...Gang Bang (2)
. Quand on émergea de notre farniente réparateur, on décida d'aller manger en ville. A cette époque de l'année, la ville était déjà animée par les touristes mais pas envahie. On avala de bons poissons grillés dans un petit resto sur le port. Le repas fut joyeux et arrosé. Après, Paulo et Ali voulurent aller danser dans une boite gay friendly. On y passa quelques heures à se trémousser, torses nus et en sueur. C'est sûr, Paulo attirait pas mal les regards envieux. La nuit était bien avancée quand on décida de rentrer. La lune éclairait complètement la plage devant « la cabane », ce qui donna à Paulo l'envie de faire un grand feu. Dès le feu allumé, on fila tous dans la mer pour se désembrumer de la soirée, puis on vint se serrer autour du feu pour se sécher. J'étais à côté d'Ali, face à Paulo et Pablo. Direct, Pablo commença à entreprendre Paulo. Il se serrait complètement contre lui et lui passait la main dans les cheveux. Sa main descendit dans son dos pour lui sécher, s'aventura sur ses fesses et vint se blottir entre ses jambes, caressant son slip de bain. Amusés, on regardait ça avec Ali. Paulo avait planté son regard dans le mien et ne me lâchait plus. Que cherchait-il à faire ? A me provoquer ou à me dire que, même dans ces circonstances, c'est à moi qu'il pensait ? Très vite, les caresses de Pablo se firent plus pressantes. Pablo le chauffait à fond. Il le fit s'allonger sur le dos et commença à le lécher partout. Puis il le retourna pour le mettre en levrette...Les flammes dansaient sur leurs peaux café au lait.
« - Putain qu'il est beau !! Ca ne te fait rien de le voir se faire mettre par quelqu'un d'autre que toi ? me demanda Ali
-Je dirais pas ça mais, vu la gueule qu'il a et le m étier qu'il fait...Je suis réaliste. C'est pas les occasions qui doivent lui manquer. Et puis, je crois bien que t'aspas trop à t'en plaindre de tout ça, non ?
-C'est clair ! »
Pablo s'était redressé sue les genoux et faisait glisser sa bite dans la raie de Paulo, puis il se penchait pour la lui lécher copîeusement.
Quand Pablo revint de la mer, Paulo se redressa tout joyeux et claironna
« -Now, we need a good blowjob !! » ( -Maintenant, on a besoin dune bonne pipe !)
Me prenant par le coup, on sallongea côte à côte sur le sable, attendant que nos deux amis viennent nous honorer. Ali sétait précipité sur la bite de Paulo et Pablo sur la mienne. Paulo avait empoigné ma tête et membrassait à pleine bouche. Jétais aux anges. Que pouvais-je demander de plus ? Ali et Pablo sactivaient sur nos bites, je sentais virevolter la langue de Paulo dans ma bouche et, en plus, Pablo eut la bonne idée de me passer deux doigts en même temps quil me suçait. Jétais comblé par tous les bouts ! De temps en temps, Paulo faisait changer de bite à sucer. Pour le fun. Ali et Pablo avaient probablement renoncé à faire un concours de vitesse à celui qui ferait jouir le premier car ils alternaient les moments doux, les temps rapides et les caresses appuyées. Cétait trop trop bon !! Puis Pablo se mit sérieusement à vouloir me faire jouir. Pareil pour Ali avec Paulo. On les aidait en soulevant nos bassins et en allant et venant à leur rencontre. Pablo adorait ça, que je lui baise la bouche. Jaccélérais mon va et vient. Pablo avait enserré mes couilles et la base de ma bite de ses deux mains en coquille. Jaccélérais encore frénétiquement. Quand Pablo sentit que jallais jouir, il ressortit ma queue de sa bouche et la branla frénétiquement de ses deux mains.
