Une Famille Très Ouverte 3
Une semaine après la fameuse nuit pendant laquelle mon pote Clément sétait fait une place à part dans la famille. Lui et moi nous étions donnés rendez-vous chez moi pour discuter. Je voulais lui dire, par exemple, que je savais pour lui et mon frère. Nous avions rendez-vous à 18h30 au bas de mon appart, juste le temps pour moi de revenir de la fac.
Hélas lunivers devait être contre moi ce jour-là : grève des transports en commun. Jai mis 2h à rentrer chez moi. Bien sûr, vive la technologie, jai envoyé un message à Clément, qui devait être à lheure, lui, que je ne pourrai pas venir et quil valait mieux que lon se voit plus tard. Mais bon étant bloqué dans le métro, sans réseau ce message est arrivé plus tard que prévu.
Ce qui va suivre je ne lai appris que plus tard.
A 18h30 Clément est bien arrivé en bas de mon immeuble. Mais mon message nest pas arrivé à cette heure-là. Du coup il a attendu, attendu et attendu. Au bout de 45 minutes dattentes et à peu près autant dappels et messages vocaux pour savoir si jallais bien et si javais lintention darriver un jour, il décida de partir. Attendre autant était déjà en soi une preuve dintérêt.
Il sorti du hall de limmeuble et sapprêtait à prendre le chemin du métro lorsquil croisa mon père.
- Clément, cest bien ça ? Tes le pote de Romain ?
- Oui oui cest ça, bonsoir monsieur. Je venais justement le voir mais il nest pas là apparemment.
- Il ma envoyé un message pour me dire quil était bloqué dans les transports. Si ça se trouve il ten a envoyé un à toi aussi mais il nest pas passé. Je ne sais pas à quelle heure vous aviez rendez-vous mais si tu veux, tu peux attendre à lappartement. Je rentre tout juste du travail et il ny a personne là-haut. Se sera plus confortable.
Clément était enchanté. La colère de labsence de Clément sétait dissipée. Pas parce que maintenant il savait pourquoi il nétait pas là mais parce que dans le beau visage de lhomme quil avait en face de lui il voyait le parfait mélange de ce qui faisait que Romain et Thomas avait pu lui donner envie dhomme.
- Cest daccord, je viens darriver alors autant lattendre.
- Daccord mon garçon, dit mon père en lui tapant amicalement le bras. Allons-y !
La simple pensée quil allait pourvoir passer du temps à le regarder excitait sa curiosité et son désir. Lui qui il y a une semaine se pensait hétéro se découvrait à aimer mater le fessier dun quadragénaire, père de ses premiers amants. Et pourtant il aimait ça.
Clément et mon père discutèrent de choses et dautres sur le chemin de lascenseur et en lattendant. Lorsque les portes souvrir Thomas en sortit, dit bonne soirée à son père, fit un clin dil à Clément et parti rejoindre des amis à lui dans un bar.
- Tu connais Thomas aussi ? lui demanda mon père en montant dans lascenseur.
- Oui oui, à force de venir de voir Romain je lai rencontré. Et puis après les cours on vient souvent ici, ce nest pas très loin de la fac quand tout marche bien, mentit Clément.
- Romain fait venir du monde à la maison, ah oui ?
- Ce nest pas un problème ou un secret jespère ?
- Non non ne tinquiète pas, les garçons sont grands, lappartement est aussi le leur, ma femme et moi on a toujours été très clairs là-dessus. Cest juste que comme nous avons un style de vie assez particulier je pensais que Romain évitait le choc des cultures. Son frère a dû lui faire changer davis.
- Ah daccord, je vois ce que vous voulez dire, dit Clément qui pensait que la conversation née de son mensonge se finirait là.
- Cest bien que ce ne soit plus un problème, cest même lidée de base en fait. Je suis content que Romain partage cette particularité familiale avec un ami proche comme toi.
- Disons que jai eu le plaisir den profiter, glissa Clément presque pour lui-même.
- A ce point ?
- Oui oui je trouve que la liberté et la confiance qui caractérise votre famille est impressionnante.
Ding. Lascenseur était arrivé devant lappartement.
- Fais comme chez toi, puisque tu sais et que ça ne te dérange pas, je vais me mettre à laise. Fais de-même dailleurs, dit mon père en allant dans sa chambre.
Clément sorti son téléphone pour voir sil avait reçu un message de Romain. Il le relançant pour être sûr davoir tout reçu. Pendant ce temps, il le posa sur le buffet et enleva sa veste. Alors quil lenlevait, mon père revint du couloir entièrement nu. Clément ne comprenait plus, la vision lavait même coupé dans son mouvement, sa veste à demi enlevée.
