La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°747)

Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château – (suite de l'épisode précédent N°746) - Le rustre Monsieur John -

Quelle nuit ! Furieuse et impétueuse, tel est mon ressenti ce matin au réveil. A maintes reprises, le Maître m’a utilisé, en vidangeur de Ses Nobles testicules. J’ai été sollicité, attaqué, harcelé et assailli bien des fois, et lorsque je ne le fus pas, je dus rester le plus souvent, sous draps et couvertures entre les cuisses du Maître à attendre l’assaut suivant. L’approche était toujours la même, des doigts s’introduisant dans ma bouche pour me remettre au travail et prendre en mon orifice buccal cette Noble Verge afin de la faire grossir sous ma langue, ou alors des doigts glissants sur ma raie pour me faire comprendre que l’heure était venue d’une nouvelle saillie profonde. Alors à chaque fois, je tendais mon cul telle une salope, ouvrait en grand ma petite gueule de pute endiablée et avalait ce sexe me pilonnant de tout coté. Ce matin je suis comblé, mais totalement fracassé, seul mon membre se redresse encore, exprimant ainsi ma fierté d’appartenir et des remerciements sans borne. Je n’ai pas joui, pas une seule fois, mais mes plaisirs ont été bien supérieurs à une quelconque éjaculation, je me suis délecté de cette débauche et de ces multiples possessions.

Mon cul suinte encore, mon trou demeure entrouvert surtout lorsque je me retrouve dans la salle de bain, devant ma gamelle matinale, à quatre pattes. Le Maître me presse, nous allons partir à Lausanne, il faut faire vite. Innocemment mais respectueusement j’interroge Monsieur le Marquis.

- Comment dois-je me vêtir Vénéré Maître ?
- Tel que tu es ! me répond-il du tac au tac.

Je suis nu, totalement nu, hormis ce collier autour du cou. Je crois un instant à une boutade ou plaisanterie. Mais très vite je comprends qu’il n’en est rien ou presque.

- Si ! Je veux, en fait, que tu mettes ça !

Le Maitre me tend une cage de chasteté.

Non sans mal, je l’enfile sur ma nouille semi érigée. Lui, la verrouille et garde en sa poche la clé.

- Tu me suis !

Nous sortons à l’extérieur dans une petite grisaille. Et je ne m’étais pas encore aperçu que ce matin il pleuvait. Il fait frais, pour ne pas dire froid et je grelotte sous la pluie

- Dépêche-toi, tu vas attr froid.

Un chauffeur est venu nous attendre devant la porte du garage. Il se précipite en nous voyant arriver à grands pas, avec un parapluie ouvert.

- Bonjour M’sieur le Marquis, tout va bien, protégez-vous la dessous !
- Bonjour John, oui oui tout va bien, est-ce vous, qui me conduisez à Lausanne ?
- Oui M’sieur le Marquis
- Cours salope, va te mettre à l’abri ! m’ordonne le Maître.

Je suis trempé de la tête aux pieds. Seul bénéfice dans tout ça, ma cage de chasteté est devenue subitement beaucoup trop grande… Ma nouille rétrécit fait pâle figure là-dedans ! Monsieur John me tend une serviette éponge pas très propre et sentant surtout la transpiration.

- Sèche-toi catin ! me dit-il sûr de lui.

Je me frictionne activement… La serviette rêche réveille mes meurtrissures de la veille. J’ai encore de bien belles marques sur mon poitrail et mes fesses.

- Rassurez-vous M’sieur le Marquis, votre pute n’aura pas froid dans le véhicule, le chauffage marche bien.

Et quel véhicule, un van pour transporter les chevaux !

- J’ai mis de la bonne paille fraiche, M’sieur le Marquis, vous savez ça tient chaud la paille.

Au même moment Monsieur John m’att par mon collier et me tire à lui. Mon visage à seulement quelques centimètres du sien :

- Tu as intérêt à te tenir tranquille, petite putain… sinon gare à ton cul ! m’informe-t-il

Je suis hissé dans le véhicule et jeté dans la paille fraiche.

- Couche toi salope, mains dans le dos ! m’ordonne encore Monsieur John

Monsieur le Marquis assiste à cette prise en main rustre, autoritaire et humiliante, sans rien dire.
Il regarde sereinement, tranquillement, tout sourire. Monsieur John att une corde épaisse, la passe dans l’anneau de mon collier puis l’attache à un mousqueton fixé à un anneau solidement vissé dans la carrosserie du van. Il lui faut que quelques secondes, et m’attache les mains derrière le dos puis les chevilles m’obligeant à garder les genoux repliés. Dès lors qu’il en a terminé, il ne peut s’empêcher de m’écarter les fesses et de me carrer un de ses gros doigts dans le cul.

- A toutes fins utiles, M’sieur le Marquis, votre salope vient de se faire ramoner, son fion est encore béant et regorge de foutre, dit-il, tel un fin connaisseur !

Le Maître sourit encore, simplement. John est un rustre personnage, un vrai campagnard, au visage marqué et buriné par le temps, des doigts énormes, les cheveux rouquins, des gros sourcils épais en broussaille, il porte une côte de travail verte, des bottes en caoutchouc. Manifestement, il ne semble pas connaitre ce que veut dire finesse et délicatesse encore moins éducation… La porte du van claque et se ferme brutalement. Je reste dans la pénombre, nu, entravé, couché heureusement dans un matelas de paille épais. Ca sent le cheval, plus précisément le crottin… Le véhicule démarre, recule, puis s’engage sur la petite route départementale. Je suis secoué, balloté, brimbalé, ne sachant rien de là où je vais… Le temps s’égraine doucement, il me semble qu’il y a plus d’une heure que nous sommes partis. Lorsque le véhicule s’arrête, lorsque le moteur est coupé, je suis aux aguets et essaie d’écouter la conversation. Je reconnais la voix de John, il jure…

- Nom doudiou, quel bordel !