Pendant la nuit, je fus réveillé, à plusieurs reprises par de lagitation autour de moi. Cétait très doux, mais jai aussi le sommeil très léger. Une fois cétait Paulo et Ali qui se caressaient très doucement, une autre fois, Pablo se faisait sucer par Ali. Increvable, cet Ali ! A chaque fois, je préférais faire semblant de dormir, ça mexcitait plus de faire comme ça. Au milieu de la nuit, je fis même un rêve érotique bien bien chaud avant de comprendre que ce nen était pas un mais bien quelquun qui soccupait doucement de ma bite, en vrai. Je décidais de continuer mon petit jeu. Qui ça pouvait bien être ? Je penchais pour Ali, sans en être sûr à cent pour cent. Ma bite sétait bien raidie, bien mouillée. Il la branlait doucement du bout de ses trois doigts. Je le sentis se rapprocher de moi et sentis bientôt son gland humide me frotter doucement la raie. Visiblement, mon inconnu ne cherchait pas ment à me réveiller, ni à se faire connaître ! Je fis mine de bouger dans mon sommeil pour mieux lui offrir mes fesses écartées et lui faciliter le passage. Fut-il dupe de mon stratagème ? Il mit un temps infini mais ô combien délicieux à me pénétrer tout en douceur. Une fois en moi, il ne bougea plus. Cétait trop bien de le sentir ainsi en moi. Je sentais presque son cur battre dans les palpitations de sa bite. Au bout dun très long moment de douceur infinie, il se retira doucement, sans avoir joui.
On se réveilla tous très tard. Le petit déjeuner expédié, on décida daller passer la journée sur un petit ilot désert, pas très loin, avec le dériveur caché sous la cabane. Etant un grand fan de slips et de maillots de bain- surtout ceux de Paulo-, javais enfilé un des maillots que Paulo avait amené, les autres avaient fait pareil.
« -Cest qui Robinson et cest qui les Vendredi ?
-Pourquoi tu me demandes ça ?
-Ben tu sais les histoires qui courent entre Robinson et Vendredi, non ?
-Jai capté. Ca te dirait dêtre LE Robinson et nous LES Vendredi ?
-Ben
ouais !
-Je traduis. »
Paulo et Pablo, ça les a fait rigoler. De toute façon, ils sont toujours OK quand il sagit de sexe. Du coup, on pioche allègrement dans le pot de gel et on commence à se dilater mutuellement la rondelle. Puis, on se met à genoux, en levrette, tête au sol, collés lun à lautre, offerts à la bite dAli. Jétais au milieu, Paulo à ma gauche et Pablo à ma droite. Par petites poussées, Ali entreprit Paulo puis moi puis Pablo. On doigtait allègrement ceux qui nétaient pas titillés par Ali. Ali prit son temps mais il finit par pénétrer en chacun de nous avec beaucoup de facilité et de délice ? Commencèrent alors de longs et délicieux va et vient en chacun de nous ? Ali passait rapidement de lun à lautre, ne nous laissant jamais très longtemps sans sa chaude bite. Il se régalait. Sa cadence saccélérait légèrement devenant de plus en plus puissante. On pensait tous quAli était un très bon coup : endurant, prévenant, sensuel, avec une très belle bite. Tout quoi ! De temps en temps, tout un chacun essayait de saccaparer plus longuement Ali en lui empoignant les fesses et en le collant contre lui. Les autres râlaient aussitôt. Ali avait encore accéléré la cadence de ses coups de bite. Il passait de plus n plus vite de lun à lautre nous défonçant direct et à fond à chaque fois. Merveilleux ! Ali, en sueur, commença à haleter
Ca ne voulait rien dire, on savait tous que cétait une bête de sexe et quil pouvait encore durer, durer. Tant mieux pour nous ! Ali a encore accéléré. Quand ils le reçoivent, Paulo couine de plaisir et Pablo souffle à fond. Ali se met alors à rugir quelque chose en arabe, commence à jouir dans Paulo, se retire très vite et vient se finir dans le mien. Les dernières goutes seront pour Pablo. Chacun a eu sa dose de foutre chaud. Il sécroule, épuisé. On le dorlote, le lave, le caresse, le masse, pour le remercier du plaisir quil nous a aussi donné.
