Souvenirs D'Ado 1
Javais à peine 18 quand cette histoire sest déroulée. Je passais toutes mes grandes vacances en Dordogne, chez mes grands-parents. Jaimais me réfugier dans un grand cerisier au fond du jardin.
Au fait je mappelle Anne, je suis blonde pas mal foutue malgré mes seins trop petits. Je ne sais ce qui ma pris ce jour-là de vouloir monter plus haut, car au moment de descendre, jai eu le vertige et je suis resté paralysée sur ma branche. Que faire ? Appeler : mes grands-parents faisaient la sieste comme tous les après-midi ! Je pleurais sur la branche, ne sachant plus quoi faire quand jai entendu du bruit dans le jardin voisin. De ma situation élevée jai pu voir un homme dune quarantaine dannée accoudé sur la clôture de séparation et me regardais en souriant.
- On est coincée jeune fille ?
- Oui, jai peur de redescendre, vous pouvez prévenir mes grands-parents sil vous plait ?
- Pas la peine, je vais venir te chercher.
Je nai pas eu le temps de dire ouf quil avait sauté par-dessus le grillage et était au pied de mon arbre ! Cest alors que je me suis souvenue que jétais en minijupe bien courte et quil devait avoir vue sur ma petite culotte.
- Ne bouge pas, je viens te chercher.
Jétais gênée mais que faire dautre, sinon rougir comme les cerises que jétais venue cueillir !
Lhomme sest trouvé très vite juste en dessous de moi, la tête presque entre mes cuisses. Javoue que si javais honte, jétais aussi un peu excitée et je mabandonnais volontiers dans ses bras quand il ma demandé de lâcher la branche à laquelle je me cramponnais.
Il passa un bras autour de ma taille, sa large main plaquée sur mon bas ventre et commença à descendre.
- Et bien jeune fille tu mas donné du mal, mais jai bien été récompensé !
- Récompensé ? Comment ça ?
- Cest pas tous les jours que je peux voir de si près la culotte dune jeune fille et encore moins la tenir serrée contre moi !
La honte et la stupéfaction mempêchaient de répliquer et quand il a posé ses mains sur mes fesses, je lai laissé faire.
- Ca fait plusieurs jours que je tobserve et je tai vu te caresser lentrejambes là-haut dans ton cerisier ! Alors aujourdhui cest moi qui te caresse !
- Non Monsieur, jveux pas laissez-moi partir
Je nai pas dû mettre beaucoup de conviction dans mes protestations car il a passé sa main entre mes cuisses et je lai laissé faire. Ses doigts appuyaient sur ma vulve et faisaient pénétrer le mince tissu de ma culotte dans mon petit minou. Jaimais cette caresse et jécartais un peu plus les jambes. Il a vite compris le message et il a glissé un doigt sous lélastique de mon slip.
- Enlèves ta culotte, ce sera plus pratique.
Une fille sage aurait refusé, tenter de senfuir, mais moi jai obéi et jai ôté mon slip. Immédiatement lhomme ma doigté la chatte. Jétais appuyée contre son torse et il devait sentir mes petits seins que nentravait aucun soutif, à travers le t-shirt.
- Tu nes plus vierge ?
- Nooonnn.
- Tu as souvent baisé ?
- Non, juste 3 ou 4 fois avec des copains de lycée
- Tu as aimé çà ?
- Bof
- Ouais, les jeunes oublient souvent les préliminaires. Ils ne pensent quà tirer un coup, alors ment les nanas vous restez sur votre faim !
Cest maintenant 2 doigts qui fouillaient mon vagin et javoue que jaimais ça. Il pouvait faire ce qui voulait de moi, jétais totalement à lui et quand il a décapuchonné mon clito, jai cru devenir folle. Cétait la première fois que je ressentais ce plaisir intense qui secouait tout mon corps. Jamais mes jeunes amants ne mavaient fait jouir. Ils me baisaient, prenaient leur pied, éjaculaient dans ma chatte ou sur ma petite touffe et puis fini ! Ils se rhabillaient sans se préoccuper de moi. Pas de sentiments, pas de tendresse et encore moins damour, juste la baise. Jétais leur vide-couilles
Mais lui, rien quen me doigtant, il arrivait à me faire jouir. Je mouillais comme une salope
- Hummm, tu es une vraie petite cochonne comme je les aime !
