Philippe, Mon Voisin Impitoyable - Bonus Avec Richard Et Lucas (Partie 2)
Nous étions samedi matin et je métais réveillée aux bras de Richard. Une semaine plus tôt, javais pourtant juré de ne plus retourner dans cet appartement, cependant, après lhistoire du fameux post-it la veille, je navais pas vraiment eu le choix et je navais pas su résister à la tentation de recoucher avec lui. Après une nouvelle partie de jambe en lair au réveil, nous étions maintenant en train de discuter. Jappris ainsi quil travaillait dans limport-export, quil était divorcé depuis 4 ans et quil avait deux s au lycée qui vivaient avec leur mère dans le sud de la France. Tandis que notre conversation se poursuivait, il posa sa main sur mon bras. Du bout des doigts, il remonta jusquà lendroit où se trouvait mon implant.
-Ça fait longtemps que tu las ? me demanda-t-il en sattardant dessus.
-Presque deux ans et demi.
Jétais sous contraceptif et depuis que javais commencé à avoir des rapports, javais toujours utilisé un préservatif, sauf avec Philippe et maintenant avec Richard. Jétais consciente davoir eu un comportement à risques. Philippe étant marié, il était peu probable quil ait quelque chose, mais pour Richard, cétait différent.
-On aurait dû mettre un préservatif
-Je sais, me dit-il en mattirant plus vers lui. Mais si ça peut te rassurer, aux dernières nouvelles je nai rien
Soudain, la sonnerie de la porte retentit dans lappartement. Nous nous regardâmes étonnés, puis je roulai sur le côté tandis quil se levait pour enfiler un jean. À 48 ans il avait selon moi un corps de rêve. Il était très grand, assez costaux et vraiment séduisant. Alors quil sortait de la chambre, la sonnerie retentit une deuxième fois puis une troisième et on frappa à la porte. Je jetai un rapide coup doeil au réveil : il était 10h13. Qui cela pouvait-il bien être à cette heure-ci ? À travers la porte de la chambre jentendis Richard ouvrir à son visiteur inattendu. Cétait peut-être important.
-Non mais je rêve ! sexclama Philippe complètement ahuri.
Jétais comme paralysée. Pas par peur mais par stupéfaction. Je ne mattendais vraiment pas à ce quil me surprenne ici à poil au petit matin. Furtivement, je lançai un regard à Richard, ce qui ne manqua pas à Philippe qui se tourna vers lui.
-Quest-ce que tu fous avec elle ? lui demanda-t-il en haussant le ton. Cest une putain !
-Arrête
, lui lança Richard en essayant de le calmer.
-Non mais je comprends, elle a la chatte tellement serrée. Une fois que tu las fourré, tas quune envie cest de recommencer
Richard lattrapa violemment par le col.
-Arrête je te dis ! Tais-toi !
Furieux, Philippe se dégagea avec rage et savança vers moi. Je reculai.
-Et toi Morgane ? Après ce quil ta fait, comment tu peux encore coucher avec lui ? Cest lui qui ta fait du chantage et cest à moi que tu en veux ?
-Fiche-moi la paix Philippe ! lui répondis-je folle de rage.
Il me foudroya du regard.
-Moi, Lucas et maintenant lui
mais tes vraiment une trainé ma pauvre !
-TU LA FERME, sécria Richard en lattrapant par les épaules et en le bousculant contre le mur. Morgane, sors ! Laisse-moi lui parler
-Est-ce que tu sais combien de fois je lui ai défoncé la chatte dans ton lit mon vieux ? Je lai baisé par tous les orifices cette petite salope
A chaque fois que je pensais que Philippe ne pouvait pas être plus obscène, il me prouvait le contraire.
