Erreur De Jeunesse
A cette époque, je vivais dans un village à la campagne. Je faisais partie du club de foot. Nos entraînements se déroulaient le samedi après-midi, comme ceux des basketteuses. Nos vestiaires se trouvaient dans le gymnase à côté du stade, comme ceux des basketteuses. Mais les nôtres avaient une différence, les douches collectives, par rapport aux vestiaires, se situaient de l'autre côté du couloir de l'entrée principale du gymnase, et étaient simplement séparées de ce couloir par deux grandes portes battantes.
J'étais assez pudique, et me sentais gêné à chaque fois de devoir traverser ce couloir, simplement muni d'une serviette et d'un flacon de gel douche, pour aller me laver derrière ces portes ouvertes aux quatre vents, donnant sur le passage de toute personne entrant ou sortant du gymnase.
C'était un samedi banal, après un entraînement comme les autres, j'étais sous la douche avec mes camarades. Comme je finissais de me rincer, je me suis rendu compte que quelqu'un nous observait, la tête passée entre les portes battantes entrouvertes, avec un sourire radieux... J'ai reconnu Virginie, une basketteuse qui passait par là et n'avait pu résister à la curiosité. Elle n'était ni jolie, ni laide, mais plutôt agréable. Elle était brune, assez grande, et avait des formes que beaucoup d'autres lui enviaient.
Mais surtout, Virginie faisait partie d'un petit groupe de trois ou quatre nanas connues pour être les plus effrontées, les plus arrogantes, les plus enclines à se jouer de notre naïveté de jeunes hommes prétentieux...
Les autres n'avaient pas semblé l'avoir remarquée, j'ai fait comme si moi non plus je ne la voyais pas. J'étais face à elle, faisant semblant de me concentrer sur ma toilette, et je la voyais du coin de l'il, à quelques mètres de nous, nous observer les uns après les autres. Cet instant a été assez bref, mais malgré ma pudeur excessive, j'en retirai une immense satisfaction.
C'est donc tout gonflé d'orgueil que j'ai pris le chemin du retour.
J'habitais à quatre kilomètres du village, je les parcourais généralement à vélo. Comme depuis quelques temps, j'avais pris l'habitude de fumer, je me suis arrêté en chemin à la vieille grange à moitié ruinée qui se trouvait à l'écart de la route, dans un petit bois broussailleux. Nous connaissions tous cet endroit depuis notre enfance, c'était un terrain de jeux idéal, à l'abri des regards. Je venais souvent là pour rêvasser, y rencontrant de temps en temps d'autres jeunes qui appréciaient aussi ce lieu pour son côté isolé.
Je fumais, assis sur le vieux banc en pierre à côté de l'entrée de la grange, le silence était agréable, mis à part un lointain bruit de scooter, qui avait l'air de se rapprocher. Je pensais à Virginie dans les vestiaires.
Ce souvenir et les extrapolations que j'en tirais étaient en train de m'exciter. Le bruit était maintenant tout proche et venait dans ma direction
Ce scooter transportait deux jeunes en survêtement. J'ai reconnu presque tout de suite Isabelle, qui conduisait. Elle était aussi basketteuse et copine de Virginie. Isabelle était un peu plus âgée que moi, et en quelque sorte la plus virulente du petit groupe de filles que j'ai cité tout à l'heure. Elle était assez jolie, mais surtout très sexy, elle avait un sourire carnassier, une poitrine très avantageuse, un caractère provoquant et bien trempé. En bref, c'est celle qu'on trouvait la plus désirable, mais aussi celle qui mintimidait le plus.
Comme le hasard fait bien les choses, la passagère d'Isa n'était autre que Virginie ! Elles venaient là simplement, tout comme moi, passer un moment après l'entraînement.
- Ah c'est toi, sexclama Isabelle !? Vivi m'a raconté... Tout à l'heure... Dans les vestiaires... Elle m'a dit que t'en a une toute petite comme ça ! dit-elle, en riant, montrant le bout de son petit doigt. Au fait t'as des clopes ?
- Euuhh mais non... C'est quoi ces conneries... Ce n'est pas ce que tu as vu, hein Virginie ?!
