Comment Je Suis Devenue Une Couguar
Mon univers a basculé un dimanche en début daprès-midi. Il y a environ deux ans, après un bon repas dominical, je faisais la sieste à côté de mon mari, dans notre lit conjugal. Mon smartphone a bipé, sa batterie était déchargée.
Je me suis levée pour aller recharger mon appareil, mais le chargeur était occupé par le téléphone de mon mari. Celui-ci était chargé à 100%. Je lai débranché pour mettre le mien à la place. Cest alors que sest affiché un message sur lécran :
«Jaimerais tellement être à sa place dans tes bras, mon amour !»
Ça ma fait un choc. Je me suis précipitée en hurlant dans la chambre : «Cest quoi, ça ?»
Il ne sest pas démonté, très à laise : «Oh, ça ! Cest une connerie. Une femme avec qui je correspond sur internet. Elle a voulu faire une blague.»
Tu parles dune blague. Jétais dévastée. La quarantaine bien avancée, jamais je naurais pu imaginer une chose pareille. Je savais mon mari dragueur, séducteur, mais je navais pas envisagé quil puisse me tromper.
Moi non plus, dailleurs. Jamais, au grand jamais, je naurais pu imaginer être un jour infidèle à mon mari. Depuis lâge de 13 ans, jai été abordée, convoitée, sollicitée par des hommes, des connaissances ou des inconnus, et aussi par quelques femmes. Je nai jamais répondu à leurs sollicitations. Je me suis mariée vierge et je suis restée fidèle à mon mari jusqu'à
Je nai pas cherché à savoir qui était cette femme. Je men fichais. Ma vie tombait en morceaux, je navais plus goût à rien. Au travail, les copines ont remarqué mon air dévasté, ma mine de papier mâché : «Quest-ce tas, tes malade ?»
Je navais pas envie de clamer sur les toits linfidélité de mon mari, jai éludé les questions. Mais après plusieurs jours, à force dinsistance, jai fini par craquer et lâcher le morceau. Nous habitons une petite ville de banlieue, je travaille à temps partiel au centre commercial, tout le monde connaît tout le monde, la rumeur sest répandue, et au bout de quelques jours, celles qui savaient sont venues me parler.
Cest là que jai su le fin mot de lhistoire. Lorsque mon beau-père est décédé, la mère de mon mari était déjà âgée. Mon mari a décidé dinstaller sa mère dans un établissement spécialisé proche de chez nous. Comme cétait sur son chemin pour rentrer chez nous, tous les soirs il passait faire un bisou à sa maman. Tout le monde trouvait ce fils très gentil, et je me souviens avoir dit à mon propre fils, Arthur :
«Quand je serai vieille, jespère que tu seras comme ton père, et que tu viendras me voir souvent.»
Oui mais voilà, mon mari nallait pas voir que sa mère. Dans cet établissement, il y avait aussi une jeune personne qui nétait pas insensible au charme de mon mari. Après avoir embrassé sa maman, mon mari passait un moment dans les bras de la jeune femme. Dans ce genre détablissement, il est facile de trouver une pièce inoccupée pour sisoler.
Après avoir passé un agréable moment, il rentrait à la maison, lâme sereine et les couilles vides. Moi, javais droit, une fois par semaine, aux attentions de monsieur. Elle, elle passait à la casserole tous les soirs. Et ça durait depuis
?
Jétais vexée, furieuse, jalouse. Jai établi mon campement dans la chambre damis, avec interdiction à mon mari de pénétrer dans cette chambre et dans mes fesses. Mon fils a bien tenté de nous réconcilier, peine perdue. Je lui en voulais trop.
Comme je dépérissais, la mine triste, hargneuse, au travail une amie ma prise à part : «Venge-toi ! Moi, depuis que jai divorcé, je sors tous les samedis soirs. Une boîte latino, des jeunes hommes, merveilleux danseurs, parfois ils sont tendres, parfois un peu plus. Ça fait du bien, crois-moi. Et puis on sen fout dêtre des couguars, le principal cest que le corps exulte !»