Cela faisait dix bonnes minutes que jétais assise par terre dans la salle de bain. Javais réussi à me calmer et je pensais à Lucas. La dernière fois que je lavais vu, je métais décidée à lui expliquer pour quelle raison il mavait vu gifler Philippe quelques jours plus tôt. Je lui avais avoué que javais eu une relation avec lui et quil mavait fait un sale coup, doù la gifle. Cependant, je navais pas parlé du fameux marché quil avait passé avec Richard, pour éviter que Lucas ne se fâche contre lui car il le considérait comme son propre père. Javais dailleurs été vraiment surprise lorsquil mavait dit quil ne men voulait pas, dautant que javais aussi couché avec lui une fois alors que jétais encore avec Philippe. Lucas avait lui-même une vie sexuelle très pimenté, ce qui expliquait probablement son ouverture desprit sur le sujet.
Perdue dans mes pensées, je navais même pas remarqué que le calme était revenu dans lappartement. La porte de la salle de bain souvrit et Richard sapprocha de moi et maida à me relever.
-Ça va ? me demanda-t-il préoccupé.
Je secouai la tête. Avec ce quil venait de se passer, non je nallais pas bien. Jétais blessée et en colère. Il mattira contre lui et je me laissai aller un moment avant de le repousser.
-Je vais rentrer chez moi, jai envie dêtre seule.
Puis je sortis de la salle de bain pour me rhabiller, je récupérai mes affaires et je men allai.
Deux semaines sétaient écoulées depuis cette horrible scène avec Philippe et javais miraculeusement réussi à léviter pendant tout ce temps. Par ailleurs, cela faisait aussi deux semaines que je navais pas revu Richard. Il mavait appelé trois fois mais je navais pas répondu.
Ce jour-là, alors que jétais seule à la maison, Lucas passa à limproviste. Cela faisait une éternité que nous navions pas trainé ensemble car il était toujours en train de jongler entre ses multiples conquêtes et de mon côté je fuyais limmeuble le plus possible. Nous avions passé la journée à regarder des séries et nous étions maintenant allongés sur mon lit en train de parler de tout et de rien. Très vite, la discussion se porta sur des sujets un peu plus coquins. Subtilement, il passa sa main sur mon bras, puis sur mon ventre. Petit à petit ses mouvements se firent plus doux, plus sensuels. Nos voix se turent. Sa main se glissa sous mon tee-shirt et je frissonnai au contact de ses doigts. Il me caressa le flanc, puis il remonta jusquà ma poitrine, souleva mon soutien-gorge et vint jouer avec mes tétons. Il approcha ses lèvres des miennes et membrassa. Je me laissai aller. Il libéra ensuite ma bouche pour me sucer et me mordiller le bout des seins. Cétait tellement bon. Lentement, ses mains descendirent vers mon entrejambe et il déboutonna mon pantalon. Au moment où il glissa ses doigts sous ma culotte, je ne pus mempêcher de penser à Richard et je me braquai.
-Arrête, soupirai-je.
-Jai trop envie de toi, me dit-il dune voix suave, en continuant à me lécher les seins.
-Non, Lucas
arrête !
Je lui agrippai la main pour lempêcher daller plus loin et il se laissa tomber à côté de moi. Nous restâmes un moment sans parler à fixer le plafond, puis il rompit le silence.
-Tu laimes ? me demanda-t-il.
-Quoi ?
-Mon père ! Tes toujours
amoureuse de lui ?
-Non, mexclamai-je !
Je me recouvris la poitrine et refermai mon pantalon.
-Tu létais ?
-Je nétais pas
amoureuse, répondis-je hésitante. Je
je crois que jaimais
leffet que
euh
Cétait trop embarrassant de discuter de ses choses-là avec lui.
-Pourquoi tu veux parler de ça maintenant ? lui demandai-je, gênée.
-Javais juste
envie de savoir, me répondit-il après un moment dhésitation.
Je jetai un coup doeil vers lui. Les mains derrière la tête, il semblait ailleurs.
-Ça va ? lui demandai-je en posant ma tête sur ses pectoraux.
-Super !
-On est amis tous les deux, tu peux me parler !
Nerveusement, il passa sa main dans mes cheveux, puis après un long silence, il me dit :
-On nest pas vraiment des amis, Morgane !