Celle-ci était pliée en deux, et bien sûr enfonçaient le clou en prétendant que c'est moi qui avait la bite la plus ridicule de toute l'équipe. Quoi de plus humiliant ? On est tellement obsédé par la taille de son sexe... Je leur donnai deux cigarettes, bien embêté, essayant désespérément de prendre la chose à la légère. Évidemment, elles se sentaient en force et ne pouvaient pas se comporter autrement, pleines de mauvaise foi et prêtes à tout pour me faire tourner en bourrique. Moi j'ai démarré au quart de tour et perdu pied, tellement jétais niais et intimidé par ces deux filles qui m'impressionnaient tant.
- Moi je suis sûre qu'elle dit vrai, reprit Isabelle... Mais si tu n'es pas d'accord, alors tu n'as qu'à nous montrer !
- Mais il n'y a rien à voir je te dis, insista Virginie ! De toute façon il n'a même pas de couilles, il ne le fera jamais...
Je tirais sur mon mégot jusqu'à me brûler les doigts en les écoutant rire et se moquer de moi. L'idée de baisser mon pantalon devant elles réveillait une vive sensation électrique dans mon ventre, un mélange de désir et de crainte intense. J'étais troublé, partagé entre l'envie de le faire et celle de fuir au loin. Mais la fuite aurait été un aveu de mon absence de virilité et leur aurait donné raison. Quel dilemme imbécile et ridicule, quand j'y repense ! Mais sur le moment, pour moi, c'était comme une question de vie ou de mort.
- Et pourquoi je ferais ça, demandai-je ? Vivi raconte des conneries...
- Tu vas le faire parce que sinon, on va raconter à tout le monde que t'as une petite nouille à la place de la bite, persifla Isabelle !
- Mais si c'est pas vrai, alors pourquoi tu flippes, reprit Virginie ?
T'as rien à perdre... Allez, baisse ton falzar, fais nous voir ton p'tit bout
!
- Mmmmh, non... Enfin bon d'accord... Si vous le faites aussi !
- Ça va pas non, sexclama Isabelle !? Nous on s'en fout, on a rien à prouver... Je ne vais pas te montrer mon cul juste pour voir ta petite quéquette, ça ne vaut pas le coup !
A ce moment-là, j'étais prêt à baisser mon pantalon pour en finir, malgré ma crainte et mon excitation qui montaient en puissance. Mais Virginie se mit à parler à l'oreille d'Isabelle, ce qui la fit sourire. Inquiétant
- Bon d'accord, dit Isabelle ! On va aller là-haut, dans la grange...
Tu vas te dessaper, et après on te montrera nos seins...
A ces paroles, je me mis à bander. Me retrouver tout nu devant ces deux-là, voir leur poitrine dénudée, peut-être même que les choses pourraient aller plus loin... Je me dis qu'elles allaient me charrier de me voir à poil, comme ça, la trique à l'air, au milieu d'un tas de foin. Je n'étais pas du tout en confiance, mais l'excitation était tellement grande, que je tentai quand même une suggestion.
- Ouais OK, dis-je, mais alors vous aussi, vous quittez tout !
- Bon d'accord, accepta Isabelle après un chuchotement à l'oreille de sa copine... On y va... On monte dans le foin.
A ma grande stupeur, elles avaient accepté. J'avais espéré leur refus, ce qui maurait permis d'en sortir la tête un peu plus haute. Mais j'étais aveuglé par l'état de mon sexe prêt à éclater dans mon caleçon, j'ai sous-estimé le fait qu'il y avait à coup sûr une fourberie de leur part à venir, elles ne pouvaient pas avoir accepté si facilement.
Arrivés dans le foin, je me tenais à deux ou trois mètres en face d'elle, complètement tétanisé par cette situation sans précédent.
- Euuh, bon alors, on y va, hésitai-je ? On le fait en même temps ?
- Ouais d'ac, en même temps, répondit Isabelle avec un petit air faussement craintif... Mais alors tourne-toi, ça sera plus facile pour tout le monde.
