Service Aux Refugies
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Ce matin, je me suis levé avec cette boule dangoisse au creux de lestomac. Elle me ma pas quitté de la nuit. Pourvu quil soit discret, et quil ne mette pas sa menace à exécution. Surtout, quil naille pas cafter à ma mère. Cest à cause delle que tout est arrivé. Et cette putain de vidéo ...
Je suis descendu prendre mon déjeuner, ma mère ma demandé comment ça s'était passé avec Sacha. Jai pris mon air le plus innocent pour lui dire que tout s'était bien passé, et que si javais tardé, cest parce quon avait discuté un peu. Elle ma félicité, ma dit que mes bonnes actions mouvriraient les portes du paradis
Si elle savait ... ce sera plutôt lenfer de la luxure.
Même à la fac, toute la journée, impossible de penser à autre chose. Pourquoi je m'étais laissé faire ? En plus, javais pris du plaisir, et maintenant il avait cette vidéo de moi en train de gueuler mon bonheur ! Cela ne doit pas se savoir, quelle honte, faire ça avec un homme.
Jai traîné à la bibliothèque de la fac, pas question de rentrer tôt, ou ma mère va encore memmener au Service aux Réfugiés. Notre commune a été choisie pour accueillir un groupe de réfugiés venu de lEst. Pour la plupart, ils logent dans un bâtiment municipal désaffecté. Sasha lui, a choisi de construire une cabane avec des matériaux de récupérations, dans une clairière, près du village. Ma mère, comme beaucoup de Dames de la Paroisse, et sous la direction de Monsieur lAbbé, va leur servir la soupe tous les soirs dans lancien gymnase.
Elle sest prise daffection pour ce grand type dégingandé, maigre à faire peur, mais qui a, selon elle, un regard si doux. Souvent, je vais laider à la cantine, éplucher les légumes, préparer les gamelles, et même servir les repas. Mais cette fois, elle mavait demandé daider Sacha pour ses papiers. Il parle à peu près le français, mais ne peut pas se dépatouiller avec ladministration.
Hier soir, après le repas, je lai raccompagné jusquà sa cabane. Il voulait me remercier. Il ma fait visiter, cest pas mal foutu, tout dun coup il me propose :
- Ça te dirait quon se branle tous les deux ? Dans mon pays, on fait ça entre amis, ça soude les liens.
- Euh
non merci Sacha. Mais ici on ne fait pas ça.
- Tu es sûr ? Regarde, tu vas aimer.
Il nattend pas ma réponse, il baisse son pantalon et écarte les jambes pour me la mettre bien en évidence. Elle pend, énorme comme un bras d, je suis rouge de honte, je ne sais plus où me mettre. Catholique pratiquant, je nai que peu dactivité sexuelle, juste une petite branlette, je préfère me préserver en attendant de trouver lâme sur
Je narrive pas à détourner mon regard de sa queue et je sens une excitation me gagner, je suis à létroit dans mon boxer. Il le voit, att mon poignet et tire ma main sur sa queue. Je ne résiste pas, il a une poigne phénoménale, je suis complètement troublé, cest la première fois que je touche une bite, cest torride.
Elle est épaisse, lourde, et elle palpite dans ma main. Sans lâcher ma main, il lui imprime un mouvement de va-et-vient, je me laisse faire car je sens quil y prend du plaisir. Il lâche ma main et commence à me déshabiller, je continue mon mouvement, mécaniquement, je nose pas arrêter, je ne sais pas pourquoi.
Jai un frisson quand il pose sa main sur ma queue. Il caresse ma bite qui sérige, palpe mes bourses, je copie mes mouvements sur les siens, incapable de penser, comme si jétais téléguidé.
- Tu me branles bien ! Ne t'arrête pas, cest bon !
Il pose ses mains sur mes épaules et me repousse. Je recule, mes mollets heurtent le lit. Il continue de pousser, je massois au bord du lit. Il approche sa queue de mon visage, mordonne de continuer. Sa voix a changé, son ton est devenu autoritaire, jai peur de lui déplaire.
- Ouvre la bouche, tu verras, tu vas aimer.
- Non pas ça, sil te plaît, Sacha.
- Juste tu goûtes, tu ne pourras plus ten passer, tu verras, ouvre ta bouche, mon poussin.
Je narrive pas à lui résister, je frotte le gland contre mes lèvres, jentrouvre mes lèvres pour lui lécher le gland, la grosse bite frémit dans ma main. Impatient, Sacha empoigne ma tignasse et pousse. Jouvre ma bouche et le gland sengouffre.
- Voilà, suce bien, petit, tu vas aimer ça, je te promets.
Ses hanches ont un mouvement de balancier, il cherche à pénétrer plus profond, jusque dans ma gorge, mais je peux pas, jai la nausée. Alors, il se calme, finit de se déshabiller, me repousse plus loin sur le lit et sallonge tout contre moi.
Ses mains caressantes explorent mon corps, jusquentre mes fesses. Je crains le pire, je serre les fesses, alors il me parle tout bas, dans sa langue, et je me calme. Il continue son exploration, un doigt dans mon rectum.
- Détends-toi, laisse-toi faire et continue de me branler.
- Pas dans mon cul Sacha. Pas ça. Sil te plaît, Sacha.
- Tinquiète pas, détends-toi, laisse-toi faire, tu vas aimer.
Nous sommes sur son lit, nus tous les deux, couchés sur le flanc, face à face, il menveloppe dans ses bras musclés, une main sous mon menton retient ma tête, sa langue explore ma bouche, son autre main, eh bien, son doigt sagite dans mon rectum. Il lance sa jambe sur moi pour me presser contre lui. Jai mes deux mains sur sa bite, lune le masturbe, lautre malaxe ses couilles.
Jagis dans un état second, en pensant que plus vite il aura fini, plus vite je serai débarrassé, et je pourrai rentrer chez moi. Son doigt est plus gênant que douloureux, je le sens pénétrer en moi une deuxième phalange, ma queue est dure comme de la pierre, je me frotte contre lui, il est velu de partout, un poil gris et rêche.
Je commence à gémir malgré sa langue qui remplit ma bouche, mes soupirs lexcitent et je le sens accélérer dans mon cul, il devient plus fougueux, il me baise le cul avec son doigt.