- Tu restes habillé ? ce nest pas un problème, si me voir comme ça te dérange, je peux remettre quelque chose, cest juste que je pensais quil
- Non non ne vous inquiétez pas, jai regardé mon téléphone pour voir si javais un message de Romain, du coup je nai pas eu le temps de me déshabillé.
- A daccord, tu veux quelque chose à boire ?
- Je veux bien une bière si vous en avez.
Mon père marcha jusquau frigo et louvrit. Pendant ce temps Clément eut le temps dobserver ce corps viril en mouvement. Il pouvait voir les muscles se contracter sous la peau de cet homme au torse massif, velu et si attirant. Entre ses jambes puissantes se balançait un sexe au repos assez large au gland orienté vers le haut, exactement comme ceux de ses fils que Clément connaissait si bien. Romain avait hérité de son charme et de sa classe et Thomas de sa beauté savamment sauvage. Pendant quil matait lhomme traverser le salon, profitant de la vue direct sur son fessier galbé en mouvement, Clément se déshabilla. Il ne sait pas trop où il allait mais il préférait le faire plutôt que ne pas profiter de linstant.
Mon père ferma le frigo et sapprocha de lui deux bières en main au moment où Clément enlevait son caleçon. Maintenant il nespérait plus quune chose : maintenir sa demi-molle le plus longtemps possible pour ne pas perdre la face.
- Tient mon garçon, ça se voit que tu es habitué, en général la première fois que lon fait dans le nudisme on ne peut sempêcher de bander.
- Merci monsieur, disons que je my suis habitué, mentit encore Clément.
- On a quà sinstaller dans le canapé, on y sera mieux pour attendre Romain. Je narrive pas le croire, Romain qui voulait éviter que ses amis ne sachent que chez nous on vit nu finit par introduire un de ses amis dans la famille.
- Cest vrai que vu comme ça cest assez ironique. On est assez proche alors il a dû trouver ça normal je suppose.
- Cest vrai, mais ça ne tas fait bizarre de te montrer nu devant ton pote ? Dailleurs tu es le seul ou il la dit à dautre monde ?
- Je suis le seul. Au début oui ça ma un peu perturbé, mais bon on shabitue et puis ça devient un peu plus normal.
- Tu as dû venir souvent alors pour thabi à vivre ainsi.
- Suffisamment disons.
En réalité Romain navait laissé ses potes monter chez lui quune ou deux fois, et rien que de penser à la dernière fois où il était monté Clément ne sentit ses tétons poindre et son gland grossir.
- Comment en êtes-vous venus à vivre comme ça ?
- Ça sest fait naturellement, ma femme et moi on a fait du naturisme longtemps avant de nous connaître alors quand on sest installé on a continué.
- Cest une belle leçon de liberté.
- Oui je trouve aussi.
- Mais ça na posé de problème dintimité avec les s ?
- Je reconnais que ma femme et moi sommes assez libéraux là-dessus. On sest toujours arrangé pour que nos s nen voient jamais plus que de raisons, mais bon vivre nu ça a ses conséquence, à ladolescence par exemple. Surtout que nos s ont de qui tenir ah ah, ria-il de fierté, Thomas par exemple, un vrai étalon, comme moi à son âge ! A 14 ans il lui arrivait de bander en voyant sa mère nue.
- Et quest-ce que vous faisiez dans ces moments-là ?
- Je lui aie appris à conjurer ses fantasmes, à les extérioriser et à les rationaliser pour quil ne se sente pas coupable.
- Effectivement liberté et confiance.
- Tu as bien raison. Je suis le premier de la famille, à part Romain que tu vois nu ?
- Non, un jour jai croisé Thomas aussi. Voir mon pote vivre nu était une chose mais son frère sen est une autre, dautant quil est
imposant.
- Cest bien vrai mais bon à ce que je vois tu nes pas sans atout.
- Merci monsieur
Bipbip. Le téléphone de Clément sonna. Il se leva et rejoint le buffet pour lire le message. Cétait Romain : « Salut mec, il y a une grève des transports, je vais mettre beaucoup plus de temps à venir que prévu du coup ça ne sert à rien de venir. Ne tembêtes à monter chez moi et à attendre même sil y a quelquun. On trouvera un autre jour, désolé. »
- Cest Romain ?
- Non autre chose, répondit Clément qui se sentait pris dans le piège de ses mensonges précédents.
Perturbé il laissa tomber son téléphone des mains. Il se plia pour le ramasser. Lorsquil lattrapa il se rendit compte que dans cette position mon père devait avoir une vue complète sur sa rosette. Pour peu quil sy connaisse un peu il devait pouvoir deviner que quelquun y était passé. Gêné il se releva vite et se rassit comme si de rien était.