Il était déjà presque 19h lorsque Lucas quitta mon appartement pour aller rejoindre des amis. Alors quil me disait au revoir sur le pas de la porte, Philippe apparut sur le palier. Maintenant que Lucas savait pour son beau-père et moi, les moments comme celui-là étaient encore plus gênants.
-Tu permets ? demanda soudainement Philippe. Jaimerais discuter 5 minutes avec elle !
Lucas hésita un moment avant de minterroger du regard.
-Ça va, lui chuchotai-je.
-Je dois y aller de toute façon, lança-t-il à légard de son beau-père.
Lentement, il membrassa sur la joue, puis après lavoir salué, il disparut dans les escaliers.
Quelques secondes passèrent sans que Philippe ne se décide à parler.
-Quest-ce que tu veux ? demandai-je agacée. Me traiter de salope encore une fois ? Me rappeler à quel point tu mas baisé par tous les orifices ?
-Je veux juste mexcuser Morgane, répondit-il en sapprochant. Je suis désolé, pour tout. Le marché avec Richard, ce quil sest passé après et ce que je tai dit lautre jour. Je ne le pensais pas
-Oh sil te plait, le coupai-je. Je sais très bien comment tu me vois ! Et je sais aussi quau fond, ce qui te fait le plus chier cest que je ne sois plus à ta disposition. Mais tous les deux on ne se doit plus rien, je nai pas de compte à te rendre !
-Je sais, répondit-il en chuchotant. Cest juste que
ça me rend dingue de te voir avec quelquun dautre !
Il se rapprocha de moi, me colla contre le mur et posa ses mains sur mes hanches.
-Tu me manques, me murmura-t-il à loreille.
-Je ne te manque pas, lui lançai-je froidement. Tas juste envie de niquer !
Puis, après lui avoir lancé un regard noir, je le repoussai et je mengouffrai dans mon appartement.
Ma confrontation avec Philippe mavait finalement donné le courage nécessaire pour assumer mes choix et je décidai de me rendre chez Richard. Je savais ce que je voulais et je navais plus de temps à perdre. Une demi-heure plus tard, jarrivai devant sa porte et je sonnai. Je ne savais même pas sil était là car je ne lavais pas appelé. Je mapprêtais à sonner une nouvelle fois lorsquil mouvrit enfin. Torse nu avec et une serviette autour de la taille, il me dévisagea, surpris.
-Quest-ce que tu fais là ?
-Je peux rentrer ?
Il se poussa du chemin pour me laisser passer et referma derrière moi.
-Après deux semaines sans nouvelles, quest ce qui me vaut cet honneur ? me demanda-t-il en se dirigeant vers le salon.
-Je voulais te voir ! répondis-je en le suivant. Javais besoin de temps pour me remettre les idées en place, pour réfléchir, mais maintenant je sais ce que je veux
-Morgane, me dit-t-il après un long silence. Jai un rendez-vous ce soir, je dois partir dans 15 minutes
-Si tu veux je repasse demain ?
-Jai un rencard
avec une femme !
-Oh
Bien sûr quaprès deux semaines à lignorer, il était passé à autre chose. Cétait un homme de 48 ans et il navait pas de temps à perdre avec une gamine comme moi qui ne savait pas ce quelle voulait. Dailleurs il ny avait rien eu dofficiel ni de sérieux entre nous, même si de mon côté je commençais à ressentir des choses pour lui.
-Je nallais pas tattendre éternellement, me lança-t-il devant mon air dépité. On a passé du bon temps ensemble mais tu ne sais pas ce que tu veux. Ce nest pas juste à cause de ce que je tai fait. Tu nassumes pas ce que tu ressens !
Je savais quil avait raison. Il me fixa un moment, attendant sûrement que je dise quelque chose, puis séloigna.
-Tu vas où ? lui demandai-je, retrouvant soudainement la parole.
-Me doucher Morgane ! Je suis à la bourre
Puis il senfonça dans le fond de lappartement, me laissant seule dans le salon.
Je lavais discrètement suivi jusque dans la salle de bain et jétais maintenant en train de le mater sous la douche. Je ne voulais pas le laisser me filer entre les doigts et la tentation était trop forte. Sans faire de bruit, je me déshabillai avant de me faufiler derrière lui, puis je passai mes bras autour de sa taille.
