Fille Au Pair (Chapitre 1 / 6)
Chapitre I Séjour à Londres.
Agée de 20 ans depuis le printemps, je viens de passer un an à Barcelone où pour me perfectionner dans la langue de Cervantès, jai trouvé une place de fille au pair dans la famille dun ingénieur catalan. Je dois y retourner pour une seconde année à partir de septembre.
Issue dune fratrie de quatre s, je suis Sidonie, la plus jeune. A 30 ans, ma sur ainée a émigré au Canada avec son mari et leur bébé lan passé. Mes deux frères jumeaux de 28 ans sont entrés dans la vie active, chacun avec un diplôme dingénieur, lun en électronique, lautre en électromécanique. Ils ne sont pas mariés mais vivent avec une copine depuis quelques temps déjà.
Pour une fille, je suis plutôt grande car je mesure près dun mètre soixante dix. Très brune de par mes origines hispaniques, jai une poitrine plutôt menue mais avec des tétons très sensibles et proéminents et des hanches étroites sous une taille fine.
Au cours de mes études au lycée, jai fait plusieurs séjours linguistiques en Angleterre avec mes classes et je suis allée passer deux mois à Londres en juillet et août avant dentrer en classe de terminale. En trichant sur mon âge, javais trouvé une place de serveuse dans un restaurant italien.
Si pendant ces deux mois, jai pu me perfectionner en anglais, je me suis aussi pas mal dévergondée avec le patron du resto qui était un chaud lapin. Je nétais pas une oie blanche mais cest véritablement avec cet homme que jai découvert les joies du sexe et les diverses facettes de ma sexualité.
En fait, je nétais déjà plus vierge depuis longtemps. Javais sauté le pas lété de mes 16 ans avec un garçon de mon âge au cours de vacances en famille sur la Côte dazur. Nous nous étions rencontrés à la discothèque du village de vacances où il séjournait aussi avec ses parents.
Nous avions dansé et flirté pendant plusieurs soirées avant de nous retrouver lavant dernier soir du séjour pour faire lamour au clair de lune au milieu des pins.
Depuis, jai fait lamour avec pas mal de garçons de mon âge et jai même eu une relation saphique pendant six mois avec une fille de ma classe. Sous prétexte de réviser le bac de français, nous nous retrouvions dans sa chambre pour nous caresser et nous donner mutuellement du plaisir avec un gode à double tête découvert dans les affaires de sa mère.
Mais revenons aux deux mois passés à Londres.
Lors dun séjour avec mes camarades de classe au milieu de lhiver précédent, jétais allée dans une agence de placement où javais déposé un dossier. Javais sciemment modifié ma date de naissance pour être majeure
avant lété. Lorsque jai reçu un mail de Guido, le patron du restaurant qui souhaitait membaucher, jai sauté de joie ! Jallais passer deux mois pendant lesquels je parlerais anglais tous les jours. Cela ne pouvait que mêtre profitable
En plus je serais logée au dessus du restaurant dans une des chambres mise à disposition du personnel saisonnier, chose peu courante. Tout était donc parfait. Après un rapide trajet en train et un bref trajet en taxi, jarrive devant le restaurant : Bel établissement dans un quartier très touristique que je connais déjà un peu.
Je suis accueilli par une femme dune bonne cinquantaine dannées aux formes rebondies. Coiffée dun chignon strict, elle a un visage souriant et sexprime dans un français teinté daccents italiens : Cest Maria, la mère de Guido qui me souhaite la bienvenue ! Jai appris plus tard quelle était la veuve dun officier de lArmée britannique dont elle avait fait connaissance lorsque ce dernier était basé à Naples.
Nous montons ensemble au second troisième étage. Elle mexplique que son fils et sa copine partagent le second où elle loge également dans un petit appartement indépendant.
Lune comme lautre, nous commençons notre service le soir même. Heureusement, cest le début de la semaine et il ny a pas trop de monde dans les diverses salles du restaurant. Notre service en est dautant facilité et nous nous habituons rapidement aux usages de la maison. Guido supervise le service, accueille les clients et sa mère trône à la caisse sur un siège haut. En cuisine et au four à pizzas, il y a trois autres personnes, toutes dorigine italienne.
