sourit et finit par dire : « Oh oui, han, vas-y, han, cest trop bon, han, han, HAN, HAN,
».
Ses mains sont désormais sur mes fesses et menfoncent fermement en lui, moi jai sa tête dans mes mains et je lui gobe le lobe de loreille, jai de plus en plus chaud. Il faut que lon change de position. Je me retire, massois sur le canapé et lui demande de venir sempaler. Il se met face à moi, me fixe intensément du regard et sassoit en enfonçant mon sexe en lui. Quand ses fesses se collent à mes cuisses, je pose mes mains sur ses hanches et je le laisse monter et descendre à son rythme. Au bout dun moment, je donne des coups de reins pour laccompagner et, là, il me demande de le défoncer. Il se relève un peu et simmobilise, à partir de là, je lui donne de grands coups de reins secs et rapides. Il hurle à chaque fois, pose ses mains sur ma poitrine et me pétrit les seins.
Je sens le plaisir monter, je lui demande sil est sûr de vouloir être fécondé, pour toute réponse, il me sourit. Ça a un effet immédiat, je pousse de toutes mes forces au fond de lui et je me vide longuement et entièrement en lui.
Vidé, repu, je meffondre sur le canapé, je suis toujours en lui, jai limpression de jouir encore. Il finit par se relever, je me redresse, le saisi par les fesses pour quil sapproche de moi. Sa bite est molle, je la branle un peu et lintroduit dans ma bouche. Elle durcit à nouveau et il commence à me donner des petits coups de reins. Mes doigts caressent son trou, il est désormais très ouvert, mouillé et je sens mon sperme qui sen échappe. Ses coups accélèrent et, dun coup, il se bloque, je sens son anus se resserrer un maximum, dans ma bouche, son gland grossit et il largue tout le jus de ses couilles en poussant un long râle de bonheur.
Je le suce encore un peu, il est secoué de quelques spasmes. Je finis par le libérer, il vient sassoir à mes côtés. Je lembrasse, je lui verse son sperme dans la bouche, on se fait un très long baiser très baveux. On se décolle enfin, on est vannés !
Dun coup, je lui demande :
« Cest quoi ce que tessayais de me dire tout à lheure ? »
« Ben, je voulais clarifier les choses entre nous. Maintenant que jai une copine et que lon va coucher ensemble, je voulais te revoir une dernière fois et éclaircir notre relation. »
« Cest une drôle de démarche ! Je ne comprends pas tout mais je constate que cest une réussite, là, pour le coup, tu dois y voir très clair après ce que lon vient de faire ! »
« Cest pire quavant ! Jétais venu chercher des réponses et des certitudes, je suis encore plus embrouillé ! »
Je lui ai tapé sur la cuisse et je lui ai dit :
Bienvenue dans le monde des mecs ! Ta tête te dit blanc et ta bite te fait faire noir. Cest que le début des emmerdements, tas pas fini ! »
On sest levés et rhabillés, je lui ai payé un coup à boire. Il est reparti, jai pas eu envie de faire les courses. Tant pis, jimproviserais, cest pas fait pour moi !
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