Donjons Et Dragons - 2
Hier soir, un jeune domestique du château ma surpris en train de me reposer, dénudée. Je nai pas réussi à repousser ses avances et je me suis offerte. En tant que fermière, jaspire à un niveau social plus élevé, vivre comme dame de la cour, et jai pensé que me rapprocher de ce jeune homme, Niel, serait un premier pas
Il ma invité à le retrouver au château au début de la nuit, pour me faire rencontrer quelquun qui pourrait maider.
Habillée de ma simple robe de fermière, comme dhabitude, je me suis dirigée vers les appartements que mavaient décrits Niel. Il avait parlé dune sorcière, cela devait probablement être un titre donné par rapport à son influence au château, enfin, jimagine.
Le luxe des couloirs du château mavait toujours semblé démesuré en comparaison de mes lieux de vie habituels ; ce nétait pas le même monde que le mien, et ça devait probablement se voir dans ma manière de me comporter et mes habits. Jarpentais le dédale, cherchant la fameuse porte où nous avions rendez-vous. Quelques personnes passaient dans les couloirs à cette heure-là mais javais reçu lordre de me présenter dévêtue lors de ce rendez-vous. Jimaginais que la « sorcière » souhaiter vérifier que mon corps corresponde à certains standards et quelle navait pas affaire à un boudin, ou du genre.
Et fort heureusement pour moi, je pouvais compter sur un physique en pleine forme. Javais une poitrine plutôt petite, mais javais pour moi un visage très harmonieux et rond, presque poupin. Ma petite taille, de surcroit, mattirer surtout des regards attendris, mais me valaient dêtre souvent dépassée de plusieurs têtes.
Bref, jattendis donc quelques minutes dêtre sûre de ne pouvoir croiser personne pour retirer ma robe et me retrouver nue au milieu du couloir du château. Je toquais à la porte, espérant que Niel ouvrirait sur le champ.
Jattendis quelques secondes que quelquun vienne mouvrir.
La porte souvrit enfin, alors que je commençais à me demander si tout ceci nétait quune farce. Cétait Niel, qui mobservait, avec son sourire satisfait. Jétais un peu tremblante avec ce quil venait de se passer, et je nhésitais pas à entrer dans la pièce dès quil minvita à le faire dun geste de la main.
- Bonsoir Lilly, ravi de te revoir.
Je ne répondis pas, encore sous le coup de lémotion.
La pièce était une chambre dune personne probablement importante au château. Un grand lit double trônait au fond, il y avait des dizaines de bougies allumées, qui donnaient à la pièce un aspect mystique et inquiétant. Niel nétait pas seul, il y avait une dame, assise à une table ronde.
Cette femme était plutôt jeune, bien plus que ne le laissait entrevoir son titre. Elle arborait une incroyable crinière dorée, et ses habits étaient richement décorés de motifs. Les toiles de sa longue toge brillaient sous la lumière des bougies. Sa poitrine opulente était découverte par le biais dun large décolleté en V. Mais le plus remarquable était visage, saisissant de beauté, dur et doux à la fois, hypnotisant. On aurait presque pu croire à une sorte de divinité, de semi-déesse.
A côté, je ressemblais à une jeune pucelle, très clairement.
Je mapprochais dans le silence, ne savant pas quà quelle sauce jallais être mangée. Bon dieu, cette femme était vraiment impressionnante, elle devait être très grande en plus.
- Bon.. bonsoir, je bredouillais.
Personne ne répondit. Il se passa quelques secondes sans quil ne se passe rien. Puis la femme recula sa chaise qui grinça sur le parquet, se leva en contournant la table, pour se poser contre celle-ci, face à moi. Elle me jaugeait, et je nosais plus dire un seul mot. Niel semblait avoir disparu, laissant la scène se dérouler entre nous. La sorcière prit la parole :
- Tu souhaites devenir une dame, cest bien ça ? demanda-t-elle.
Après un temps dhésitation, je hochais la tête, nosant plus prononcer aucun mot. Elle me reluquait, avec un petit sourire narquois.
- Niel a bien fait de te conduire à moi. Je pense
Il est possible que je puisse taider.
Elle posait ses mots avec précision. Je restais muette, attendant la suite.
- Je connais intimement le seigneur ici. Et en échange de quelques sacrifices de ta part, il se pourrait quil puisse taccueillir dans sa cour. Elle sarrêta une seconde, le temps que la nouvelle arrive à mon cerveau. Ce qui signifie que tu pourrais porter de beaux habits, côtoyer les autres dames et nobles du château. Bien sûr ça ne sera pas évident, et il faudra passer par quelques stratagèmes, et des concessions. Mais ça devrait être possible.
Je hochais de nouveau de la tête en répondant :
- Madame, je suis prête à tous les sacrifices pour me sortir de ma situation.
- Bien, dit-elle avec fermeté.
Elle commença à tourner en cercle autour de moi, très doucement, pour madmirer de tous les côtés.
- Ce que je te demande, en échange de ce privilège que je pourrais toctroyer, cest de maccorder ton parfait consentement et obéissance en toute situation. En revanche, tu aurais ta propre chambre au château, dès ce soir.
La sorcière sarrêta, me fixant du regard. Mes yeux brillaient dadmiration devant tant de présence et malgré le fait que tout ça semblait très abstrait, jétais prête à accepter le deal.
- à genoux.
