Donjons Et Dragons - 1
Cétait la fin de lété, il faisait chaud. Je passais beaucoup de temps dehors à cause des récoltes à faire, et mon dos me faisait tellement souffrir parfois que je mallongeais souvent directement dans lherbe, sur le chemin de retour entre le champ et les dortoirs, pour reprendre mon souffle. En fin de journée, le ciel se décorait de couleurs fantastiques. De lazur, du doré, parfois du rose : je ne pouvais pas mempêcher de penser que je finirais un jour par menvoler sur un de ces nuages, chevauchant avec élégance ces monstres flottants.
Javais retiré ma grosse robe, plutôt encombrante, qui mhabillait quand je faisais les récoltes. Jétais nue, en marge de la route à quelques mètres, mais après tout on était en fin de journée et je ne croisais jamais personne sur ce chemin particulier.
Allongée dans lherbe, jimaginais la vie simple que devaient mener les papillons qui sagitaient à quelques mètres. A côté, mes journées étaient dures, et je ne rêvais que dune chose : devenir une des dames du château. Me faire remarquer par mon seigneur, ou lun de ses conseillers, et ne plus jamais avoir à marcher dans la boue
Je fus sortie de ma rêverie par des bruits de pas qui venaient du dortoir.
- Lilly ! Quest-ce que tu fais là ?
Je reconnu la voix du fils dun couple de servants au château. Sil nétait pas des plus puissants de cet endroit, il létait comparativement bien plus que moi. De cette position, il avait probablement une vue plongeante sur mon anatomie, et je sursautai, et me releva avec précipitation. Je me retrouvais nue en face de lui, quelques mètres nous séparaient.
Embarrassée, jentrepris de chercher ma robe que javais posé à côté de moi, puis me rendit compte quil lavait lui-même ramassé.
- Hé bien dis donc, on profite du soleil jai limpression.
- Niel ? Tu peux me rendre ma robe sil te plait ?
Je me cachais comme je peux avec mes bras, me retournant de 3/4 pour éviter quil ne puisse voir mes parties intimes.
- Tu es vraiment jolie Lilly, je navais jamais remarqué. Ton corps.. Il est vraiment beau.
- Ne tapproche pas !
- Écoutes, je tai prise sur le fait, tu attendais probablement un amant, non ? Ou tu fais la putain peut-être ?
- Non, ce nest pas-
- Ce nest pas grave, je peux comprendre si tu as besoin dargent.
Jétais tétanisée, je navais pas pensé à ça. Je regardais les papillons, et lui était apparu, comme ça
Comment me sortir dune telle situation ?
- Je, écoute, non-
- Tu as encore eu peu de temps ? Avant que ton vicieux de client narrive ?
- Vraiment, arrête sil te plait.
Il me passa la main sur le bassin. Ses doigts contre ma peau agissaient comme une caresse. De si proche, il me dominait dune tête et demie. Je commençais à penser que ça finirait mal.
- Si on faisait un deal ? Tu moffres un petit plaisir gratuit et je ne parle pas de tes activités à personne ?
Jécarquillais les yeux, ne pouvant me dépêtrer de cette situation. Jétais totalement bloquée, tellement surprise que je neu même pas un geste de recul.
Il sapprocha encore de moi, nos corps nétaient plus quà quelques centimètres. Je sentais son parfum, quelque chose dont je navais pas lhabitude dans les champs. Après tout ça faisait plusieurs semaines que je navais pas fait lamour, et ça me manquait un peu. Et puis ce nest pas comme si javais le choix
Il commença à me caresser un sein avec une douceur extrême. Mon poult commença à saccélérer. Niel était peut-être un connard, mais il savait sy prendre
Et puis il avait vraiment un beau visage.
Je restais comme ça, sous sa caresse, quelques temps. Je fermais les yeux.
Il me prit la main, la caressa avec douceur. Puis il laccompagna sur son visage. Il me fit passer sous sa chemise, et jappréciais le contact de sa peau. Telle un pantin, jacceptais la promenade, et il fit descendre ma main avec délicatesse jusquà son entre jambe.