L'argument m'a paru logique et sincère, alors je leur tournai le dos, et à son signal j'ai commencé à me déshabiller doucement. Mon sexe était dans tous ses états, mais mes testicules se rétractaient d'une drôle de façon sous l'effet de la peur. Je jetais mes habits au fur et à mesure à côté de moi. Je les entendais pouffer dans mon dos, les imaginais quittant leurs vêtements, persuadé que cette situation les excitait elles aussi... Il ne me restait plus que mon caleçon, et j'hésitais à le quitter, je ne savais pas comment me tenir, je bandais comme un fou et mes mains ne suffiraient pas à le cacher quand je me retournerais. Je croyais qu'elles se tenaient, derrière moi, presque nues, cherchant elles aussi à cacher leurs parties intimes. Cette pensée me fit transpirer de plus belle, comme si j'avais de la fièvre.
- Bon alors, tu l'enlèves ton calbut ou quoi, sécria Virginie !?
- Mais, hésitai-je n'osant pas regarder derrière... Vous, vous en êtes où ?
- Ça y est, nous on est prêtes, on t'attend, affirma Isabelle ! Allez, fais nous voir ton p'tit cul...
Je quittai donc mon caleçon, dans la plus grande maladresse et le laissai tomber à regret sur le tas de mes affaires. Je n'osais pas me retourner, je me tenais là, les deux mains masquant à peine mon sexe turgescent, le visage écarlate, trempé de sueur de la tête aux pieds, je sentais leur yeux chatouiller mes fesses. Je me disais qu'une femme excitée pouvait se retrouver nue sans que ça se voie vraiment, ce qui n'était pas mon cas, et je trouvais ça très injuste.
Évidemment, vous l'aurez deviné, les deux pestes ne s'étaient pas du tout déshabillées. Je vis tout à coup, avec effroi, Isabelle se ruer sur mon tas de fringues, s'en saisir, et jeter le tout sur le toit, au travers du trou le plus proche. Un frisson me glaça le dos. Comment ai-je pu être aussi bête !? Sûrement parce qu'au fond de moi, je l'avais bien voulu...
Les deux garces se tenaient maintenant devant moi, toutes habillées, montrant du doigt mon entre-jambe dans un fou-rire dément ! Je faisais ce que je pouvais pour me tourner, ne leur monter que mon dos, D'une main, j'essayais de me cacher, de l'autre j'essayais de récupérer mes habits, ce qui était impossible vu qu'il me fallait escalader la charpente. Puis, profitant de mon désarroi, Virginie me ceintura par derrière. Elle était plus grande que moi, et me retenait avec toute sa force alors que je me débattais de la façon la plus ridicule qui soit. Ce n'est pas facile de lutter nu, mais en plus avec une trique d'enfer, contre deux jeunes sportives sadiques et déterminées, c'est peine perdue. Je sentais son survêtement contre mon dos et mes fesses, je sentais ses seins écrasés contre moi... Je ne pouvais pas me servir de mes bras, je subissais complètement la situation. Ces sensations avaient pourtant quelque chose de fantastique.
Isabelle attrapa mes jambes, sous les genoux, tandis que Virginie me tirait en arrière, en me serrant sous les bras, ce qui fit que, malgré mes gesticulations, je me retrouvais les quatre fers en l'air, les jambes écartées et totalement exposé, alors qu'elles riaient de plus belle. Ma bite était prise de spasmes, juste sous le regard et la poitrine d'Isabelle.
Quelle humiliation de se faire coincer comme ça par ces deux merdeuses. Mais le contact de leur corps avec le mien complètement nu provoquait en moi des ondes intenses qui ravivaient d'autant plus mon érection.
- Tu vois, je te l'avais bien dit qu'il en avait une toute petite, jubilait Virginie !
- Et mais qu'est-ce-que tu nous fais là, sécria Isabelle ? T'as pas honte !? T'as vu Vivi , on dirait un coton-tige ! Oh et ses pt'ites couilles on dirait des tic-tacs...
Elles cherchaient à m'humilier tant qu'elles pouvaient, tout en se rinçant l'il avec une joie toute évidente. Puis Virginie m'a lâché, je me suis retrouvé le dos dans le foin piquant, tandis qu'Isa me tenait toujours les jambes en l'air. Je ne pouvais pas faire grand-chose, je me débattais de moins en moins. D'un coup, Virginie s'assit sur ma poitrine et pris mon sexe à pleine main, en le serrant bien fort, le tordant dans tous les sens. Elle me pinçait le gland, tirait sur mes couilles qui cherchaient désespérément refuge dans mon bas ventre. Elles riaient à s'en décrocher la mâchoire. Cela déclencha en moi des éclairs d'émotions fulgurants. Même si Virginie n'usait d'aucun tact, et était même carrément brutale, chacun de ses gestes me portait au bord de la jouissance.
