Premiers Pas En Club

Pour mon premier essai, je vais vous conter une histoire vraie.
Etant veuf et ayant pratiqué l’échangisme depuis longtemps, je n’avais hâte que de recommencer avec une compagne qui accepterait.
Il est vrai que j’en ai emmené plus d’une sur divers lieux d’échangisme mais la compagne du moment était de loin la plus excitante.
L’histoire suivante date de 2 années maintenant.
Commençons par moi-même : Mike, homme encore très présentable malgré mes 68 ans … et oui ! mais malheureusement fort diminué suite à un cancer de la prostate ; l’esprit restant parfaitement « dans le coup ». Grand et bien en chair !
Je ne voulais pas que ma compagne du moment que nous appellerons Gigi 56 ans et encore très belle grande femme soit en manque de pénétration bien que depuis mon opération, on m’appelle « Goldfinger ».
Après quelques discussions très positives, elle accepte ma proposition d’aller « voir » ce qu’il se passait dans un club.
Le vendredi en question, elle se prépara avec les vêtements super sexy .
Une mini jupe en jean’s très courte avec un micro gilet en jean’s également ce qui mettait en évidence sa magnifique poitrine de 95 E, des bas auto-fixant noirs donnant un des plus beaux effets à ses superbes jambes, des souliers à talons hauts et bien sûr, pas de culotte !
Son allure était on ne peut plus bandante.
Déjà, dans le parking à proximité du club, elle n’est pas passée inaperçue à voir les regards des gardiens ainsi que hélas des gens dans la rue (j’écris hélas car seuls elle et moi savons pourquoi !) ; cette situation de fait me plaisant énormément.
L’entrée dans le club fut normale et après avoir payé et la carte de membre et la redevance pour couple, nous sommes montés à l’étage pour déposer nos effets personnels au vestiaire.
Après quelques gin’s orange, je lui demande d’aller reconnaître seule les lieux en m’étant rendu compte qu’un, voire plusieurs hommes s’intéressaient à sa superbe silhouette.


Et voilà ma Gigi partie, suivie peu après par un des hommes accoudés au bar ; un gaillard d’une trentaine d’années.
Quelques minutes plus tard, ne la voyant pas revenir et pensant qu’elle s’était égarée dans le dédale des alcôves ou autres chambres, je m’en vais à sa recherche pour exercer mon penchant de voyeur !
Je ne la vois pas et ne la trouve pas.
Ce n’est qu’une vingtaine de minutes plus tard que je la vois sortir d’une pièce fermée par une porte du rez-de-chaussée !
Elle venait à ses dires de se faire sauter deux fois de suite par l’individu qui lui avait emboîté le pas.
Et bien ma salope (pas péjoratif), tu as bien vite compris la définition d’un club libertin mais moi, je restais sur ma faim puisque je n’avais rien vu ni entendu.
Qu’à cela ne tienne, nous sommes allés manger dans le même établissement car c’est un « all in » puis sommes remontés à l’étage qui s’était enrichi en hommes seuls.
Je dois vous dire que le vendredi, le club est accessible aux couples et aux hommes seuls.
Au bar, pas mal d’hommes nous regardaient (elle plutôt que moi) avec insistance d’autant plus que je m’amusais à caresser ma Gigi en ayant soin de lui faire écarter les jambes pour que l’on devine plutôt que de voir et ainsi respecter une certaine pudeur !!
Ce petit jeu lui plaisait très fort car elle mouillait très fort.
Après trente minutes, je lui demande d’aller à nouveau faire un tour mais cette fois à l’étage supérieur où se trouvent les chambres ; immédiatement suivie par 2 ou 3 amateurs de sexe.
Lui laissant le temps de se faire draguer, je l’ai suivie en toute discrétion.
Déjà, je la voyais en grande discussion amicale avec 2 hommes bien plus jeunes qu’elle tandis qu’un troisième la pelotait sans vergogne ! Bien sûr, dans un club, on n’y va pas pour prier !
Un des partenaires la fît assoir sur un lit et lui a présenté son engin à sucer couvert d’un préservatif.
Elle ne s’est pas faite prier et tandis qu’elle suçait, un second lui a demandé de se coucher et lui a présenté aussi son engin à sucer.
Pas de problème, elle m’étonnait de plus en plus et apparemment y prenait goût ce qui me satisfaisait totalement !
Lui écartant les jambes avec délicatesse, et sans qu’elle me voit, je fis signe au troisième qu’il pouvait y aller et il ne s’est pas fait attendre.
Les jambes relevées, il l’enfourchât tout de go et tout en suçant les 2 autres à tour de rôle, je voyais son plaisir augmenter jusqu’à la jouissance.
Il faut dire que ma Gigi a la faculté de jouir à répétition.
Après avoir pris son plaisir également, il a cédé sa place au premier puis au troisième et entretemps, je m’étais étendu près d’elle pour la caresser et lui dire mon amour pour ce moment de bonheur candauliste.
Ce soir a été le début d’une série de libertinages tous plus délicieux les uns que les autres.
Je vous conterai une autre histoire vraie d’ici peu en vous parlant de cinéma.

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