La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°745)
Histoire de fantômes au Château (suite de l'épisode N°740) - Le dépucelage de Clara -
Toujours assise sur les marches, en bas des escaliers menant au premier étage, Clara est donc entièrement nue. Sa chemisette de nuit jetée à terre, elle a écarté ses genoux et ouvert largement ses cuisses. Elle révèle la blanche douceur de ses cuisses, de ses hanches et exhibe ainsi, aux regards de sa mère et du Marquis, la large fente rose de sa vulve pulpeuse. La tête de Clara est renversée en arrière, ses cheveux ondulés tombent en cascade sur ses épaules nues, elle est calée sur les marches en bois et offre le plus impudique des spectacles. Elle se déhanche dans la jouissance tout en montrant bien en avant son sexe grand ouvert. En effet, Clara jouit à nen plus finir, ouvrant de ses doigts sa chatte et dévoilant ses chairs les plus intimes, écartant celles-ci au maximum d'une main fourrant ses doigts dans son sexe béant et ruisselant de cyprine et de l'autre main à se masturber son clitoris gonflé et gorgé de désirs brûlants... Moi, la comtesse du Dranier, sa propre mère, reste figée par la surprise, bouche bée. Monsieur Le Marquis recule et je le vois aussi dans un absolu silence due à la stupeur du moment. Alors, je me lève en omettant de demander lautorisation à pouvoir le faire, mais ma surprise étant totale, dune part dêtre prise en flagrant délit de soumission me perturbe et dautre part le constat de voir ma propre fille Clara se caresser dune manière aussi ostentatoire et impudique. Même si je ne la savais pas tout à fait innocente sur la sexualité féminine car je savais quelle se caressait parfois seule dans sa chambre, répondant à lappel de ses envies de vierge en chaleur, de son corps de femme ... Je nen ai jamais parlé à son sévère père, le comte, beaucoup trop puritain pour comprendre ce genre de choses.
Donc, afin de calmer la situation, je mapproche doucement de Clara, sans prendre aucun air de reproches, mais jopte plutôt pour une attitude de compassion en tendant mes bras en avant légèrement élevés.
- Je constate que ta fille nest pas choquée de ce que nous faisions ensemble
De plus, son comportement à se caresser sans aucune pudeur à nous regarder, a
comment dire
. enivré son corps de jeune pucelle !
- Oui ô Maître, veuillez pardonner son attitude, elle est encore jeune et vierge et avec tout juste ses 18 ans passés, elle ne connait que le plaisir solitaire de la masturbation en réponse à lappel de son corps
- Je ne suis pas venu ici pour moccuper dune jeune vierge, alors quelle remonte se coucher.
- Oui Maître, vous agissez ainsi en honorable Seigneur. (puis sadressant à Clara) - Tu as entendu ce qua dit Monsieur le Marquis, va te coucher, ma chérie. Soit tranquille, je sais que tout ce qui sest passé ce soir restera entre nous et que ton père nen saura jamais rien
Tu peux aller dormir en toute quiétude
Pour toute réponse, Clara, telle une capricieuse me tourne énergiquement la tête négativement de droite à gauche avec une moue de mécontentement. Visiblement, elle ne veut pas remonter se coucher et se remet à se serrer fort contre moi, me faisant comprendre quelle veut rester, quelle est bien avec nous.
- Ne fait pas l, ma chérie, tu vois bien que Monsieur le Marquis a exigé que tu ailles te coucher
Allez soit gentille et obéis-moi
lui dis-je.
Cette fois, comme toute réponse et subitement Clara sextirpe de mes bras et dun bon rapide, va se mettre promptement devant Monsieur le Marquis, toujours dénudée, elle sagenouille le plus vite possible et se prosterne en levrette, les bras longuement en avant, la pointe de ses doigts juste à quelques centimètres des chaussures du Noble. Elle ne bouge plus ainsi positionnée et semble attendre dans une évidente servilité.
- Clara, revient vite et va te coucher, lui dis-je de nouveau.
- Ta fille ne semble pas vouloir tobéir, toi sa propre mère !