- Hey, tu ne voudrais pas le tenir toi, demanda Isabelle ? Je voudrais tâter moi aussi !
- Attends, ne le lâche pas, je vais trouver une ficelle, il y en a plein dans les bottes de foin, répondit Virginie.
- Non ! Attendez, je ne bouge plus, promis !
- Attache-lui quand même les mains, je n'ai pas confiance, dit Isabelle !
Malgré tous mes efforts pour me libérer, Virginie réussit quand même à ligoter mes mains dans mon dos. Isabelle avait lâché mes jambes, et j'essayais de me retourner à plat ventre pour échapper à leurs sarcasmes et leurs mains baladeuses, pour retrouver un peu de dignité. Mais le vieux foin bien sec n'est absolument pas confortable pour un gland gonflé à bloc ! J'ai donc commencé à me laisser faire, de plus, l'envie qu'elles continuent à toucher mes parties intimes, même dans ces conditions, était la plus forte.
Comme Virginie l'avait fait, Isabelle commença à jouer avec ma bite, testant sa rigidité, les directions extrêmes dans lesquelles elle pouvait aller, tirait dessus, me pinçait les testicules, me tirait les poils, le tout dans la plus grande hilarité et le désir de m'humilier. Mais de mon côté, je ne me sentais plus du tout humilié, j'éprouvais un plaisir intense qui me faisait tourner la tête.
Isabelle se tenait à genoux entre mes jambes bien écartées, au-dessus de moi. Je voyais ses seins lourds pendre tout prêt de mon sexe, son sourire carnassier, ses cheveux qui cachaient la moitié de son visage, et sentaient ses mains qui exploraient toute mon intimité... Quelques secondes plus tard, j'ai joui violemment. Ce fut une incroyable explosion de plaisir, pour une éjaculation tellement médiocre. J'étais pris de spasmes, et un froid intense m'envahit. Je sentais mes boules rentrer dans mon ventre, mon gland me faisait mal. Isabelle s'était écartée de moi à la première goutte de sperme qu'elle avait senti sur ses doigts.
J'avais l'impression de mourir, leurs éclats de rire étaient lointains, je sentais à peine la main d'Isabelle s'essuyer sur ma cuisse, je l'entendais à peine plaisanter en m'accusant d'être un gros dégueulasse. Je commençai à me replier comme un ftus, je sentais que mes attributs s'étaient ratatinés et fripés d'une façon grotesque, comme si je les avais plongés dans l'eau glacée. Je me sentais si vulnérable et pitoyable.
Les deux filles profitaient de ma faiblesse, écartaient mes jambes et titillaient la petite crevette qui me servait de virilité, et bien sûr continuaient à rire de plus belle... Je ne résistais plus, je n'en avais plus rien à faire. Isa, à l'aide de son pouce et de son index, délicatement, décalotta mon gland tout rose et vulnérable, et l'observa un instant. Puis, de sa main droite, encercla la base de mon sexe et de mes couilles, et serra le tout fortement, tirant douloureusement ce petit paquet vers elle. Elle approcha son visage en me regardant dans les yeux, un éclair de sadisme illuminant son regard.
- Maintenant, si tu veux qu'on te détache, tu vas promettre de nous obéir, menaça Isabelle... Répète : « Isabelle et Virginie sont les plus belles et je jure de faire tout ce qu'elles me demanderont » !
- Isabelle et Virginie sont...
- Répète, insista Isabelle tirant sur mes parties de plus en plus fort ! Sinon je te les arrache !
J'ai donc répété, avec une petite voix. Satisfaite, Isabelle relâcha son étreinte, décidée à me détacher. Virginie n'était pas d'accord, mais Isa finit par la convaincre que dans mon état, j'étais inoffensif et que je ne risquais pas d'aller bien loin... Dès que mes mains ont été libérées, je me suis redressé et me suis précipité vers le bord du toit effondré, pour essayer de grimper afin de récupérer mes vêtements. Je sautai pour agripper des deux mains la poutre la plus proche de l'ouverture, et me balançai, essayant de l'accrocher avec une jambe. Virginie se saisit immédiatement de ma bite et tira dessus de toutes ses forces, ce qui me fit lâcher prise, m'envoya bouler dans le foin, et fit éclater de nouveaux fou-rires.
