Françoise La Mère De Ma Copine (Histoire Vraie)
Cétait en juillet 1984, javais fini mes études, et jattendais sans impatience mon départ pour mon service militaire.
Je sortais à lépoque avec Florence, une jeune fille de 19 ans, 160cm, brune aux yeux noisettes, cheveux courts des seins rond de 85b, des jambes fines et galbées, des fesses musclées. Elle portait toujours des jupes courtes voir très courtes avec des talons, et des hauts moulants et décolletés, limite allumeuse. Elle aimait quon la regarde, malgré une certaine timidité.
Je lavais rencontré à la piscine, plus facile pour juger le physique de la personne qui vous fiat face. Nous nous étions retrouvés co-équipiers pour un tournoi de baby-foot, que nous avions gagné. Sans vouloir me vanter, jaurais pu le gagner tout seul, car je pratiquais ce jeu de puis mon plus jeune âge, mon père en ayant acheté un dans un bar qui fermait.
Bref je ne suis pas là pour vous parler de mon enfance.
Donc Florence fut impressionnée par mes qualités de baby-footeur et moi par ses formes ravageuses.
Le soir même, nous sortions en sembles, je la raccompagnais chez elle, il était tard, il faisait chaud, sa robe à fleur ne cachait rien de ses jolies cuisses, son cou attirait ma bouche. Naturellement nos lèvres se sont rencontrées, nos langues et nos salives se sont mélangées et mes mains ont commencés à se promener. Dabord sur sa joue, puis le cou, les boutons de sa robe ont sauté sans effort, et mes doigts ont caressé doucement ses cuisses serrées.
Elle était crispée, elle membrassait mais en même temps repoussait légèrement ma main.
Florence (en se reculant) : il faut que je te dise je ne lai jamais fait
Moi : ce nest pas grave, on ne va pas le faire là dans la voiture, mais laisse-moi te donner du plaisir quand même. La première fois, nous le ferons dans un lit. Tu ne perdras pas ta virginité ce soir.
Florence : je ne suis plus tout à fait vierge, quand même, car un soir ou je me caressais, je me suis déflorée sous lexcitation et le plaisir, en menfilant un doigt profond dans le vagin.
Moi : donc tu nes plus vierge, mais tu nas encore jamais fait lamour avec un homme. ce nest pas grave, laisse toi aller, tu vas adorer ce que je vais te faire. Viens sortons de la voiture.
Javais repéré un salon de jardin (canapé fauteuils), je lui prends la main et lattire, vers ce coin sombre. Je la fais asseoir sur un fauteuil, je me mets à genou devant elle, nous nous fixons quelques secondes et nos lèvres se frôlent délicatement, puis de plus en plus fort. Nos langues se cherchent, nos salives se mélangent.
Sa robe ouverte laisse passer mes mains sur ce corps souple, à la peau si douce. Ses mains me caressent la nuque.
Je marrête sur ses seins, je sens les pointes durcies. Elle respire plus vite et plus fort, la pression de ses mains sur ma nuque est plus forte. je fais glisser la robe dans son dos. Je mécarte légèrement pour enlever mon tee-shirt, et je colle mon torse contre le sien. Je lattire contre moi, je sens son sexe contre mon ventre. Elle doit sentir la bosse de mon sexe, doucement Je la pousse, elle senfonce dans le fauteuil, elle me regarde fixement, mes mains passent dans son dos, tirent délicatement sur lélastique de sa culotte, elle maide en soulevant le bassin et en repliant les jambes pour laisser filer le fin vêtement elle est nue par pudeur, elle cache son pubis, à la toison entretenue. Je lui prends les chevilles, lui écarte les jambes, me penche vers elle, mes baisers, commencent sur ses lèvres, et descendent lentement sur son cou, sarrêtent sur ses seins, jouent avec ses tétons gonflés de plaisir. Elle soupir, sa main sur son sexe ne le cache plus, mais le caresse. Après quelques minutes, (au bout desquelles elle sest fait un petit plaisir), ma bouche descend encore, le ventre, je descends encore, lui écarte les cuisses quelle avait refermée, et en la fixant, pose mes lèvres sur son sexe. Elle me sourit ferme les yeux et soupir. Très vite ma langue se met en action, je lèche ses grandes lèvres, descend et pénètre son vagin, remonte, titille son clitoris, redescend, pénètre, et boit sa mouille qui commence, à couler, je la lèche comme un chat boit son lait.