Le retour en bateau fut épique : manque de vent ou vent contraire. On a bien cru quon ny arriverait jamais. Mais le stress nétait pas de la partie car Paulo et Pablo ont une gaité naturelle permanente qui emporte tout.
A la cabane, on décida, dun commun accord, de rester sur place pour la soirée. On senfila dabord pas mal de verres pour « se rafraichir », jaurais plutôt dit pour se chauffer
Pablo et Ali, bien chauds, décrétèrent alors que, pour cette nuit, Paulo et moi serions leurs « esclaves sexuels ». On avait quand même bien revendiqué de pouvoir, nous aussi, jouir à notre tour.
« -Quand on nen pourra plus, ça sera votre tour mais
ça risque dêtre long ! » avait décrété Ali. Pour être long, ce fut long. Mais loin dêtre désagréable.
Pablo décida alors dorganiser un défilé de maillots de bain. Où tous les coups étaient permis. Dabord, cest eux qui nous « habillaient », ensuite, ils filaient côté spectateurs, avec tous les droits. Siffler, applaudir, toucher, shooter, commenter
Ali imagina même de nous faire aller jusquà la plage, marcher dans leau jusquà la taille et revenir. Après tout, cétait des slips de bain
« -Tu ne bandes pas assez !! » nous criait Ali à chaque passage. Heureusement, il ne savait pas le dire en anglais. Quelle rigolade ! Paulo, dont cest le métier, le prit très bien. Moi, ça me rappelait comment javais connu Paulo. Après ce défilé mémorable, Pablo et Ali nous imposèrent une deuxième « épreuve ».
« -Vous allez devoir effec devant nous un show torride qui doit nous faire bander UN MAX . OK ? » rigole Ali.
Paulo a déjà éteint toutes les lampes et planté, dans le sable, une bougie allumée. Avec Paulo on se met daccord très vite sur un petit scénario de drague en boite de nuit. Très vite, on se retrouve torses nus à danser serrés dans les ombres de la bougie. On se titille les tétons, on se palpe le cul, on se roule des pelles. Ca siffle
Va falloir faire plus. Je lui déboucle lentement sa ceinture, il en fait autant. Je fais glisser son short doucement. Ca apprécie. On se retrouve tous deux en slips de bain, bien collés. On passe les mains sous le tissu. Ca hurle. On se tripote les fesses, la raie, puis les bites. On se fait glisser nos slips et on les enlève gracieusement. On frotte nos bites tendues. Paulo se retourne et je me colle à lui, tout en dansant. Ils nous encouragent à grands cris. Je fais mine de le défoncer dun seul coup. Ca hurle à nouveau. Je descends le long de son dos, lui fait écarter les jambes et le mets à lécher sa raie goulûment. Ca siffle de plus belle. Paulo ondule outrageusement. Je me redresse et lui passe un doigt. Il ondule à nouveau comme un serpent, se glisse au sol, sur le dos, arc bouté, offert à ma bouche. Je le lèche le long de sa ligne de poils et engloutit son membre tout en le doigtant par-dessous. Ca applaudit ! On se relève alors, faisant mine dêtre effarouchés et on senfuit vers la mer, main dans la main. Ca applaudit à tout rompre.
« -Bon cétait pas mal
conclut Ali. Maintenant, il va falloir que vous vous occupiez sérieusement de Pablo. Epreuve indoor ! Il a demandé à être attaché pour « subir vos sévices » OK ? »
« -OK, mais tu pourrais peut être nous donner un coup de main ?
