Donjons Et Dragons - 3
Une sorcière, une véritable sorcière, a réussi à me soumettre sexuellement en échange de maider à entrer dans la cour des dames du château. Après lavoir léché alors que quun servant, Niel, me doigtait le vagin, je me suis rendu compte quelle avait le pouvoir de faire grandir ma poitrine et avait des dons de télépathie
Après cette humiliante séance dans ce qui semblait être sa chambre, la sorcière me prit dans ses bras et me promit que tout se passerait bien. Ma poitrine, nouvellement volumineuse, me faisait moins mal, mais tout ça me perturbait intensément. Elle me tendit une serviette pour messuyer, avant de me conduire dans une chambre au fond du couloir, la plus petite, probablement pour les bonnes. Epuisée et encore soumise mentalement à son autorité je navais pas relevé le fait, et métait assoupie dans cette pièce à peine plus grande quun placard à balais.
Je me suis levé le lendemain matin en pensant que cétait un mauvais rêve.
Javais mal au dos, ma mâchoire me faisait souffrir, mais jétais toujours bien dans le château, à quelques mètres de la chambre de la sorcière. Je ne sentais plus la sueur, comme si on mavait lavé durant la nuit. Je suspectais un pouvoir supplémentaire de cette sorcière. Cest en sortant de mes draps que jai compris quune magie puissante agissait bel et bien : ma toison vaginale avait disparu, comme la plupart de mes poils. Tout était doux, et je passais mes doigts entre mes lèvres, encore sensibles suite au traitement dhier soir.
Un petit mot était posé sur la table de chevet, signé Niel. Il disait : « Aujourdhui marque le début de ta nouvelle vie, comme je te lavais promis. Rejoins-moi dans les cuisines ». Sous la lettre, une tenue de servante. En lenfilant, je me suis rendu compte que cétait une tenue particulière, qui mettait en valeur mon décolleté nouvellement formé, et qui sarrêté au bas de mes fesses ; une tenue de soubrette, en somme.
Quoi quil en soit je suis donc sortie avec les seuls habits à ma disposition, en me dirigeant vers les cuisines. Je remarquais la disparition de ma robe de fermière en passant dans le couloir.
Le regard des hommes était bien différent à ce dont javais lhabitude à la ferme, et en avançant vers les cuisines, au rez-de-chaussée, jai bien vu le regard de certains se balader sur mes seins, chose qui nétait jamais arrivé avant ma « transformation ».
Niel mattendait, et donner des consignes aux servantes pour la matinée. Il portait une tenue différente de dhabitude, comme si il avait reçu une promotion. Peut-être était-ce en rapport avec cette soirée dhier ?
En finissant son pitch aux servantes, il sapprocha de moi pour me présenter aux autres :
-
Et je vous présente Lilly, qui vient vous aider durant cette semaine parce que des invités prestigieux arrivent ce soir au château. Madame la cousine du seigneur Leaves arrive avec son fiancé dans laprès-midi.
Je foudroyais Niel du regard, il pouvait lire dans mes yeux : ce nest pas ce qui était prévu !.
- Écoutes Lilly, je ne peux pas présenter une nouvelle dame à la cour alors que personne ne la jamais vu ici, et puis ça te permettra de te familiariser avec le château et ses occupants, daccord ?
Je regardais par terre, déçue. Je finis par hocher la tête.
- Daccord, mais une semaine alors hein ?
- Oui, une petite semaine. Il me caressa mon gros sein en prenant soin de le regarder : cest de la belle magie que fait Maitresse Astradesy. Je ne croyais pas que ses pouvoirs allaient aussi loin. Puis il se reprit : tu vas passer la semaine ici en attendant, et en fin de semaine, à 18h, tu vas retourner dans la chambre où nous nous sommes vus hier.
Je passais donc la journée, puis la semaine à faire la servante dans tout le château. Jappris ainsi le nom du seigneur du lieu, le Seigneur Jaden et sa femme Adrianna, et à me laisser toucher mes parties intimes par les hommes qui me croisaient. Jeu le droit à des caresses sur les fesses, sur les seins, un jeune homme me plaqua contre un mur pour passer une main dans ma culotte, avant de repartir. Mon cur me disait que cette situation était sordide, mais quelque chose au fond de moi mempêcher de partir. Javais une chambre à moi, jétais nourrie et je ne trimais pas dans les champs toute la journée.
Le droit de cuissage était en vigueur dans ce château, et les hommes ne se privaient pas de passer du bon temps avec les servantes, avec ou sans leur consentement. Fort heureusement je neue pas la chance de tomber sur un pervers voulant me violer dans un endroit sombre, mais jai pu apercevoir des consurs se faire accompagner dans une salle vide, et entendre des cris de plaisir en sortir.
A 18h, le vendredi, soit une semaine plus tard mon arrivée au château, je me retrouvais devant cette porte, à devoir attendre que personne ne passe pour me déshabiller et toquer à la porte. Comme la dernière fois, lattente fut très longue, et un couple de femme passa à côté de moi en gloussant. Avant même de revoir cette sorcière, mon estime avait été détruite toute la journée durant, et jen étais arrivé à la conclusion que cette grosse poitrine avait un véritable effet magique sur les gens.
