Donjons Et Dragons - 4
Depuis une semaine, je suis me suis soumise sexuellement à une sorcière qui prend plaisir à transformer mon corps à ses envies, rendant mes attributs génitaux toujours plus désirables à chaque séance de domination. Moi qui souhaitais seulement devenir une dame de la cour du château où jétais paysanne, je suis devenue son jouet sexuel
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Jai la tête qui tourne avec toutes les émotions vécues dans la soirée. Lemprise mentale de Maitresse Astradesy, cette sorcière, ne me quittait plus depuis la veille, et je me retrouvais à devoir faire de nouveau la bonne au château alors même que mon désir sexuel ne redescendait plus : autant le dire, cétait une .
En me levant le matin dans ma chambre, jai tout de suite senti les changements corporels vécus la veille : ma poitrine navait jamais été aussi exubérante et vulgaire, et mes fesses avaient pris plusieurs centimètres de volume. Je suspectais également mes lèvres vaginales davoir enflé durant la nuit, mais cétait peut-être seulement à cause de cette excitation sexuelle continue que je ne pouvais plus contenir : dès mon réveil, jai enfouie ma main dans ma chatte, ayant un besoin irrépressible de me faire plaisir, de me sentir vivante. Mes doigts jouaient avec mon clitoris, pendant que mon autre main saffairait à malaxer mes seins, devenus si sensibles. Jétais même capable de les lécher à présent.
Mon orgasme passé, jai pu reprendre mon souffle et mapprêter pour ma journée de travail. Maitresse avait probablement changé durant la nuit mon uniforme, qui correspondait à mes nouvelles mensurations. Niel, lhomme qui mavait conduit à elle, mavait promis que je ne ferais la bonne quune semaine, mais je navais plus trop despoir à présent.
Dans ce costume et ce corps mis à jour, jattirais tous les regards. Il faut dire que le décolleté était plongeant et que la jupe laissait entrevoir le début de mes fesses. Mon corps, en lespace dun peu plus dune semaine, était devenu celui dune bimbo, et je pense que même en remettant ma robe de fermière, je ne pourrais plus sortir sans faire tourner les regards.
En entrant dans la cuisine pour prendre mes ordres du matin jai vite vu que tout le monde avait remarqué mes métamorphoses corporelles ; les hommes ne me regardaient plus dans les yeux, et les femmes, pour certaines, me regardaient avec admiration et jalousie. Dautres aussi marquaient clairement lenvie de « messayer ».
Malgré ces regards curieux et particuliers, plusieurs bonnes et moi étions devenues amies, et javais réussi à tisser un vrai lien avec certaines dentre elles, comme Elenna, qui faisait le ménage dans les appartements du seigneur tous les matins. Elle était devenue une personne de confiance à qui je pouvais me livrer sans avoir honte, et me sentir aussi excitée, même en lui parlant, me donnait honte.
Il est arrivé deux fois durant le lendemain de ma séance avec Maitresse que je pique une crise de désir sexuel et que je menfuisse en courant dans un placard à balais ou dans une pièce vide, une main dans ma jupe, pour me soulager. Cette situation insupportable me laissait à chaque fois vidée dénergie mais remplie de bonheur. A chaque fois que ma main glissait dans ma chatte, jentendais à nouveau le souffle coupé, les respirations profondes de ma Maitresse qui devait probablement profiter de mon plaisir par ce lien mental quelle avait tissé.
Il est arrivé un jour, peut-être deux semaines après ce manège, quune pulsion sexuelle surgisse en moi pendant que je servais le couvert pour la famille seigneuriale, et quil ny ait que moi et Niel dans la pièce. Ce dernier supervisait à son habitude que tout soit prêt à lheure, et il survint que soudainement, javais une envie irrépressible quil me prenne, là tout de suite. Moi, la fermière timide et réservé il y a quelques jours, avait bien changé.
Alors que jessayais de réprimer cette envie de lui faire lamour sur le champ, jessayais de finir de placer les petites cuillères à leur place pour méclipser dans une salle vide. Mais mon excitation devait probablement se voir, tant je frémissais et devenais rouge ; je dandinais un peu des fesses, essayant de calmer cette envie de me masturber en frottant mes cuisses.
Niel laperçu, et sapprocha de moi.
- Cest Astradesy qui te rend nympho, cest ça ? me demanda-t-il tout en me saisissant par les reins. Fais-toi plaisir.