Le restaurant ferme à minuit et après avoir rapidement débarrassé les tables, Anja et moi, nous regagnons nos chambres en échangeant nos premières impressions. Autant je suis brune par mes origines méditerranéennes, autant Anja est blonde. Grande fille à lallure quelque peu délurée, elle a des cheveux longs noués en queue de cheval. De grands yeux bleus, un petit nez retroussé et des lèvres pulpeuses, des formes harmonieuses, je peux dire que cest une belle fille.
Je suis un peu plus grande, brune de peau, des cheveux noirs coupés en carré court, jai de grands yeux bruns ourlés de longs cils. Mes lèvres sont naturellement rouges si bien que je me contente den souligner le contour. Ma silhouette est plutôt longiligne car je fais très attention à mon hygiène de vie, je mange peu et dès que je peux, je dépense mon énergie en faisant du sport.
Dès les premiers jours, je mentends bien avec Anja. Nous avons les mêmes goûts musicaux et elle me fait découvrir des groupes allemands qui sont quasiment inconnus en France. Nous nous racontons aussi nos petits secrets intimes et un soir nous éclatons de rire en parlant du Guido, le fils de la patronne.
Anja me raconte comment ce coquin la coincée dans un coin des cuisines lors de la pause daprès midi et il lui a carrément proposé de coucher avec elle
De mon côté, javais vu quil me regardait avec insistance, lorgnant sans vergogne sur mes fesses étroitement moulées dans ma jupe courte et mes jambes gainées de fins bas de voile avec des coutures.
Lune comme lautre, nous nétions pas là pour batifoler. Nous perfectionner dans la pratique de la langue et mettre quelque argent de côté, cétait notre but commun.
Cest le lendemain soir que tout a basculé. En débarrassant une table avec un plateau, Anja a fait basculer la vaisselle sur le sol de loffice et il y a eu pas mal de casse. Au moment où nous allons quitter loffice du restaurant pour regagner nos chambres, Mme Maria nous dit sur un ton sévère :
Anja, tu vas avoir la punition que tu mérites. Il y a quatre assiettes et six verres cassés, tu vas recevoir dix coups de cravache sur les fesses. Monte dans ta chambre, attends nous avec Sidonie.
Lune comme lautre nous avions entendu parler de léducation anglaise mais jamais nous naurions envisagé que nous allions lexpérimenter. Mme Maria ma dit dassister à la punition dAnja à titre dexemple, comme cela, a-telle dit je ferais attention.
Cinq minutes plus tard, jétais avec Anja dans sa chambre quand Mme Maria est entrée, la mine sévère, suivie de son fils et de sa belle-fille. Jai immédiatement compris que ces derniers allaient assister à la punition dAnja.
Mme Maria a commandé à cette dernière de se mettre à quatre pattes sur son lit et de trousser sa jupe sur ses reins :
Dégage bien ton cul, tu vas voir ce que çà fait de casser la vaisselle.
Avec pas mal de réticences Anja sinstalle sur son lit et remonte sa jupe sur ses reins.
Allons, pressons si tu ne veux pas que jaugmente le nombre de coups de cravache !
Dès quAnja est en position, Mme Maria fait siffler la cravache en cuir comme celle des cavaliers. Lextrémité est pourvue dune large palette qui ne tarde pas à cingler les globes fessiers dAnja qui tressaute à chaque fois
mais ne crie pas.
Je suis étonnée de me sentir échauffée par ce spectacle dune fille en train de se faire fouetter. Jai chaud. Les tétons de mes seins se tendent dans mon soutif et une douce chaleur envahit mon bas ventre au point que je mouille le fond de ma culotte.
Dès que les dix coups de cravache sont appliqués, Mme Maria et sa belle-fille quittent la chambre. Guido tarde quelque peu et je comprends pourquoi quand il sort de sa poche un tube donguent apaisant quil passe sur les traces laissées par les coups de cravache :
Comme çà tu auras moins mal ! Demain tu ne sentiras plus rien !