- Je suis bien désolée, Maître, veuillez la pardonner mais je sais quil ne faut pas la brusquer sinon, elle va se braquer et cela sera pire encore pour elle. Je vais essayer de lui faire comprendre que sa place nest pas là
- Et quen sais-tu, si ce nest pas sa place ici, après tout ? sexclame Monsieur le Marquis Et quand je dis sa place, je parle de celle quelle semble souhaiter absolument, la seule qui la rendrait heureuse apparemment, celle qui est tout simplement à Mes Nobles pieds
Oui, ouvre les yeux, ma chienne, et regarde plus attentivement la réaction, lattitude, le désir de ta fille et ce quelle vient de faire comme geste fort en venant se mettre immobile en prosternation devant moi
- Oui bien entendu Maître, mais elle est si jeune et innocente et
- Innocente ? Oh que non ! quand on se masturbe de la façon impudique comme elle vient de nous montrer
Je crois quil est temps que ta fille découvre ce qui peut la rendre heureuse et épanouie
- Non, Maître, pas ma fille Clara, elle nest pas soumise et
- Pas soumise, certes pour le moment, mais son attitude démontre quelle veut le devenir, cest clair
Regarde comme elle est positionnée, là à Mes pieds, sans bouger elle semble attendre mes ordres, mon bon vouloir
- Mais ?
dis-je dubitative
- Le mieux est de lui demander ce quelle souhaite vraiment, tu ne crois pas ?
- Bi
bien Maître, vous
vous avez sans doute raison
je
suis simplement juste un peu perturbée par tout ça
Elle est si jeune
mais oui, à y réfléchir, vos paroles sont sensées, que je finis par dire un peu plus convaincue en voyant limmobilité de Clara aux pieds de Monsieur le Marquis !
Alors je mapproche de Clara, magenouille près delle et lui relève délicatement la tête, lui caresse et range ses cheveux en bataille sur son visage humide car elle pleure en silence, ses larmes coulent le long de ses joues et son regard quelle me porte en dit long sur ses intentions.
- Ma chérie, ma fille bien-aimée, tu veux vraiment devenir une soumise ? lui dis-je, - Tu sais, ce nest pas toujours facile ! Il faut obéir sans jamais rechigner, être toujours à la disposition du Maître et obtempérer à toutes Ses exigences, mêmes les plus perverses
Tu devras faire preuve dune obéissance totale, dune dévotion la plus absolue et sans jamais te plaindre
Cest vraiment ça que tu veux ?...Tu le veux vraiment ? Tu penses trouver le bonheur en étant ainsi ?
Pour toute répondre, Clara me fait un grand signe de tête positif et répétitif exprimant un grand oui avec un changement radical dans lexpression de son visage qui sépanouit spontanément dans un large et radieux sourire exprimant tout le bonheur de cette perspective
- Je crois que ta fille a clairement fait comprendre sa réponse, ma chienne
- Oui Maître, je me rends à lévidence, je nai plus aucun doute là-dessus
- Alors, il faut quelle me demande si je veux bien daigner la prendre comme soumise et sous ma protection
bien évidemment ! dit le Maître
Si Clara est muette, elle est loin dêtre sourde et cest avec un geste fort quelle sexécute à faire sa demande de soumission envers le Maître. Subitement, en effet, elle se met dabord à genoux bien droite et met ensuite ses deux mains jointes comme si elle faisait une prière, mais la tête baissée, le buste bien droit. Elle reste ainsi quelques minutes le temps que le Maître, qui lobserve sans rien dire, sexprime enfin pour lui dire dun ton solennel :
- Très bien Clara, je prends en compte ta demande de devenir à linstar de ta mère, Ma soumise. Tu sais à quoi tu tengages, ta mère vient de te le dire : Obéissance totale et dévotion complète, absolue.
Alors jaccepte de moccuper de toi et de faire de toi une bonne chienne docile et obéissante.
En guise de remerciements, Clara se penche en avant en levrette et vient baiser abondement et avec une évidente dévotion les pieds du Marquis dEvans. Elle en est très excitée à voir sa cyprine coulant le long de ses cuisses. Cela ne passe pas inaperçu au regard de Marquis :
- Bien, chienne Clara, couches-toi là sur le dos, à même le sol, écartes bien tes cuisses et continues ce que tu faisais sur les marches descaliers, caresses-toi, masturbes-toi bien, petite salope, devant Moi, montres-moi bien ton sexe largement trempée et caresses le encore et encore en te tortillant dexcitation
. Et regardes en même temps, ce que je vais faire avec ta chienne de mère ! lança-t-il.
