La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°743)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château (suite de l'épisode N°741) - Contraintes et frustrations avant lextase -
Mes tétons sont en feu au contact de ma chemise moulante, mon cul dans le même état, jai grand mal à tenir en place sur cette banquette arrière. Et ce taxi qui navance pas dans les bouchons genevois... Je bous intérieurement et extérieurement et mimpatiente, crevé et éreinté par ce que je viens de vivre entre les mains de ces deux banquiers pervers. Je nai quune hâte, prendre un peu de repos, ne serait-ce quune bonne douche, je me sens sale, puant la transpiration et me semble-t-il, le foutre. Faut-il encore que jy sois autorisé ! Monsieur le Marquis reste de marbre, dun stoïcisme à toute épreuve ! Il semble concentré, ne me parle pas, ne semble avoir aucune considération à mon égard, dailleurs son regard est tournée vers lenvironnement extérieur. Un silence de plomb sest installé dans le véhicule depuis notre départ
Je minterroge. Ai-je été à la hauteur des Exigences du Maître ? Peut-être pas autant quil lespérait. Jai commis bien des fautes et ai été sanctionné à multiples reprises. Je men veux et le déplore sincèrement ! Peut-être que ce silence en dit long sur les intentions du Maître. Peut-être va-t-il me faire subir une belle dérouillée à notre arrivée ? Jai cette crainte, comme un pressentiment
Enfin nous roulons et sortons de Genève, ouf, ce nest pas trop tôt ! Soudainement, le Maître minterroge :
- Que penses-tu de ce jeune Karl ?
Je ne sais pas quoi en penser, dois-je dailleurs penser ? Je ne sais pas vraiment quoi répondre !
- Euh
je
- Cest quelquun de très bien, nest-ce pas !
- Oui Maître.
- Je suis très heureux de sa demande de venir au Château, jaurai plaisir à le recevoir et à le former. Il a déjà un fort potentiel, de plus dune bien belle et noble famille. bleu coule dans ses veines, ce nest pas pour me déplaire.
Monsieur le Marquis se tait, plus un mot jusquà notre arrivée. La voiture sarrête devant le portail de la propriété, le Maître règle la course et mordonne de le suivre. Nous regagnons la chambre directement. Je jette un il depuis une fenêtre donnant sur la terrasse, une soumise entièrement dénudée est à quatre pattes en train de se faire sodomiser par un esclave mâle, sous le regard de deux Maitresses les tenant tous les deux en laisse. Le mâle la besogne sauvagement, tel un chien en rut chevauchant une chienne en chaleur.
- Quattends-tu pour te foutre à poil, Mon chien !
Un rappel à lordre sans appel, je me dessape rapidement devant le Maître en me rappelant toutefois des enseignements reçus au cours de cette matinée, et surtout de ce martinet claquant mon cul, parce que je ne métais pas déshabillé comme jaurai du le faire. Là, je calcule mes gestes, mexhibe ostensiblement, me déshabille pour le Maître et me soumets à son regard insistant et fort Dominant.
- Je vois que tu as visiblement compris ce quun Maître attend dun esclave, lorsque Celui-ci donne ordre de se dévêtir.
- Oui Maitre, jai bien retenu la leçon.
- Ton cul aussi semble-t-il. Tu es très marqué encore, tiens approche
Les mains du Maître caressent mon cul encore boursoufflé avec de petites ecchymoses ici ou là, comme sur ma poitrine dailleurs. Cest fou ça ! A la vue de ces marques, je me mets à triquer instantanément, tout un symbole de dévotion, de totale soumission, de don de moi-même
- Pourquoi bandes-tu, Mon chien ?
Jexplique mes ressentis, le Maître mécoute attentivement puis décide de me mettre tout de même un peu de pommade sur les fesses pour que, soit disant, mon cul ne ressemble en rien à celui dun babouin demain matin.
- Que veux-tu, Mon chien ?
- Merci Maître de me laisser mexprimer, je voudrai simplement savoir si ma servitude, mon obéissance près de Messieurs Blowell et Karl étaient à la hauteur de Vos Exigences ?
Le Maître semble soudainement agacé.
- Que veux-tu de Moi, salope ! Des remerciements ?
- Oh non, non Maître, juste
- Tais-toi !
Je baisse un peu plus la tête en signe de grand respect et affiche nettement mon désarroi. Le Maître me fait face, soulève mon menton pour que mes yeux se portent dans les Siens brillants de Dominance.
- Tu as fait le job, rien que ton job, uniquement ton job, telle une belle trainée, une bonne catin, noublie jamais que tu nes quune pute, Ma pute ! Suis-je clair ?
- Oui Maître, merci Maître.
- Noublie jamais que je te possède totalement, entièrement et que tu dois faire exactement ce que jexige que tu fasses !
- Oui Maître, merci Maître
- Alors ne tinterroge plus et tout ira bien. Dis-toi bien que si javais été insatisfait, tu aurais été corrigé sévèrement, sur le champ. En attendant, couche-toi à plat ventre sur ce matelas posé au sol, il faut te reposer.
Je mallonge de tout mon long en prenant soin décarter les jambes et de laisser bien en vue mes génitaux entre mes cuisses ! Le Maître me pose un collier autour du cou, des bracelets autour de mes poignets et chevilles, puis mabandonne quelques instants. Lorsquil revient, il tient en mains trois barres décartement et des larges lanières en cuir. Il soulève par le devant le matelas et installe la première barre en dessous, dans le sens de la largeur puis attache mes poignets à cette barre, de part et dautre de ma tête tout au bord de la couche.