Je rouvrais alors les yeux, décidée de prendre les choses en main, cest le cas de le dire. Comme hypnotisée, je saisis la boucle sa ceinture que je desserrai, et son pantalon tomba tout seul sur pieds.
Je me retrouvais face à une longue verge tendue vers moi. Je ne pouvais plus reculer. Je me saisis de sa bite. Je sentis quil pris une grande inspiration, et me passa la main dans les cheveux. Réconfortée, je commençais à effec un mouvement de bas en haut, et je sentis sa respiration reprendre de plus belle. Ma deuxième main de libre vint se fixer au niveau de ses bourses, que je malaxais avec un bonheur non dissimulé ; je commençais à penser que Niel était un séducteur professionnel.
Je me suis mise à genoux pour me rapprocher de sa bite. Il me regardait avec tendresse, continuant de passer sa main dans mes cheveux. Sa hampe était longue, et je pouvais faire des mouvements très longs. Lodeur de son sexe me parvint aux narines, ce qui finit dachever la résistance quil y avait en moi. Je me rapprochais de son pénis, comme pour le sentir, pour lembrasser. Il grogna dun plaisir satisfait.
- Mhh
Oui.. Suce-moi, maintenant.
Je navais plus aucune raison de ne pas lui obéir après ça, et je passais dabord ma langue sur sa verge, comme une sucette, avant de la gober complétement. Je mactivais sur elle, je sentais sur mon palais le liquide pré-séminal, salé ; je le confesse, jadore particulièrement ce goût. Jai augmenté la cadence, je ne pouvais plus marrêter.
Il me saisit le visage avec ses deux mains, et complétement soumise à lui, je le laisse soudainement orienter mon regard dans le sien. Sa satisfaction se lisait sur son sourire, il semblait totalement maître de la situation. Je ne pouvais pas mempêcher que jaurais bien pu faire payer cette prestation, vu la manière dont il semblait apprécier. « Salope ». Je ne bronchais pas au compliment et redoublait dardeur, totalement sous son emprise.
Les yeux dans les yeux, je pompais sa verge, malaxant ses bourses, oubliant mon corps et trouvant mon plaisir dans sa propre satisfaction.
Il me saisit alors fermement la tête, pour que je ne me retire pas ; je ne comptais pas le faire. Sa verge emplit ma glotte dun liquide chaud et salé, et je hoquetai pour tout avaler sans en faire trop couler. Malgré tout, des gouttes sortir de ma bouche et vinrent sécraser sur ma poitrine.
Il resta quelques secondes, les yeux fermés, à contempler mon visage entre ses cuisses, son sperme chaud coulant sur mon corps. Je restais là, sa verge dans la bouche, attendait quil se décide à se retirer. Son sexe restait dur.
- Tu es une bien belle suceuse, Lilly, tu sais ? Je ne suis pas encore sûr, donc on va devoir refaire ça bientôt, mais tu es douée, sache-le.
Je ne voyais aucun souci avec le fait de remettre le couvert, jétais prête à moffrir.
Il avait lair pensif.
- Je me demande si
Tu ne pourrais pas rencontrer une connaissance qui serait ravi de taider un peu.. Mes parents vive au château, tu le sais, alors je pourrais peut-être te faire rentrer.. Moyennant quelques petites séances comme celles-ci.
Je secouais légèrement la tête pour lui confirmer que jétais intéressée, toujours sa verge entre mes lèvres. Jattendais sans vraiment men rendre compte quil choisisse quand il se libérerait. Il se recula, sa bite navait jamais été aussi propre avec une fellation.
- Très bien.
- Mais il pourrait y avoir du monde !
- ça sera le temps que tu toques et que je touvre, ne tinquiète pas.
- Bon, dans ce cas.
- Très bien. A demain !
Et il partit, me laissant là, à genoux, nue dans la forêt, son sperme encore coulant sur mon menton.
[à suivre] (Je suis particulièrement fière du titre de cette nouvelle histoire)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!