Papy Et La Sauterelle (4)
Papy et la sauterelle
4-Plus on est de fous, plus on jouit
Fidèles à leur rendez-vous hebdomadaire, ils se retrouvaient donc chaque mercredi et le rituel était immuable : fellation initiale puis pénétration vaginale assise sur les genoux de Papy et enfin le verre partagé, cognac pour lui et jus de fruit pour elle. De temps en temps, bien quelle ny éprouve pas autant de plaisir mais sachant quAntoine appréciait cet exercice, Maud consentait à une sodo. Tout était donc sans imprévu.
Aussi fut-elle surprise et un peu contrariée, cet après-midi-là, de constater quAntoine nétait pas seul. Le visiteur était un homme de taille moyenne, sensiblement du même âge que son hôte, cheveux blancs et barbe soigneusement taillée.
« Sauterelle, je te présente Paul, ancien collègue, professeur en retraite et ami de longue date. »
Lhomme savança vers Maud et lui fit un cérémonieux baisemain tempéré par un amical :
Mes hommages, sauterelle.
-Enchantée, Professeur. »
Un peu inquiète, elle craignit que la visite de cet importun remette en cause la baise tant attendue une semaine durant. Mais elle fut vite rassurée.
« Sauterelle, si tu nas pas dobjection, Paul serait heureux dassister en voyeur à nos ébats. Es-tu daccord ? »
Soulagée et rassurée, elle accepta, amusée à lidée de cette nouvelle expérience. Sans plus tarder elle saccroupit donc devant Papy qui avait pris place sur s chaise et entreprit sa fellation. Tandis quelle suçait elle jeta un coup dil en direction de Paul. Celui-ci, installé sur le canapé, avait sorti son sexe de son pantalon et le caressait doucement. Elle constata quil semblait moins imposant que celui de Papy, ce qui la fit sourire intérieurement.
Les choses suivant leur cours habituel, elle se trouva bientôt dos tourné à Papy qui introduisait sa bite dans la chatte humide et frémissante, non sans avoir au préalable procuré à la sauterelle un premier orgasme par un savant titillement de son clitoris.
Tout en jouissant du va-et-vient de cette verge dans son vagin en chaleur, elle remarqua que le professeur avait soigneusement enveloppé son pénis dans un vaste mouchoir sans doute pour éviter tout débordement, ce qui savéra utile car il ne tarda pas à éjaculer avec un « Mmmmm
» de satisfaction. Papy jouit à son tour et ils demeurèrent tous trois silencieux, savourant, satisfaits, ce moment de grâce.
Ils sétaient rajustés et buvaient leur verre en silence. Paul paraissait un peu gêné, sans doute peu habitué à ce qui venait de se passer. Maud au contraire se sentait étonnamment à laise. Elle rompit le silence, une idée lui ayant traversé lesprit :
« Ça vous a plu, Professeur ?
-Oui, oui. Cétait très agréable.
-Pourtant cest un peu triste de se faire plaisir tout seul.
-Oui, bien sûr, cest un peu frustrant mais
-Si vous pensez revenir mercredi prochain, jai moi aussi une amie de longue date
(elle rit)
Je peux dire ça puisquon est copines depuis lécole primaire ! Je ne promets rien mais je pense quelle pourrait vous tenir compagnie, Professeur.
-He bien je ne sais pas si
»
Antoine intervint :
« Excellente idée, sauterelle ! Paul, je tinterdis de refuser, tu mentends.
Sauterelle, jespère que ta camarade sera daccord.»
Cest donc ainsi que Maud et sa copine Leila se retrouvèrent le mercredi suivant à retirer en pouffant leur petite culotte sur le palier de Papy. Leila, bien quassez timide, sétait laissée convaincre par son amie de laccompagner dans cette aventure. De mère maghrébine, elle était de petite taille, menue, peau mate et cheveux bruns frisés.
On fit les présentations. Paul réitéra son baisemain aux deux filles. Leila fut troublée à lidée quil aurait pu être son professeur. De son côté il pensait aux nombreuses tentations auxquelles il avait su résister au cours de sa carrière. En somme cétait un fantasme qui était sur le point de se réaliser et cela le perturbait un peu.
Paul navait jamais été ni un dragueur ni un séducteur. Sa femme lavait quitté trois ans auparavant après une longue et heureuse vie conjugale et sa vie sexuelle sétait alors résumée au visionnage en solitaire de quelques vidéo porno et à un unique recours décevant aux services dune escort.
