La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°744)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château (suite de l'épisode précédent N°743) - Humiliations et outrages excitants -
Mon cul dégoulinant de sperme, me voilà détaché, ouf
je nen pouvais plus de ces contraintes, mes muscles engourdis ont bien du mal à retrouver leurs fonctions. Ma gamelle mattend, dans la salle de bain. Jai faim, mais reste bien sagement devant celle-ci avant que le Maître me donne lordre de manger. Lui est nu, prêt à prendre une bonne douche, il se regarde dans la glace en sifflotant. Il se frotte les joues et le menton en se demandant, sans doute, sil doit se raser. Je lentends dire :
- Pour ce soir ça ira bien ainsi !
Jattends toujours à quatre pattes, cul bien relevé. Monsieur le Marquis est sous la douche et maintenant chantonne un air dopéra que je ne reconnais pas
Jécoute avec respect en mon fort intérieur
Son poitrail naturel et sa force vocal lui offre une véritable voix de ténor, jen reste admiratif ! Il se savonne gaillardement, se rince abondamment, méclabousse joyeusement puis se sèche les cheveux et se frictionnant la tête énergiquement.
- Tu dois avoir faim, mon chien ? Me demande le Maître en sépongeant le dos et les épaules
- Oui Maître, dis-je dun ton respectueux.
- Cette pâté devrait te faire du bien
Je ne réponds rien, jattends encore et toujours. Le Maître se saisit de la gamelle et la porte sous ses yeux. Il la sent, fait une grimace comme sil voulait afficher du dégout.
- Pas terrible tout ça
ça ne vaut pas les bons petits plats que ma chère Marie, cuisinière du Château, prépare amoureusement à Mes chiennes et chiens.
Il trempe son index dans cette pâté.
- Et en plus bien sec et tout froid
Je crains que tu ne te régales pas ! Tu sais Endymion MDE ce que nous avions, Nous les Dominants au diner ?
Evidemment non, je nen sais rien
Je me contente de remuer la tête de gauche à droite.
- Un bon foie gras du Périgord avec un Sauternes excellent ! Et je ne te parle pas de lexcellent caviar
Aussi bon que celui que je fais venir spécialement de la mer Caspienne, le caviar de béluga
Le Maître, cette fois-ci, sessuie les pieds, après avoir reposé la gamelle sur le lavabo. Je patiente toujours, la faim me tenaille, je nai rien mangé ce midi.
- Je vais améliorer lordinaire de mon chien, ne tinquiète pas
surtout pas !
Le Maître vient de déposer sa serviette humide sur mon dos cambré, il att de nouveau la gamelle et la place sous son sexe flasque.
- Lève les yeux Mon chien, regarde jajoute pour toi Ma petite salope, quelques additifs alimentaires indispensables à ta bonne santé ! Peut-être y retrouveras-tu larôme de ce merveilleux Sauternes, certes recyclé, mais tu ne vas pas ten plaindre ? Tout au moins je ne lespère pas
Monsieur le Marquis urine, par saccades, deux ou trois rasades, puis dépose la gamelle sous mon visage.
- Allez, régale toi Mon chien, tu peux manger.
- Merci Maître.
Je dévore tout en bandant sérieusement. Cet affront ma terriblement échauffé, lhumiliation et loutrage sont chez moi deux artifices me permettant de mexciter davantage, et bien évidemment Monsieur le Marquis le sait, il en joue à sa convenance. Sans doute aime-t-il me voir la nouille bandée
Le Maître est reparti dans la chambre, il me laisse déguster ce met tranquillement. Je reste devant ma gamelle vide, un temps, jusquau moment où Monsieur le Marquis me hèle.
- Tu as fini, Ma pute ?
- Oui Maître
- Alors vient près de moi, jai une bonne nouvelle à tannoncer et deux ou trois choses à te dire.
Javance en quadrupédie jusque devant le Maître maintenant habillé et assis sur le lit. Je me prosterne à Ses Nobles pieds comme une évidence.
- Alors mon chien tes-tu régalé ?
- Oui Maître, dis-je sans hésiter une seconde
- Et as-tu bu toute ma pisse ?
- Oui Maître, merci Maître de mavoir honoré ainsi.
- Bon, écoute-moi bien, Mon chien, jai une grande nouvelle à tannoncer.
Je reste dans la posture, me concentre en tendant loreille. Le Maître vient de poser un de Ses pieds sur lune de mes épaules rivées au sol.
- Une grande nouvelle te disais-je, les Mondiaux de la D/s se dérouleront au Château, cet été
quarante-sept voix pour, seulement deux contre et une abstention, la mienne, au deuxième tour du scrutin seulement, à bulletin secret ! Il a fallu argumenter et convaincre, présenter un solide dossier, discuter sérieusement et tout le toutim
Tout cela nous a pris trois bonnes heures, une discussion parfois âpre mais toujours sereine. Je me suis montré perspicace, audacieux, convainquant et tout ça je lai fait aussi pour toi Ma pute, jespère que tu en seras reconnaissant.
A ce stade, je ne vois pas encore très bien où le Maitre veut en venir. Je le remercie tout de même.
- Tu pourras concourir sur Mes terres, un avantage certain, tu joueras à domicile, avec un public entièrement dédié à tes exploits. Mes chiennes et chiens seront là pour tencourager, te soutenir et mes gardes pour te punir, si défaut de ta part il y avait
Monsieur le Marquis sinterrompt quelques minutes, le temps pour moi dingurgiter, de comprendre puis il reprend avec force et ténacité.
