Connaissez-Vous La Véritable Histoire Des Princesses ???
Dans les contes et autres histoires pour jeunes filles, on parle du Prince charmant, mais on occulte avec soin la fonction du Valet.
Le Valet ne se contentait pas de passer la robe de chambre à sa Maîtresse...
Il lui retirait également, les soirs où son Prince, trop occupé à festoyer, la laissait seule dans sa tour d'argent et d'or...
Il l'embrassait également, et si la photographie avait existé à l'époque, nul doute que nous aurions pu voir une image montrant deux silhouettes se bécotant dans l'embrasure d'une fenêtre, la Lune pour témoin...
LA FORTERESSE
La forteresse à cédé...
Nous l'avons attaquée de tous côtés, multipliant les assauts, les ruses et autres subterfuges, nous relayant pour ne pas la laisser reprendre des forces pour lutter.
Le forteresse se rend, usée par tant de détermination, lassée d'une lutte qu'elle ne veut plus, et est prête aujourd'hui à se rendre à ses assaillants.
La forteresse s'est libérée de ce carcan de glace qui gelait ses émotions, et ne demande qu'à être réchauffée aujourd'hui....
Nous banderons les yeux de notre prisonnière, lemmèneront dans un endroit secret, ou elle pourra crier à loisir, mais ce ne seront pas des lamentations ou des appels de détresse, je ne sais si elle sait, à ce jour, que ses geôliers ne lui veulent que du bien....
Mon Maître, le Prince me conviera à ses côtés, pour admirer ce qu'il a de plus précieux...
Son butin le plus cher, son trésor le plus rare, son diamant le plus éclatant, est là sous mes yeux, à portée de mes mains..
La Princesse s'est endormie, cette vaine lutte l'aura quelque peu épuisé, elle dort depuis longtemps maintenant...
Son Prince s'allongera à ses côtés, collera son ventre contre le sien, la réveillera de ces baisers qui font tourner les têtes...
Invité par mon Maître, je m'allongerai derrière elle, lovant mon ventre contre son dos si doux, lui coupant la retraite.
La princesse aura compris que plus que jamais, toute lutte est vaine, et que son intérêt à coopérer lui rendra la détention plus agréable.
Elle se tournera, offrant à nos mains et nos baisers son dos et ses reins.
Nous pianoterons délicatement de nos doigts les moindres recoins de ce qu'elle mettra à notre disposition, les explorant avec la même passion, regarderont ces frissons parcourir son échine, son duvet se dresser comme des lances pointées vers le ciel, dans un dernier sursaut de lutte qui n'en est plus une, nous apprivoisons ce corps de nos caresses et nos baisers, ne feront plus qu'un de nos corps...
Notre princesse fera glisser le satin jusqu'à ses pieds, découvrant ses fesses et ses jambes, prêtes, elles aussi maintenant, à recevoir nos baisers et nos caresses.
Nous explorerons avec passion cette nouvelle surface, prenant bien soin d'en connaître chaque parcelle...
Nous ferons vibrer son corps d'une harmonie des plus jolies...
En collant notre oreille contre son corps, nous entendrons son cur nous appeler à l'aide, en augmentant le rythme de ses battements...
J'embrasserai son dos pendant que son Prince lui murmurera des mots doux dans son oreille, plus attentive que jamais...
Je ferai courir ma langue le long de sa colonne, embrassant chaque centimètre parcouru, mêlant ces caresses et ces baisers pour son plus grand plaisir.
Pendant que j'embrasserai ses si jolies fesses, son Prince lui massera ses jambes et ses pieds, remontant l'intérieur de ses cuisses, jusqu'à en effleurer son sexe...
Son corps complètement décontracté, notre Princesse, ramènera ses jambes sous elle, son Prince se glissant en dessous, et de sa bouche embrassera son intimité qui souffrait jusqu'alors, de tant de désintéressement...
Tout en embrassant et léchant , il ramènera ses mains de chaque côté, massant ses petites fesses...
Je remonterai vers son cou, l'embrasserai, le mordillerai, prendrai un infini plaisir à entendre ses petits râles étouffés, lui dirai qu'elle est belle, que nous prendrons soin d'elle comme la dernière femme de l'humanité, comme la dernière étoile de l'univers.
je l'embrasserai, la contemplerai, regarderai ses lèvres s' articuler au rythme des baisers de son Prince, les embrasserai, sentirai sa langue sous la mienne, sa respiration saccadée nous indiquant son désir grandissant...
Je redescendrai, parcourant une fois encore sa colonne de mes baisers, irai rejoindre mon Prince dans ses intimes baisers, et l'embrasserons dans ses endroits les plus secrets pour son plus grand plaisir...jamais elle n'aurait pu s'imaginer prendre autant de plaisir à se faire embrasser de la sorte... son corps, si réactif, la surprenant à chaque instant...
Notre Muse se laissera aller, s'ouvrant toujours plus à nos assauts...
Tout en continuant nos baisers, j'introduirai délicatement mon pouce dans son sexe, écartant de mes doigts ses lèvres, offrant son bouton de rose aux lèvres de son Prince...Elle multipliera les orgasmes de ces bienveillances à son égard, se surprenant toujours plus à apprécier nos attentions, encore plus délicates...
Son corps, ondulant sous nos baisers, rappelant les contorsions d'un cobra sous le charme de son Maître musicien, nous invite à encore, à toujours plus de baisers et de caresses...
Notre Princesse se retournera, offrant à notre regard ses si jolis seins, qui s'ils pouvaient parler, nous demanderaient à bénéficier eux aussi, de nos baisers, caresses et autres bonnes intentions, ce que nous ne manqueront pas de faire immédiatement.
Quatre mains et deux bouches pour deux seins, quel plus doux châtiment !
Notre belle se laissera aller, ses mains touchant les nôtres, les prenant, les guidant pour son plus grand plaisir, et le nôtre...
Je commencerai à caresser son sexe pendant que nous continuerons de nous occuper de ses seins, avec toujours autant de passion...et commencerai délicatement à masser son entrejambe...
Ses gémissements de plaisir m'inviteront à intensifier ces caresses, ses seins tendus et cajolés en demanderont autant...
LE REVEIL.
Le soleil avait déjà escaladé les cimes, quand le valet ouvrît les larges rideaux qui maintenaient la chambre de la Princesse dans une obscurité totale...
Cette dernière, encore totalement endormie ne s'aperçut de rien, ses rêves la transportant encore bien loin de la réalité matinale...
Son valet se permit une chose, puis une autre.
Il lui plaça délicatement un baiser sur son front, et fît glisser délicatement son drap de soie jusqu'à ses cuisses et contempla son joli corps, encore chaud de la veille...
Il remît le drap bien en place, et s'éclipsa en cuisine préparer le petit-déjeuner de sa maîtresse...
Le prince lui, était déjà en habits et s'apprêtait à ses fonctions du jour...
Le jour finit enfin par tirer la Princesse de son sommeil...
Un petit sourire, les yeux encore clos, nous indiqua qu'elle était encore un peu dans son rêve...était-ce seulement un rêve ?? Elle ne se souvenait pas de s'être couchée...