Jai dit daccord, le samedi suivant jai raconté à mon mari que jallais à un loto avec mes copines du boulot, il sen foutait dailleurs, il y avait un match à la télé, pas sûr quil ait compris ce que je disais.
Quatre femmes, la quarantaine trépidante, prêtes à faire des folies. Une boîte de rythmes latinos, ou afro-cubains, on se trémousse, et on se frotte contre tout ce qui est jeune et beau. Les filles mont expliquées la règle. Jamais seule, jamais isolée ou séparée des copines, cet endroit est un vrai coupe-gorge, tu te ferais violer en moins de deux. Bon, daccord, nempêche que le jeune mec qui danse devant moi, sil veut me violer, bah je suis daccord !
Jai eu beau me trémousser, changer 50 fois de partenaire, je me suis bien amusée daccord, mais pas doutrage. Quelques mains baladeuses, quelques bisous, mais rien de plus. Pas déçue, parce quon sest bien amusées, je le referai, cest sûr, mais pas question ici de me venger en trompant mon mari.
Nous sommes sorties en bande tous les samedis soirs, on samusait bien, on draguait et on se faisait draguer, mais ce nest jamais allé plus loin. Men fichais, vous auriez vu la tête de mon mari, le samedi après-midi, quand je me pomponnais pour sortir, ça valait toutes les coucheries du monde. Je suis sûre quil était convaincu que je le faisais cocu, et je ne faisais rien pour len dissuader.
Un mercredi après-midi, un garçon est venu à la maison, voir mon fils, Arthur. Un copain quil avait rencontré au permis de conduire. À bientôt 17 ans, mon fils prépare le permis en conduite accompagnée, avec son père. Mais les cours de code, il y va seul.
Cest là quil a rencontré Farid, un gamin un peu plus âgé. Ils se sont découverts une passion commune pour un jeu vidéo, et se sont lancés un défi. Cest pour cela que ce gars venait chez nous, sa manette de jeux à la main. Par précaution, je me suis intéressée à lui, savoir ce quil faisait dans la vie, ses parents, tout ça
Je ne suis pas raciste, mais je ne veux pas que mon fils ait de mauvaises fréquentations. Mais avec Farid, pas de problème. Dailleurs, il était beau garçon, élancé, dynamique, souriant, et un regard
à tomber !
Pendant que les garçons allaient dans la chambre dArthur, se mesurer à leur jeu favori, je suis allé dans ma chambre, revêtir une tenue un peu plus seyante que ma robe-tablier de ménage.
Il est divisé en 3 zones. Au centre, le lieu de vie, avec le grand séjour, la cuisine et le cellier. Dun côté, la suite parentale, avec son dressing, sa salle de bain et un petit bureau. De lautre côté, 2 chambres et une salle deau. Et un W.C. dans chaque zone. Et tout cela communique par des couloirs depuis lentrée. Pratique, pour la discrétion.
Donc, quand je dis que je suis allée me changer dans ma chambre, cest de la chambre parentale quil sagit. Parce que maintenant, depuis que jai découvert linfidélité de mon mari, je dors dans la chambre contiguë à celle de mon fils. Jai enfilé une petite robe noire toute simple, mais qui me mets en valeur, et jai retouché mon maquillage.
Le matin même, javais fait un cake aux pommes et aux fruits secs. Jai découpé deux grosses parts, jai servi deux grands verres de soda, mis le tout sur un plateau, et je me suis dirigée vers la chambre dArthur. Dans le couloir, jai vu que la porte de sa chambre était entrouverte. Pourquoi me suis-je avancée en catimini ? Pour faire une surprise ?
La surprise, cest moi qui lai eue. En jetant un coup dil par lentrebâillement, jai vu les deux garçons, vautrés côte à côte sur le lit. Farid avait baissé son short aux genoux, relevé son T-shirt, il était nu de la taille aux cuisses. Il exhibait fièrement une imposante érection. Penché sur lui, Arthur caressait lentement ce sexe impressionnant.