-Quest-ce que tu fabriques ? me demanda-t-il en surpris.
Sans lui répondre, je descendis mes mains vers son pubis, le caressai un moment, puis jattrapai son sexe et je le fis glisser entre mes mains. Il soupira. Je passai ma langue sur son dos tout en continuant à le branler et il commença à bander. Lorsque sa queue fut assez dure, je vins me placer devant lui et je magenouillai. Jempoignai son énorme membre puis lentement, je le fis glisser entre mes lèvres. Il tressaillit. Du bout de la langue, je vins titiller son gland puis je lintroduis le plus loin possible dans ma bouche. Perdant peu à peu le contrôle, Richard grogna de plaisir. Dune main, il magrippa les cheveux et il sappuya contre le mur. Je retirai son pénis de ma bouche et je levai les yeux vers lui : il me fixait aussi. Sans le quitter des yeux, japprochai ma bouche de sa grosse queue et je la léchai. Même sil affichait un air impassible, je pouvais lire lexcitation dans son regard. Tout en lui caressant subtilement lintérieur des cuisses, je le suçai, le léchai, puis je passai quelques coup de langue sur son frein avant de revenir sur son gland. Un petit gout de sperme se déversa dans ma bouche, il nallait pas tarder à jouir. Brusquement, il tira sur mes cheveux et méloigna de sa queue. La bouche ouverte et la respiration saccadée, il me dévorait des yeux. Sans ménagement il me fit me redresser puis il menfonça sa langue dans la bouche. Il passa ensuite ses mains sous mes fesses pour me soulever et il me transporta jusquau canapé dans le salon.
Son énorme sexe semblait sur le point dexploser. Chaude comme la braise, jécartai les cuisses, prête à laccueillir. Il sallongea sur moi puis après quelques tentatives, il me pénétra violemment jusquà la garde. Jen eu le souffle coupé. Dans un rythme effréné, il commença ses mouvements de vas-et-viens en moi. Il passa ensuite sa main sur mes seins, mon ventre puis il descendit jusquà mon clitoris et leffleura plusieurs fois avec son pouce. Au bord de lextase, je me mordis la lèvre pour essayer de ne pas crier. Ses coups de reins étaient secs, son regard féroce et je me rapprochais de plus en plus de lorgasme. Le rythme de ses vas-et-viens saccéléra et quelques minutes suffirent à me faire me tordre de plaisir. Il magrippa ensuite les cheveux avec force, puis dans un dernier râle de plaisir, il éjacula en moi.
Toujours allongés sur le canapé, nous nous embrassions tendrement lorsque son téléphone sonna. Nous avions complètement perdu la notion du temps mais il était évident quil aurait déjà dû être à son rendez-vous avec cette femme. Il attrapa son téléphone.
-Il faut que je réponde, me dit-il posant ses lèvres sur mon front.
Il se leva et disparut dans le fond de lappartement. Jen profitai pour retourner dans la salle de bain, me débarbouiller un peu et me rhabiller. Quelques instants plus tard, lorsque je retournai dans le salon, Richard qui avait au passage enfilé un jean, mattendait déjà.
-Approche ! me dit-il.
Je mexécutai. Il attrapa ma main et y déposa une clé, celle que je lui avais rendue trois semaines auparavant. Heureuse, je me blottis dans ses bras et je lembrassai : il venait dofficialiser notre relation.
Même si nous savions que ça ne fonctionnerait pas sur le long terme car nous étions à des étapes différentes de notre vie, nous avons eu une belle histoire. Puis en Mars 2012, lorsquil du partir à létranger pendant plusieurs mois pour son travail, nous décidâmes de rompre. Pendant ces 8 mois avec Richard, Lucas et moi nous contentâmes dêtre amis et de son côté Philippe garda ses distances avec moi, pour mon plus grand plaisir, ce qui nous permis de maintenir une certaine harmonie. Cependant, cet équilibre fragile fut complètement chamboulé après le départ de Richard
*** A SUIVRE ***
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