Cocu Avant Mariage Fin Non, Pas Cocu !
Cocu avant mariage FIN
Non, pas cocu ! Cest celui qui le dit qui lest ! Qui ne risque rien na rien. Un « tiens » vaut mieux que deux « tu lauras »
Comme prévu, jai rencontré Léa. Je lai quittée, elle était en rage et en pleurs, partagée entre la colère et la peur dêtre trop violente et de me perdre définitivement. Elle mélangeait les mots damour et les reproches injurieux. J appelle Josiane :
- Allo ! Jean ? Cest toi mon chéri ? Oui
Alors, Léa a mordu à lhameçon ? Non ! Ah tu ne métonnes pas ! Tu viens me raconter
? Je tattends, je taime.
Josiane ne lâchera rien, elle tient à le répéter : Elle maime, dit-elle. Léa aussi prétend maimer et je sais comment elle maime : en faisant des galipettes avec Thomas, la tricheuse ! Peut-être pense-t-elle à moi lorsquil la défonce ? Ce serait un comble. Mais cela me fait une belle jambe. Cest triste à mourir.
Léa ! Quelle histoire. Elle aurait dû comprendre ma demande de report du mariage, la nécessité dexplorer dautres horizons. Elle baigne dans ce type dexpérience, la vécue chaque soir de la semaine avec Thomas et se promet de continuer. Eh ! Bien, non ! Ce nest pas croyable. Jai limpression quelle est divisée en deux. Il y a, dun côté, la fille qui « me veut » pour mari et déclame son amour et sa volonté de mépouser bientôt et, de lautre côté, celle qui, en semaine, se vautre dans la jouissance avec Thomas, celle qui écarte les cuisses pour apprendre à mieux faire lamour, dans lespoir illusoire de mimpressionner lorsque nous serons mariés ! Lune fait abstraction de lautre, comme si la réalité nexistait pas. Je devrais sans doute me réjouir de son zèle dans la recherche de la perfection au cours des rapports de couple ?
Comment est-ce possible, comment peut-elle, à ma vue, oublier aussi totalement son comportement de la veille avec son formateur sexologue, spécialiste en positions diverses ?. Comment, à lénoncé de futures et hypothétiques préférences pour un potentiel amant, peut-elle semporter, maccuser de mauvaise foi alors quelle sort des bras de son amant réel , courbatue par sa gymnastique sur couverture, le dos endolori et le sexe en feu après les pénétrations adultères ? Sest-elle lavée hier soir ou a-t-elle voulu garder sur elle jusquau matin les odeurs fauves de son amant ? Berk
Mais son amie Josiane est-elle plus crédible que Léa ? Elle a présenté au cinéma un spectacle scandaleux.
Si elle a réellement cherché à éloigner Léa de moi, cest une intrigante doublement coupable et redoutable. Hélas jai besoin de Josiane pour ramener Léa à la raison et pour obtenir quelle passe léponge sur une promesse obtenue par fraude, avec pour elle, en arrière plan, la conviction de pouvoir mener de front une vie dépouse irréprochable aux yeux de son époux et une vie de maîtresse débauchée, de libertine partagée selon les heures et les jours entre au moins deux hommes.
- Ha ! Te voilà, mon amour. Tu en fais une tête . Ne fais pas semblant de ne pas comprendre. Léa vient de mappeler au téléphone. Quest-ce que jai entendu ! Tu serais le roi des salauds, tu aurais profité de son innocence pour détruire sa virginité. Jen passe et des meilleures. Elle va lutter pour te regagner, tu lépouseras ou tu paieras cher ta déloyauté. En attendant, elle se vengera.
- Elle sest vengée avant dêtre offensée, tu es au courant. Que pourra-t-elle ajouter à sa première trahison étalée durant une semaine devant toi ? Mon seul souci à lavenir est de protéger ma bonne réputation contre les déclarations mensongères de cette nana hystérique. Je compte sur toi pour la calmer un peu par le rappel de ses aventures amoureuses dont elle se lave trop facilement.
- Lui en as-tu parlé ?
- Non, prise sur le fait elle ne pourra plus nier lévidence et sera réduite au silence:je nallais pas lalerter et gâcher mes chances de la faire taire.