Pas caresser dans le sens de branler, mais plutôt toucher comme pour sassurer quil ne rêvait pas, et que ce poteau était bien réel. Mais ce qui ma fait le plus mal, cest quand jai vu Farid caresser la nuque dArthur, puis appuyer fermement, pour obliger la bouche de mon fils à sapprocher davantage du sexe en érection.
Horrifiée, je me suis enfuie pour ne pas voir la suite. Il ma fallu un long moment pour me modérer. Un mélange de répulsion et dattirance.
Farid a remarqué instantanément mon changement de tenue. Son regard a changé. Il navait plus ce regard indifférent de tout à lheure, dans lentrée, il me regardait à présent comme une proie. Automatiquement, je me suis redressée un peu, bombant le torse, cambrant les reins. J'ai ressenti un désir sexuel très fort. Je me suis agitée autour de lui, rangeant un bibelot, époussetant un autre, comme une femme très occupée par son ménage, en prenant soin de bien montrer mon corps.
Puis, les garçons sont partis, Arthur avait son cours de tennis, suivi dune heure de code. Quelques minutes après, la sonnette de lentrée a carillonné. Cétait Farid, qui prétendait avoir oublié sa manette de jeux. Je lai fait entrer, et je lai accompagné dans la chambre dArthur pour chercher lobjet.
Penchée sur le lit pour chercher sous les coussins, jai senti sa main remonter le long de ma cuisse, sous ma robe. Le cur battant, je lai laissé faire. Arrivé au but, il a pressé ma fesse, gentiment mais fermement. Je me suis redressée, souriante, et je lai entraîné dans la chambre voisine, MA chambre.
«Soulève ta robe et montre-moi tes trésors.» Lentement, jai obéi en me déhanchant pour faire passer ma robe. En sous-vêtements, il ma faite tourner sur place pour madmirer avant de membrasser tendrement sur les lèvres. Puis, implacable, il a appuyé sur mes épaules pour masseoir sur le lit, et me présenter sa bite quil avait sortie.
Mes mains tremblantes de désir se levèrent pour caresser son sexe qui se dressait devant mon regard émerveillé. Ma bouche sest ouverte aussi large que possible pour gober l'épais gland. Sucer le pénis de ce jeune homme était plus facile à faire que je ne l'avais redouté. Afin dexpérimenter, je léchais et bécotais tout au long de la colonne. Oui, en fait, c'est un jeu amusant. Émoustillée, je suis devenue plus énergique, suçant et frottant sa bite contre ma bouche.
Farid a été très doux, très patient. Jétais impressionnée par la taille de son sexe, jétais persuadée de ne pas pouvoir le supporter, mais à force de persuasion, gentiment mais fermement, il ma demandé de le chevaucher afin de contrôler la pénétration tant redoutée.
De cette façon, jai pu gérer sans le trac, par paliers successifs, avant de lenfouir entièrement en moi. Ensuite, dun prompt coup de rein, il ma retournée sur le dos et ma clouée sur le lit comme un insecte sur un présentoir.
Farid a commencé à me fourrer profondément, engouffrant toute sa longueur avant de ressortir presque en totalité, puis replongeant jusquà heurter le fond de ma vulve. Le rythme saccélérait progressivement, jai levé mes jambes pour aligner ma chatte, et augmenter mes sensations.
Gémissante, haletante, je ponctuais chaque pénétration de petits cris aigus en oscillant des hanches. Les mains accrochées aux épaules de Farid, mon esprit senvolait littéralement, tous mes sens concentrés vers la montée de la jouissance qui obscurcissait ma raison.
Me sentant sur le point de jouir, Farid a passé sa main autour de mon cou pour le serrer doucement. Je ne sais pas si cest à cause du manque dair, mais jai joui instantanément dans des soubresauts, accompagnés dun long râle rauque.
Jai passé un merveilleux moment dans les bras de Farid, intensifié par lidée que je me vengeais de mon mari infidèle.
Et le mercredi suivant, lorsque Arthur est parti à son cours de tennis, la sonnette de lentrée a retentit. Cétait Farid qui revenait lutiner sa conquête. Bien entendu, je lai fait entrer. Bien entendu, nous avons fait lamour. À plusieurs reprises, divinement, il a été parfait.