- Délicieux, ton petit cul joufflu, un vrai cul de fille.
Il reprend son souffle et rentre un 2° doigt, je gémis encore plus fort, ce qui a le don de lexciter, il accélère et me baise comme un malade, agite ses doigts à toute vitesse, je couine comme une fille, il nen a rien à foutre, il me mordille le cou, lépaule, me raconte des trucs dans sa langue, je découvre une personne complètement différente, un vrai pervers.
- Putain, tu mexcites trop, bébé, faut que je te baise là ...
- Non ! Cest déjà trop pour moi, sil te plaît ! On arrête maintenant ! Sil te plaît ?
- On narrête rien, bébé, regarde comment tu bandes ! Ten as envie autant que moi ! Tourne-toi de lautre côté, tu vas aimer. Fais-moi confiance, je vais te faire prendre ton pied.
Je nose pas résister, je me tourne en chien de fusil, les mains sur mes fesses que jécarte, je bande à mort sans comprendre ce qui marrive. Il fait glisser sa queue gigantesque entre mes fesses, il va me déchirer, ou mestropier, cest sûr. Il crache sur ses doigts, me mouille le trou, puis sa bite, et se présente devant mon sphincter.
Je sens son gland brûlant de désir pousser contre mon trou, il force un peu, mon sphincter résiste, il me grogne de bien mécarter, pour avoir moins mal, et pousse plus fort. Je gueule comme un malade, le gland passe lanneau rectal, il sarrête pour que je reprenne mon souffle.
Il m'écarte au maximum, cest beaucoup plus large que ses doigts, je souffre et je halète comme un jeune chiot. Jétais venu pour laider, pour le secourir, un pauvre malheureux, et je suis tombé sur un commando, un type qui a fait la guerre, qui a vu des horreurs, qui a survécu, et qui se fout de ma souffrance, pour lui cest que dalle.
- Tu es serré, mais cest passé.
- Fais doucement, tu me défonces !
- Tinquiètes, le meilleur est à venir !
Son attitude change complètement, il me choppe la cou et me tire en arrière contre lui. Il menlace, se colle contre moi, ses jambes et ses bras memprisonnent, et il commence ses va-et-vient, sa queue rentre plus profondément à chaque coup. Il me ramone le fondement en poussant des grognements sauvages, on dirait un animal, il se déchaîne, je suis pris dans une tempête, ses coups augmentent encore de puissance, mon cul est rempli, distendu, bourré, je couine comme une fille.
- Tu prends ton pied, salope ? Taimes comme je te baise ?
- Aaaah !
Il me claque le cul. Une putain de claque !
- Dis-le, salope.
- Oui
Oh, oui ! Baise-moi ! Baise-moi fort !
- Une petite salope comme toi. Il faut que jimmortalise ça.
Il prend son téléphone et commence à me filmer.
- Non, sil te plaît, pitié, ne me filme pas, sil te plaît...
- Ta gueule. C'est moi qui décide, chéri ! Tiens, prends ça !
Il accélère encore, comme un dément, je bave dans mon vertige, je couine, les chairs claques, mon cul est détruit par la puissance de ses coups. Il cale son téléphone sur le côté pour continuer à filmer, me paralyse entre ses bras costauds et me pilonne le trou, Je jouis pour la première fois, ma queue crache du foutre, jexulte et je crie mon bonheur.
Il ressort sa queue, me chevauche, me coince entre ses cuisses musclées, se branle sur moi, et jouis. Une quantité impressionnante de sperme jaillit sur moi, principalement sur mon visage, mon cou et le haut de mon torse. Il me recouvre de foutre chaud et visqueux. Il y en a énormément, ça devait faire longtemps quil navait pas joui pour en produire autant. Jen ai partout, dans les yeux, dans le nez, dans la bouche. Jouvre la bouche pour respirer, il en profite pour faire entrer sa queue.
- Tiens, suce-moi, petite pute, tu mas bien fais jouir !
Je le laisse se finir sur moi, je suis épuisé, vidé, brisé. Il sallonge contre moi pour reprendre son souffle, menlace et me caresse tendrement.
- Ça faisait un bail que javais pas baisé, tas pris ton pied, hein ?
- Non, enfin je ne sais pas ...
- Comment ça, tu sais pas ? Tas gueulé comme une salope en chaleur. Vas-y, casse-toi maintenant, je tappellerai.
- Mappeler ? Pourquoi ?
- Quand jaurais envie de te baiser ! Ton cul mappartient, maintenant.
Je flippe grave. Je file direct, la nuit est tombée, je me faufile, discret, la douche, jempeste le foutre, et je me couche, épuisé. Impossible de trouver le sommeil. Je suis crevé, mais les images de la soirée, comme un mauvais film, défilent dans ma tête.
Les cours à la fac finissent à 17H, mais je traîne à la bibliothèque avant de rentrer chez moi, et je menferme dans ma chambre pour ne pas être dérangé. Depuis plusieurs jours jévite tout contact avec ma mère, de peur quelle ne me traîne au Service aux Réfugiés. Pourtant, elle me parle de Sacha tous les jours.
- Il a demandé de tes nouvelles, il sinquiète pour toi, il si gentil, si serviable, ça lui ferait plaisir si tu passais le voir. Il est si seul, tu es son seul ami.
Le pire, ce que je craignais est arrivé, mon téléphone sonne, cest le numéro de Sacha qui saffiche, jai un bloc de glace qui grossit dans mon ventre quand je décroche :
- Comment va mon petit chéri depuis lautre soir ? Je dois te remercier, tu mas fais passer une excellente soirée.
- Je vais bien. Mieux. Sil te plaît, sois discret, ne dis rien, à personne, et arrête de baratiner ma mère. Je ten supplie, pitié, cest trop la honte !
- Ne tinquiète pas, mon chéri, cest notre petit secret à tous les deux.
Je pousse un soupir de soulagement, mais il reprend.
- Et ça restera notre petit secret
si tu viens me faire une petite visite ...
- Euh non, pas possible, jai trop de boulot et je suis crevé, une autre fois, merci.
- Viens me voir maintenant, mon chéri, jai envie de te
voir !