En appliquant le baume, il fait glisser le string et passe sa main entre les cuisses dAnja qui ne proteste pas. Guido accentue sa caresse en introduisant deux doigts dans la chatte légèrement poilue de ma copine qui soupire daise :
Cest ta récompense pour navoir pas crié quand ma mère te fouettait ! Je vais te donner du plaisir.
Voyant la tournure sexuelle que prennent les choses, je veux méclipser discrètement quand Guido dit sèchement :
Ne te sauve pas Sidonie ! Fous-toi à poil, je vais ten donner aussi !
Je me rebelle en entendant cet ordre mais Guido ma vivement conseillé dobéir si je ne voulais pas gouter aussi de la cravache de sa mère. Moins dune minute après, je suis quasiment nue, je nai plus sur moi que ma culotte et mon soutif.
Jai dit « à poil » çà veut dire entièrement nue !
Je quitte mes sous-vêtements et constate que le fond de ma culotte est effectivement trempé de mouille. Guido sapproche de moi et pendant quil caresse mes seins, faisant dresser à nouveau les tétons, il ordonne à Anja de mimiter. Rapidement nue à son tour, elle vient se placer à côté de moi en croisant ses mains sur son pubis duveteux.
Dans le miroir placé au dessus du lavabo, je peux nous apercevoir, la blonde aux formes un peu généreuses et la brune longiligne, soumises aux caprices lubriques dun bel italien au sourire charmeur. Je suis prête à tout ce quil voudra
Guido continue ses caresses. Quand il flatte les seins de lune, il honore la chatte de lautre en lui introduisant plusieurs doigts. Je ruisselle littéralement
Jai chaud, mais cest bon, je sens la jouissance monter
jusquau moment où Guido défait la ceinture de son pantalon qui glisse à ses pied, nous faisant découvrir, emprisonné dans son boxer un vit de belle taille.
Nous comprenons ce quil veut. Nous nous mettons à genoux devant lui et dans un bel ensemble, nous faisons glisser son boxer jusquaux chevilles. Nous laidons à se défaire de son pantalon et de son boxer et pendant que je malaxe ses couilles, Anja embouche le vit déjà bien bandé.
Cest chaud ! Nous nous partageons cette belle bite fine et longue. Quand une la en bouche lautre lèche le tronc ou fait rouler les couilles dans sa bouche ou entre ses doigts. Pour moi, cest une première. Je nai jamais eu quun seul partenaire, homme ou femme, en même temps.
Guido nous dit soudain :
Çà suffit ! A genoux sur le lit toutes les deux en levrette !
Nous nous plaçons rapidement comme Guido le souhaite ! La menace de la cravache nous fait obéir promptement mais il ne semble pas vouloir sen servir.
Dès que nous sommes en place, Guido caresse nos fessiers offerts à ses regards puis, il enfile un préservatif sur son sexe bandé. Laquelle des deux va-t-il prendre en premier ? Je suis tellement trempée de mouille quil pourra me pénétrer facilement. Pas de chance ! Cest Anja qui est baisée la première. En fait il nous baise alternativement, quelques allées-venues dans le sexe de lune puis il continue dans le sexe de lautre.
Cest très excitant dentendre son ventre claquer contre le cul dAnja alors que jattends de subir le même traitement quelques secondes plus tard. Mon plaisir monte, monte de plus en plus et je lexprime à haute voix ce qui excite encore plus Guido qui désormais ne cesse de pilonner ma chatte à grands coups de reins en titillant mon illet plissé du bout dun doigt jusquà ce que la jouissance memporte.
Il na pas joui aussi passe til aussitôt dans la chatte dAnja pour la baiser rapidement en la faisant grimper vers les sommets du plaisir en introduisant deux doigts dans son cul
qui les absorbe facilement quand, à son tour il jouit en même temps que ma copine...
Dès quil a fini, Guido se rhabille rapidement en nous conseillant de nous reposer mais surtout dêtre discrètes : sa femme ne doit pas se douter quil baise en cachette toutes les serveuses du restaurant.
A suivre.
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