- Du coup tu nas jamais vu ni ma femme ni ma fille ?
- Non jamais.
- Quel dommage, parce que soyons honnêtes, elles valent le détour. Jai du mal avec la sexualité de ma fille, en tout bon père qui se respecte, mais bon on est entre hommes donc on peut se dire les choses.
- Ce qui est sûr cest quà voir les photos vous avez une très belle famille.
- Oh que oui. Je suis très fier de mes fils. Romain ne sen rend pas aussi compte que Thomas mais cest vrai. Je les trouve très beaux et très intelligents en plus, enfin chacun dans leur genre bien sûr.
- Je ne connais pas vraiment Thomas mais je suis daccord.
- Dailleurs je voudrais te demander quelque chose. Cest assez délicat.
- Allez-y.
- Surtout si ça te dérange ne tinquiète pas. Tu mas dit que tu avais vu mes deux fils nu, maintenant tu mas aussi vu comme ça. Tu as dû remarquer quelque chose, en disant cela mon père avait pris son sexe épais en main et samusait à le tapoter sur sa cuisse. Je lai remarqué quand ils ont commencé à grandir. Je leur ai transmis la courbure particulière de mon sexe. Regarde.
- Ah oui cest bien possible, vous savez je
suis plutôt hétéro, mentit une nouvelle fois Clément qui ne savait plus où se mettre ni sil arriverait à quitter ce sexe des yeux. Du coup je nai pas beaucoup regardé leur sexe.
- Cest dommage... Je me demande si cest répandu pour quun sexe se transmette de père en fils.
- Je ne sais pas du tout.
- Tu nas jamais vu ton père nu je suppose.
- Non désolé, ce nest pas trop son truc, il est plutôt du genre coincé.
- Cest dommage jaurais bien aimé savoir si cest comme ça pour tout le monde. Dans ma curiosité je suis même allé voir sur Internet si je pouvais trouver une réponse mais bon, Internet on sait tous que ça nest pas fiable.
Mon père se tut un instant avant de reprendre après un silence tendu.
- Jai toujours eu du mal à comprendre pourquoi les gens sont coincés. Quils soient pudiques je peux comprendre, mais tout ce tabou autour du corps, de nos sexes, etc. Regarde je suis le père de ton pote et on est là dans mon salon nus lun face à lautre, on parle du sexe des autres, y compris ceux de mes fils et pourtant il ny a pas de tension, de problème ni quoique ce soit de déplacé entre nous deux, non ?
- Vous avez raison. Après je vous cache pas que cest plus naturel avec Romain et Thomas quavec vous.
- Ah bon ?
Mon père se leva et sassit juste à côté de Clément.
- Quest-ce que tu veux dire ?
- Bah vous savez on a à peu près le même âge, on se voit tous les jours à la fac. Du coup ça ne pose pas de problème, cest naturel. Tout enlever nest quun cap de plus. Ça vaut aussi pour Thomas. Cest
habituel de se voir torse nu entre jeunes, à la piscine, lété, etc. Et puis Romain et moi physiquement parlant comme on a le même âge on en est au même niveau, on est fait pareil, littéralement parlant. Bon pour Thomas cest pas pareil, mais bon, avec vous
cest
différent
, balbutia-t-il.
Mon père posa sa main sur la jambe de Clément et susurra :
- Cest vrai que les corps murissent avec les années
Mais ton corps à toi il est loin dêtre mal tu sais. Jaime bien les contours fins de tes pecs, dit-il faisant glisser son doigt le long de son pectoral jusquau téton, et ce ventre plat taillé dans le marbre, dit-il en glissant ce doigt entre chacun de ses abdos, et puis ce sexe épais
, dit-il cette fois sans descendre plus bas que pubis.
Quest-ce qui timpression chez moi ? reprit-il en lui prenant sa main et en lamenant vers son corps. Mes épaules larges
mon torse développé
mes poils virils
mes cuisses puissantes
, en disant cela mon père avait fait caresser une à une chaque partie nommée, mon sexe tout aussi large que le tien, ou celui de mon fils.
Chaque caresse avait perturbé encore un peu plus Clément. Il narrivait plus à contenir son excitation et tout le désir en lui. Alors il prit tout son temps et profita de chacune des caresses que mon père lui faisait faire, mais à cause de ces caresses, il ne pouvait plus cacher son érection.