- Non merci, pas ce soir, cest bon.
- Viens tout de suite, sans discuter, ferme ta gueule et rapplique (le ton a brusquement changé)
- Mais pourquoi ?
- Parce que je tordonne de venir, sinon je peux montrer une vidéo à ta mère
ou à Monsieur lAbbé ...
- OK ! Jarrive !
Je suis en panique, je me demande quel plan a germé dans sa tête de malade, cest sûr quil a une idée derrière la tête, mais cette fois pas question de me laisser faire. Je préviens ma mère que Sacha a besoin de moi, elle me répond quil est si gentil, et reconnaissant, pour tout ce que je fais pour lui. La pauvre, si elle savait.
Jarrive devant la cabane de Sacha, il est avec un copain à lui, Marcus, un réfugié que je connais aussi. On se salue, je suis un peu rassuré, je me dis que tant quil y a du monde, il ne pourra rien tenter. Mais Sacha me saisit par la taille, menlace, et membrasse à pleine bouche. Un baiser long, profond, dominateur, il me renverse la tête en arrière, pour bien montrer ma docilité.
- Tu vois, Marcus, cest comme je tai dit, il est très soumis !
Il mentraîne à lintérieur, massoit sur le lit, je suis en panique, quest-ce quil ma préparé ? Marcus nous a suivi, il ne dit rien et me regarde en souriant.
Sacha me caresse doucement la tête, lair pensif, sa main descend lentement, caresse ma joue tendrement, son pouce caresse mes lèvres, insiste un peu.
- Ouvre !
- Hein ? Quoi ? Mais pourquoi ? Ça ne va pas la tête ou quoi ?
Bing, la gifle a claqué, sonore.
- Écoute moi, petite merde, tu fais ce que je te dis, sinon je mets mes menaces à exécution !
Je deviens blanc, jai un iceberg dans le ventre, et je me mets à flipper total.
- Pitié, sil te plaît, pas ça, laisse-moi partir, sil te plaît !
- Ne tinquiète pas, tu repartiras tranquillement, tout à lheure, quand on en aura fini avec toi !
Vu le ton quil prend, je ne résiste pas et fais ce quil dit. Jouvre la bouche et je tire la langue en direction de Marcus, pour lui montrer que sa bite rentrera là-dedans sans problème. Marcus est dubitatif.
- Ouais, bof, et son cul ?
- Ouais, tu as raison, regarde.
Là, il me fait lever, les deux mains en appui contre la cloison, me baisse le pantalon dun coup avec le boxer, je me retrouve le cul à lair devant eux, je suis en panique, humilié, jai les larmes aux yeux, je suis apeuré et je ne bouge pas.
Il me prend les fesses et commence à les malaxer, les serrant puis les écartant, il joue avec pendant un moment et puis moblige à me pencher plus, à me cambrer, en écartant mes fesses au maximum, jai lanus bien en évidence, il le montre à Marcus en insistant sur le fait que je suis à la fois serré et souple, une vraie chatte de gamine, et il termine en me claquant joyeusement les fesses.
- Tas vu son trou, on est bien serré là-dedans, une vraie petite chatte de gamine, fais-moi confiance, tu seras très bien là-dedans, dailleurs tas bien vu sur la vidéo ...
Le salaud ! Jen étais sûr, il a montré la vidéo à ses potes, jaurais dû le prévoir. Je tourne la tête pour voir Marcus sapprocher de moi.
- Ouais, ça à lair pas mal, je vais voir ça, vas-y, écarte-là au max, ta pute.
Sacha écarte mes fesses au maximum, mon trou est bien exposé là, il palpite un peu, jai honte comme jamais, Marcus se penche, il se racle la gorge, et crache sur mon trou.
- Je vais voir comment elle prend la bite, ta pute.
- Je ne suis pas une pute, rétorquais-je.
- Ouais, cest ça, et les 50 euros que jai payé pour te baiser, cest quoi ?
Putain, mais quel salaud ! 50 euros, ce bâtard ma vendu !
Sacha me maintient et m'écarte les fesses. Marcus me mets un doigt. Il se fraye un chemin dans mes chairs, il a des doigts hyper longs, il prend son temps, je respire fort, je nai pas vraiment mal, plutôt une gêne, Sacha lencourage.
- Vas-y mon pote, tu peux y aller plus fort, il est là pour ça.
- Allez, daccord, cest parti, dit Marcus.
Il retire son doigt et men rentre deux dun coup, puis il me ramone fort. Je gueule, ce salaud me martyrise, sans pitié, il se défoule sur mon cul. Tous les deux, ils rigolent, plaisantent, Sacha lencourage, il me claque le cul pendant que Marcus me pistonne.
Je me plains, je les supplie, ça les excite encore plus, ils sont sans pitié, et ma queue se dresse toute seule. Sacha le voit et lui dit :
- Regarde il bande ! Je te lavais dit, il adore ça,
- Putain quelle salope ce gamin, une vraie pute, renchérit Marcus.
- Vas-y continue, je vais filmer ça.
Sacha me lâche, prend son téléphone et commence à filmer. Je voudrais me retenir, ne pas leur montrer leffet que ça me fait, mais je craque et je commence à gémir, cest plus fort que moi. Marcus se déchaîne sur mon trou.
- Quelle salope, je ne sais pas où tu las dégoté ce mioche, mais tu as touché le gros lot, cette fois.
- Et encore, lui cest rien, tu verrais sa mère !
Il retire ses doigts dun coup sec en marrachant un cri, il me retourne et me fous à genoux direct, baisse son pantalon et me met devant la bouche sa queue tendue, longue et fine, avec les couilles pendantes. Il agite sa queue me la frotte sur la bouche. Jessaie de serrer mes lèvres et de tourner la tête, mais la voix grondante de Sacha me ramène à la raison.
- Un conseil, ouvre ta gueule et suce comme une salope, sinon tu vas morfler !
Je nai pas vraiment le choix et sa queue sengouffre dans ma bouche, enfin la moitié pour commencer, elle est beaucoup trop longue. Je passe ma langue dessous pour la lubrifier. Marcus tient ma tête et commence à me forcer à le sucer. Sacha, qui nen perd pas une miette, en rigole. Marcus pousse de plus en plus fort, je sens sa queue rentrer dans ma gorge, je tousse, bave et ça lexcite encore plus.