Ceci-dit, Clara obéit avec une motivation évidence à voir. Alors le Maitre me fait mettre debout, face au poteau central du salon qui sert de poutre verticale de soutènement. Il me lie les poignets à ce gros poteau improvisé par des cordes trouvées dans le coffre en bois près de la porte ... Monsieur le Marquis me met en position, debout, il me fait cambrer les reins en arrière afin de bien faire saillir ma croupe arrondie, les cuisses largement écartées... Alors sous les yeux de Clara très excitée autant à se masturber quà obéir à un ordre, le Maître minflige une dizaine de coups de cravache, secs et violents... Jessaie de ne laisser échapper aucun gémissement.
- Pour te rappeler que j'ai tous Pouvoirs, me-dit-il
Ensuite, une fois ses coups de badine terminés, il pose Ses mains sur mes hanches, en me tirant vers Lui... Puis il passe sa main entre mes cuisses, caresse longuement mes lèvres intimes et sattarde sur mon clito, pour finir son savoureux doigtage en me mettant un doigt dans mon anus ... puis deux
et il les fait aller et venir en me traitant de bonne chienne. Le Maître se saisit alors de son sexe qui commence à durcir et l'insère tout en poussant brusquement son gland contre mon anus dilaté par ses doigts pénétrants ... Ensuite, tout en me serrant de plus en plus contre lui, toujours avec sa queue redevenue raide, épaisse, et dressée, il me pénètre d'un coup sec en donnant un puissant coup de reins... Il me besogne ensuite un long moment durant lequel, il n'a jamais cessé de me tenir par le sexe, ses doigts entre mes lèvres intimes, tout en m'enculant profondément. Au bout dun moment, il se retire sans éjaculer et moblige à lui nettoyer sa verge raidie et souillée. Jobéis avec une gourmandise qui me surprend moi-même
Puis il se retourne vers Clara toujours couchée au sol, jambes largement écartées qui a redoublé ses déhanchements de plaisirs à décoller ses fesses du sol. Cest avec la verge en forte érection que le Maître lui dit :
- Ca texcite, hein ! petite femelle
Mais, tu es pucelle, Ma chienne eh bien, je vais prendre possession de ta virginité... Et de plein droit, dit le Maître, tu es Ma propriété désormais ....
Ses mots sont dits dans un souffle en se couchant en position du missionnaire entre les cuisses de Clara qui dans son excitation écarte encore plus les cuisses. Et cest sur chienne Clara que le Noble pousse dun coup de reins puissant son bassin pour enfoncer sa bite dans cette chatte vierge et fort trempée... Clara a la respiration très rapide comme si elle jouissait déjà. Alors quelle se fait dépuceler, elle halète et regarde le grand lustre de cristal au plafond, au-dessus d'elle. Elle sent un épais bout de chair dur dans son intimité, déflorer son hymen, ses lèvres se mettent à trembler légèrement et son souffle saccélère encore lorsqu'elle sent le Vit du Noble si raide la besogner en elle à grands coups de reins cadencés et ininterrompus
Le Maître est en elle, il va et vient encore et encore, s'enfonce, la pénètre de plus en plus profond... elle gémit de plaisirs mais aucun son ne sort de sa bouche, muette à jamais. Elle se sent possédée, bien remplie, baisée, elle se sent enfin être une femme, tout simplement. Et Clara souhaite tellement cette verge tout entière en elle, quelle écarte encore plus les jambes. Le sexe du Marquis la possède désormais pleinement, sauvagement, bestialement dans des han à chaque coup de boutoir... Longuement il la baise ainsi, savourant pleinement la fin de cette virginité si longtemps préservée et qui a cédé face à Son Pouvoir le plus absolue...
C'est sur ces mots que ce nouveau récit de la comtesse du Dranier termine la page de son journal intime sur laquelle est penché Monsieur le Marquis Edouard d'Evans ...
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!