Cette sorcière, cette fameuse Maîtresse Astradesy, mouvrit elle-même cette fois-ci. Elle contempla ma poitrine, comme toutes les personnes croisées durant la journée, satisfaite de son travail. Javançais au centre de la pièce, mattendant au pire. Et en même temps, je mouillais un peu. Ça devait ment se voir.
- Bonsoir, déclarai-je avec un soupçon de crainte.
La sorcière me rejoint, me prenant les mains, et me souris.
- Ma chère petite chienne, ma plus belle possession comment sest passé ta semaine ? Est-ce que tu es satisfaite de ta nouvelle acquisition ?
Je contemplais ce visage si parfait et réfléchissais à ce que jallais dire. Possession ? Jétais sa possession ? Après une semaine si éprouvante à me faire rabaisser, je navais pas la moindre envie de la contredire.
- Très bien, répondis-je docilement.
Mais la sorcière ne semblait pas satisfaite. Elle se recula pour sassoir sur le lit comme la dernière fois, écartant les cuisses.
- Viens, boire mon nectar.
Hésitante, je mapprochais de nouveau de son vagin. Elle me passa une main dans les cheveux, mencourageant à goûter. Je léchais avec précaution la cyprine qui coulait déjà entre ses lèvres. Instantanément me vint en tête une idée très claire, et je compris lerreur que javais commise plus tôt :
- Désolée Maîtresse. Bonsoir Maîtresse.
Je saisissais à présent, inconsciemment, la pouvoir que pouvait contenir son jus. Dès mes premières lampées, je ne pouvais résister à son emprise mentale. Alors je repris consciencieusement de la lécher, avec de plus en plus dardeur.
Ma maitresse continua de me caresser les cheveux. Parfaitement sous contrôle, je navais plus la moindre envie de me rebeller de quoi que ce soit, et ses désirs devenaient les miens.
Ses gémissements mentaux revenaient dans ma tête, doucement. Elle écarta encore plus ses jambes. Jentendis alors dans ma tête sa voix.
- Cest bien, petite salope. Tu comprends vite. Les prochaines étapes vont pouvoir arriver plus vite que prévu, semble-t-il.
Je ne pouvais pas répondre, ma bouche enfoncée dans son entre-jambe.
- Je vais faire de toi la plus belle des putains. Après ce que je vais te faire vivre, tu ne pourras plus jamais retourner vivre comme avant.
Je sentais ma tête engourdie, ses paroles et ses émotions prenaient le pas sur mes émotions à moi. Je vivais pour elle, en cet instant. Mon cerveau était retourné. Je sentis mon corps subir encore des transformations, sans que je puisse dire lesquels : ça bougeait, cest sûr : lécher Maitresse Astradesy me rendait plus attirante, et cest tout ce qui comptait en cet instant : je devais continuer de me régaler de ce nectar !
Je ne pouvais pas contenir mon excitation et passa une main entre mes jambes, commençant à procurer du plaisir à moi aussi. Maitresse ne broncha pas, elle semblait aveugle devant le plaisir que je lui procurais. Nous étions tous les deux unies par une connexion mentale incroyablement forte, et son plaisir écrasait toute pensée intelligente que jaurais pu avoir. Jétais bien sa possession, sa créature !
Elle gémit avec puissance, mexplosant les tympans, me rendant sourde de lintérieur ! Je ne savais plus où jétais, ni qui jétais, je me transformais en objet sexuel, sans volonté propre, bonne à obéir, et sans aucune surprise que je senti le poids de mes seins augmenter encore, à linstar de mes fesses qui prenaient du volume. Je devenais une poupée sexuelle, sans pouvoir marrêter de pouvoir la potion magique !
Et puis soudain, la délivrance, elle venait de jouir dans un profond et très long soupir. Elle me poussa négligemment au sol, je navais plus la moindre forme de résistance, alors je mécrasais par terre, terrassée par ce quil venait de se produire, en manque de sa cyprine, ayant besoin de retrouver sa chaleur vaginale comme mon visage.
Je rouvrais les yeux, en sueur, sur mon corps encore transformé, sur mes seins devenus incroyablement grands pour ma taille fine, et mes fesses, tellement plus belles et volumineuses quavant
Je ne pourrais plus sortir tranquille, cétait sûr
Maîtresse me prit la bouche pour membrasser. Je sentis toute sa puissance magique entrer en moi, je laissais faire, spectatrice de mon abandon total et inconditionnel à cette déesse sexuelle. Je ne redeviendrais plus jamais normale, jétais une salope à présent, mon corps transformé ne me permettrait plus dagir autrement.
Dans un ultime sursaut de conscience, je demandais, à bout de souffle :
- Maîtresse, pourquoi faites-vous tout ça ?
Puis je mévanouie.
[Merci pour votre orgasme, n'hésitez pas à commenter si ça vous a plu ! On se retrouve bientôt pour le prochain épisode :)]
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