- Ce petit pédé suce mieux que les filles, ny a pas à dire. Une vraie pompe suceuse.
- Je tai dit que tu en aurais pour ton argent, et encore tas pas vu son cul.
- Ouais, fais voir ça maintenant.
Il retire sa bite de ma bouche, je suffoque, je tousse et je crache, au bord de l. Eux se marrent et se foutent de ma gueule. Je pleurniche, je les supplie d'arrêter, ils rigolent encore plus, me disent de la fermer et de me mettre en position, penché en avant, mes mains sur le lit. Je regarde Sacha en le suppliant du regard, il se contente de me filmer avec son téléphone, et mordonne dobéir.
Je pose mes mains sur le lit, jambes écartées, dans la position de soumission exigée. Mes jambes tremblent de peur et de rage mêlées, je baisse la tête, honteux. Sacha qui a fait le tour du lit me glisse à loreille de supplier Marcus de me baiser pour faire une bonne vidéo. Il me précise que jai intérêt à être coopératif, si je veux que tout cela reste secret.
Derrière moi, Marcus qui me tâte les fesses me demande :
- Mon petit Kevin, à 19 ans, on rêve de se prendre une grosse bite dans le cul ! Tu veux que je te baise ?
Je comprends quil fait ça pour la vidéo, et je rentre dans son jeu comme la exigé Sacha.
- Oh, oui, monsieur Marcus, mettez-moi votre grosse bite dans mon petit cul.
- Tu veux que je te défonce le cul, cest bien ça ?
- Oui, oui, défoncez-moi le cul avec votre grosse bite.
Il crache sur ma rosette plissée, puis sur son gland, se présente dans laxe et pousse fermement. Son gland entre difficilement, il progresse lentement, je respire fort, sa queue est plus fine que celle de Sacha, mais plus longue, beaucoup plus longue.
Je serre les dents, je me sens rempli, mon conduit anal écartelé me brûle, mes yeux semplissent de larme, douleur et honte mélangés. Marcus respire fort en grognant. Il aime infliger la souffrance ce salaud, il ne s'arrête pas, il va de plus en plus loin. Je me cale pour mieux encaisser, mes genoux contre le lit, mes mains le plus loin possible sur le matelas.
Ma queue est raide et fiévreuse, des pulsions malsaines menvahissent, le désir dêtre traité comme une merde, mais je ne dois pas gémir, sinon il va me défoncer.
Puis je sens son ventre collé contre mon cul, il a tout rentré, je ne comprends pas comment, une bite aussi longue dans mon cul presque vierge. Il commence à me baiser, sortant sa queue presque entièrement, et me la remet dun coup, le plus brutalement possible. Je ne peux pas me retenir, jai trop mal, je gueule à chaque coup de bite. Marcus prend son pied en me faisant souffrir et en minsultant copieusement:
- Putain, elle est bonne cette salope ! Cest la première fois quune tarlouze aussi jeune prend ma bite en entier dans son cul ! Elle va te rapporter gros, cette petite pute, Sacha ! 19 ans, cest lâge idéal pour faire le tapin !
- Ouais, jai eu du bol sur ce coup-là, il a la peau encore imberbe, une peau de fille.
Marcus se déchaîne, il accélère comme un taré, il me brutalise le cul, les chairs claquent, je hurle. Jaurais voulu me retenir, rester stoïque, ne pas lui donner ce plaisir, mais ça fait trop mal ! Je pleure, je supplie, mais je ne peux pas méchapper. Il me bloque les jambes avec les siennes, et ses doigts senfoncent dans la chair de mes hanches.
Sacha est ravi, il se penche pour me filmer sous le bon angle, ma gueule déformée par la souffrance, mes yeux pleins de larmes, Marcus qui me défonce, et ma bite qui crache un petit jet de sperme. Violé, défoncé, maltraité, humilié, mais je jouis quand même
Sacha est sidéré :
- Quelle pute !
Ce psychopathe de Marcus matt les mains, me les bloque dans le dos, je pique du nez dans le matelas. Il monte sur le lit, ses pieds de chaque côté de mes genoux, il me chevauche. Il maintient mes mains dune seule main, et il me claque le cul de toutes ses forces, pendant quil me défonce lanus avec sa bite. Il mouvre en deux, mais le matelas étouffe mes cris. Sacha matt par la tignasse, et me tourne la tête de côté, pour quon mentende gueuler.
- Pitié jen peux plus.
- Ta gueule, petit pédé, jai payé, tu mappartiens, Ton mac ma demandé de te dépuceler !
Son rythme se désunit, ses coups de bite sespacent, je sens une chaleur menvahir, sa bite bite palpite en moi. Je comprends quil est en train de jouir dans mon cul. Il reste un moment dans mon cul puis, quand sa bite se dégonfle, il se retire dun coup, et ça me donne un dernier frisson.
- J'espère que ta pute ne va pas tomber enceinte avec la dose que je lui ai mis. Viens voir.
- Oh putain, tu las bien rempli, là.
Il filme mon trou du cul en gros plan, je sens le foutre qui séchappe, qui coule sur mes bourses, qui dégouline sur mes cuisses, il y en a énormément.
- Petit pédé, on dit merci au monsieur qui tas bien baisé.
- Merci.
- Merci qui, sale pédé ?
- Merci monsieur.
- Et merci de quoi, sale pédé ?
- Merci de mavoir bien baisé, et bien rempli le cul, monsieur Marcus.
- Il faut tout leur apprendre, à ces petits pédés. Aucune éducation !
Tête basse, je mhabille sans un mot, et je file chez moi avec le cul et les cuisses qui collent. Je me faufile dans la salle de bain, je me masturbe sous la douche, je jouis plusieurs fois, je gicle de partout, ça me coupe les jambes, je vais me coucher direct, sans souhaiter une bonne nuit à ma mère.
Ma mère vient membrasser dans mon lit, me demande si jai passé une bonne soirée, et me refait encore une fois léloge de Sacha. Quand elle sen va, jéteins la lumière, et je passe et repasse mille fois dans ma tête le film de ma soirée. Je me demande pourquoi je ne peux pas leur résister, pourquoi je suis si docile et si excité par ces brutes, et quest-ce que je peux faire pour que cela cesse.
