La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°750)
soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°748) -
Le Doc me fit approcher de la table. Puis, il s'assit à la droite du Maître. Je restais en quadrupédie sur le côté de la table. La tête baissée, j'écoutais la conversation entre les deux Dominants.
- Mon cher ami, Monsieur le Marquis, j'ai passé une soirée et une nuit absolument magnifiques. Vous nous avez tellement bien reçu. Vos soirées sont toujours aussi grandioses. Quant à ma nuit, elle a été au-delà, de mes attentes et je peux vous assurer que vous avez parfaitement su dresser cette petite chienne dans une absolue obéissance...
- Dois-je en conclure que Ma soumise a su vous satisfaire ?
- Tout-à-fait ! Vous pouvez en tirer cette conclusion ! Elle a répondu amplement à mes attentes et elle a même prit quelques initiatives qui m'ont totalement comblé
. Hélas, je vais devoir vous quitter après ce petit déjeuné. Je dois me rendre à mon domicile, avant d'aller à l'hôpital voir mes patients...
- Il n'y a pas de souci, très cher !
Cypris MDE, met-toi sur le tapis, là juste derrière toi et en position de levrette, ensuite tu prends ta laisse en bouche comme une bonne chienne, je m'occuperai de toi quand ce cher Doc sera parti.
Je me positionnais donc sur le tapis et me mis en levrette, exposant ainsi mon fessier arrondi largement exhibé dévoilant mon intimité totalement épilée et bien offerte. Je tendis les bras bien en avant et posa la tête, au sol, sur le côté et restait ainsi immobile à attendre le bon plaisir du Maître. Je n'entendais plus la conversation entre les deux hommes. Après ce qui me sembla une éternité, je pus discerner que l'on fermait la porte. Je restais dans la position demandée alors qu'un bruit de chaise, que l'on reculait, se faisait entendre. Je sentis Monsieur le Marquis dEvans se rapprocher de moi. Je restais dans la même position sans bouger en faisant attention à ce que mon regard ne croise pas celui du Maître, mon champ de vision voyant ses Nobles pieds.
- Mon ami m'a dit que tu as été très bonne et entièrement soumise à ses exigences. Il m'a expliqué aussi comment tu l'avais réveillé et comment tu étais excitée alors qu'il t'avait bondagé et baisé ainsi ! Répond moi !
- Oui Maître, je souhaitais tant vous faire honneur, être digne de vous, être digne dêtre sous votre joug, Maître. Et montrer toute votre grande et efficace initiation envers ma petite personne ! Maître, j'ai vraiment aimé être bondagée et j'espère que j'aurais l'occasion de revivre cette expérience. Car j'aimerai savoir si j'étais excité parce que c'était tout nouveau pour moi ou parce que j'aime vraiment cela.
- Humm ! T'imaginer encordée et vraiment excitant chienne, je lavoue !
Mais pour lheure, je vais te baiser là tout de suite sur ce tapis ! Ne bouges pas et je ne veux pas t'entendre, m'ordonna-t-il.
Je restais ainsi sans bouger d'un millimètre. Le Maître se positionna derrière moi et enfonça de nouveau ses deux doigts dans ma chatte.
- Tu es encore bien trempée, ma chienne ! Pas besoin de vérifier plus si tu es prête !
Alors qu'il n'avait pas terminé sa phrase, je sentis déjà la grosse et noble queue du Maître me remplir jusqu'à la garde en une seule poussée puissante et virile.
- Humm ! Tu es encore tellement serrée autour de ma verge !
Alors, il accéléra ses coups de reins en moi et je sentais ses testicules frapper mon clitoris à chaque fois. Quand il jugea suffisant ses coups virils en moi, il sortit de ma chatte et s'empala jusqu'à la garde dans mon cul, sans préambule, ce qui me procura une fulgurante douleur mais je me retins de crier.
- Le Doc t'a tellement baisé que le passage et déjà fait ! Putain, oui ! Il a raison le Doc tu es pleinement baisable ! Continua-t-il en me besognant vigoureusement.
Je prenais sur moi pour ne laisser aucun son s'échapper de ma bouche. Mais au fil de ses profonds vas et viens, c'était de plus en plus agréable et de moins en moins douloureux tellement j'aimais ce que Le Maître faisait ressentir à mon corps. Je pensais à autre chose pour me changer les idées mais je ne pus me retenir et un gémissement mélangé par la douleur qui sestompait et le plaisir qui prenait le dessus et qui montait en moi.
- Je t'ai dit de te taire soumise, m'ordonna Le Maître en me fessant durement.
Il continua à me besogner en passant de ma chatte à mon cul dans un rythme soutenu. Un autre gémissement allait m'échapper mais je pus cette fois le retenir. Le Maître éjacula dans ma chatte avant de finir dans mon cul ou il resta enfoncé longtemps en coït anal profond et sans bouger. Je pouvais sentir les soubresauts de sa queue dans mon fondement et me sentit vraiment bien remplie
Au bout de longues minutes, il se retira, se redressa et se rhabilla après m'avoir fait me redresser et nettoyer sa noble verge avec ma langue.
- Tu m'as désobéi, ma chienne. Un gémissement t'a échappé alors tu vas être puni : me dit-il en attrapant une poignée de mes cheveux et levant mon visage.
Il resserra fortement ses doigts dans mes cheveux et cela me fit mal. Il attrapa ma laisse et me fit le suivre dans différents couloirs. Nous arrivâmes devant une grande double-porte massive en chêne verni qu'il ouvrit avec une clé sortie dans son pantalon. Il me fit pénétrer dans la pièce puis ferma celle-ci.
- Observe une de mes salles punitives, ma chienne. Étant donné que tu as su te retenir à certains moments, je serais miséricordieux avec toi par une punition allégée. Donne-moi un nombre entre un et dix !
- Sept Maître, répondis-je sans réfléchir.
- Bien, alors place toi le ventre devant la croix saint-André, là, regarde elle se trouve dans le coin
Je my rendis doucement en quadrupédie. Puis je restais dans cette position jusqu'à ce Le Maître sapprocha de moi. Je pus observer des menottes pendre de chaque côté de la croix. Le Maître tira sur ma laisse pour me faire mettre debout. Il me poussa dans le dos jusqu'à ce que mes seins appuient sur la croix. Le Maître me fit lever les mains au-dessus de ma tête puis installa les menottes, mobligeant ainsi à garder les bras largement levés. Puis il fit de même avec mes chevilles quil fixa sur deux anneaux au sol positionnés et scellés à 50 centimètres devant la croix et ainsi il put maintenir mes jambes largement ouvertes et ce qui mobligea à reculer mon cul bien en arrière.
- Cambre-toi au maximum ! La punition que j'ai choisie pour toi sera que tu recevras sept coups de trois objets différents ! Si tu arrives à ne pas crier ou à némettre le moindre son, je ne recommencerais pas la punition depuis le début ! Je vais te bander les yeux aussi. Je veux que tu réfléchisses avec quoi, je te punis. Je te demanderais et une fois la punition effectuée, je serais de nouveau fière et satisfait de toi si tu devines avec quoi je tai punie
Je me détendis au maximum et ensuite la punition commença.
(A suivre...)
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