Ses mains glissèrent entre ses jambes, ses yeux toujours fermés, commença à faire danser ses doigts autour de son intimité, persuadée qu'elle n'avait pas rêvé...son corps ondula légèrement, au gré de ses caresses, de petits soupirs venant briser le calme monastique de sa chambre...
Son valet entra discrètement dans sa chambre, posa le plateau sur une table basse, et la contempla dans son louvoiement intime, se rappela de la consigne de son Maître, celle de se dévouer corps et âme pour son Amour, sans restriction aucune...
Il tira le drap bordé du pied du lit, s'agenouilla, glissa sa tête sous le drap et remonta en direction de sa Maîtresse.
Il toucha ses pieds qu'il embrassa, plaça ses mains sur ses douces chevilles, et fît remonter ses mains avec de délicates caresses
jusqu'aux hanches de la Belle, les passa sous ses fesses, et lui massa tandis que sa tête remontait en direction de son intimité.
Elle écarta et remonta doucement ses jambes, le valet posa délicatement sa bouche sur son sexe, et l'embrassa du plus profond des baisers, tout en continuant le lui masser son délicat fessier, pour le plus grand plaisir de la Princesse, qui enlevant les mains de son intimité, commença à effleurer les autres zones érogènes de son corps.
Elle fIt de discrets ronds autour de ses seins, leur extrémité se raidissant de plus en plus à chaque révolution de ses mains...
Le valet, fidèle à son engagement envers son Prince, continua d'embrasser, de lécher, d'aspirer le sexe de cette future Reine, jusqu'à ce que, dans un gémissement des plus agréable, l'orgasme prit possession de ce corps et de cette âme...
Son valet ce cur se retira aussi discrètement qu'il s'était glissé sous le drap, se redressa, tira sur son gilet pour le remettre en place, et s'éclipsa...
La princesse se rendormit, n'ayant aucune obligation ce jour, pourquoi donc ne pas profiter encore un peu de ce trop joli rêve de la veille....
LE CABANON.
Le prince décida de s'éclipser avec sa Belle, un soir de fortes chaleurs, dans un cabanon de garde pêche en bordure du lagon, pour la nuit, emmenant juste quelques couvertures pour la fraîcheur du matin, et un sac de provisions pour la soirée.
Ils chevauchèrent une bonne heure et arrivèrent au cabanon au moment ou le soleil commençait à peine à embrasser la mer.
Juste avant d'entamer la dernière descente, le prince s'arrêta, descendit de son cheval, s'approcha de celui de sa Belle, qui mit pied à terre. Il la regarda, l'embrassa tendrement, sortit un carré de soie de sa poche qu'il noua sur ses yeux après les avoir regardés une dernière fois, la fît remonter en selle, prit les rênes de son cheval et entama cette courte descente...
Le cur de la Princesse se mît à battre comme si elle venait de courir autour de son domaine...
Qu'est-ce que ce rêve qui revient sans cesse, qui la transporte, qui l'emmène vers des paradis secrets ?
Elle une confiance aveugle en son Prince, et ne pourrait pas avoir cette sérénité et cette assurance que seules les Reines ou futures peuvent afficher...
Il attacha les chevaux, fît descendre sa Belle de sa monture ruisselante, l'embrassa du plus amoureux et des plus fougueux des baisers.
Il détacha le ruban pourpre qui maintenait sa brune chevelure, libérant cette cascade noire sur ses épaules.
Tout en l'embrassant encore, il prît ses mains, les plaça derrière son dos, et lui laça symboliquement les poignets.
Ils contournèrent le cabanon, le bruit caractéristique d'un feu se faisant entendre, ils s'approchèrent en silence de cette chaleur...
Le Prince immobilisa sa Belle, à quelques mètres du foyer, passa derrière elle, se mit à caresser son corps au travers de sa robe bleu nuit, ses reflets générés par la Lune mettant encore plus son corps en valeur.....
Il caressa ses seins, son ventre, tout en l'embrassant dans le cou...il dégrafa sa robe, son inconfortable corset, dénoua provisoirement ses entraves, fit glisser l'ensemble au sol.
Il lui remit le lien à ses poignets, elle était désormais nue. Son corps luisait par cette chaleur, et les reflets combinés du feu et de la Lune offraient le plus beau des tableaux, relayant la Joconde à une icône d'obscure caverne païenne.
Elle était la plus jolie chose qu'il fût permis de voir en ce monde, et attendait son supplice avec une certaine excitation qu'elle ne pouvait déjà plus contrôler, son cur battait la chamade, lextrémité de ses seins trahissant une émotion des plus fortes...
Le Prince se dévêtit également, et emmena sa Belle au plus près de l'eau, la fît entrer dans cette eau presque chaude, que le soleil avait chauffé des jours durant.
Il dénoua le ruban, et porta son Amour dans ses bras, tout en continuant sa progression dans l'eau.
Il la déposa délicatement sur quelque chose ressemblant à un matelas qui flotterait, chose inconnue pour elle...mais si agréable et confortable..
cette treille constituée d'une multitude de branchages, tel un nid d'aigle qu'on aurait rapporté d'une cime avoisinante, supportait aisément le poids de la Princesse. Il était recouvert d'un tapis de feuilles mêlé à de la laine brute de mouton fraîchement tondue, et recouvert de quelques épaisseurs de soie, afin d'adoucir les quelques aspérités qu'il pourrait y subsister.
Cette si jolie Princesse flottait maintenant entre deux mondes, celui de l'eau et de l'air, quelques vaguelettes venant s'échouer sur son magnifique corps, encore plus mis en valeur par tous les reflets qu'il renvoyait...
Elle se fondait parmi les étoiles.
son Prince lui releva délicatement son carré de soie sur le front, fit tourner son matelas doucement dans de lentes révolutions, elle ouvrit les yeux et vit cette voûte céleste tournoyer lentement...
" Vous êtes la plus belle et la plus brillante de ces étoiles " lui murmura-t-il, avant de remettre ce voile sur ses si jolis yeux...
Le Valet avait bien fait ce nid, la Belle se retrouvait en apesanteur, le poids de son corps entrait en doux équilibre, effleurant ce matelas qui le maintenait si bien pour qu'elle ne s'enfonçât pas plus profondément dans cette onde si claire...
le Prince s'agenouilla dans l'eau, et commença à caresser ce corps offert au Ciel.
Il prît le ruban qu'il avait soigneusement gardé, le coupa en 2, et attacha délicatement les mains de sa prisonnière au dessus de sa tête.
Elle se laissa guider, n'opposa aucune résistance qu'elle savait vaine, de toutes façons, qu'elle ne désirait pas, et s'abandonna à son Prince...
Il commença à caresser tout son corps, déposant des gouttes d'eau sur ses seins, dont la réactivité l'emplissait de bonheur, embrassa chaque parcelle de sa peau, mêlant le sucré naturel de son odeur avec le salé de l'eau de ce lagon, se laissa aller jusqu'à descendre sa bouche au plus près de son sexe, qu'il embrassa tendrement, faisant tourner sa langue dans tous les replis, aspirant ses lèvres et son bouton nacré...