Le pire, quand je pense à tout ça, cest que mon cul palpite encore, et que ma bite se dresse, comme si jen voulais encore. Je serre les fesses, mais cest encore pire.
Quelques jours passent, nayant pas de solution pour échapper à Sacha, je décide daller à l'église pour trouver un peu de réconfort, et de laide pour m'éclaircir les idées. Je vais à la sacristie, rencontrer lAbbé en privé, je le connais depuis toujours, et il connaît toute ma famille. Il maccueille comme dhabitude avec son air débonnaire.
Je lui dit que je viens lui parler pour lui demander de laide et un conseil. Il me propose daller dans son bureau, dans ses appartements privés, ce qui me paraît bien, vu les circonstances. Il me fait asseoir dans un fauteuil profond, et sinstalle juste devant moi, une fesse sur le bureau. Il se penche sur moi, souriant :
- Je técoute, mon fils.
- Mon père, jai fait une grosse bêtise, et jai besoin daide.
- Quas-tu fait mon fils ?
- Jai eu des rapports sexuels avec une personne.
- Bon, ce n'est pas un grand péché, mon fils. À 19 ans, cest normal. Bon, cest en dehors des liens sacrés du mariage, mais cest lépoque qui veut ça.
- Cétait avec un homme, mon père.
Il reste muet quelques secondes, et reprend :
- Bon, comme je le disais, cest lépoque. Ce sont des choses qui arrivent, mon fils. Cest la nature.
- Oui, mais là c'était avec un homme plus âgé, beaucoup plus âgé, de lâge de mon père, peut-être plus...
Encore un silence, lAbbé respire fort. Il reprend :
- Raconte-moi en détail ce qui sest passé.
Je lui raconte tout dans les moindres détails, dans la cabane de Sacha, combien de fois, comment. Il mécoute sans minterrompre, les yeux plissés, attentif. Je trouve curieux quil respire aussi fort, mais il reprend :
- Tu parles bien de Sacha, le réfugié que tu aides, et que tu sers régulièrement ?
- Oui mon père.
- Tu as été contraint ?
- Je ne sais pas mon père, je suis perdu.
- Mais tu as aimé ce quil tas fait subir ?
- Hein ? Non, pas du tout ! Enfin non, je ne pense pas ! Non, en fait, NON !
- Ce n'est pas ce que ma raconté Sacha, ni la vidéo quil ma montré !
Jai le souffle coupé, je suis sonné, il a tout raconté au curé, et il lui a montré la vidéo, putain !
- Tu es daccord avec ça, mon fils ?
- Euh, oui
Mais comment
Il vous a raconté? Et montré ?
- Oui, mon grand, il ma tout raconté, et tout montré ! Il a même ajouté que je pouvais faire ce que je voulais de toi.
- Je vous en supplie, mon père, aidez-moi, je ne sais pas quoi faire.
- Hélas, mon fils, je ne suis quun homme, avec ses faiblesses.
- Je ne comprends pas, mon père.
- Tu vas bientôt comprendre, ne tinquiète pas.
Il ouvre sa soutane, il est nu dessous, et il me présente son sexe en érection. La mine sévère, il me dit :
- Les petites putes damnées comme toi, on ne les aide pas, on les corrige.
- Mais, mon père ...
- Te faire baiser par un vieux réfugié de lâge de ton père, et couiner comme une salope quand il tencule ! Et tu te prétends innocent ! Ton châtiment sera de me sucer !
- Pitié, mon père, pas vous ...
La claque a failli massommer.
- Obéis, petite pute !
Je suis encore sous le coup de sa gifle et m'exécute. Je me penche en avant et je le prends en bouche. Sa bite sérige lentement dans ma bouche. Cest humiliant, mais le goût est agréable. Je prends plaisir à le sucer, je bave et je le suce bruyamment pour lui montrer mon contentement.
- Sacha ma vanté ton petit cul de gonzesse, ça ma fait envie, je vais y goûter. Monte sur le bureau.
Jenlève mon pantalon et mon boxer, je massois sur le bureau en bois, lAbbé me pousse sur le dos, je me retrouve les pattes en lair, la bite à moitié bandée, et le trou du cul qui palpite. Il admire le spectacle.
- Ton petit cul me fait envie, je vais me régaler, ça fait un moment que je nai pas goûté une jeunesse comme toi !
Il sassoit à ma place, m'écarte les fesses et commence à me lécher le cul comme un chien affamé. Sa langue mouvre, maguiche, me fait bander. La sensation est sublime, jaccroche mes mains au bureau. Il secoue la tête, il est comme possédé, il écarte mon cul avec ses doigts et me sodomise avec sa langue. Je gémis comme une femelle, ma queue est dure comme une barre dacier, cest plus fort que moi, je le supplie de me baiser.
- Cest un délice ton petit cul de fille, je comprends que Sacha nait pas pu résister, et tu bandes en plus, salope.
Il relève mes bourses, et les presse avec ma queue dans sa main. Avec son autre main, il me fourre deux doigts dans le cul et commence ses va et vient. Je deviens dingue, je devrais me rebeller mais je ne peux pas, je laisse ce pervers jouer avec mon corps.
- Tu sais Kevin, jai souvent pensé que tu étais une petite chienne comme ta mère. Cette bourgeoise hautaine, toujours à agiter ses gros nichons dans ses décolletés, je suis sûr que cest une petite salope, comme toi.
- Non, pas ma mère, cest une sainte !
- Jai toujours voulu la baiser, cette truie, je vais te baiser en pensant à elle.
Là, il se dresse, présente sa bite devant mon trou, et pousse dun coup. Je hurle ma détresse. Jétais venu chercher du réconfort, de laide, un conseil, une épaule amie pour soulager ma peine. Je me retrouve couché sur le bureau, les pattes écartées, sodomisé par un vieux pervers qui profite de ma faiblesse.
Il a posé mes mollets sur ses épaules, il me tient par les cuisses et commence à me défoncer le cul sans pitié. Javais la rosette lubrifiée par sa langue, heureusement, mais le conduit anal me brûle et je couine dune manière féminine.