Que se passe-t-il ? La porte arrière du van s’ouvre, John m’apparait furieux.

- Il manquait plus que ça, crever ici, sous la pluie, c’est bien ma veine.

Il récupère la roue de secours, le cric, change celle crevée, replace la roue endommagée à l’arrière du véhicule, referme la porte, la rouvre subitement, remonte dans le van, s’approche près de moi, regarde si les liens me bloquant poignets et chevilles sont toujours bien en place, et bien évidemment me glisse encore un doigt dans le cul.


- Avec du cambouis sur le bout des doigts, ça glisse tout seul ! dit-il avant d’ajouter – toi la pute tu vas me sucer tout à l’heure, tu me fais triquer… Tiens regarde !

Il appuie de ses deux mains sur le tissu de sa cote, le tendant au niveau de son entrejambe. Manifestement, il bande dur, sa verge se dessine parfaitement… Mais il en reste là, referme la porte du van, peu après celui-ci redémarre. Nous reprenons la route une petite demi-heure encore.

- J’vous laisse là, M’sieur le Marquis, inutile de vous mouiller, j’vais garer l’engin et vous ramène votre pute.

La portière avant droite claque, le véhicule redémarre puis stoppe au bout de cent mètres. Pour ne pas perdre de temps sans doute, John a déjà sorti sa queue, lorsqu’il ouvre la porte arrière et rentre dans le véhicule. Il se met à genoux près de moi, m’att par les cheveux et m’enfourne sa grosse pine peu ragoutante dans la bouche et sans un regard, il me lance :

- Suce-moi salope, dépêche-toi !

Son excitation est telle qu’il ne me faut guère de temps pour parvenir à le faire jouir. Il me balance son jus en fond de gorge, en jurant tant et plus…

- T’sais que tu es une sacrée pute toi… t’à l’heure je t’casserai le cul, allez redresse toi !

Je suis détaché, relevé brutalement et entrainé dans une grande cour gravillonnée. Le cadre est pour le moins charmant. Un bâtiment, style hôtel particulier au bord d’un étang bordé de saules pleureurs, à coté un petit jardin à la française avec des allées de buis bien taillés et parfois sculptés. La pluie a cessé, John m’a attrapé par la taille avec une force terrible et me conduit jusqu’à ce bâtiment charmant. A peine ai-je les pieds qui touchent terre…

- Et toi, là-bas !

Une voix interpelle John, celle d’un jardinier, le stoppant dans son élan…

- Quoi, qu’est-ce qu’y a !
- Rentre-le par les communs, nous allons lui donner une douche.


Sans discuter plus longuement, John fait un quart de tour et m’entraine toujours de la même façon vers une porte dérobée, qu’il ouvre à grand fracas.

- Holà Monsieur John, vous voilà bien énergique ce matin ! Lance une femme plantureuse main néanmoins affable.
- J’vous livre la catin de M’sieur le Marquis, y faut le laver ce vermisseau…
- Oui je sais, Vous pouvez maintenant le lâcher, il ne va pas s’envoler.
- Voulez pas que j’le pose direct dans la douche, M’ame Murielle, il a les pieds dégueu et y va tout saloper…
- Non, je vais m’en débrouiller, lui répond-elle courtoisement.

Je ne suis pas mécontent de retrouver une personne un peu plus respectueuse et courtoise. Je me tiens devant elle, ayant adopté immédiatement une posture soumise.

- Suivez-moi Endymion MDE, il faut vous laver, vous avez de la paille de partout, surtout dans les cheveux et vous ne devez pas sentir très bon...

Je suis surpris que cette femme m’ait vouvoyé, qu’elle connaisse mon nom ! Qui est telle ? Ou suis-je précisément ? Je me surprends à ne pas être gêné par ma nudité devant elle, Elle non plus ! Elle s’adresse à moi presque respectueusement.

- Par ici, je vous prie !

Je la suis jusqu’à la salle de bain, un lieu somme toute modeste. De gros pavés au sol et de la faïence blanche au mur.

- Tenez Endymion MDE, je vous ai fait couler un bon bain bien chaud, frottez bien, savonnez-vous abondement et lavez-vous correctement et intimement et dès que vous aurez terminé, j’irai vous présenter à Madame la Baronne, une grande amie personnelle à Monsieur le Marquis. Elle est très heureuse de sa visite, je vous le dis… Allez, je vous laisse.

Dame Murielle me laisse, ferme la porte, puis revient sur ses pas juste avant que je glisse dans l’eau.

- Suis-je bête, j’ai omis de vous ôter votre cage… c’est tout de même mieux pour se laver correctement !

Elle sort de sa poche une petite clé, puis se saisit de mon sexe et déverrouille la cage, sans hésiter ni sans être embarrassé. Ses petites mains agiles et libératrices ont un effet immédiat sur ma nouille. Je me mets à bander devant elle ! Je rougis de honte. Elle, ne fait cas de mon érection, elle repart tranquillement en me disant :

- Je vous laisse dix minutes, temps qui vous est alloué par Madame la Baronne ! ...

(A suivre…)

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