Souvenir D'Ado 2
Après lhumiliation infligée par Christian, je suis vite rentrée à la maison (après mêtre un peu rhabillée) et je me suis allongée espérant trouver le sommeil pour apaiser mes sens
Mais rien à faire, jétais tellement excitée que pour me calmer jai commencé à me caresser. Légèrement pour commencer, puis plus fort, introduisant un puis deux doigts dans ma cramouille déjà bien humide, puis jai titillé mon clito tout en me malaxant les nibards. Je devenais folle et sans men rendre compte, je me suis mise à geindre de plus en plus fort. Jai fini par me faire jouir et là jai carrément crié mon plaisir.
Mais jai aussi réveillé ma grand-mère qui croyant quil marrivait quelque chose a déboulé dans ma chambre ! Imaginez un peu la surprise de cette brave vieille qui découvre sa petite fille allongée nue sur le lit, cuisses largement ouvertes, en train de se masturber comme une folle ! Jétais rouge de honte, surtout quand jai vu derrière grand-mère, se pointer son compagnon! Mamie la vite chassé, mais il avait eu le temps de me voir nue, totalement offerte. Je ne vous dis pas la soufflante que ma passée ma grand-mère ! Puis elle est sortie de la chambre en mintimant lordre de me « rajusté » comme elle dit, sans oublier de me priver de sorties pour 3 jours !
Jessayais de trouver le sommeil quand jai entendu gratter à ma porte, puis celle-ci sest ouverte, laissant place au compagnon de Grand-mère.
Ça va ma belle, ta mamie na pas été trop dure avec toi ?
- Non Joseph, puis javais bien méritée lengueulade.
- Oui, mais cest normal à ton âge de commencé à avoir des envies. Excuses-moi, tout à lheure je nai pas pu faire autrement que de te voir nue
- Cest pas grave, de toutes façons tu mavais déjà vu nue !
- Oui ; il y a 10 ans quand tu nétais quune petite gamine, mais là cest un joli corps de femme que jai vu. Enfin jai juste entrevu malheureusement.
- Joseph !
- Ben quoi tu sais même à 65 ans un homme a encore des désirs.
- Mais, ça va pas ! Si mamie voyait çà, elle nous broie tous les deux !
- Aucun danger. Elle était tellement énervée quelle a pris un somnifère. Elle dort au moins jusquà 4 heures !
Jétais choquée de la demande de cet homme qui nétait finalement quun vieux vicieux pervers, mais en même temps, mes sens nétaient toujours pas apaisés et mon bas ventre était en feu. Pour la forme je refusais, feignant dêtre indignée, puis jacceptais de lui montrer juste mes seins. Je dégageais donc ma poitrine offrant ainsi à sa vue mes deux jolies petites poires bien fermes, aux tétons tendus par lexcitation. Sans mon accord, il a posé une large main cagneuse sur un sein et la doucement caressé. Jai fermé les yeux, le soupir daise que jai poussé était sans équivoque. Il a défait un bouton de plus, écarté les pans de ma robe et pris un mamelon en bouche.
Jétais aux anges, il me faisait ce quavait ignoré Christian. Sa langue titillant ma petite aréole rose, ses lèvres aspirant un téton tandis quune main malaxant lautre sein mavaient vaincue. Je ne pouvais résister à ses audaces. De sa main libre, il a lentement défait les derniers boutons de ma blouse puis ses doigts se sont égarés sur mon mont de vénus, sur mes poils pubiens. Jétais sans réaction, et quand sa main est descendue entre mes cuisses, enveloppant ma vulve jai laissé faire. Il a commencé par caresser ma chatte, sans appuyer, puis il introduit un doigt dans ma fente. Je mouillais déjà abondamment et son majeur coulissait aisément dans mon petit con. Il me fouillait profondément, rentrant un deuxième doigt. Le compagnon de mamie a lâché mes tétons et il posé sa bouche sur mon abricot. Après quelques doux baisers, sa langue est venue titiller mon clito quil avait décapuchonné.
Il le léchait, laspirait, le mordillait. Je le sentais doubler de volume, mon clito devenait comme une petite bite. Il ma procuré mon deuxième orgasme de laprès-midi, ma mouille coulait à flots.
Il ma besogné un bon moment. Sa queue entrait et ressortait de ma fente pour mieux me pilonner linstant suivant. Ses coups de butoirs étaient de plus en plus violents. Je sentais bien son gros pieu au fonds de ma matrice. Jaurais voulu que cela dure toujours, mais dans un nouvel assaut Joseph sest figé et dans un grand râle, il a lâché sa purée au fond de mes entrailles, avant de sécrouler sur moi sa bouche cherchant la mienne, sa langue forçant le passage de mes lèvres pour senrouler autour de la mienne que je lui offrais dans une jouissance totale. Joseph ma longuement et tendrement embrassé puis il sest retiré.
- Merci ma chérie pour tout ce bonheur que tu mas donné. Tu sais, je navais plus fait lamour depuis au moins 2 ou 3 ans !
- Tu mas rendu heureuse mon Joseph chéri, tu reviendras hein ? je serais encore à toi quand tu voudras
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