Ça l'excite encore plus, je vois son visage devenir très rouge, son regard cruel me fixe avec mépris. Ses coups de reins sont puissants, les chairs claquent, il secoue le bureau à chaque poussée. Je gueule comme un possédé, ma queue est dure comme de la pierre, je suis conquis par sa virilité possessive. Je voudrais rester discret, ne pas montrer mon plaisir, mais je prends mon pied quand je suis traité comme une salope, ma queue dressée et mes cris de volupté me trahissent.
- Taime ça, hein, salope ? Tu couines comme une femelle en chaleur ! Comme ta mère, jen suis sûr, elle doit gueuler comme toi quand elle se fait baiser ! Jadorerai la baiser sur ce bureau, lenculer et la faire hurler.
- Non. Pas ma mère !
- Si. Pareil. Deux salopes, deux chiennes en chaleur.
- Je vous interdis de dire du mal de ma mère.
- Tu minterdis ? Alors que tu gémis de plaisir et tortillant ton cul sur mon bureau, salope !
Il s'énerve, sort sa queue dun coup, je frémis. Je me calme, je reprends mon souffle, pendant ce temps il fait le tour du bureau, att ma tête à lenvers, la penche en arrière, et enfile sa queue dans ma bouche. Il force et me la rentre jusque dans la gorge. Il me maintient de toutes ses forces et baise ma bouche comme si c'était mon cul.
Il s amuse à me faire suffoquer. Jai de la bave qui coule sur mon visage, je couine chaque fois que je respire. Il nen a rien à foutre de ma souffrance. Il prend son pied en me voyant gesticuler. Impossible de résister, je ne peux pas me dégager. Il ralentit un peu pour que je respire, puis reprend sa baise buccale en minsultant.
- Petite salope, ta gorge est un vrai bonheur, tout comme ta mère ! Je te baise la gueule et tu bandes, petite fiotte. Tu vas jouir bientôt, petite chienne, allez, crache ton jus ! Voilà, comme ça ...
Jai un orgasme foudroyant, mon foutre jailli sur mon torse. Tout mon corps tremble de plaisir. Je ne sais pas si cest la position de soumission, ses insultes, sur ma mère, sur moi, mais jai joui comme un malade.
Puis lAbbé se retire de ma bouche. Jouvre grand la bouche pour respirer et immédiatement, je reçois une énorme giclée dans ma bouche et sur le visage. Ce pervers arrose mon visage de son foutre qui forme un masque gluant. Jen ai de partout. Dans la bouche, dans les narines, dans les yeux, je suffoque mais il me maintient toujours avec une joie sadique. Il grogne comme un malade, jai limpression que ça ne va jamais s'arrêter.
Au bout dun moment, il me gifle avec sa bite, je tente de reprendre mes esprits, je suis encore sous le choc. Une fois calmé, il se reprend et me parle, comme pour sexcuser.
- Ça faisait tellement longtemps que je navais pas baisé, quand jai vu la petite salope que tu es, et en pensant à ta mère avec ses gros nichons, comme elle me fait bander chaque fois quelle vient se confesser, jai perdu la tête. Mais tu me comprends et tu me pardonnes, nest-ce pas ?
- Vous êtes un vrai pervers.
- Pas autant que toi mon chéri, regarde-toi, tu as gémi comme une femelle, et joui comme une petite fiotte.
- Non, ce nest pas vrai. Vous mavez violé. Cest un crime !
- Mais oui, bien sûr
Allez, rentre chez toi. Va raconter à ta maman ce que je tai fait subir. Et dis-lui bien que jen ai autant à son service. Si elle veut se faire baiser, je suis son homme !
Je suis furieux, vexé, humilié, mais pas en situation de force. Je messuie le visage comme je peux, jai le visage dégueulasse, gluant de salive et de foutre mélangés. Je me rhabille en vitesse et fonce chez moi, prendre une douche. Je croise ma mère en sortant de la salle de bain. En la voyant, je ne peux m'empêcher de repenser à ce que ma dit lAbbé, et jai le cul qui se remet à palpiter.
Le reste de la semaine se passe, sans nouvelles de Sacha ni de lAbbé. Je ne suis pas mécontent quils me laissent tranquille, mon cul et ma bouche ont assez souffert comme ça.
Ce soir je dois aller à la cantine pour servir les réfugiés. Jai bien essayé de refuser mais ma mère a insisté. Jai peur de croiser Sacha, mais je ne peux pas l'esquiver indéfiniment. Je décide de prendre mon courage à deux mains et de laffronter. Jaccompagne ma mère en lui tenant le bras.
Depuis que ces salauds mont mis cette idée en tête, je narrête pas de penser à ses grosses loches qui se balancent quand elle marche, et jai mon cul qui palpite et ma bite qui se dresse. Je dois me calmer pour rencontrer Sacha et ne pas être en état de faiblesse.
Nous saluons les autres bénévoles et nous commençons à servir les repas. Quand je vois Sacha apparaître dans la queue, je panique, jai une boule au creux de lestomac et mes mains tremblent. En même temps, bizarrement, ma rosette palpite et mon kiki frétille, comme sils étaient impatients de le revoir.
Il me voit de loin et me sourit dun air chagrin. Jessaie de rester calme mais je suis intrigué. Il est passé où, le pervers qui ma tant fait souffrir. Pourquoi cette attitude poignante, joue-t-il la comédie ? Il arrive dans les derniers et nous salue.
- Salut Kevin, bonjour madame, ça me fait plaisir de vous voir ici tous les deux.
Ma mère le salue : - Bonsoir Sacha ! Tout va bien ? Vous avez lair contrarié.
Là, il prend un air encore plus malheureux. Toute la détresse du monde.
- Hélas madame, une grosse branche est tombée sur ma cabane, et elle a détruit une partie du toit, rendant mon logement inhabitable.
- Oh ! Malheur ! Mon pauvre ! Comment faites-vous alors avec ce froid ?
- Eh bien, madame, jai tendu une toile qui me protège du vent et du givre, mais le froid a réveillé de vieilles douleurs dans mon dos.
- Mais vous ne pouvez pas réparer votre cabane, Sacha ?