Je ne répondis rien et lembrassa. Mon cur battait la chamade, et je ne pouvais rien faire en cet instant quaccepter mon statut de chienne de sexe et mexécuter sur le champ.
Je massieds à même la table à manger, renversant un verre en cristal. Ma jupe étant très courte et ne portant pas de culotte, Niel vu tout de suite la situation : jétais trempée et je nattendais quune chose, quil me baise.
- Quelle sorcière incroyable, tu es une devenue une vraie petite pute en si peu de temps, cest dingue, me compliment-at-t-il avant de baisser son pantalon et de sortir son sexe turgescent. Sa bite avait grandi depuis la dernière fois, cétait sûr. Je soupçonnais le fait quil se faisait parfois lui aussi soumettre par la sorcière, mais tout ce que je fis en cet instant, cest écarter les cuisses pour laccueillir et lui ordonner : « prends moi, baise-moi, par pitié ! ».
Sa bite entra en moi comme un couteau dans du beurre, jétais tellement mouillée quil ny eu aucun souci à senfoncer jusquà la garde. Jétais en feu, je navais plus aucune idée clair, en oubliant jusquà mon nom. Je gémis lors de cette première attaque, puis continua à faire des petits bruits alors quil pilonnait sans ménagement, faisant bouger toute la table avec moi. Je le regardais dans les yeux, lui, cet homme qui mavait rendue aussi désirable et vulnérable. Il était la cause de tout ce qui marrivait, de ma transformation, et je ne pouvais pas lui en vouloir parce que ces derniers jours navaient été quune suite de plaisirs puissants et constants. Je ne résistais plus à rien, jacceptais ma condition de suceuse soumise, et cétait tout.
- Putain tes vraiment bonne, quelle salope !
Je mécrasais sur la table, renversant encore dautres verres, alors quil continuait son incroyable marathon en me bourrant de son sexe sans retenue.
Il se retira pour jouir, et ma tenue de travail fut aspergée de son liquide chaud. Jen reçu sur le visage, que je mempressais de lécher, espérant que son propre foutre aurait des vertus aussi insoupçonnées que celles de ma Maitresse.
Je me suis levée de la table pour maccroupir devant lui et laver son sexe, tout en essayant de me finir en me masturbant. Ma jouissance vint enfin alors que son pénis me faisait face. Je me sentais souillée, complétement dépourvue dhumanité, dépossédée de mes facultés intellectuelles. Un comble pour cette femme qui voulait faire des concours de poésie en buvant du thé, il ya encore quelques jours.
Mes cris et la vaisselle cassée avait probablement alterné tout le château, et je nosais pas encore entrevoir les conséquences de mes pulsions sexuelles daujourdhui. A cet instant je ne voyais que le sexe de mon amant, en gros plan, au niveau de mon visage.
On entendit alors souvrir la grande porte dentrée. Il sagissait de ma Maitresse qui était venue pour voir ce quil se passait, se doutant quil sagirait de moi, très probablement.
Elle accourut, un peu désemparée, et alors que le foutre de Niel décorait encore mon visage, me lança une claque qui me fit tomber au sol.
- Quest-ce qui te prend, sale trainée, de faire autant de bruit ?
Je ne savais pas quoi dire. Ma Maitresse nétait pas contente. Je prenais toute la mesure de la honte que je voulais lire dans son visage. Jétais allé trop loin ?
- Je
Maitresse, sil vous plait
- Tu nes plus quune petite chienne bonne à sucer des queues, cest ça ? Tu nes plus bonne quà ça ? Et bien on va devoir te considérer comme tel, et prendre les mesures qui simposent, a-t-elle déclaré.
Je ne savais pas ce que cela signifiait. Me considérer comme une petite chienne ? Quest-ce que cela pouvait bien pouvoir dire ? En temps normal jaurais peut-être compris, mais depuis le début de ces aventures mon cerveau semblait tourner au ralenti.
La sorcière Astradesy claqua alors des doigts. Et un long morceau de cuir apparu progressivement dans la main de ma maitresse. Un deuxième claquera de son autre main fit apparaitre un collier, en cuir lui aussi.
- Comme toute les petites chiennes qui ne peuvent pas se comporter correctement, tu vas devoir porter une laisse, très chère.