- Ne cherches pas à te sauver, mavertit Virginie ! Si tu ne fais pas ce qu'on te dit, ça va très mal se passer...
- Allez debout, ordonna Isabelle ! Viens par ici... Gentil garçon...
Je me rendais compte que je ne pourrais jamais grimper sur le toit, à moins qu'elles ne me laissent faire. J'étais à leur merci, à bout de nerf, mais au fond de moi je trouvais que cette situation n'était pas si déplaisante que ça. Je sentais la chaleur de l'excitation revenir dans mon ventre, je voyais la satisfaction de se sentir toute-puissante se peindre sur leur visage. Je me suis donc relevé, pour me tenir face à elles, les deux mains protégeant fermement mon entre-jambe de leurs regards intrusifs.
- Non non, pas comme ça, dit Isabelle... Les mains dans le dos !
- Ouais vas-y, ramène tes p'tites coucougnettes par-là, et rappelle-toi que c'est nous qui commandons, dit Virginie... Si tu veux qu'on te laisse repartir...
Je m'exécutai, rouge comme une tomate. Mon sexe était complètement ratatiné, je me trouvais tout à fait ridicule. Je sentais tous les courants d'air sur chaque parcelle de mon corps, j'avais la chair de poule et n'osais pas les regarder dans les yeux. Lentement, je recommençais à bander, un fourmillement s'emparant inexorablement de mon sexe. Les deux nanas s'étaient calmées, elles me détaillaient de la tête aux pieds, un petit sourire malicieux au coin des lèvres. Isabelle s'approcha, se positionna à mon côté, passa une main entre mes fesses, venant toucher mes couilles, son autre main venant la rejoindre, par devant. Elle accentua la pression, comme si elle essayait de me soulever. C'était délicieux, elle faisait ça pour me tenir en respect.
- Maintenant, tu vas te branler, dit doucement Isabelle...
- Oh mais non, euh, je ne peux pas faire ça, répondis-je...
- Bien sûr que si, tu vas le faire, sécria Virginie !
- Fais-le, après on te laissera tranquille, dit Isabelle durcissant sa prise... Peut-être...
Avec les mains d'Isabelle pressant mes bourses, un avant-bras entre mes fesses et l'autre contre mon ventre, son pubis pressé contre ma hanche, je commençai à me masturber. Virginie s'était assise dans le foin, juste en face de moi, regardait et semblait troublée. Tandis que je me concentrais sur cette branlette improbable, il me sembla qu'Isabelle se frottait contre moi, qu'elle écrasait son clitoris contre mon bassin... Je ne sais toujours pas si cette impression était véritable, mais elle précipita mon éjaculation.
C'était merveilleux, de jouir ainsi...
Le reste, n'est qu'un vague souvenir. Je ne me rappelle que de la claque que mit Virginie sur mes fesses, que du baiser mouillé que fit Isabelle sur le coin de ma bouche, serrant mes couilles une dernière fois dans sa main... Puis elles me laissèrent là. Je me souviens à peine de la galère, que j'ai dû endurer en grimpant sur le toit pour récupérer mes habits. Je ne me souviens même plus du retour à la maison, comme si j'avais pris la cuite du siècle...
Le week-end suivant, au stade, les deux filles étaient rayonnantes.
Elles me faisaient des signes de loin, me rappelant le foutu moment qu'on avait passé, et le foutu serment que j'avais dû leur faire. Je me sentais vraiment penaud, et j'évitais tout contact. Je les regardais, du coin de lil, elles menaient de grandes discussions avec leurs copines, qui rigolaient beaucoup. J'étais sûr qu'elles parlaient de moi. Sans doute était-ce vrai. Je ne sais pas ce qu'elles ont bien pu leur raconter, en tout cas, après cet épisode, j'avais beaucoup plus de succès qu'avant auprès des autres jeunes femmes. Et depuis, j'ai toujours au fond de moi le désir d'être déshabillé et dominé par de jolies femmes...
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