Il prît doucement les jambes de sa Princesse, les releva, et les posa tout aussi délicatement sur ses larges épaules, enfouissant sa tête au plus profond de son sexe, les reposa ensuite sur le nid, en fît le tour, s'agenouilla de nouveau, embrassa sa Belle des plus langoureux baisers,tête-bêche sa langue courant sur ses lèvres.
Il sentait sa respiration commencer à se saccader, signe que la Princesse s'abandonnait de nouveau dans les bras de son Amour, avec toujours plus de bonheur...
Le Prince prît ses précieux seins entre ses mains, tout en l'embrassant plus profondément que jamais, massant cette poitrine luisante, les mamelons plus fermes encore demandaient leur part d'attentions, ce que le Prince fît sans se faire prier...
Il lui murmura à l'oreille que le Valet attendait bien sagement auprès du feu...
"Pas maintenant", soupira-t-elle entre deux bouffées de chaleur qui emplissaient son corps, "continuez vos caresses qui menivrent et me font vibrer de tout mon corps", lâcha sa Belle, mots qui se mêlèrent à un léger gémissement...
Le Prince continua de l'embrasser, prenant sa lèvre inférieure entre les siennes, massant ses seins de plus en plus fort, tout en gardant une distance entre le plaisir et la douleur, ne franchissant jamais le seuil critique, frôlant sa frontière, les gémissements de la Belle le confortant dans sa pratique délicate.
Il l'embrassa toujours plus fort, les petits cris étouffés de son Cur l'excitant au plus haut point, il prît l'initiative de descendre ses mains jusqu'à son intimité...
Ses jambes se relevèrent mécaniquement, conscientes du plaisir qui allait soffrir au reste de son corps, son bas-ventre bouillonnait de plaisir à l'arrivée de ces mains qui ne tenaient décidément pas en place...
Il glissa un doigt, puis deux, dans son sexe détrempé par cette situation des plus enviables et confortables.
Son Maître commença à en masser la paroi intérieure, celle qui paraît-il, donne un plaisir incommensurable à celles qui le subissent, tout en maintenant le pression de ses baisers.
Ses cris entraient au plus profond de la gorge de son prince, tandis que cette douce masturbation faisait se tortiller de plaisir cette trop belle créature céleste.
Elle en joui rapidement une première fois, pour leur plus grand plaisir.
Il ne laissa pas redescendre, il savait la partie terminée s'il relâchait la moindre de ses attentions, continua de plus belle, à entrer et sortir ses doigts de ce sexe qu'il devinait de plus en plus gourmand, à mesure que les cris étouffés de son Amour n'en étaient plus, qu'ils devenaient une ode à l'Amour, offerte à tout le Royaume.
Les oiseaux nocturnes se taisaient même, écoutant ce chant plus mélodieux que le leur, plus pur et plus profond que le plus profond des abysses...
Le Prince continuait ses subtiles caresses, tandis que sa Princesse se libéra de ses entraves, laissant ses mains courir sur son corps détrempé, les pressant sur son pubis, sur ses seins, prenant le visage de son Maître pour un baiser encore plus fougueux...
"Maintenant", susurra-t-elle à son oreille....
Le Valet de cur de Madame, qui jusque-là était resté sagement assis au coin du feu, après avoir longuement étrillé les chevaux, sorti les victuailles du sac, nettoyé le cabanon et dressé la table pour la collation matinale du lendemain de sa Maîtresse, se leva instantanément au hochement de tête de son Maître, laissa glisser ses vêtements au sol, entra dans l'eau sans un bruit, et ondula jusqu'au radeau de fortune dans un silence le plus absolu.
Sa tête se posa sur le nid, et rampa jusqu'à l'intimité de sa Maîtresse...
Le prince en écarta ses lèvres, la bouche de son Valet s'ouvrit pour en aspirer son bouton de rose, dans une succion passionnée et délicate, qui fît partir la belle dans un monde parallèle...
Deux bouches dévouées à son plaisir, quel meilleur sort pourrait-on réserver à la plus belle des Princesses...
Ces deux langues qui s'affairent de concert la rendent plus belle que jamais, ses gémissements leur donnant le plus grand des plaisirs, les rassurant sur son état...
Le Valet l'entendra jouir, le cri de son orgasme à peine étouffé par la bouche de son Prince, qui continuera de l'embrasser, massant ses trop jolis seins par de délicates et subtiles pressions...
Je n'entendis pas ce que le Prince lui murmura, je vis juste quelques hochements approbateurs au ralenti de sa tête...
Il fît signe à son Valet de se relever, les deux hommes soulevèrent délicatement la Princesse, lui firent faire un quart de tour sur le nid rectangulaire...
Elle se retrouva les mollets dans l'eau tiède, la nuque en bordure du nid, ses cheveux disparaissaient dans l'onde...
Le Valet releva délicatement ses jambes qu'il mît autour de son cou, et replongea la tête dans l'intimité de sa Maîtresse, qui, de plaisir les resserra fortement sur son vassal, tandis qu'il l'emplissait de coups de langues experts...
Le Prince continua d'embrasser son Amour, lui chuchotant quelques bribes, sa tête opinant de plus belle...
Le Valet se redressa, gardant bien les jambes de la Belle autour de son cou, et approcha son sexe de celui de sa Maîtresse, et entreprit une caresse lancinante aux abords de ce dernier, en évitant toute pénétration anticipée...la mettant dans une transe profonde.
La bouche du Prince, toujours affairée à embrasser langoureusement celle de son épouse, continuait également de ses mains manucurées de s'occuper de ses seins...
Quant aux mains de la Belle, elles se pressaient sur son corps, sur le visage de son Amour, sur son pubis, sur ses seins, son cou, revenaient sur son époux, dans un ballet anarchique, se posant au gré de ses pulsions, sans pouvoir en contrôler ses mouvements...
Elle mit ses mains de chaque coté de son intimité, en écarta les bords de ses médius, et laissa ses index caresser son excroissance dure et tendue, dans une ondulation et des gémissements des plus mélodieux.
Ces caresses qu'elle s'infligeait, conjuguées à celles prodiguées par son valet à l'entrée de son sexe, la firent décoller encore, dans une plainte déguisée, mais ils n'étaient pas dupes, ces amants, de cette lamentation qui n'en était pas une, de cet orgasme mal dissimulé, de cette façon de leur dire encore...
Le dernier râle de cet orgasme étouffé par la bouche de son Prince, celui-ci ordonna à son Valet d'entrer en sa Princesse.
Il s'exécuta sans se faire prier, et pénétra sa Maîtresse dans de lents mouvements, elle se mit à crier de plaisir, ses doigts toujours occupés à son bonheur...
Le Prince lui murmura des mots d'amour, tout en l'embrassant de plus en plus profondément, faisant rouler ses tétons de porcelaine entre ses doigts.
La Princesse, comblée par tant de plaisir se laissa encore plus aller dans sa quête...
Elle repoussa son homme de délicats coups de tête, tels ceux d'un chat qui voudrait se blottir sous une aisselle, pencha sa tête en arrière, son front mouillé jusqu'au carré de soie, laissant de sa bouche sortir foule de gémissements, invitant de par là-même son Prince à y glisser son sexe, qu'elle avala en totalité...
Elle ôta les mains de son intimité, prenant, les fesses de son Maître pour accompagner ses mouvements qu'elle voulait plus profonds et plus passionnés que jamais.