Jétais absolument horrifiée par ce que jentendais. Si javais vécu des séances de soumission et quon me traitait de tous les noms depuis quelques jours, ce nest pas pour autant que quelquun avait remis en cause mon humanité. Et en cet instant précis, ma Maitresse me faisait clairement comprendre que je nétais quune sous-humaine à présent, et que je ne pouvais plus me comporter de manière civilisée. Le fait est quelle me prouvait que je naimais pas seulement avoir une maitresse dominatrice sexuelle, mais que jen avais avant tout besoin. Et quelle devait elle-même prendre des précautions pour sassurer de ma sécurité et de celle des autres.
- Comprends, petite chienne. Si je te laisse en liberté imagine toutes les catastrophes que tu pourrais produire ? Jai besoin de garder un il sur toi à présent que tu es devenue ce que tu es. Jespère que tu es encore en mesure de comprendre pourquoi je fais ça.
Je baissais la tête, remplie de honte, me sentant moins que rien. Tout ça arrivait parce que je lavais déçu, elle.
- Oui Maitresse, je comprends.
- Parfait. Je vais tinstaller cette laisse dans ce cas.
Elle me saisit mes cheveux, que Niel tenu en lair pour quelle puisse me fixer mon collier. Il nétait pas trop serré, mais suffisamment pour que je sente sa présente lorsque mon souffle est court.
- Ceci est la matérialisation de ton appartenance, compris salope ?
Elle avait la voix dure, je saisissais à quel point javais dû la décevoir. Elle vint ensuite attacher la laisse au collier, et saisit la poignée à son bout.
- Tu vas dormir avec moi cette nuit, et les nuits suivantes. Je ne peux plus me permettre de te laisser toute seule.
Elle commença à avancer vers la sortie de la pièce, en tirant légèrement sur lencolure, quand elle sarrêta pour rajouter :
- Ha, et les petites chiennes ne portent pas dhabits, noublie pas.
Et elle claqua des doigts une nouvelle fois. Avec surprise, je me retrouvais soudainement nue, mes vêtements avaient complétement disparus, comme dissous.
Sans prêter attention à mon air ébahit, elle se dirigea vers ses appartements, tenant fermement ma laisse. Cette dernière faisait peut-être un mètre, ce qui me laissait loccasion de tenir debout, mais sans pouvoir véritablement mes distances ou me cacher. Si bien je pu croiser des bonnes avec qui javais pu sympathiser et qui étaient devenues des amies, comme Elenna par exemple. Elles affichèrent toutes un regard surpris, mais jétais rouge de honte et regardait mes pieds pendant ma Maitresse me trimbalait dans le château. Javais dailleurs limpression que ce nétait pas le chemin le plus court pour rentrer chez elle, et quelle en profitait pour clairement mafficher comme « sa » petite chienne salope, ce qui me remplit de bonheur : au fond, elle était fière de moi, non ?
En arrivant dans ses appartements, elle commença à me laisser là, au milieu de la pièce, pendant quelle retourna manger. Javais moi-même préparé cette volaille avant daller mettre les couverts pour la famille seigneuriale, et la voir manger devant attisait la sensation de lui appartenir pleinement. Elle ne daigna à maccorder un regard quaprès la fin de son souper, et se préparant à sortir pour une fête, se plaça devant moi en réfléchissant.
- Je pense que jai trouvé le bon moyen déviter que tu fasses nimporte quoi, dit-elle à voix haute.
Elle est claqua à nouveau des doigts. Une cage à lapin, mais de taille humaine, venait de se matérialiser dans la chambre. Elle minvita à y entrer en ouvrant la porte, et referma derrière moi une fois que je fus complétement à lintérieur.
Elle ferma lentrée avec une clé, quelle attacha autour de son cou, au niveau du commencement de son entre-sein.
Nous nous retrouvâmes faces à face, dominatrice et soumise se regardant, toutes les deux remplies dénormément démotions contradictoires.
Jétais tétanisée par lévolution de ma situation, et le fait dêtre enfermée comme un animal mexcitait, dautant plus que mes pulsions nymphomaniques commençaient à me reprendre.
- Tu peux faire autant de bruit que tu veux ici, personne ne tentendra hurler. Alors fais-toi du plaisir, tant que tu veux, tu ne ferras plus de dégâts.
Puis elle saisit son petit sac à main, orné et finement cousu, et sorti de la pièce.
Je commençais à penser que tout ça finirait mal pour moi.
[Merci pour votre orgasme rougi de honte <3 à très bientôt pour la suite !]
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