Nous nous regardons quelques instants, elle membrasse
Florence : merci cétait délicieux, je ne pensais pas que lon pouvait avoir autant de plaisir
Moi : ce fut un plaisir pour moi aussi et tu n as encore rien vu.
Nous sommes devenus vite inséparable, elle me présenta ses parents Jean et Françoise. Charmants, tres bien conservés. Lui taille moyenne trapu, un peu enrobé, elle un visage fin entouré dune chevelure noire, des yeux bleus foncés et une bouche charnue. Son corps de femme qui sentretien, avec deux beaux seins bien fermes, les fesses rondes et musclées, les jambes bien galbées. Tout de suite jai flashé sur elle.
Régulièrement je lui faisais des compliments, sur ses tenues, ses repas. Jean disait à Florence heureusement que nous ne sommes pas Jaloux ton chéri drague ta mère.
Tout le monde riait, et Françoise me regardait en coin car elle savait que javais envie delle .
Quelques jours plus tard, au repas du soir, Françoise reproche à son mari de ne pas avoir fait un trou dans le jardin afin quelle puisse planter un arbre fruitier le lendemain son jour de repos . Il lui dit quil a mal au dos, quelle devrait demander à son gendre, qui est jeune et robuste. Je me précipite dans la faille en me proposant bien volontiers à cette tâche.
Florence sans le savoir me donne un coup de pouce en disant, que je membourgeoise que faire un peu dexercice me ferait le plus grand bien. En plus elle nest pas dispo de la journée, elle fait du Baby-sitting dans un village à coté de 8h à 22h
Jean met fin à la discussion en se levant en disant : bon cest réglé ma femme tattend demain matin à 11h et en plus elle tinvite à manger.
Je les quitte en disant que jamènerais le dessert, et après avoir butiné ma Florence qui est de plus en plus réceptive, depuis que je lai réellement dépucelée dans le lit de ses parents quelques jours plutôt.
Jarrive vers 11h, elle est déjà dans le jardin, elle porte une blouse bleu clair transparente dans les contre-jours, je distingue des sous-vêtements blancs en coton. Très vite je me mets au travail, pioche, pelle, brouette. Je la regarde en coin, elle est superbe en les cheveux relevés, les joues rouges, la blouse colle et laisse apparaître ses formes généreuses. il me tarde que nous ayons fini pour me retrouver en tête à tête avec elle.
12h30 larbre est planté, tout est rangé, elle me tape sur lépaule avec un grand sourire en me disant : tu prends une bonne douche en bas, moi au-dessus et on se retrouve dans 15 minutes au salon de jardin.
Je descends en me demandant comment jallais bien pouvoir laborder. Le hasard voulu quil ny ait pas de shampoing, je pris une bonne douche, puis la serviette autour de la taille, je montais pour lui demander le produit. Je pensais lui parler à travers la porte, et je fus surpris de la trouver en sous-vêtements noirs dans le couloir.
En me voyant elle sarrêta net, je réagis immédiatement en lui parlant doucement :
Que vous êtes jolie, vous mattirez, votre corps mattire, vos lèvres mattirent.
En lui disant ça je me suis rapproché, elle na pas bougé. Je lui prends la main et commence à la baiser. Je lui dis que depuis le premier jour jai envie delle, de la caresser, se sentir sa peau contre la mienne. Je me suis encore rapproché, ma main lui prend la taille. Elle fait non de la tête, me repousse doucement en disant : Alain arrête tes bêtises, il y a Jean, Florence, je pourrais être ta mère.
Moi (en lui tenant toujours la main) : je sais tout ça, mais cest plus fort que moi, et je suis certain quau fond de vous vous êtes, flattée
Françoise : non du tout, enfin un peu certainement,
Moi ( la tirant vers moi) : alors laissez-vous faire vous allez voir ça va être très agréable
je suis vers elle, je lui parle, elle ne bouge plus la tête baissée, nous nous tenons par la main.
