Fred Domi Débutant

Bonjour je suis né dans un petit patelin entre Fécamp et Le Havre, une région pleine de vestige de la 2èmè guerre mondiale dont pas mal de blockhaus. Tout gamin je jouais dans certains proche de chez moi.J'ai maintenant 30 ans mais vers 14ans, je pense avoir fait comme tous les gamins de mon âge et joué comme on dit à touche pipi. Vers 17ans ça me démangeait pas mal de voir ce qui se cachait entre les fesses de me potes. J'ai eu une ou deux aventures qui m'ont fait réaliser que j'aimais dominer. Un jour en vélo j'avais entendu des grognements et des couinements sortir d'un fourré et en posant le vélo et en m'approchant j'ai vu un jeune de mon âge ou guère plus vieux enfiler un mec plus agé qui couinait à chaque coups dans les fesses. Quand il a eu fini il a pris un billet coincé sous ue pierre avant de s'en aller une fois rhabillé sans un mot. Je bandais comme un fou et j'ai du m'arrêter un peu plus loin pour me branler dans un fourré vraiment touffu entouré d'ajoncs, une espèce d'épineux comme il y en a sur le littoral. Tout à mon affaire je fermais les yeux quand j'ai fait un pas et que je suis tombé dans un trou pas très profond , caché par des branches mortes et des feuilles sèches. Une fois au fond j'ai vu le début d'un tunnel encore encombré et sombre. J'ai fini de me branler en apercevant sur le coté des barreaux en fer rouillés mais encore solides. J'ai décidé de revenir visiter un autre jour avec des torches. Le samedi d'après je suis revenu, j'avais si bien camouflé le trou que j'ai eu du mal à le retrouver mais cette foi je suis descendu par les barreaux. Une fois l'entrée débarrassée des branches et feuilles J'ai regardé avec la torche mais aussi loin qu'elle portait on ne voyait rien que du noir. Je me suis avancé prudemment et j'ai découvert plusieurs alvéoles dont une avec encore des squelettes de lits fixés aux murs suivi d'une autre ou ne restait que les trous de sanitaires à la turque. Plus loin, d'autres alvéoles et enfin tout au bout une lueur.

En m'approchant j'ai deviné ce qui devait être un affut de tir mais avec des morceaux de bétons arrachés . Au loin la mer et sous le trou, un bout de pré avec des vaches . J'ai deviné qu'il avait du être oublié avec le temps. Je suis revenu sur mes pas et j'ai découvert après un coude une porte en acier, entrebaillée. Le battant bougeait mais pas assez pour l'ouvrir il y avait au dessus une couverture en béton qui l'avait protégé des intempériesn je voyais un petit espace herbeux et autour des ajoncs qui avaient en poussant protégé l'accès de ma trouvaille.
Je poursuivais des études de commerce et à mes 18ans mes parents on laché l'oiseau que j'étais et qui rêvait de voler de ses propres ailes. Ils m'avaient trouvé un petit 2 pièces à Sainte Adresse d'ou je pouvais facilement me rendre au travail. A 20 ans j'ai passé le permis et ma première voiture était pas géniale mais tenait le coup. Entre temps chacune de mes fins de semaine je passais un moment dans Mon blockhaus. J'avais aménagé un peu , dégrippé la porte en fer et ouvert un petit passage par dessous les ajoncs que je refermais derrière moi pour ne pas être dérangé. Une fois dans l'espace d'herbe je me mettais nu , qu'il pleuve ou qu'il fasse soleil ne me dérangeait pas, je me sentais chez moi. J'ai nettoyé les principale alvéoles des gravats et installé quand j'ai un peu travaillé un petit groupe électrogène pour avoir un peu de lumière et faire marcher un seul outil à la fois. J'ai gardé un seul des lits sur un coté et installé des crochets au plafond, de place en place ainsi qu'aux murs. Le lit retapé n'ayant que les montants et les trous pour les ressorts mètalliques, je les avais remplacés par un treillage qui devrait dans mes rêves porter un mec nu attaché. Je me branlais souvent en imaginant ce jour. J'étais assez fier de ce que m'avait légué genetiquement mes parents. Un beau sexe de 20 cm et d'un diamètre de 6cm. Il décalottait bien et j'aimais jouer avec.
Un samedi ou j'étais chaud bouillant je suis allé me garer sur le bord de la plage et j'ai marché jusqu'au bout. La ou la rambarde s'arretait. J'étais en jean taille basse, des baskets et un blouson léger ouvert sur mon torse. Je matais les mecs, ce coin étant connu pour la drague homo j'avais besoin d'un mec, une salope affamée.
J'avais une cigarette èteinte à la main quand j'ai vu approcher le gars. Un peu plus petit que moi et très bien fait, cambré en short de bain et tong et un tee shirt avec la célèbre langue rouge des Rolling stones. Il m'a maté en passant puis a baissé les yeux.
Salut mec, t'as du feu?
Désolé j'ai même pas de poche et je ne fumes pas! Il avait relevé la tête avec un petit air mutin.
Tu fumes vraiment rien? Je me massais le paquet que sa vue avait fait grossir.
Il a baissé les yeux et a rougi d'un coup. Ben la je sais pas, j'ai jamais fumé de cigare et celui la n'a pas l'air d'un petit .
Le tout c'est de commencer. T'as un moment?
Ben je fais rien du tout jusqu'à après demain matin. Comme d'habitude. Tu cherches quoi?
Un mec dans ton genre mais tès docile, vraiment docile et soumis. Tu vois,le genre?
Je vois très bien , j'ai pas mal fantasmé la dessus depuis un moment.
J'ai ma voiture garée sur le bord de la plage viens et on va discuter.
J'avais vu que depuis que j'avais parlé de soumission son short s'était tendu légèrement. Une fois dans la voiture j'ai pris la montée de Saine Adresse jusqu'au parking du stade ou je me suis garé un moment. Je me suis tourné ver lui.
T'es puceau du cul? j'avais posé la main sur son genou nu. Il a piqué un fard.
Oui mais je suppose que tu veux tout?
Exactement ça. Tout et sans discuter , du sexe d'abord et l'amour peut être ensuite. Mais essentiellement du sexe.
Il a serré ses cuisses comme pour se protéger mais j'avais vu qu'il avait peur de montrer qu'il bandait comme un fou.
Laisse toi faire! J'ai glissé la main par la jambe du short et surprise, il ne portait rien dessous, il avait découpé le slip intérieur. J'étais directement au contact de son sexe. Belles couilles lourdes, et un sexe encore dans son prépuce mais baveux que j'ai décalotté. Il bandait vraiment comme un fou.
Ecoute jai un lieu secret ou j'emmène des lopettes comme toi. Non ne sursaute pas tu seras considéré comme ça et ce n'est pas un gros mot mais un état. Si tu sens que ton corps à besoin d'appartenir à quelqu'un on peut essayer.
Je voyais presque ses réflexions et c'eest d'une voix douce mais déterminée qu'il m'a dit oui ok.
Bon on va rouler et je m'arrêterais plus loin pour te mettre une cagoule de façon à ne pas savoir ou tu seras, tu l'ôteras quand je te le dirais.