Mais une fois laffaire faite, je lui ai dit que ce nétait pas possible de continuer à le recevoir ici, chez moi, avec les risques de commérages, ou dêtre surprise en fâcheuse posture par mon mari, ou mon fils. Alors, il ma parlé dune étudiante, une "copine" à lui, qui avait un studio en ville.
Le mercredi suivant, je me suis rendue chez Agathe, la "copine", pour retrouver mon amant, Farid. Je suis arrivée un peu en avance pour faire la connaissance de cette "copine". Ce que Farid ne mavait pas dit, cest quelle était lesbienne et très persuasive.
Quand Farid est arrivé, nous avions fait connaissance, Agathe et moi. Elle avait sa langue dans ma bouche, et ses doigts dans ma chatte. En me trompant, mon mari mavait accordé une sorte de laisser-passer, et jétais prête à tenter toutes les aventures, même les plus improbables.
Bien évidemment, Farid était très content de me trouver "en mains". Il sest vautré tout de suite sur moi, prenant la place de sa copine qui sécartait en râlant. Du coup, il ma basculée sur lui pour que mes fesses soient accessibles. Agenouillée, les jambes repliées, caracolant sur la bite dressée de Farid, joffrais mon anus à la convoitise dAgathe.
Elle sest jetée dessus, de la bouche et des doigts, pour agrandir le passage. Dabord la bouche, pour bien mexciter, puis avec son doigt elle étale le lubrifiant, tout autour, puis dedans. Cest froid, cette intrusion anale de son doigt recouvert de crème.
Petit à petit, mon sphincter se détend, bien aidé par laction de Farid qui ma saisie par les hanches et me fait monter et descendre sur sa verge tendue. Sa bouche tète mes mamelons, ses mains puissantes impriment un mouvement de balancier à mes hanches, Agathe a retiré son doigt pour remettre de la crème.
Cette fois, cest deux doigts quelle introduit puissamment dans mon fondement. La crème gicle, elle me tartine tout autour de ma rosette plissée qui se déplisse. De sa main libre, elle me saisit un sein quelle malaxe énergiquement.
Les actions conjuguées de mes deux amants mentraînent vers une luxure débridée et perverse. Agathe, se retire et se lève pour séquiper dun gode-ceinture. Je frémis dappréhension en comprenant ce quelle me prépare. Je suis vierge de ce côté-là, et je redoute le manque de douceur dAgathe.
Elle sagenouille derrière moi, contre moi, elle aligne son gode contre mon anus, Farid me maintient en place. Agathe pousse, mon sphincter résiste, elle se recule un peu, comme pour prendre son élan, du bout du doigt elle remet un peu de crème et, dune poussée brutale, me pénètre.
Aïe ! La salope ! Elle ma cassé le cul ! Je gueule, je proteste, elle sen fout, elle commence à me limer en me promettant la félicité éternelle. Cest vrai, rapidement, je mhabitue, je me détends, ce nest pas si désagréable. Farid a lâché mes hanches, les mouvements dAgathe maident à glisser sur cette queue extraordinaire.
Jembrasse Farid à pleine bouche pendant quil me triture les seins, Agathe continue de menculer vigoureusement, je sens le plaisir partir du fond de ventre en direction de mes terminaisons nerveuses. Farid perçoit ce qui magite, ses mains enserrent ma gorge, me privent dair, lorgasme explose en myriades détincelles, je perds conscience.
Très vite, je reviens à moi, Agathe continue de menculer frénétiquement, Farid se marre : «Cétait bon ?»
Jacquiesce et mes hanches reprennent vie en se balançant fougueusement. Je nai pas pu leur résister longtemps avant de crier encore une fois mon bonheur. Je baise et je suis baisée. Jamais je ne métait sentie à la fois aussi forte et aussi soumise.
Cette prise en double ma révélée, je nai pas pu résister à la passion et à la jeunesse de mes deux amants. Je suis devenue une couguar, une salope qui recherche son plaisir dans les bras de partenaires qui ont lâge dêtre ses s.
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