- Très bien. Réjouis-toi, tu la surprendras dès aujourdhui. Javais convaincu Thomas de passer prendre son repas de midi chez moi avant son départ en lui annonçant la participation de Léa et la possibilité quils auraient de se retrouver en tête-à-tête dans ma chambre aussi longtemps quils le voudraient.
- Tu es diabolique, tu ne laisses à Léa aucune chance de se racheter.
- Quoi ? Le souhaites-tu ? Veux-tu pardonner laffront impardonnable davoir été cocu avant les noces ? Dis un mot et jannule ce repas. Sais-tu ce que tu veux ? Es-tu un homme ou une chiffe molle ? Dans ce cas oublie moi, je veux un mari couillu, énergique, pas un vaincu, pas un paillasson. Alors, que faisons-nous ?
- Je ne suis pas un lâche, tu verras.
- Viens, montons à létage.
Josiane défait le flot de son tablier de cuisine, enlève cette protection, mapparaît en soutien-gorge et petite culotte blanche. Bouhaaa
! Chez elle chaque geste est étudié. Elle jette un il sur ma réaction dhomme fasciné par ses formes puis sempresse de passer à autre chose, comme si elle navait pas calculé le résultat évident de mon échauffement:
- Prends ce tournevis. Nous disposons de peu de temps.
Devant moi, elle gravit les marches de lescalier et balance alternativement sous mon nez et mes yeux les deux hémisphères charnus de sa croupe mouvante. Je maccroche à la rampe de lescalier pour ne pas lui sauter dessus ou lui arracher le mince ruban blanc de la culotte. Depuis huit jours je me promettais des folies sexuelles avec Léa. Et il y a eu cette déconvenue douloureuse dans le bois. Mon vit est une torche enduite de poix, prête à senflammer à la première étincelle, mes testicules me font mal. Ce dandinement du cul à peine couvert, la souplesse de la taille dénudée, la finesse des attaches des genoux et la grâce de lensemble de ce corps proche et promis à mes caresses, ces hanches larges et même les lanières dorsales du soutien-gorge me mettent dans un état second.
Elle ouvre une porte, je contemple les muscles à la peau luisante et douce de ses cuisses et je remonte jusquà la nuque fine sous la chevelure relâchée. Elle ignore mon air distrait et la tension de mon visage : ou sen amuse en douce
-Voici ma chambre. Elle communique avec celle de mes parents par une porte habituellement fermée à clé. « Nos amis ? » occuperont ma chambre, tu seras dans celle de mes parents. Bientôt, jespère nous aurons le temps de nous aimer. Vivement
Elle a rempli sa part du contrat. Je voudrais faire divergence, ne plus parler de la suite, d amour entre nous. Ce nest pas mon but.
- Et ce tournevis ?
- Arrange-toi pour démonter la serrure, la porte sans pêne sera mobile. Discrètement tu pourras surveiller les amoureux et intervenir dans leurs ébats au moment que tu choisiras. Ne te précipite pas, prends-les en flagrant délit, ne les interromps pas au premier baiser. Il te les faut nus, accouplés, couverts de sueur et essoufflés et estomaqués. Aucun doute ne doit subsister sur la nature de leurs actes. Je vais les accueillir. Patiente, ta vengeance arrive. Noublie pas que jagis par amour de toi. Hum, embrasse-moi.
Josiane est énergique, décidée et transmet sa force. Elle a compris mes souhaits et a tout planifié pour assurer le bon déroulement de lopération. Dommage que je laie vue à luvre au cinéma dimanche et dans le bois hier, car son sens de lorganisation me ravit. Mais son baiser est différent, meilleur, délicieux et passionné. Je nen reviens pas dallumer un tel élan. Jaimais Léa, je ne voyais pas les autres filles, je ne devinais pas quon pût me désirer. Tout à coup, à lamour platonique se substitue une pulsion violente, difficilement contrôlable, pour ce corps bien fait, si désirable et déclaré disponible Je rends vigoureusement le baiser.
Léa a devancé Thomas. Je les ai entendus rire, se congratuler. Le repas a été expédié au grand dam de la cuisinière. Celle-ci guide ses hôtes dans sa chambre, refuse de se joindre à eux, car ils nont pas encore eu le bonheur dun moment de véritable intimité. Elle les met en garde contre lutilisation du lit des parents, regrette de ne pas avoir eu le temps de remplacer la serrure défaillante.