Le Valet, tout en continuant ses mouvements délicats, régalait ses yeux du moment qui s'offrait à eux, de voir cette bouche aspirer son Maître au plus profond.
Tout en contemplant son Amour, il continua de s'occuper de ses si jolis seins, pendant que son valet passa les mains derrière la nuque de sa Maîtresse, soulageant de ce fait ses cervicales, pendant qu'elle continuait de plus belle à engloutir le sexe de son homme, plus heureux que jamais à la vue de sa Belle.
Elle en jouit encore, il dû se retirer pour ne pas qu'elle s'étouffe pendant son orgasme, et une fois le frisson passé, elle reprit le sexe de son homme dans sa bouche, pour leur plus grand plaisir partagé...
Le Valet s'activant dans des va-et-vient de plus en plus forts, faisaient hurler de plaisir sa Maîtresse...
Ils sentirent la soirée arriver à son paroxysme, les spasmes de la Princesse devenant de plus en plus rapprochés...
Les deux amants se retirèrent en même temps et jouirent simultanément sur son corps, leur jet se croisant sur son ventre, ses doigts à elle l'emmenant à un ultime orgasme....
Ils la couvrirent d'une dernière volée de baisers passionnés, sachant que la Belle allait sombrer dans les secondes suivantes dans un sommeil des plus détendus....
Ils ramenèrent le nid sur le rivage, laissant le feu sécher cette décidément trop belle Princesse...
Elle se réveillera à l'ombre d'un palétuvier, lové dans son nid, son Prince à ses côtés.
Ils entreront dans le cabanon, s'y restaureront, en fermeront la porte...
Et sans un mot, ils feront l'amour pour sceller encore plus fort le leur..
DUO DANS LA CHAMBRE
Le Prince s'est absenté pour la semaine, il a confié son bien le plus précieux à son Valet, lequel devra service, dévouement et protection à sa Maîtresse...
La nuit venait de tomber, le château retrouvant un semblant de calme, la Princesse s'est retirée dans ses appartements.
Après avoir remercié sa servante de ce bain si agréable, enfilé sa chemise de nuit, elle se retrouva seule face à son miroir, brassant de sa brosse sa noire chevelure tout en chantonnant...
La porte de sa chambre s'ouvrît, son valet de cur en franchi le seuil...
Instinctivement, elle prit un foulard et se le noua , cachant ses beaux yeux au regard de son serviteur, et repris de démêler ses pointes, tout en fredonnant le même refrain.
Le valet ferma la porte à clef, posa son chandelier sur la table, se plaça derrière sa Maîtresse, et commença un doux massage de ses épaules et de son cou...
Elle en lâcha sa brosse, inclina sa tête vers l'avant, offrant sa nuque à ses doigts experts.
Il la massa longuement, senti chaque muscle se détendre au fur et à mesure de ses mouvements.
Les épaules en avant, la décontraction totale suivait son cours...
Elle releva la tête, offrant son coup et son décolleté à son masseur...
Tout en lui prodiguant de délicates caresses sur son visage, il lui embrassa le front, le nez, et s'attarda longuement sur sa bouche sucrée comme du miel, la couvrant de multiples petits baisers, mordillant ses lèvres tout en maintenant le côté tactile....
Le domestique s'attarda ensuite sur ce cou, si beau à regarder et à toucher, le caressant du revers de ses mains, sentant ses veines se gonfler au rythme de ses allers et venues sur cette partie si délicate et fragile, embrassa de nouveau cette si jolie bouche dont les lèvres s'entrouvraient et se refermaient de concert avec sa respiration, de plus en plus courte, signe que son valet connaissait son ouvrage...
Il fît, tout en continuant son assaut de baisers, glisser ses mains dans ce divin décolleté, les passa à l'extérieur de ses seins, les soutînt de ses trois derniers doigts et entreprit de ses pouces et index, une danse des plus envoûtantes autour de ses mamelons rosés, qui, plus en on sollicitait ses aréoles, plus on pouvait en apercevoir ses pointes se tendre fièrement, frottant le coton de sa chemise de nuit...
Il délaça cette encolure devenant gênante, et fît glisser sa camisole sur ses hanches...
Les mains de la Princesse, cachées par le coton descendirent vers son bas-ventre...
son valet ne pût les voir, mais devina aisément à ce quoi elles étaient occupées, le tissu se relevant et se baissant dans un rythme régulier...
La bouche toujours affairée sur son cou, il pouvait entendre la respiration de sa Maîtresse, qui devenait maintenant saccadée, il sentit le désir monter en lui...
Sans un mot il se redressa, prît délicatement les bras de la Belle, et la guida en douceur vers son lit.
il la guida pour qu'elle se mette sur le ventre, ses mains retenant sa chemise..
Une fois allongée de la sorte, il contempla un court moment ce dos, si beau, si uniforme de par son teint, si symétrique, si attirant.
Il s agenouilla derrière sa Maîtresse, et entama un massage de son dos, pour le plus grand plaisir de cette dernière..qui, maintenant ses mains hors de la vue de son vassal, continuait à augmenter ce plaisir qu' elle pouvait ressentir de ces délicates attentions.
Son amant fît rouler la peau de son dos sous ses doigts, en entendît de petits râles de plaisir comme récompense..
Il joua de cette situation un long moment, tout en prenant le soin d'embrasser chaque partie qu'il venait de martyriser de ses mains...
Et fît glisser ensuite ce morceau de coton tissé jusqu'aux chevilles de la Princesse les massa délicatement, remontant les mains le long de ses cuisses jusqu'à son dos si réactif à tout ce qu'on pouvait lui faire...
Il se mît au dessus de sa maîtresse, tout en prenant bien soin de ne pas la toucher, et commença un long baiser qui partit de sa nuque, jusqu'à la base de ses fesses...
Le sujet s'installa dans cette position, et chercha de sa langue toute zone érogène...
Il alterna ces baisers entre chaque zone, sa langue croisant par moment les doigts de cette si jolie femme, et continua de faire rouler la peau de son dos entre ses doigts.
Devant lui la plus belle des femmes se tenait, et même si elle pouvait se trouver quelque peu enrobée, restait à ses yeux et à ce jour la plus magnifique créature jamais rencontrée, se rappelant également qu'une Princesse est rarement satisfaite de son corps ou de son apparence....mais c'était la plus belle.
Il quitta le dos, faisant glisser ses mains sur ses fesses, les massant pendant qu'il continuait ses baisers secrets....
Le valet retourna délicatement sa Maîtresse, l installa confortablement sur le dos, et se concentra sur ses seins, les embrassant et les caressant de la plus douce des façons, faisant glisser parfois une main vers son pubis...
Il dévala de ses seins à son sexe, lui donna le plus vaillant des baisers, ses mains à elles appuyant sur la tête de son valet, donnant plus de pression à ses baisers...
Son corps ondulait comme la houle, régulier, envoûtant, hypnotisant le Valet pour qu'il continuât ses doux baisers...
Il suça, téta, embrassa ce petit bout de chair rose, jusqu'à ce que la Princesse, dans un petit cri à peine feutré par sa main sur sa bouche, se libéra, resserrant ses jambes pour bien marquer son plaisir...
