Hôtesse De Gite Rural 2/3

Le lendemain je suis réveillée par un rayon de soleil déjà haut dans le ciel, je suis seule dans ce lit qui sent l’amour et en porte les traces, Jérôme, nu, tourne la manivelle qui relève le volet de la fenêtre, je mate son p’tit cul pommé qui suit le mouvement

- Bien dormi chérie ?
- Peu, mais comme une souche ! j’ai l’entrecuisse encore dégoulinant de ta sauce ! quel merveilleux amant tu fais !
- C’est ta jeunesse qui m’inspire
- Et moi je suis comblée par ta virilité
- Adrien sait tout, il a reconnu ta voix, je n’ai pus lui mentir
- Ah zut …
- Je me demandais si tu ne pouvais pas faire quelque chose pour l’amadouer et lui fermer le caquet
- Genre ?
- Le déniaiser
- Baiser avec ton fils ???? bofff pourquoi pas mais le tout est de le tirer de sa tablette
- Ce serait chouette de ta part, pour la tablette je m’en arrange ce soir elle est en panne
- Après le père, le fils, et pourquoi pas ta femme ???
- Je n’y avais pas pensé mais pourquoi ne pas essayer !
- Tu cache bien ton jeu derrière ton look de mec bien rangé
- J’ai le vice dans la peau, a quatre pattes chienne et tout de suite !
- Oooooooohhhhhhhhhhoooooooooouuuuuuuiiiiiiiii ! mets m’en encore un coup !

Si Adrien n’entend pas les claquements sonores de nos corps c’est qu’il est sourd ! ensuite je suis sortie comme je suis entrée la veille et me suis faufilée dans notre salle de bain pour un détrempage complet ! dans la soirée je me suis arrangée pour croiser Adrien qui fait les cent pas dans la cour de la ferme, ses boutons d’acné sont prêt a éclater ! jamais je n’oserai l’embrasser mais baiser avec lui ne peut lui être que bénéfique

- Salut Adrien, ça va ?
- C’est à vous qu’il faut demander ça, pas trop fatiguée ?
- Je suis en pleine forme... tu as oubliée ta tablette
- Elle est en panne …j’sais pas quoi foutre
- Tu m’accompagne ? je vais à l’étang
- Ah ? vous avez un étang ? qu’est qui y’a a voir ?
- Des tortues des canards des grenouilles des libellules
- Des tortues ? vrai ?
- Véridique
- Alors j’vous suis

Une bulle dans ma petite culotte m’a confirmé que j’avais presque gagné ! mais sur le chemin de l’étang il faut passer par les aveux …

- Vous et papa c’est sérieux ?
- Mais non voyons c’est un regrettable accident
- Pour vous ‘baiser’ avec un homme marié est un regrettable accident ?
- Tu sais Adrien, un homme normalement constitué et habitué a avoir des rapports réguliers a besoin d’une continuité, tu n’as pas ce genre de soucis ?
- J’ai pas de copine
- Et puis ce qui est arrivé est ma faute, lorsque ton papa est arrivé je bronzais nue ici même, là ou l’herbe est couchée
- Ah … c’est ici que ça s’est passé ?
- Non, nous avons baisés dans sa chambre.

.. tu veux voir les tortues Adrien ?
- NON ! TA CHATTE !!!
- A une condition
- Laquelle ?
- Tu garde le secret pour ton père et moi
- Ça dépend, montre …
- Si je me mets nue ça te va ?
- Hooooouuui !
- Assied toi et ouvre grand les yeux …

Le garçon a déjà posé sa main sur son paquet qui n’en finit pas de se développer, en essayant de faire le plus ‘pute’ possible je relève lentement ma robe en la quittant par le haut, la bouche ouverte il écarquille les yeux lorsque le fais sauter l’agrafe de mon soutien gorge, je dévoile un a un mes seins dont les tétons s’allongent en rougissants

- Ça te plaît ?
- T’est belle, enlève tout !
- Et si tu ôtais ton short ?
- C’est que … je bande
- C’est plutôt flatteur, aller, montre moi ta verge pendant que je fais glisser mon string
- Je peux ôter moi-même ta petite culotte ? ça ne m’est jamais arrivé

Sans un mot, face à moi, rouge de honte, il tire lentement et maladroitement mon string vers le bas, c’est tellement excitant que je ne peux empêcher ma chatte de mouiller, lorsque la culotte finit par tomber seule a mes chevilles son bermuda est totalement déformé vers l’avant, ça promet une queue digne de celle de son père ! jouant la ‘sainte nitouche’ je croise les cuisses et mets une main en conque sur mon mont de vénus épilé très ras lorsque ma vulve apparait

- Laisse-moi voir ta chatte enfin ! lève les mains et écarte tes pieds
- Comme ça ?