- Amusez-vous bien et soyez heureux ! Léa souviens-toi que Jean tattend à 17 heures chez lui pour te présenter officiellement à ses parents.
- Il veut des fiançailles prolongées pendant lesquelles je fréquenterais dautres garçons. Il a peur dêtre cocu quand nous serons mariés. Limbécile est déjà cocu. Sil savait
Venge-moi, Thomas, prends-moi, façonne-lui des cornes grandes comme ça. Défonce-moi, tue mon désir damour et à 17 heures jirai le tenter mais je ne me donnerai pas à lui. Il naura quà se palucher en attendant la semaine prochaine, le con.
- Viens, que je taide à te foutre à poil. Ta copine Josiane est merveilleuse. Toi aussi. Allonge-toi sur le dos en travers du matelas et ouvre tes guibolles. Jai enfin du temps pour inspecter ton corps. Jadore ton petit con épilé, semblable à celui dune petite fille.
- Jean ne serait peut-être pas content . Ma mère ma traitée de folle et veut que je laisse repousser mon barbu.
- Ne contrarie personne. Lessentiel est que je laie vu. Quelques poils en plus ou en moins ne sont pas importants. Oh ! Tu es vraiment bien rodée, ton vagin est souple et large. Tire sur tes grandes lèvres, tu ne soupireras plus quand ma queue te pénètrera.
La voilà. Quen dis-tu ? Rien de tel que lexercice quotidien avec un bon étalon; remercie-moi. Allez, on remet ça, Sésame, ouvre-toi !
-Jaime. Pousse, avance sans crainte, élargis-moi encore, même si je me plains. Jean sera stupéfait de voir comment jai évolué à la suite de la défloration. Il se prendra pour un héros, hihihi. Aïe ! Oh; que tu es fort mon Thomas. Je taime, embrasse-moi et bourre-moi bien. Je veux te sentir tout au fond. Hummmm!
Par lentrebâillement de la porte je vois les fesses de Thomas en mouvement. Il connaît déjà bien le corps quil domine et le martèle à grands coups de boutoir. Les fesses montent lentement et retombent plus brutalement encadrées par les jambes plus blanches et plus minces de Léa. Lorsquils pioche en profondeur, elle répond par des « ah, oui » puis elle retient sa respiration une fois, deux fois avant de céder au frottement rugueux et de vider ses poumons en un long gémissement. Ses mains se promènent sur le dos de lhomme, enserrent sa nuque. Longtemps laccouplement suit son rythme de gens qui ne sont pas pressés den finir. Léa voudrait « plus fort, plus vite ». Léa est plus amoureuse que son compagnon. Sûr de son charme, il na pas peur de la vexer :
- On a tout notre temps. Cest pas bon comme ça ? Retourne chez ton cocu.
- Mais non, cest fameux. Fais comme tu veux. Dis, tu maimes un peu ?
- Ben, oui ? Sinon quest-ce que je fais là. Jaime ta petite gueule, tes gentils nichons qui nont pas allaité, ton vagin serré autour de mon pieu, ses contractions nerveuses. Oui je taime
- Merci. Parce que je ne sais plus si Jean maime lui.
- Tu te fais des idées. Évidemment, si tu lui fais la gueule, si tu ne te laisses pas toucher, si tu te refuses trop longtemps ou trop souvent, il finira par se lasser de toi. Tu temportes trop vite. Au contraire amadoue-le. Donne-lui envie, excite-le, couche ou tu le perdras.
- Tant mieux. Il ma trop énervée ce matin. Tu me plais plus que lui.
- Cest normal. Mais je tai avertie, je suis marié, jai un fils, je travaille pour mon beau-père, je ne peux pas divorcer. On baise, on se fait du bien, je népouse pas. Tu le sais. Soigne ta relation avec ton Jean, cest ta garantie dune vie bien douce et de bon moments avec moi.
- Bon. Si je montais sur toi, tu veux?