- Je dois trouver quelques matériaux de récupération, des planches ou des tôles feraient laffaire. Mais dabord je dois dégager cette grosse branche. Elle est trop lourde, alors je la coupe morceaux par morceaux.
Il continue ses plaintes, et connaissant le personnage, je me demande ce quil manigance.
- Si seulement pendant quelques nuits je pouvais avoir un endroit chaud et sec pour dormir.
Je vois ma mère avec les yeux humides, et je comprends ce que cet enfoiré essaie de faire.
- Écoutez, si cest seulement pour quelques jours, venez dormir chez nous ! Nous avons de la place.
Jai le cur qui rate un battement, jai envie de vomir, ma mère ne va pas faire rentrer ce mec chez nous !
- Vous êtes trop bonne, madame, vous avez votre place au paradis, cest sûr !
- Cest normal, mon ami, vous avez déjà tellement souffert !
Je suis en plein cauchemar, je ne trouve pas de mots ! Ma mère appelle mon père pour le prévenir, pendant que Sacha me dévisage avec son regard vicieux en se pourléchant les narines. De loin, on pourrait croire quil sextasie devant le repas servi, mais pour moi, pas déquivoque, dailleurs il me montre clairement ses intentions en se touchant la bite.
- Ta mère est vraiment une femme BONNE. Je la remercierai à ma façon, elle le mérite, non ? Tes daccord ?
- Arrêtez ça tout de suite, vous êtes un monstre, cest horrible.
- Tinquiètes, petite pute, je sais que je vais me la faire, et elle va adorer ! Comme toi !
Ma mère revient, et dit que cest OK avec mon père. Nous aidons les autres bénévoles à ranger, et nous ramenons Sacha à la maison. Il donne le bras à ma mère, il lui parle, lui dit des bêtises, il la fait rire, elle semble subjuguée par ce type qui la drague ouvertement. Moi, je marche deux pas derrière, la tête basse. Je me demande comment je vais me sortir de son emprise sous mon toit.
À la maison, mon père a déjà déposé un matelas dans ma chambre, parce quon est "copains". Je nose pas protester, mais je pense que la nuit va être longue. Pendant le dîner, Sacha est un convive agréable, et il fait rire mes parents. Ma mère semble sous son charme. Mon père boit un peu trop.
Progressivement, Sacha pose ses jalons. Il jette de fréquents coups dil dans le décolleté de ma mère qui ne soffusque pas, il me semble même quelle a défait un bouton de plus. Mon père a le regard brumeux, Sacha le ressert dès que son verre est vide. Le repas se termine, Sacha aide ma mère à débarrasser la table, pendant que jaide mon père à regagner sa chambre.
Lorsque je reviens, après avoir aidé mon père à se coucher, ma mère et Sacha sont côte-à-côte à la cuisine, en train de faire la vaisselle. Ils rigolent, ils plaisantent, ils chahutent même. Ma mère doit être un peu pompette, je ne lai jamais vue comme ça. À un moment, il se penche hardiment sur son décolleté en lui déclarant quelle est une très belle femme.
Elle rit, dun rire de gorge, un rire énervé, mais elle ne paraît pas particulièrement gênée, elle semble un peu flattée, peut-être un peu rougissante. Cest à ce moment que je remarque que deux boutons de plus sont défaits dans son décolleté. Dailleurs, lorsquelle se penche sur lévier, elle se débrouille pour faire saillir encore plus ses gros nichons.
Lorsquelle a fini, elle me demande de montrer la salle de bain à Sacha, et va dans sa chambre rejoindre mon père. Nous avons deux salles de bains. Une dans la chambre parentale, et une salle deau à côté de ma chambre. Je le guide et lui ouvre la porte, mais il me pousse à lintérieur, rentre et referme la porte à clé. Il a retrouvé son regard pervers et dominateur :
- À ton avis, je baise qui ce soir ? La mère ou le fils ?
- Arrêtez ! C'est horrible ce que vous dites.
- Je suis sûr que cest une salope qui aime la bite, est-ce quelle a de la lingerie sexy ?
- Jen sais rien.
- Eh bien moi je veux savoir, va fouiller dans le linge sale et ramène-moi ses culottes.
Je suis en panique, je le supplie d'arrêter. Il sen fout et me balance une gifle. Je cède et je vais lui chercher ce quil réclame. Je lui ramène trois culottes, pas très sexy. Dans la bassine, il y avait aussi un string, mais jai jugé trop impudique de lui ramener. Il les porte à son nez. Les trois ensembles, puis séparément. Il hume longuement, comme un chien de chasse. Il en choisit une, et me la tend :
- Tiens, celle-là. Sent-moi ça. Elle a eut ses chaleurs, là. Elle a bien mouillé sa culotte, cette fois-là. Ça sent la chienne, elle doit bien mouiller quand on la baise.
- Vous êtes horrible.
- Cest une salope, ta mère, comme toi. Vas-y, rapporte ces deux-là, jen ai pas besoin.
- Vous êtes un monstre.
- Ta gueule, fais ce que je te dis, sinon demain ta mère aura une nouvelle vidéo à montrer pour les repas en famille.
Cet enfoiré continue son chantage jusquau bout. Encore une fois, jobéis. Lorsque je reviens, il mexamine de la tête aux pieds :
- À poil !
- Quoi ? Pourquoi ?
- On va prendre la douche ensemble !
On se déshabille et il me pousse sous la douche. Il se colle contre moi et frotte son paquet contre mes fesses. Sa queue est déjà dressée. Il samuse à la glisser entre mes cuisses, contre mes bourses, puis dans ma raie culière.
- Je tai manqué, chéri ?
Sacha commence à bien s'exciter, il me plaque au mur et me pelote le cul. Il est de plus en plus chaud et dur.
- Petite pute, tu mexcites avec son petite cul de femelle. Regarde comme tu bandes. Taimes te faire baiser, salope !
Je ne peux pas répondre, sa bite contre mon trou me rend totalement fou. Il caresse ma rosette palpitante avec son gland, sans jamais essayer de rentrer. Il me mordille lépaule, membrasse dans le cou, me palpe les bourses, je geins et je me cambre, moffrant à sa convoitise.