Son valet personnel s'allongea sur le dos, elle se colla à lui, dos sur son ventre...
Ils restèrent de longues minutes comme cela, lui, embrassant ce cou si gourmand de baisers, caressant toujours au mieux ses seins, puis commença à lui caresser le clitoris, lentement. Les lents mouvements de bassin de sa Maîtresse frottaient sur le sexe de son Valet, et aidée de sa main, le prît et le guida à l'entrée de son intimité, pendant qu'il redoublait de pression sur son petit bouton de rose...
Ses mains à elle se perdaient sur son corps, tenaient les poignets de son amant afin qu'ils ne s'écartèrent pas de son intimité, puis se redressa presque subitement pour se retrouver bien assise sur ce sexe dévoué à son plaisir, et jouit presque aussitôt, se laissa retomber sur le corps de son Valet.
Il l'embrassa, la caressa pour l'accompagner vers un sommeil réparateur, elle sombra presque aussitôt.
Content d'avoir respecté la consigne de son Maître, il se releva, borda sa Maîtresse, prit son chandelier, ses habits et s'éclipsa, s'assurant bien que personne ne le vît sortir de cette chambre.
LA PLAGE
Déjà 3 jours que son Prince est parti. Dieu que le temps ne passe pas vite, malgré les bonnes intentions et attentions de tout le monde, y compris de son dévoué Valet, La princesse s'ennuie, trouve futiles les jeux que l'on lui propose et rêve de son Amour...
Elle se réveilla tôt, bien avant que le coq ne donne l'alerte du soleil qui pointe.
Qu'importe, la journée sera belle, et elle n'attendra pas à se morfondre entre les quatre murs de sa chambre, que revienne son Prince...
Sans prévenir personne, elle se glissa dans la cuisine, prit quelques fruits et une outre d'eau, du pain et du fromage, sella son plus bel étalon et partit au petit matin avant que le château ne se réveilla...
Le valet attitré, réveillé par le réveil du volatile, se leva, mit en hâte ses habits et alla préparer le repas du matin de sa Maîtresse.
La journée commençait en cuisine, tous affairés à préparer les repas du jour, avec comme priorité, de concocter celui de la Princesse. Elle raffolait dufs à la coque, de lait fraîchement pris au pis de la vache, et qu'un marmiton faisait tiédir encore un peu.
Il prit le plateau, y déposa le tout, ainsi qu'une brioche et de la confiture de framboises.
Il monta en hâte, les marches, posa sur la plateau sur le guéridon, ouvrit de ses deux mains les larges portes, reprit le plateau, le posa sur la table de la suite, écarta les rideaux d'un geste lent et silencieux, se retourna et s'écria:
"Sacrebleu, que m'a-t-elle encore fait aujourd'hui ?"
Elle veut ma mort, pensa-t-il...
Il sait le sort que lui réserverait le Prince s'il venait à arriver malheur à sa Belle, à son Cur, à sa vie...
Je finirais sans aucun doute écartelé par les quatre chevaux les plus puissants du Prince, mes membres serviraient à nourrir les cochons...
Quel plus bel animal pour faire disparaître un corps qu'on ne veut plus jamais voir que ce puant porcidé dont le pléonasme m'échappera ? Du dernier bout de chair, d'os, de dent, il ne restera rien de moi, pas de sépulture ni de cérémonie, me voilà voué à l'enfer..
...
Je ne pris pas le temps de seller un cheval, un licol me suffirait bien..
Le cheval galopa vers le chemin qui sortait du domaine,e tje commença à m'interroger sur la piste qu'avait prise cette si belle peste, qui, têtue comme une mule, tenait tête à tout le monde au château, sauf à son Prince....enfin, pas en public.
Je ne vois que la plage, lieu de notre dernière escapade en trio.
C'est un endroit que la Princesse aimait depuis toujours, et se délectait de ces levers de soleil, face à la mer.
Et voilà, j'avais raison !
Même si je ne voyais pas encore le cabanon, des gerbes de terres fouettées me donnaient la direction qu'avait pris cet étalon.
Je descendis la dernière pente au galop et arriva sur la plage.
Elle était là, allongée sur un drap de coton, offerte au soleil qui commençait à lui rougir la peau, inconsciente des dangers qui la guettent...
Outre une exposition trop prolongée de son corps aux rayons solaires, elle aurait pu tomber de cheval pendant son galop, ou pire encore tomber sur une bande de malandrins qui auraient pu lui faire du mal...
Mais elle était là, entière, intacte...
Je ne serai donc pas écartelé...enfin, pas cette fois.
Un sentiment s'empara de moi, mélangeant colère, de m'être encore fait berner par cette si belle jeune femme, et joie, de la voir là, nue, son corps détendu sur cette toile immaculée.
"Vous m'avez fait ronger les sangs, je vais finir par mourir à cause de vous ! ", lui dis-je, ayant a peine posé le pied à terre.
A l'époque ou le teint blanc était un gage de beauté, elle prenait malin plaisir à se faire brunir la peau, qui pour moi allait de concert avec sa noire chevelure.
Pour toute réponse, je n'eu droit qu'à un petit sourire, qui me fit fondre instantanément...
Je m'approchai de cette Princesse, m'agenouillai et lui glissai dans l'oreille :
"Votre Amour, le Prince, me a si vous recommencez de la sorte ! De grâce, cessez vos escapades qui me rendent fou".
Elle se retourna, se mit sur le dos, rabattit le drap sur ses yeux, et me dit :
"Prends soin de moi, mon Valet, c'est ton Prince qui te l'ordonne !"
Je commençai à m'exécuter, étant ravi de la mission que mon Prince m'avait confié pendant son absence...
Je m'allongeai à ses cotés, commença à caresser son cou, ses lèvres, puis fis descendre mes mains délicatement jusqu'à cette trop jolie poitrine, que je devinais prête à mes futures attouchements, ses tétons déjà presque durs, il ne me fallu pas beaucoup de temps pour finir de les faire dresser...
J'adorais prendre ses pointes entre mes doigts, en touchant lextrémité par moments, que je faisais rouler encore et encore, tout en regardant sa bouche s'entrouvrir...
Je massai ses seins, de plus en plus fortement au gré de mes contacts, approchai ma bouche, et les aspirai lentement, l'un après l'autre, leur consacrant autant de temps à chacun pour éviter toute forme de jalousie, et me rangeai du côté de la paix...
C'était la plus belle poitrine que j'avais vue...et j'ai pu en voir, pendant ces années au château, mais aucune avait sa grâce, sa forme, son odeur, son goût.
Je les aspirai de plus en plus loin dans ma bouche, tout en les massant, la Belle acceptant cette punition par de petits soupirs contentés...
J'embrassai son petit ventre, et descendis jusqu'à son pubis, que je contempla tel une icône...
Je me glissai ensuite entre ses jambes ouvertes, continuai de mes mains de masser ses seins, ses pointes, et commençai de lui prodiguer le plus doux et suave des baisers sur son sexe déjà très humide.
Je léchai avec la plus grande des ferveurs son petit bouton durci par le désir, l'aspira, le téta encore, l'aspira, pendant que les légères contorsions de le Princesse mencourageaient à continuer dans ce sens.