Le couple se défait. Léa enjambe Thomas, se saisit du membre raide, le guide entre les lèvres de sa vulve et se laisse glisser autour de la colonne en fermant les yeux sur ses sensations. Puis commence son mouvement : je monte, je descends, je monte inlassablement avant de coulisser vers le butoir du pubis. Parfois létalon simpatiente et envoie son ventre vers létui du sexe qui laccueille en quelques ruades appuyées. Ça dure. Je me lasse du spectacle. Je ne suis pas un voyeur naturel, jéprouve du dépit et plus encore du dégoût. Japplique la consigne de Josiane
« Pas de précipitation. »
Il men coûte. Quai-je besoin de voir, de suivre le balancement en contrepoint des deux seins rougis de volupté ou de remarquer la rougeur qui sétend du front au cou de ma fiancée infidèle? Les sons me suffiront pour connaître lavancée de leur copulation. Avec précaution je mallonge sur le lit des parents absents. Bientôt je franchirai la porte et je ferai mon effet. Léa médusée rendra les armes. Et Thomas devra prouver quil est marié et père ou devra épouser Léa. Selon moi, ce couple bâti uniquement sur le sexe, survivra mal à ses tendances à papillonner de bite en con.
Une main passe sur mon pantalon, là où mon sexe est raide. Une bouche gourmande se pose sur mes lèvres et maspire. Mes yeux clos souvrent, Josiane a perdu soutien-gorge et culotte. Je métais légèrement assoupi, fatigué dentendre les râles et grognements des deux amants. Jai sursauté quand Léa a crié lors de la tentative de sodomie. Thomas a appelé Josiane, réclamé de la vaseline aussitôt servie et a demandé une trêve. Je me suis de nouveau assoupi. Et maintenant Josiane, un doigt sur les lèvres me demande le silence et me déshabille avec mille précautions. Elle a fini. Au-dessus de mon visage prisonnier de ses genoux, descend le sexe féminin quouvrent ses mains, elle me souffle:
Lèche-moi, suce moi
Ses mains font place aux miennes et saisissent ma nature. Chaude, chargée de salive la bouche qui membrassait sempare de ma verge et je hume les chairs de cette femme. Elle dit tout bas:
« Je taime, aime-moi » puis me replace dans la chaleur humide de sa bouche et me pompe
Je suis pris au piège, sans envie de men dégager. Cest si bon. Joublie mes bonnes résolutions, ma répulsion première et ma méfiance. Cest si facile quand je me remets à lécher, sucer et titiller le sexe féminin à lodeur forte. Josiane me désire de tout son corps et de ses fluides. Voilà, moi aussi je me venge. Mais la vengeance nest pas mon sentiment dominant. Jaime ce qui marrive, jaime ce que Josiane me fait et le plaisir que je lui rends. Jaime le partage du plaisir avec Josiane. Et zut pour tout, zut pour le « qu en dira-t-on, » zut pour les grands principes, zut pour la fidélité, zut pour le mariage avant de faire lamour ! Zut, Zut, Zut
Josiane étend tout son corps sur moi, peau contre peau. Josiane saccroupit au-dessus de mon ventre, Josiane prend ma tige en main, Josiane frotte mon gland contre ses nymphes, Josiane me place, Josiane se laisse envahir par mon bélier, Josiane simmobilise et me regarde dans les yeux de ses yeux chavirés damour et de bonheur.
Cest divin. Que demander de plus. Carpe diem ! Finis les projets. Je suis heureux, aimé, je ne suis plus cocu. Que lautre salope à côté bâtisse des plans sur la comète, cest son affaire. Josiane sanime, roule son ventre autour de mon sabre, se soulève pour retomber aussitôt, sagite de plus en plus vite, souffle, sépoumone, se crispe, plante ses ongles dans mes épaules et soudain pousse un cri strident et clame:
- Oui ! Jean, mon amour. Défonce-moi, fais-moi jouir. Bombarde, tranche, renverse-moi et baise-moi.
Jobéis à des ordres si plaisants. Je me retrouve prisonnier à mon tour de ses jambes nouées autour de mes reins. Je lève la tête et vois entrer dans la chambre Léa debout devant Thomas. Ils sont figés, nus et toujours incrédules, vraiment estomaqués. Elle na quune phrase pour chacun
- Salaud ! Ne mattends pas ce soir chez tes parents. Voilà pourquoi
Et toi, Josiane, je te hais.
Question à Josiane :
- Ce cri était-il intentionnel ?
Elle rit, heureuse davoir obtenu une fin inattendue :
- Non, tu es fantastique, cest parti naturellement, jai joui très fort. Laissons les filer, nous navons pas fini. Je tattends, prends-moi encore.
-
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