- Ah ! tout à lheure je me suis trompé je crois
, cette fois mon père prit le sexe de Clément directement en main. Epais
lourd
et
si désirable
Mon père branlait doucement le sexe de Clément le décalottant entièrement et doucement. Il était maintenant entièrement en érection. Mon père prit la main de Clément et la mit sur son sexe le faisant le branler lui aussi. Clément était hypnotisé une fois de plus. Pour pouvoir branler mon père plus facilement il se rapprocha encore de lui et se pencha un peu. Là son visage passa sous celui de mon père. Il en profita pour embrasser son cou et remonter le long ses joues et enfin sa bouche quil embrassa. Mon père rendit le baiser et lui dévora la bouche.
Mon père le prit à bras le corps pour lamener contre lui en sallongeant sur le canapé. Clément couché sur lui continua le baisé fougueux. Il revint sur son cou, et descendit le long de son torse viril en embrassant ses pectoraux, ses abdos, son pubis, et enfin prit en bouche son sexe bandé. Enthousiaste il essaya de lavaler dun coup mais se rendit compte quil était trop large. Le long de ses vas et viens il réussit à shabi et à aller plus loin mais ne put la prendre entier. Mon père gémissait doucement pendant cette fellation. Il en profitait pour caresser les tétons en même temps, une main sur sa tête pour lappuyer et le faire aller plus vite ou plus doucement. Clément retrouvait les sensations quil avait eu quand il avait sucé Romain et Thomas lorsquil remontait jusquau gland et sa petite orientation. Moins large que celle de Romain, plus courte que celle de Thomas, le sexe de mon père lexcitait au plus haut point.
Prit dexcitation et voyant que lendurance de mon père lempêchera de jouir aussi facilement, il laissa là ce sexe et se mit à califourchon sur lui. Mon père le prit par les hanches et le fit sempaler sur son sexe. Clément adora cette première pénétration. Ce sexe large le faisait déjà gémir avant même de lavoir entièrement en lui.
- Dis donc tu es sûr que nas fait que voir mes fils nu ? Tu ny aurais pas goûté un peu ?
- Si je vous réponds est-ce que ça changera la manière dont vous allez me prendre ?
- Oh non, je vais te montrer que les jeunes ne sont pas prêts de remplacer leur père.
A peine avoir dit ça il commença à lui donner des coups de reins lents et profonds avant daccélérer. Mon père le tenait dans le dos dune main et le branlait de lautre. Clément jouissait de plaisir. Mon père lécrasa contre son propre torse et accéléra encore pouvant le pénétrer encore plus intimement. Clément était parcouru de frissons de plaisir et criait. Lorsquil sentit que Clément allait jouir finalement. Mon père le prit dans les bras et le porta jusquau bar de la cuisine. Il lassit dessus repoussant les objets qui y étaient. Il ly coucha et se pencha sur lui pour embrasser son corps sans toucher son sexe. Ce quil voulait cétait faire retomber lexcitation doucement pour la refaire partir de plus belle. Quand sentit que Clément était prêt il prit son sexe en bouche et le suça à pleine bouche. Mon père prit les jambes de Clément, les écarta et le pénétra puissamment le soumettant à de nouveaux vas et viens rapides. Leur corps claquaient lun contre lautre et suaient tant leffort et le plaisir étaient grands. Les coups de reins puissants de mon père secouaient tout le corps de Clément. Celui-ci eut lorgasme que mon père lavait à attendre, lattente ne layant rendu que plus fort. Ses mains qui caressaient le torse puissant de son amant se tendirent et sagrippèrent à lui quand lorgasme explosa.
Mon père releva le corps détendu par lorgasme de Clément et lembrassa. Clément voulant que mon père jouisse aussi saccroupit à genou et le suça à nouveau jusquà ce que mon père ne se laisse aller à jouir et à éjaculer au fond de la gorge de Clément.
Mon père et Clément allèrent prendre une douche une fois lorgasme passé et remirent ça dans la cabine, mon père le prenant contre le mur avant de passer à sa chambre où Clément et lui jouirent à quatre pattes sur le lit.
- Maintenant tu tes tapé tous les hommes de la famille. Alors le père est-il meilleur que les fils ? Je suis curieux, lequel tas le plus fait jouir.
- Je ne sais pas trop
Avec Romain cétait génial mais cétait le premier à mavoir jamais pris, du coup je ne peux pas vraiment juger objectivement. Ce qui est sûr cest que le sexe si long de Thomas ma provoqué des trucs incroyables. Vous cest votre endurance. Je ne savais plus où donner de la tête tant le plaisir était intense.
- Je suis fier de mes garçons.
- Mais dites-moi, maintenant qu'on se connaît mieux,avec une famille aussi
libérée et des membres aussi sexy
il ny a jamais rien eut entre vous. Il ny a jamais eu de dérapage ?
- Eh bien il se trouve que
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