Tout en consacrant l'énergie nécessaire à caresser ses seins, ma langue maintenant s'affairait à entrer dans son intimité, au plus profond, la faisant tourner autour de sa paroi dans de longues et lentes rotations...
Les petits cris que qui se firent entendre me donnèrent une érection des plus fortes, et continuai mon ouvrage de dévotion...
Je rentrai et ressortais ma langue de ce puits à plaisir, prenant soin également de ne pas en oublier son petit bouton, dont le volume avait doublé depuis mes premiers baisers...
Qui pourrait oublier les petits gémissements de la Princesse, plus envoûtant que le plus fort des philtres d'amour, et persévérai à lui donner encore plus de plaisir...
Je fis glisser ma langue plus bas, et commença à la lui rentrer délicatement, elle cambra ses reins de plaisir, elle adorait qu'on lui donne ce genre de caresses...
Tout en continuant, je descendis mes mains, et commença à lui prendre son bouton de rose entre mes doigts, la faisant plus encore onduler...
Je pris son clitoris dans ma bouche, et de ma main droit, introduisis mon majeur dans son intimité, entrant et sortant au gré de mes baisers, accolai mon index à mon majeur, en augmentai son plaisir proportionnellement à cette introduction supplémentaire...
Mon autre main, s'occupait toujours de ses si jolis seins, et passais parfois mon pouce sur sa bouche ouverte, faisant le contour de ses lèvres qu'elle humidifiait discrètement d'un délicat frôlement de langue...
Tout en continuant de la pénétrer de mes doigts, mon annulaire se plaça à la base de ses fesses, et y entreprit une délicate qui la fit se cambrer plus encore...
Après de longues minutes à l'embrasser et la masser de la sorte, je la retournai délicatement, rabattis le drap sur son regard destiné exclusivement à son Prince. Elle se laissait faire avec une désinvolture qui faisait croire que finalement, c'était elle inconsciemment qui nous donnait ses directives...Je n'avais nullement besoin de quelque force, le simple fait de la toucher prolongeait mon mouvement, elle se mettait dans la posture que nous souhaitions, le Prince et moi, d'une façon telle qu'on aurait dit qu'elle précédait nos idées....
Cette Princesse était un rêve.
Elle se mit sur les coudes, son visage contre le drap, releva ses fesses jusqu'à ce que les pointes de ses siens en viennent à effleurer le tissu dont le léger relief plaisait à la Belle...
Je compris immédiatement ce qu'elle attendait de moi, et m'exécutai, sans autre forme de procès...
Je pris la base de ses fesses avec ma bouche, l'embrassa encore plus profondément pendant que mes mains massaient ses fesses, m'attardai plus fermement sur les bords, faisant rouler la peau avec mes doigts...
Ses petits râlements devenaient plus forts, plus rapprochés, et les entendre valait la plus belle des Messes.
Ma langue pénétra plus loin encore dans ses fesses, tandis que ma main droite allait la faire exploser de plaisir, elle adorait ce genre de "châtiment".
J'entrai mon pouce dans son intimité, doucement, comme d'ordinaire, et commençai à peine à l'explorer que la Princesse en jouit aussitôt...
Pour ne pas lui laisser de répit, j'introduisis mon pouce plus loin encore et commençai à masser sa paroi intérieur, décuplant son plaisir, pour son plus grand bonheur, tout en maintenant les mouvements de ma langue qui eux aussi, se faisaient plus pénétrants encore...
Et pour que cette belle femme puisse encore prendre plus de plaisir, mon médius et mon index allaient maintenant s'occuper de son petit bouton, le caressant, le massant, tout en continuant les autres mouvements simultanément.
Elle fit ensuite, de légers mouvements d'avant en arrière, je compris vite, que les pointes de ses seins frottaient sur le drap, augmentant encore son plaisir charnel.
Les massages de son intimité en devinrent rythmés pas celui qu'elle imposait à ses seins, et je pus encore la voir jouir...
Je me mis derrière elle après avoir quitté mes habits, et la pénétra en son intimité, ce qui la ravit, et commença mes incessants va-et vient, au rythme que la Princesse suggérait...
Je sentis sa main caresser mes bourses, mon sexe, le sien, remonter vers ses seins, elle se servait de l'autre pour mordiller son index.
Je repris de mon pouce le baiser que j'avais dû laisser avec ma langue, me contentant d'en caresser délicatement les bords, ce qui augmentait considérablement le volume sonore de ses gémissements.....
Après un tel supplice, j'eus pensé que cette Princesse rendrait les armes et aurait demandé qu'on la laissa seule pour le reste de la journée... que nenni,
il lui fallait une dernière fois pour aujourd'hui, lui donner du plaisir.
Je pris un foulard qu'elle avait apporté avec elle, et tout en la pénétrant encore, lui mis sur les yeux, à la place du drap...
Je me relevai, la Princesse en fît de même, je lui pris la main.
Je déplaçai le drap, l'approchai d'un rocher où je pourrais m'adosser.
Je m'allongeai à moitié, pris les mains de la princesse qui vînt vers moi, se retourna, et s'agenouilla, s'empalant sur mon sexe dressé, se laissa aller vers l'arrière, se retrouvant contre moi.
Je l'embrassai dans son cou, pendant que mes mains happées par ses seins, tiraient délicatement sur ses tétons, tandis que la Belle faisait des mouvements de bassin à faire pâlir une danseuse de Polynésie, j'alternai mes gestes, descendis cette fois mes mains vers son sexe, caressant ses lèvres et son bouton, introduisant parfois mon majeur pour appuyer plus fort sur sa zone érogène interne, et se complaisait à aimer ce geste..
Elle me chevaucha de la sorte pendant encore quelques minutes puis s'abandonna dans un dernier long et doux gémissement, se mit sur le côté, et sombra dans un doux sommeil léger, pendant que je m'affairai déjà à lui faire un abri avec des branches de palmier, ne voulant pas que son si joli corps se fasse brûler par le soleil de midi...
Une fois la Princesse protégée du Démon jaune, je repris mon cheval, montai la pente, et me postai là pour le restant de la journée, interdisant laccès de ce lieu si enchanteur....
J'escortai ensuite ma douce Maîtresse jusqu'au château, pris son cheval que je ramenai aux écuries...
De retour vers la bâtisse principale, je vis mon Prince qui rentrait de sa semaine.
Je courus vers lui à perdre haleine, et arrivai au même moment qu'il mit pied à terre.
"Alors mon Valet, ai-je une raison de t'écarteler aujourd'hui ?" s'écria-t-t-il, complice dans son regard...
"Non mon Prince, vraiment aucune" répondis-je en levant le menton vers les appartements princiers.
Je ne revis ni mon Prince, ni ma Princesse de la soirée. Elle ne s'échappa pas, ce soir-là...
LE RETOUR DU PRINCE
Se sentant trop loin de sa belle, le Prince fit sa tournée en trois jours au lieu de six, voire sept qu'aurait dû prendre ce fastidieux voyage.
Chevauchant de relais en relais, il limita le sommeil de son escorte, voyageant de jour comme de nuit pour rejoindre au plus tôt celle qui avait toutes ses faveurs, et qu'il avait confié en toute sérénité à son valet...