Je lembrasse délicatement dans le cou, derrière loreille. Elle dit toujours non de la tête. Elle résiste, elle lutte contre son corps qui dit oui et sa volonté qui dit non.
Mes baisers se rapprochent de sa bouche, jai lâché sa main pour plaquer les miennes sur son ventre.
Nous sommes, collé lun à lautre, ma main droite lui prend le menton pour lui faire tourner la tête.
Je me dis va doucement, ne te précipite pas. Elle résiste, elle doit sentir mon érection contre ses reins. Je ne parle plus, je lui fais des baisers dans le cou, ma main droite remonte sur ses seins, que je caresse à travers le soutien-gorge à balconnet
Françoise (presque suppliante) : non Alain sil te plait arrête, on ne peut pas faire ça.
Moi : vous naimez pas mes caresses, mes baisers ?
Françoise : la question nest pas là
Elle cherche de nouveau à partir, je profite de cet instant pour dégrafer son soutien-gorge
Elle se retourne vivement pour le rattr, nous sommes face à face, sans hésiter, je la prends dans mes bras et lembrasse sur la bouche.
Elle se raidit, cherche encore à méchapper, mais avec une main sur son dos et lautre sur son cou je la coince fermement. Nos corps sont collés je sens sa poitrine, et elle doit sentir mon sexe contre son ventre. Ma langue force ses lèvres doucement, ma main gauche descend sur ses fesses.
Au fond de moi je me dis, tente le tout pour le tout maintenant, ça passe ou ça casse.
Alors je passe, toujours en douceur, ma main dans son shorty, pour lui caresser la raie des fesses. La surprise lui fait entrouvrir les lèvres, ma langue se faufile, rencontre la sienne, qui ne se défile pas, bien au contraire. Elle vient à la rencontre de la mienne, la cherche la lèche. Nos salives es mélangent, ses mains sont sur mes fesses.
Après ses instants torrides elle se recule, me prend la main, et memmène dans le jardin.
Elle sarrête devant un transat, enlève sa culote, sallonge en écartant les cuisses et me dit : prends-moi.
A genou je commence par embrasser puis lui lécher le sexe, ma langue, la pénètre, je bois sa mouille, je prends son clitoris entre mes lèvres je le suce. Elle me plaque la tête avec ses mains, avance son bassin et jouit dans un râle rauque de femme en chaleur.
Elle me libère, elle me sourit, je me lève lembrasse, et présente mon sexe à lentrée de sa grotte trempée.
Je la pénètre, cest un bonheur ce vagin humide et chaud,
Françoise dans un soupir : ne jouit pas dans mon ventre. Je ne réponds pas. Je la baise lentement, elle a écarté les jambes au maximum, ses pieds reposent sur les accoudoirs, moi jai les bras tendus afin de la pénétrer le plus profondément possible, et de voir son visage et ses seins. Elle a fermé les yeux, je vais de plus en plus vite, je vois à son visage son plaisir qui monte, ses seins bougent dans tous les sens, je vais fort très fort. On entend son souffle court et ses gémissements. Tout à coup elle explose
Elle crie : ouiiiiiiiiiiiiiiii, défonces moi, fais-moi jouirrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr, oui cest trop bon trop fort encore encore enocrrrrrrrrrrrrrrrre
Et dans us sursaut ses jambes se détendent, et elle mexpulse de son vagin, au moment ou je vais jouir, je me lève précipitamment, je la prends par les cheveux, lui relève la tête, et li met ma bite dans la bouche au moment où jéjacule très fort dans un soupir de soulagement. Je lui tiens la tête jusquau dernier spasme.
Quand je la lâche , elle me dit fâchée : salaud tu aurais pu éviter de me faire ça.
Puis elle membrassa à pleine bouche pour me faire gouter ma semence.
Nous navons plus jamais fait lamour ensembles, jai encore passé de très bons moments avec Florence et la vie a continuée
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