- Serre les cuisses ! ordonne le Maître.
Jessaie, mais je suis en mesure de les resserrer que de quelques millimètres.
- Parfait ou presque ! lance le Maître
Afin daméliorer la position, un coussin et poussé sous mon abdomen, faisant me cambrer davantage, un bandeau mest ensuite posé sur les yeux.
- Tu vas pouvoir te reposer Mon chien, réfléchir, dormir
ou pas, selon Mes envies et Mes humeurs
Je teste la position, bouge un peu, mon esprit intégrant peu à peu la contrainte dans laquelle je me trouve. Je suis prisonnier, le moindre mouvement mest interdit, mais la situation mexcite. Je me mets à espérer de satisfaire sexuellement le Maître, mais lui ne semble pas du tout dhumeur à se soulager. Je me résigne donc et cherche à trouver le sommeil, nu, attaché, jambes écartées, offert. Jentends la porte de la chambre claquer, sans doute, le Maître vient de partir
Quelle sensation étrange que de se faire réveiller par deux doigts fouillant mon petit trou. Je nai rien entendu, je devais dormir profondément. Ces doigts, (à qui appartiennent-ils dailleurs ?) font des allers et retours imprévisibles, me faisant sursauter, gémir de plaisir ou de petite douleur, selon quils caressent ou griffent. Je me tords dans mes liens, impuissant, incapable déchapper à la Volonté de Celle ou de Celui qui me fouille.
- Tu aimes te faire baiser ? me demande cet inconnu, tout en continuant de me pénétrer par de longs vas et viens.
A vrai dire, juste avant dêtre interrogé je néprouvais ni lenvie ni le besoin de me faire enculer. Jétais rudement bien dans les bras de ce beau Morphée. Je réponds donc dune manière un peu détourné.
- Je suis ici pour être utilisé, Monsieur !
Car autant à linstant présent, je ne désire pas spécialement me faire baiser, autant je ne peux nier être aux anges à lidée de plaire au Maître, de lui permettre dassouvir Ses exigences et de Le Satisfaire. Cest cette idée-là qui me fait bander, tel un sauvage. Ma bite excitée, droite senfonce dans la ouate de ce coussin à chaque fois que je prends un furieux coup de queue profondément dans le cul. Mais soudainement mon enculeur se dégage de moi, sans avoir joui, sans un mot, il me quitte. Jai chaud, et maintenant mon cul agacé à faim et réclame, maintenant jaimerai être pris, maintenant jaimerai donner du plaisir et pourquoi ne pas en recevoir un peu. Frustré, je tire sur les lanières de cuir retenant mes cuisses écartées. Au bout dun temps, je cesse de gigoter, pour me résoudre à accepter la situation. Je nai pas dautres choix possible. Je tente dignorer les appels de mon bas-ventre et me résous à me savoir manipuler comme personne, à nêtre quun jouet, une marionnette entre des mains expertes. Ce sont sur ces idées que je retrouve le sommeil...
Mon sein droit mextirpe de mes rêves, mon téton est doucement malmené. Ces doigts ne désirent pas me faire souffrir atrocement, juste assez pour me voir réagir, me faire sentir quon fait de moi ce que le Maître veut. Une autre main caresse mon sein gauche avec douceur, tandis que lautre blesse mon sein droit, étirant le téton, le pinçant, le tordant. Je gémis, tiraillé entre plaisir et douleur. Ses mains sont celles dune femme, à ne pas douter, les doigts sont fins, avec des ongles longs entrant maintenant atrocement dans mon mamelon droit. Elle change de sein, le gauche devenant douleur et le droit douceur. Je ne tente pas de me soustraire à ses attouchements, non pas parce que je les désire, mais parce que jaime me sentir impuissant et offert. Jadore la contrainte exercée par ces liens, alors je gigote un peu car tirer dessus ces liens augmente mon plaisir
je bande sec ! Au même moment, mon cul déjà bien dilaté souvre et sécarte sous la poussée dun objet dur et froid. Je sursaute transpercé. Je reconnais lobjet, un spéculum
Il mécarte largement. Je reste de longues minutes ainsi, sans savoir
jusquau moment où je sens que létau se desserre que lon me retire lobjet. Mais aussitôt, une queue me pénètre sans douceur et je tremble sous les coups de boutoirs. Sans une once dhésitation je reconnais cette bite, ce corps allongé sur moi. Le Maître dispose de Son esclave heureux et à Sa totale disposition. Il mutilise selon Son envie et jadore quil agisse ainsi. Je gigote encore, feignant me soustraire tout en sachant que cela mest totalement vain. En réponse, Monsieur le Marquis appose sa main sur ma gorge, imprégnant ainsi sa TOTALE Domination. Je me contente alors de contracter mes muscles internes afin de masser cette verge imposante de lintérieur, le Maître se cabre, pousse et senfonce encore plus profondément. Je lentends souffler, gémir, presque râler. Je me surprends à dire :
- Jaime Vous sentir en moi, Maître Vénéré !
Il jouit à ce moment précis, me remplissant profondément de son sperme chaud, de cette divine liqueur onctueuse et abondante. Je suis une nouvelle fois repu de sexe, heureux de mêtre totalement donné.
(A suivre
)
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