Il retrouva sa Belle pour une nuit d'amour et surtout de câlins, chose dont elle raffolait et que le Valet n'était pas en droit de lui donner ou recevoir.
Cette pratique là, elle ne le réservait qu'à son Prince, le valet n'étant et ne sera jamais qu'un compagnon de jeu, certes le meilleur des alliés, et n'attendra rien de plus que ce que ce couple princier lui offrira ...
Elle aimait passer du temps, blottie dans les bras de son homme, il l'enserrait comme elle aimait, la fusion de ces deux corps enlacés rayonnait par delà les frontières de cette jeune Principauté, elle aimait ces moments où elle n'appartenait qu'à lui, et à leur égoïste plaisir.
Le lendemain soir, une petite fête au château ayant scellé leurs retrouvailles, les convives finirent par partir, je raccompagnai la princesse à ses appartements, muni du plus gros chandelier que j avais pu trouver.
Je posai mon chandelier sur la table de la chambre, m'inclinai devant ma Maîtresse et me retirai aussi discrètement que possible, quand, au moment de tourner les talons, le Prince me barra la route, me montra, de son regard directeur, l'énorme baignoire de cuivre, remplie d'eau du puits, dont la vapeur qui s'en échappait m'indiqua quelle devait en être bien chaude.
Je quittai mes vêtements et m'assis dans cette cuve rectangulaire aux reflets de feu, dont les bords plats pouvaient aisément supporter le poids d'un homme, voire deux, ses deux sabots qui permettaient de rester assis en faisaient de véritables trônes aquatiques ...
Le Prince arriva ensuite, s'assit en face de moi.
Sa Princesse arriva, se dévêtue, me tourna le dos, entra dans la baignoire, s'agenouilla, .
Son Prince se laissa glisser du sabot, allongea ses jambes sous sa Belle, et commença à l'embrasser amoureusement, les langues se croisaient et se recroisait, il voyait ses yeux clos, qui s'ouvraient légèrement parfois, ne laissant apparaître qu'un éclat lumineux entre ses paupières mi-closes...
Je me régalai de voir s'aimer ces deux êtres et compris ce jour-là la chance que j'avais eu d'être à leur service...
Ils allaient si bien ensemble...Dieu merci, ce Prince qui voulut absolument lui faire découvrir plus encore de plaisir en me conviant à ses jeux en était largement récompensé, et elle, si étonnée de ses demandes, les accepta et apprécia très vite les bienfaits de ces pratiques.
Elle fît vite la différence entre Amour et Sexe, et même si ce n'était pas sa matière préférée, elle sut vite en ressentir tous les avantages.
Du statut de Princesse, elle passait à celui de Reine, l'espace d'une étreinte...
Mon Maître, l'embrassait toujours aussi fort lorsqu'il me donna ce si joli foulard assorti à son teint.
Je me mis à genoux derrière la princesse, l'eau lui arrivait alors à mi-hauteur de ses seins, ils parurent en apesanteur, ses pointes flottaient, à moitié immergées, moitié à l'air, cela produisit son effet sur la belle, ses tétons déjà bien durcis ondulaient sur cette eau claire et chaude....
tout en les laissant s'embrasser, je passai délicatement ce morceau d'étoffe entre leurs yeux, le rabattis derrière le crâne de ma Maîtresse, et fis deux nuds serrés, de la façon la plus juste.
Je commençai à lui masser ses épaules, elle ne se décidait pas à quitter le bouche du Prince, collée à ses lèvres..
Je passai mes mains sous ses seins, commençai à les masser délicatement, pendant que notre Prince lui en touchait les bouts, de légères caresses, de doux effleurements, puis les pinçait très légèrement...Elle eut droit à quelques minutes de ce traitement, agrémenté ensuite de mon sexe immergé frottant le sien, celui du Prince également, lui effleurant son petit bouton nacré. Mon ventre collé à son dos, mes petits ondulations augmentaient tous ces plaisants frottements.
J'eus droit à un baiser de cette belle princesse, comme signe de gratitude pour mon dévouement sans faille, mes attentions plus douces que du coton...
Pendant que sa bouche reprit le chemin de celle de son Amour, je saisis son cou de mes mâchoires ouvertes et commençai à la serrer doucement, je sentis un courant parcourir son échine, en augmentai alors la pression un peu plus forte encore...
Je fis glisser mes mains, y croisai celles de mon Maître et descendis le long de ses hanches si belles, de ses fesses qui l'étaient encore plus.
Mes mains les contournèrent ensuite pour les approcher de son sexe, écartant ses lèvres pour y sentir son clitoris que j'effleurai dans un premier temps, lui faisant juste percevoir la proche présence de mes doigts, qui devinrent plus pressants, lorsque j'entendis ses premiers gémissements, noyés dans la bouche de son homme, mais dont quelque son traversait néanmoins ses joues rosies par le désir...
Son souffle court ne nous trompa pas, le mécanisme du plaisir était enclenché...
Je pris son bouton entre mes doigts, l'enserrai, le fis rouler, le pinçotai, pendant que le Prince occupait savamment ses doigts à masser les pointes de ses superbes seins. elle aurait pu servir comme le plus beau des modèles, pour le plus célèbre des sculpteurs..
Je fis ensuite ce qu'elle aimait inconditionnellement, à savoir lui glisser mon pouce dans son intimité.
Elle cessa son baiser, recula légèrement, la bouche ouverte, un râle sonore des plus plaisants venait d'envahir la pièce...
Le Prince se délecta de cette situation, lui releva délicatement son bandeau, regarda ses yeux sentrouvrir, passa sa langue sur ses lèvres humides, elle était la plus belle des femmes...
il se redressa, se remit assis sur le sabot, continuant de motiver ses tétons par de délicats pincements, augmentant le plaisir de sa Belle.
Il lui remit le foulard en place, elle commença à plonger le tête en direction du sexe de son Amour, en saisit délicatement le gland avec ses lèvres, et commença un délicieux mouvement de sa tête. Le Prince laissa échapper quelques râles, étalant son plaisir à nos oreilles, pendant que je continuai de caresser l'intimité de notre Princesse avec la plus grande délicatesse, faisant tourner mon pouce doucement, m'attardant sur la petite surface synonyme d'extase, mes doigts continuant de masser son clitoris avec tout autant de ferveur...
Je ne lâchai pas pour autant la prise de mes dents, suivant les mouvements de la Princesse...
Je lui passai ma main sous le menton, soulageant ses cervicales, prolongeai mes douces morsures par de doux baisers, pendant qu'elle continuait à aspirer le sexe de son Maître, de plus en plus profondément..
Mon Prince me fît un petit signe de la tête, m'indiquant qu'il était temps de pénétrer sa Princesse avec autre chose que mon pouce...
J'obéis avec une émotion non dissimulée.
Je la pénétrai en douceur, prenant bien le temps de faire glisser mon sexe au fond du sien, ses doux gémissements étouffés par le sexe de son homme nous indiquaient que le sort lui plaisait...