Cette fois je joue la vamp en croisant mes doigts derrière mon crâne et balançant ma poitrine, il tend la main mais n’ose pas toucher ma craquette

- Salope que t’es belle !
- Qu’attends-tu pour toucher mon bijou ?

Sans répondre il fouille dans son bermuda pour en extraire une bite digne de ce nom, la même que celle de Jérôme, il avance son bassin espérant frotter sa pine sur mes lèvres trempées

- Tu ne compte pas me baiser comme ça ? debout ?
- Comment fait-ont alors ?
- Avant nous allons nous caresser mutuellement, tu va t’allonger dans l’herbe et je vais me positionner à l’ envers ainsi tu va découvrir tranquillement mon sexe tandis que je vais caresser le tien
- J’ai peur de décharger très vite
- Si tu tien de ton père tu ne va pas débander de sitôt
- Alors allons-y … ça à l’air très humide sous les poils … et ça sent
- Tu n’aime pas l’odeur ?
- Si, ça passe bien
- Enfonce un doigt et lèche-le ainsi tu va découvrir le goût d’une chatte
- Mon père t’a bouffée la chatte ?
- Et même l’anus ! il m’enfonçait vigoureusement sa langue et son nez dans mon boyau, un délice !
- Quel dégueulasse !
- Tu pari qu’avant la fin de la semaine tu en fais autant ?
- M’étonnerais …serre moi le pénis dans ta main …j’ouvre tes babines, elles sont brillantes
- Va chercher ma mouille au fond avec deux doigts en spatules et suce les … alors ??
- Finalement une fois déterminé à baiser on ne ressent pas de dégout, c’est même bon
- Alors qu’attends-tu fourrer ta langue ? je vais enfourner ta bite
- Tu avale tout ?
- Recracher serait gâché ! aller finit les jérémiades, lançons-nous … Mmmmmuuuuuuuuummmmm !
- Hhhhhhoooouuuuuuuaaaaaaaaaaaa !

Le coassement des grenouilles couvrent à peine les bruits de succions, alors qu’il vient de tout lâcher dans ma bouche Adrien se déchaine et découvre des gestes qui me procure des orgasmes pas tel qu’un doigt au cul et le mordillement de mon bouton d’amour, je savoure en attendant que son gland perde la sensibilité subie après la jouissance, de nouveau raide et impatient il enfonce sa queue dans ma gorge

- Tu veux me baiser Adrien ?
- Je n’attends que ça, je vais te montrer que je suis aussi doué que mon père en te faisant hurler tel qu’il le faisais l’autre nuit
- Vient chéri, monte-moi dessus
- Écarte les cuisses pouffiasse
- J’accepte les gros mots uniquement lorsqu’ils sont dits dans des moments intenses comme celui-ci mais respecte toujours la femme
- Bien sûr, excuse-moi chérie
- Enfonce ton manche dans mon con salaud !
- Tiiiiiiiiiieeeeeeeeennnnnnnnnns
- Oooooooouuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiii !!!

Sous de tels hurlements tous les animaux de l’étang se sont jetés à l’eau, il ne reste plus que nos ahanements lubriques, Adrien a déchargé trois fois sans débander avant de me proposer la levrette, ma cramouille a éjaculé quatre fois

Il fait sombre lorsque nous retrouvons le calme, nous revenons a la ferme enlacés et pleins de promesses charnelles, le lendemain matin je croise son père qui fait un peu la gueule …

- Salut Jérôme, ça va ?
- Alors tu t’es bien éclatée avec mon fils hier soir ?
- Tu devrais être rassuré, c’est bien ce que tu voulais non ?
- Oui bien sûr…. ou pouvons nous tirer un coup vite fait ?
- T’as une grosse envie ?
- Regarde ma braguette …
- Suis-moi dans les étables
- Parmi les vaches ? ça pue trop le fumier !
- Alors branle-toi dans mon slip sale
- Bon, allons-y
- J’adore baiser dans la fange
- Tu te paie du bon temps à la ferme !
- La semaine prochaine j’emmènerais ta femme voir une saillie de ma vache avec un taureau pour l’exciter, nombres de femelles sont prêtes a tout après avoir assisté a ça
- Tu baiseras avec elle ?
- En tous cas je ferais mon possible pour y arriver
- T’es une vraie pouffiasse !
- Ton fils me l’a déjà dit ! écarte mon string et embroche-moi sur cette botte de paille
- Retourne toi je vais t’enculer !
- T’as raison fait le passage pour Adrien ce soir !
- Saaalllooooopppppe !

A SUIVRE …….