- Oui Monsieur, je suis votre cochonne.
- Christian, je mappelle Christian. Puisque que tu es ma cochonne, il faut mobéir... Suces-moi ! Pompes-moi le dard !
- Mais
jai jamais fait ça Christian
- Cest quand même pas compliqué de prendre ma bite dans ta bouche !
Jétais un peu écurée mais je ne voulais pas le fâcher. Jai donc descendu son short et son caleçon et jai pris le gland entre mes lèvres. Cétait la première fois que je faisais ça.
- Mieux que ça, prends tout le morceau dans ta bouche.
Je nai pas eu le temps de dire ouf quil mappuyait sur la nuque et la moitié de sa queue se trouvait dans ma bouche.
- Cest bien, petite. Maintenant lèche-la et bouffe mes couilles.
Javais peur de le décevoir aussi je lui obéissais sans discuter. Je léchais donc sa hampe sur toute sa longueur puis ses couilles, que je pris dans ma bouche lune après lautre. Sa queue avait presque doublé de volume et elle me faisait envie. Jabandonnais donc les burnes pour revenir la prendre en bouche. Je navais maintenant plus aucune retenue et je le pompais avidement.
- Tu es trop bonne toi ! Je vais lâcher ma purée dans ta petite gueule. Tas intérêt à tout avaler. Je vais jouiiiirrrrrr !!!!
Effectivement, presquaussitôt de longs jets de liquide chaud, épais et gluant envahissaient ma bouche. Je voulais recracher mais il fallait que je lui obéisse, alors jai avalé son sperme. Javais envie de vomir, mais finalement tout est passé et je trouvais ça pas si mauvais.
Il avait retiré sa bite de ma bouche et je constatais quil navait pas débandé !
- Ah putain que cest bon ! Viens !
Il ma fait me relever, il ma tenu par les fesses et ma soulevée jusquà ce que ma chatte soit au niveau de sa bite et il ma baisée là debout !
Je sentais sa grosse queue aller et venir dans mon vagin Javais noué mes cuisses autour de ses hanches et je me collais le plus possible contre lui pour bien sentir son pieu me labourer le con. Il ne lui fallut pas longtemps pour décharger à nouveau dans ma chatte.
Il ma reposé à terre, sest rhabillé et est parti en me disant :
- Ben ma salope, tu promets toi ! Soit là demain au pied de ton cerisier à la même heure et je vais te niquer comme tu le mérites !
Jétais à la fois heureuse et furieuse. Il mavait fait avoir un orgasme comme jen navais jamais eu, mais à côté de ça, il ne mavait même pas peloté les seins (alors que jadore çà) même pas sucé la chatte. Pire, il ne mavait même pas déshabillée pour profiter de mon corps, bouffer ma chatte, lécher mon clito en feu. Javais juste été baisée comme une pute.
Je suis rentrée dans ma chambre les larmes aux yeux et je me suis endormie
..
Le lendemain, jattendais avec impatience lheure de la sieste après le repas du midi pour aller le retrouver. Jétais bien décidée cette fois à le forcer à découvrir mes appâts et à prendre mon plaisir. Donc javais sur moi juste une petite robe-blouse, boutonnée sur le devant comme cétait la mode à lépoque. Sitôt sortie de la maison endormie, jenlevais ma petite culotte que je fourrais dans une poche. Une fois arrivée au pied de mon arbre, je déboutonnais entièrement ma robe découvrant ainsi mes petits seins (je ne portais pas de soutif) et ma touffe blonde clairsemée. Appuyée contre le tronc de larbre, je me caressais la chatte en lattendant. Mon cur battait la chamade quand il sauté par-dessus la clôture pour me rejoindre.
- Quest-ce que cest cette tenue ? Tu te crois en train de faire le trottoir ? Je jour où je voudrais une pute jirais rue Saint-Denis et je me paierais une passe ! Fous le camp ! je te baiserais quand tu te comporteras avec plus de décence. Pour aujourdhui salut !
Et il a tourné les talons et est reparti.
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