Je repris sa nuque entre mes dents, maintenant une étreinte suffisamment forte pour qu'elle ne s'échappa pas, et douce à la fois pour que son plaisir en soit total.
je pris beaucoup de plaisir à la pénétrer de la sorte, pendant que notre Prince s'affairait toujours et encore sur les zones érogènes de ses si jolis seins,
y mettant plus de conviction encore, à mesure qu'ils continuaient de durcir sous ses si délicates et passionnées attentions...
Je continuai mes lents va-et-vient, faisant rouler son bouton de rose sous mes doigts, relâchant sa nuque, je me redressai, et commençai une douce caresse à la base de ses fesses, comme elle aimait, la massant très délicatement..
Elle non plus ne relâchait pas ses efforts, aspirant de plus belle le sexe de son Amour, lui massant les bourses, faisant parfois apparaître sa langue, elle en était divine...
Nous sortîmes de ce doux bain, prirent une serviette et tamponnèrent avec douceur son corps luisant, priment ensuite chacun une de ses mains, l'allongeâmes sur le lit, sa peau encore humide reflétait avec grâce la lueur des bougies, c'était sans conteste la plus belle femme que nous avions devant nous, les formes de son corps nous hypnotisaient, nous étions dévouées à elle, à son plaisir, elle aurait pu être le diable que nous aurions signé un pacte sans même y réfléchir, tellement son aura nous aveuglait...
Nous nous couchâmes de chaque côté d'elle, elle aimait follement cette double présence de ces corps collés au sien, s'abandonna à son Prince dans de longs baisers.
Elle cala mon sexe entre ses jambes, continua sa douce étreinte tout en se frottant contre nous, son désir n'était pas encore retombé, et notre Princesse en demandait encore, de ces baisers, de ces caresses qui la rendaient dépendantes de nous...
Je lui pris un sein entre les mains, mon Prince quitta la bouche de son aimée, pour engloutir son deuxième, dans de lentes succions...
Il caressa le bouton nacré de son pouce, pendant qu'il introduisit ses index et majeur dans son intimité, les gémissements qui en résultèrent emplirent notre âme de joie, entendre son chant secret était le plus grand bonheur auquel nous pouvions prétendre, la contenter comme elle aimait nous suffisait.
Nous aimions le contact de nos corps contre le sien, sentions son cur battre de plaisir, nous étions tous les 3 au ciel.
Le Belle passa sa tête à ses pieds, repris le sexe de son Prince dans sa bouche, pendant que la nôtre embrassait ses fesses et son intimité, le prince jouant de ses doigts habiles avec son clitoris, tout en léchant le sexe sa sa Belle.
J'écartais ses fesses délicatement, y engouffra ma bouche à sa base...
Ces deux langues humides affairées à son plaisir nous firent entendre, malgré la fellation qu'elle prodiguait au Prince, des petits cris étranglés qui en sortaient au gré de ses respirations, courtes, haletantes, de sa bouche si gourmande.
Le Prince tourna délicatement sa Princesse, elle aspira mon sexe, nos baisers redoublaient...
Je me retrouvai avec son bouton de rose dans la bouche, le léchant, l'aspirant, le suçant, conscient de cette chance que ce couple princier m'offrait en toute discrétion.
Je redoublais de caresses et de baisers pour les en remercier, priant que le Prince ne me remplaça jamais dans leurs jeux...
Tout en suçant son bouton, j'écartai légèrement ses fesses pour que le Prince y entra sa langue encore plus loin, les gémissements de son Petit Coeur nous encourageaient toujours plus à uvrer pour son plaisir..
Il glissa ensuite ses doigts dans son intimité, et commença à la masser, la masturber, pour de nouveaux orgasmes, pendant que nos langues la dévoraient littéralement, pour un plaisir toujours plus intense.
Nous désirions au plus fort de nous entretenir ce brasier qui la maintenait en perpétuelle excitation, ne voulions pas éteindre cet incendie, quitte à nous brûler nous aussi, c'était là notre Graal, la combler sexuellement, notre sacerdoce.
Les lentes ondulations de son corps nous faisaient frémir, et maintenions nos efforts pour que durent ces louvoiements sacrés...
J'aimais mon Prince, j'aimais ma Princesse, mon corps et mon âme leur appartenaient
J'aimais tout aussi la position qui suivit...
Mon Prince, le dos maintenu par de larges coussins était maintenant assis, son Amour lui tourna le dos, se mît à genoux et caressa son bouton de rose avec le sexe de son homme, j'avais le plus doux des tableaux sous les yeux...
Je me mis à genoux également, face à elle, elle se caressa de nos sexes, se délectait de leurs doux contacts, je l'embrassai sur sa bouche ouverte, lui tenai la pointe de ses seins, les pinçai tout en douceur, m'attardant ensuite sur son cou...
Le Prince enfonça son sexe au plus profond de sa belle qui ne pût retenir un énorme gémissement de plaisir, sentant ce phallus la pénétrer au plus profond de son être, elle se laissa choir sur son homme, écartant ses jambes pour une pénétration plus complète.
Je complétai alors son plaisir en lui embrassant son sexe, jouant de son bouton avec ma langue, elle raffolait de cette situation, pria pour qu elle dure l'éternité.
Je lui massai ses fesses, l'accompagnant dans ses mouvements de bassin, tout en l'aspirant.
Son Prince me montrant l'art qu'il avait de jouer de ses doigts sur ses tétons, elle jouit très vite de cette situation...
Je mordillai ses lèvres offertes, sentant ce souffle d'orgasme.
Je lui donnai le baiser de l'amant, pendant que son Prince lui parlait à l'oreille...
Elle redoubla d'ondulations de son corps, fît rentrer de plus belle ce sexe au fond d'elle, je me servis du mien pour lui caresser son bouton, nos extrémités se frôlant, pour un plaisir partagé...
Elle prit ma tête entre ses mains, la fit glisser de sa bouche à son sexe, redemandant que le l'embrasse encore plus fort...
J'aspirai cette jolie excroissance, lui mettant de délicats coups de langue pendant que mon Prince la pénétrait toujours plus fort, ses cris nous portaient sur les nuages.
Nous avons prié pour que le temps se figea, elle aura joui avant...
Elle se retourna, s'allongea sur son Prince, l'embrassa langoureusement, pendant que s'échappaient encore quelques soupirs de sa divine bouche..
J'embrassai sa nuque, son dos, lui murmura qu'elle était la plus belle des Maîtresses, tout en l'embrassant encore...
Mon Prince la pénétra pendant que j'embrassai sa chute de reins.
Je passai derrière elle, saisit ses belles fesses de mes mains, et lui redonna à leur base ce genre de baiser dont elle ne se lassait pas, qui l'excitait au plus profond de son corps, j'aimais lui faire du bien, leur faire plaisir.
Ce baiser délicat, conjugué à la pénétration de son Prince, l'emplissait de bonheur, les râles et cris qui sortaient de sa bouche renforçaient notre excitation...
Je l'embrassai plus profondément, sentant son ultime orgasme arriver, le Prince lui releva son bandeau, et jouirent tous deux, leur regard accroché l'un à l'autre dans ce moment qui leur devenait personnel...
Je me glissai hors du lit, pris mes affaires, m'en alla en prenant bien soin de refermer la porte derrière moi. J'étais le plus heureux des Valets, Madame la plus aimée des Princesses...Quant à mon Prince, il était le plus comblé des Maîtres...
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