- Je mettrai à ta disposition tout un staff médical, Médecin et infirmières pour soigner tes petits bobos, mais aussi un kiné pour quil te masse et te remette en forme après les épreuves que tu devras affronter avec talent et jespère succès ! Je compte sur ta volonté plus que sur ta force, sur ton intelligence pour vaincre et gagner. Je serai là, toujours à tes cotés pour tencourager ou te sanctionner, pour te récompenser ou te corriger
Jusquici je navais pas totalement réalisé ce quallait être ces jeux
Mais là, à linstant présent, le Maître fait monter dun cran la pression, je commence à être sérieusement inquiet, il semble tout miser sur moi qui ne suis pourtant pas un grand sportif.
- Es-tu content Mon chien ? minterroge le Maître.
- Oui Maître très content, et vous présente mes humbles remerciements pour tout ce que vous faites pour moi, Vénéré Maître.
- Bien ! Deux choses encore à te dire. Ce soir Monsieur Armand a organisé pour la soirée une petite distraction
Nous sommes attendus dici une dizaine de minutes. Nous ne trainerons pas, car demain, je temmène voir une de mes vieilles connaissances. Cette personne habite à Lausanne, nous aurons donc un peu de route à faire. Nous y sommes attendus pour dix heures, nous déjeunerons sur place.
Je reçois lordre de me lever et comprends que je naurai pas dautres éléments dinformations pour ce soir. Le Maître me tend une chasuble en fourrure polaire.
- Tiens passe ça, je ne veux pas que tu es froid en traversant la cour, il fait un peu frais ce soir
Le vêtement à deux pans, avec une ouverture pour la tête, sans manche, couvrant mes épaules, mais tout juste mes fesses et mon sexe. Le Maître majuste un collier métallique sur lequel sont gravées Ses trois Nobles lettres MDE - en lettres dorées. Il y fixe une laisse, une simple mais lourde chaine. Nous regagnons la grande et vaste salle où se déroulent toutes nos perverses activités. Les gravillons de cette cour mirritent les pieds, jai du mal à avancer. Le Maître tire sur la laisse en maugréant.
- Alors, tu ne vas tout de même pas me dire que ces simples graviers tempêchent davancer !
Cest vrai, il fait frais ce soir, je frissonne et suis bien content de me retrouver au premier étage de ce bâtiment particulièrement bien chauffé. Monsieur Armand est là avec une charmante mais néanmoins bien perverse Domina.
- Le petit biquet à froid ? lance-t-elle avec une évidente ironie, puis elle reprend : Ici nous savons réchauffer les salopes de ton espèce
A poil !
Jôte la chasuble, elle sen saisit et la jette au sol.
- Jai connu mieux, pas jojo tout ça
un pauvre petit service trois pièces bien peu vigoureux
Ma bite retombe sur mes couilles, bien quhumilié, je ne parviens pas à bander (ce qui est rare) Jen ai presque honte. Honte de ne pas pouvoir exprimer ma fierté dappartenir à Monsieur le Marquis dEvans. Lui, papote avec une autre Dominante.
- Tiens salope, plonge ta main dans ce panier et att un petit papier.
Jobtempère.
- Ouvre et lis !
- Numéro 15, Madame.
Monsieur Armand tout près, un feutre marker en main sapproche, mordonne de me retourner vers lui. Il inscrit sur le haut de ma poitrine le chiffre 15. Puis il exige que je me retourne, que je lui présente mon cul. Il écrit le même chiffre sur le haut de ma fesse gauche.
- Au suivant !
Au fur et à mesure que les esclaves arrivent avec leur Dominant, tous doivent tirer un bout de papier, tous sont marqués de la même manière, avec un numéro différent. Lidée de nêtre plus quun numéro mexcite, ma nouille semballe et senflamme, à ce moment précis de cette pensée dans mon esprit. Je me mets à bander sérieusement. La Domina mayant accueilli sen aperçoit.
- Le petit biquet à retrouver de la vigueur, on dirait
mais même bandée, cette bite me semble bien ridicule. Jai connu beaucoup mieux !
Je laisse dire et faire, dailleurs une autre Dominante mentraine dans un coin de la grande salle, où sont déjà assis un petit groupe desclaves. Je dois me tenir comme eux, assis sur mon cul, en position du lotus, cuisses largement écartées, et mains posées paumes renversées sur celles-ci en posture doffrandes. Je constate que toutes les femelles portent un numéro paires, les mâles un chiffre impair. Nous attendons ainsi, sagement, de longues minutes le temps que les Dominants regagnent leurs chaises. Monsieur Armand alors, Maître du jeu, intervient en sadressant directement à nous soumises et soumis.
- Vous êtes ainsi très beaux, chiennes et chiens
Il se tait un instant.
- Cette après-midi, Nous les Dominants avons débattu longuement et travaillé longtemps. Mais pour autant nous avons pensé à vous les salopes ! Deux dentre vous, seulement deux, une femelle et un mâle vont pouvoir prendre du plaisir et allez à lorgasme
Les deux tirés au sort, devront jouir devant nous, seulement lorsque nous le déciderons. Ils jouiront selon Notre Volonté avec les accessoires que Nous leur imposerons. Voyez ces deux sphères face à vous, telles les sphères de la loterie nationale, dans lune contient des boules sur lesquelles sont inscrits les numéros paires, dans lautre les numéros impairs. Les boules vont être brassées et mélangées et une seule sortira de chacune de ces deux sphères et désignera lheureux et lheureuse élue. Sachez aussi, que nous nous sommes convenus que celui et celle désignés, une fois après avoir joui sera fouetté devant nous, pour notre plus grand plaisir. Trente coups seront administrés à chacun deux.
Monsieur Armand s'arrête encore et peu après, lance alors :
- Que la fête commence !
(A suivre
)
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