-On verra
»
On passe à Pablo le plus micro de tous les slips de bain apportés par Paulo, on lui bande les yeux et on « attache » ses deux poignets aux bois du lit. Avec Paulo, on se met à le lécher partout, à se frotter à lui avec nos slips tendus, à le caresser, à le masser. Il a lair dapprécier. Ali filme. Puis Paulo se met à califourchon sur son cou et lui propose son bas ventre, pendant que je moccupe de son micro slip de bain. Il se met à onduler et à gémir. Paulo lui propos alternativement ses couilles, son gland, sa tige à sucer. Je lui masse furieusement les couilles sous le tissu puis je déchire le maillot et enfourne son gland. Il grogne de plaisir.. Je le pompe de plus en plus vite pendant que Paulo lui baise la bouche. Cest là quon fait appel à Ali pour quil vienne soccuper de sa rondelle. Ali se place sous lui et va lui dévorer la raie et lui exciter la rondelle du bout de sa langue. Pablo sest soulevé et vibre de plaisir. Ali se glisse complètement sous lui et lembroche dun seul coup. Pablo gémit. Il commence à le trombonner, à sec. Je mactive de plus en plus sur sa queue. Et si on essayait de jouir ou de faire jouir en même temps ? Finalement, ça na pas trop marché car Paulo a joui en premier dans la bouche de Pablo, puis Pablo dans la mienne et, bon dernier, Ali dans le ventre de Pablo. Pablo, débranché, était aux anges !
« -Oh my god ! What a trip ! Thanks a lot ! »
Restait plus que moi à faire jouir. Quallaient-ils trouver ces trois là ? Ils ne furent pas chiens. Ils me proposèrent une fellation par les trois en même temps. Ce fut un feu dartifice qui se finit dans la bouche dAli. Il était temps de se reposer un peu. Après sêtre baigné sous la lune, on regagna les grands lits. On sendormit assez rapidement. Je ne me réveillais quune seule fois quand Paulo me chuchota à loreille :
« -Come with me
»
Il mentraina sur la plage. Les autres dormaient. Il voulait parler. De lui, de son boulot, de nous, du week end. La nuit était chaude, on était assis dans le sable, collés lun à lautre, sous les étoiles. Jétais bien. Je sentis quil voulait plus. Je mallongeais et lattendis. Il se pencha sur moi et me fit lamour très longuement, avec une tendresse infinie. Je le sentais aller et venir en moi, me labourer lentement le ventre tout en membrassant langoureusement. Javais agrippé ses deux lobes dans mes mains et jaccompagnais les mouvements de son bassin. Je sentais parfaitement sa bite chaude coulisser dans mon ventre. Cétait un plaisir sans nom. Ma bite bandée frottait contre son ventre à chaque allée et venue. Je le serrais à le casser. Cela dura, dura
Jaurais voulu que ça ne finisse jamais. Visiblement, après tout ce sexe joyeux et exubérant, il voulait me faire passer un autre message. Sur le point de jouir, je sentis sa hampe vibrer en moi, ses coups de reins devinrent plus violents. Je le sentis tirer sur mes épaules, mes hanches comme sil voulait ne faire quun avec moi.
On resta ainsi, très longtemps, lun dans lautre, bien après quil ait joui en moi. Jétais à deux doigts de pleurer démotion, de bonheur de mêtre ainsi offert à sa jouissance.
Le dernier jour fut très court. Lavion était à treize heures. On alla se baigner tous les quatre, longuement, joyeusement. Paulo nous proposa de puiser autant quon voulait dans sa collection de slips et maillots de bain ce qui nous ferait plaisir et de lemporter dans la mesure où cétaient des cadeaux du boulot pour lui. Fan de sous vêtements, je ne me fis pas prier pour en prendre un max.Ca me permettrait de penser à Paulo en les portant. Après un copieux petit déjeuner, on ferma la maison prêtée à Paulo et on partit vers laéroport. Cétait assez silencieux. Chacun de vait se repasser ses meilleurs moments du week end. A laéroport, Paulo voulut nous dire un mot :
« -Il was GREAT ! Great and healthy ! obrigado !! »
On se retrouverait. Cétait certain.
Dans lavion,Ali me dit
« -Ouais. Cétait un sacré week end ! Je crois que jai pas vraiment débandé pendant trois jours ! »
Bizarrement, le retour fut beaucoup plus calme. Une seule tentative.
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