Il invita la jeune fille à sassoir auprès de lui sur le canapé. Comme le lui avait conseillé Maud, elle entreprit de déboutonner la braguette de Paul. Celui-ci laida en se débarrassant de son pantalon. Son sexe formait déjà une proéminence prometteuse dans le caleçon bleu marine. Comme elle se penchait dans sa direction, il larrêta :
« Veux-tu dabord te dévêtir, jaimerais te voir nue, ma puce. »
Elle se leva, fit glisser sa minijupe à ses pieds et se départit de son pull et de son T-shirt. Ses seins minuscules rendaient superflu lusage du soutien-gorge. Pour se donner de lassurance elle dit :
« Cela vous plait, Professeur ?
-Beaucoup, ma puce, beaucoup. »
Il avait la gorge serrée, ému par ce qui soffrait à lui, ce corps juvénile, délicat, ces petits tétons brunâtres, ce petit abricot bombé comme posé au sein dune fine toison brune
Il lattira contre lui.
Du côté de lautre couple, au lieu de la laisser lui faire la fellation habituelle, Antoine avait fait assoir Maud sur ses genoux, « pour voir un peu ce qui allait se passer », avait-il déclaré.
« Avec vous deux, les filles, il ne faut pas espérer une branlette espagnole !
-Dis donc Papy, ce quon fait ne te suffit pas, répliqua-t-elle sur un ton faussement fâché en lui donnant une tape sur la main. Tu vas voir ! »
Prenant linitiative, elle enfourcha Antoine de face cette fois-ci, introduisit sans plus attendre son sexe en érection dans sa chatte et entreprit de le chevaucher avec fougue. Pour une fois, Antoine sabandonna à sa partenaire. Les yeux dans les yeux ils sentirent leur plaisir se conjuguer, sintensifier, leur respiration saccélérer. Et à linstant même où elle comprit quil allait éjaculer, Maud sauta des genoux de son amant, saccroupit et saisit sa bite entre ses lèvres juste à temps pour recevoir les jets de sperme dans la bouche. Les yeux clos, les mains sur la tête de la jeune fille, le vieil homme jouissait en grognant doucement. Elle se releva, déglutit et, plantée devant lui, sexclama :
Alors, Papy, ça vaut bien une branlette espagnole, non ? »
Il lattira à lui, la fit rassoir sur ses genoux et ils échangèrent un long baiser tandis quelle caressait doucement sa bite qui revenait progressivement au repos.
Indifférents à tout cela, Paul et Leila étaient eux aussi fort occupés. Paul avait dabord contemplé en silence la nudité de la fille puis lavait faite allonger sur le canapé. Lui écartant doucement les jambes, il pouvait admirer le petit abricot fendu dune ligne nette, une fente minuscule à peine entrouverte. Il se pencha, approcha lentement les lèvres et les posa délicatement, presque un effleurement, sur ce sexe offert. Leila retenait son souffle. Elle sentit le contact de cette bouche, dabord léger puis plus appuyé, elle sentit la langue qui simmisçait entre les bords de sa vulve, elle tressaillit brusquement quand cette langue atteignit son clitoris, puis fut emportée dans une tempête, une succession dorgasmes tandis que la langue sagitait en tous sens.
Elle sentit sa queue sintroduire au plus profond de son vagin, aller et venir, encore et encore, jusquà ce quenfin, tendue, cambrée, elle sente le sperme linonder et quelle retombe, épuisée, à demi écrasée sous le corps de Paul. Elle pouvait seulement répéter, dans un souffle : « He bien, Professeur
He bien, Professeur
»
Il se redressa enfin, sassit sur le canapé et elle vint se blottir contre lui. Antoine sapprocha pour leur tendre respectivement un cognac et un jus de fruit. Elle demanda timidement :
Je voudrais bien un peu dalcool, moi aussi.
-Tu as lair den avoir besoin, en effet, jeune fille, dit-il en riant. »
Une fois dans la rue, les deux filles firent quelques pas sans mot dire. Leila rompit le silence :
« Cest juste un truc de ouf, meuf ! Jai kifé grave. Sérieux, je veux plus baiser quavec des vieux !
-Alors tu reviens mercredi ?
-Carrément !
-Cool ! Et tu es juste une grosse pute.
-Dis donc meuf, cest à toi quil a filé la tune ! »
Antoine avait eu la délicatesse de doubler la somme quil avait glissé dans la poche du blouson de Maud. Elles rirent toutes les deux, faisant se retourner une vieille dame qui leur sourit, envieuse de leur gaité juvénile. ù
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