A vrai dire, je pensais bien quil y aurait quelque chose dordre sexuel dans cet échange. Je nétais pas nue pour rien, et je connaissais Niel à présent. Je navais aucune raison de refuser loffre, passer sous la table quelques fois par semaine était bien peu avec le fait de changer de vie malgré lorigine de ma naissance.
Je me suis donc mise à genoux devant elle. Elle sasseyait au bord du lit, remontant sa tunique, laissant apparaitre ses jambes et son abricot. La tension monta, je compris ce qui mattendait.
- Approche, ma chérie. Reste à genoux et approche. Viens me goûter. Soumets-toi.
Je mapprochais avec un mélange denvie et de curiosité. Niel continuait de regarder la scène, le dos contre la porte. En me retournant jai compris quil avait sorti son manche et quil commençait à se masturber. Même si la situation mexcitait, le fait de savoir que jétais coincée me mettait mal à laise.
Je vins donc me placer entre ses jambes écartées, sentant son parfum envoutant. Si elle nétait pas humaine, tout au moins son vagin sentait bien une odeur féminine bien caractéristique. En me collant à son sexe, je sentis sa toison me caresser le bout du nez. Cette odeur, bon dieu, brisait toute résistance mentale. Je passa une langue, encore hésitante entre ses lèvres
- Bonne petite chienne, lâcha-t-elle dans un soupir.
La croupe tendue, les fesses remontées comme une petite chienne en effet, je commençais à explorer lintérieur de son vagin. Plus je menfonçais, plus je sentais son emprise sur mon mental, et donnait le meilleur de moi-même. Je fouillais son anatomie, léchant avec ardeur tous les centimètres de son bouton doré, avant de me concentrer sur son clitoris. Cétait comme si elle me guidait elle-même par télépathie.
- Grosse cochonne, tu aimes tellement ça
Je fus soudainement surprise, levant les yeux vers son regard dominateur : jen avais la certitude, elle navait pas ouvert la bouche cette fois.
- Tu es sous mon emprise maintenant. Lâche toutes tes défenses, cest inutile. Tu vas me servrir, je vais tutiliser. Tu es ma petite chienne personnelle, à présent.
Cette fois cétait sûr, le message arrivait directement dans mon cerveau.
Je fus soudain prise dune ivresse nouvelle, un certain lâché prise, comprenant que je naurais aucun moyen de lutter face à cette sorcière. Elle possédait vraiment des pouvoirs magiques.
Je sentis un doigt passer sous mon entre-jambe, et compris que Niel sétait approché. Je remontais encore plus mon cul, pour me faire bien voir.
Je continuais à lécher avec ardeur ce vagin, et de la cyprine coulait tout le long de mon menton. Jétais en sueur quand je sentis que Niel glissa son doigt à lintérieur de mon vagin. Jétais prise entre deux étaux, dans un état second ; mon cerveau ne répondait plus, je nétais plus quune grosse boule de plaisir, et seul le fait davoir ma bouche entière autour du bourgeon de cette sorcière mempêchait de hurler de bonheur.
Ses gémissements me parvenaient au fur et à mesure, mon cerveau se remplissait progressivement de son bonheur, catalysant mon besoin de continuer à lécher ce vagin miraculeux. Ma sorcière restait impassible, mais je sentais sa tension sexuelle au fond de moi. Un lien puissant se tissait entre nous, et sans men rendre compte, jétais en train de commencer à lui appartenir, progressivement.
Mon sexe commençait à me brûler de plaisir également, Niel se débrouillait si bien pour trouver mes zones les plus sensibles que jétais sur le point dexploser dans un orgasme immense, sans pouvoir latteindre. Comme si une force magique mempêchait de jouir avant... La sorcière !
Comprenant ce quil se passait, je redoublais dardeur si cest possible, comprenant que ma délivrance naurait lieu quavec la sienne ! Bon dieu, cette sensation dêtre au bord de lorgasme en permanence, cette ivresse, cétait une sensation incroyable !
Et puis elle se mit à crier de bonheur, dans ma tête, et je fus remplie entièrement de son plaisir au moment où elle jouit. Un long, très long hurlement de jouissance vint bloquer toute autre pensée dans ma tête. Jétais possédée, complétement à sa merci, tandis quelle continuer à vibrer sous le plaisir en mexplosant les tympans de son explosion de de jouissance sexuelle.
Enfin, la pression retomba progressivement, et je sentais mon corps tremblant, ruisselant, sentant une odeur mélangeant ma sueur, sa cyprine et le sperme de Niel probablement dispersé sur mon dos et mes fesses sans que je men rende compte durant la bataille. Javais été maitrisée, souillée, utilisée, soumise, et javais adoré ça. Que cétait-il passé ?
Soudain un énorme poids vint peser sur mon dos, comme si on avait rajouté une charge lourde, ou comme si je portais un soutien-gorge en côte de maille.
Je relevais mon buste, toujours à genoux devant ma sorcière, pour me rendre compte que ma poitrine avait triplé de volume : elle était impressionnante. Je restais interloquée de un changement si soudain et inattendu. Je saisis à deux mains mes seins, pour vérifier quils étaient bien réels : jétais passé du statut « planche à pain » à « opulente poitrine ». Mon dieu. Cétait vraiment arrivé. Je tournais mon regard avec la sorcière, tétanisée : elle me lança ces mots, en reprenant sa voix profonde et mielleuse :
- Tu mappartiens à présent.
[à très bientôt pour la suite, un petit commentaire ça fait plaisir !]
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