Il ouvre le robinet de la douche et commence à me savonner, en insistant sur mes parties génitales et sur mon cul. De temps en temps, il sinterrompt pour membrasser à pleine bouche. Il joue avec mon corps, samuse à me pénétrer avec ses doigts savonneux, pendant que je caresse sa verge tendue.
Obéissant à ses exigences, je me penche pour le sucer pendant quil élargit mon orifice avec ses doigts. Cet enfoiré minsulte et se moque de moi mais jexécute ma tâche à la perfection. Jintroduis sa queue profondément dans ma bouche, je le suce, je le pompe, le goût viril et âcre de sa queue ne me dérange plus. Il pousse des soupirs, il aime, et ses doigts sacharnent dans mon cul.
Il me relève, me plaque face contre le mur, mes mains sur le mur, au-dessus de ma tête. Il écarte mes fesses avec ses énormes mains, et me fourre sa bite dans le cul. Il le fait avec des mouvements impétueux qui trahissent sa fièvre. Il me baise ardemment, ses coups me soulèvent presque du sol, je suis en extase, jai les bourses qui vont exploser, tellement je prends mon pied. Il me baise le cul avec tant dardeur et de fougue que ma bite crépite des petits jets de sperme. Ce pervers sait y faire. Il me bâillonne avec sa main pour que je ne gueule pas trop fort.
- Tu aimes comme je te baise, salope ? Tes une pute, comme ta mère, et je vais bien la niquer celle-là aussi !
Je gémis, sa queue mécartèle le cul, il me bourre violemment. Sa bite magnifique mouvre en deux, et au lieu davoir mal, je prends mon pied, elle irradie une chaleur bienfaisante à travers tout mon corps. Il me baise de toutes ses forces, les chairs claquent, je veux jouir et jessaie de me branler, mais il me bloque les mains en lair.
- Tu es à moi, tu es mon jouet, cest moi qui dis quand tu peux jouir, salope.
- Jen peux plus, pitié, je souffre trop, laissez-moi.
Là, il se retire, me retourne, et me fout à genoux en mordonnant de le branler. Je lui branle la queue quelques secondes à peine, et je reçois ses énormes giclées sur le visage. Cest gluant, épais, jai limpression que ça ne va jamais s'arrêter, jen ai partout, dans la bouche, sur les yeux. Il me fait un masque au jus de couille.
- Voilà, ma petite chienne, tu mas bien fait jouir. Nettoie ma queue avec ta langue, et après tu pourras te branler.
Je reprends sa queue en bouche, je le suce, mais je nai pas le temps de me branler, je jouis instantanément, des jets hyper puissants, sans me toucher. Ensuite, on se lave mutuellement, puis on va se coucher. De retour dans ma chambre, il refuse que jenfile mon pyjama, et me tends la culotte odorante de ma mère.
- Tiens, mets-ça pour dormir, tu sentiras bon.
Il rigole en disant ça, et sallonge avec moi dans mon lit, négligeant le matelas jeté au sol. Aussitôt, il menserre entre ses bras et ses jambes. Cest captivant, je suis asservi entre ses membres puissants. Il est insatiable. Il me caresse et membrasse langoureusement, à pleine bouche. Je suis docile et je le laisse me faire tout ce quil veut. Je me méprise.
Le lendemain matin, nous descendons prendre notre petit-déjeuner. Ma mère est horrifiée en voyant Sacha vêtu avec ses affaires sales de la veille.
- Venez avec moi, je vais vous prêter des affaires de mon mari pour laver votre linge.
Sacha la suit, docile. Ils réapparaissent un long moment après, Sacha na quune vieille sortie de bain sur lui. Ma mère explique, gênée, quil est trop grand, trop maigre, et quaucune affaire de mon père ne lui va. Nempêche que son air troublé, ses joues rougies, et son regard rêveur trahissent son émoi. Elle a vu quelque chose qui la impressionnée. Le sexe de Sacha ?
Mon père part au travail, je vais à la fac, nous sommes obligés de laisser ma mère seule, avec Sacha à moitié nu. Elle a mis une machine en route, et elle attend que le cycle se termine. Je suis mort dinquiétude en pensant à ce quil pourrait lui faire subir. Toute la journée, cette question obsédante trotte dans ma tête. Saura-t-elle lui résister ?
Je rentre tôt à la maison. Jai fait craquer la dernière heure. Personne. Ni ma mère, ni sa voiture. Où a-t-elle pu aller ? Je suis en train de regarder un porno dans ma chambre lorsque ma mère rentre. Jai entendu la porte dentrée claquer. Mais je nai pas été assez rapide, et je lai juste aperçue de dos, en train de sengouffrer dans sa chambre. Pourtant, il me semble que sa tenue était assez débraillée, et que son chignon avait pris mal au cur.
Je vais coller mon oreille à la porte de sa chambre. Elle prend une douche. Elle ne sest pas aperçue que je suis déjà rentré. Je me faufile en catimini dans sa chambre. Par la porte de la salle de bain entrebâillée, je vois quelle est sous la douche. Ses affaires sont en tas au milieu de la chambre. Ça sent fort. Je fouille, mais je ne trouve ni sa culotte, ni son soutien-gorge.
Est-ce quelle a subi des outrages ? A-t-elle été e ? Violentée ? Je retourne me cacher dans ma chambre. Sitôt douchée, elle descend faire tourner une machine. Je descend derrière elle. Elle sursaute. Elle na quune sortie de bain sur elle, et un de ses gros nichons séchappe par louverture. Elle se rajuste, rougissante :
- Tu es rentré ? Depuis longtemps ?
- Ouais, je bossais dans ma chambre. Jai entendu du bruit, je suis venu voir. Tétais où ?
- Jétais avec Sacha. Ce matin, il navait pas de quoi se vêtir. Je nallais pas le garder ici toute la journée, en attendant que son linge sèche. Alors, je lai raccompagné chez lui, pour quil shabille, et quil puisse réparer sa cabane. Mais quand jai vu létendue des dégâts, jai eu pitié de lui, et je suis restée pour laider. Une chose en entraînant une autre, jai passé ma journée là-bas. Jétais crasseuse et toute dépenaillée, alors jai pris une douche, et je fais tourner une machine. Voilà, je vais me faire un thé, ten veux un ?
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