Ma Coloc' Nina
CHAPITRE 1: L'autre Nina.
Avant de raconter mon histoire, peut-être quune petite présentation simpose. Je mappelle Marc. A lépoque des faits, javais 25 ans, et je venais de décrocher un CDI dans une boîte dimport-export. Loin dêtre un emploi passionnant, il avait au moins le mérite de payer mes factures. Ce qui était loin dêtre négligeable, puisque je vivais dans un grand appartement du centre de Lyon, hérité dun lointain parent. Pour réduire les coûts, javais donc décidé de me mettre en colocation avec Nina.
Nina avait 22 ans, et je la connaissais bien puisque pendant longtemps, je lai dabord considérée comme la petite sur de mon meilleur ami. On sest un peu perdu de vue pendant un moment, puisque toute la famille est partie vivre dans le nord de la France. Et puis un jour, jai reçu ce message delle, qui me disait quelle revenait à Lyon pour son Master, et quelle cherchait des logements. Elle qui ne cherchait que des infos, ça tombait à point nommé. Elle a emménagé quelques jours après, chargée de deux grosses valises. Je me suis gardé la plus grande chambre, celle avec le balcon, mais la sienne ne déméritait pas : parquet ancien et hauts plafonds comme partout ailleurs, cheminée et grands placards. Nina a tout de suite aimé habiter ici.
Un peu plus dun mois était passé depuis le début de notre colocation. Nina avait bien investi les lieux. A commencer par notre salle de bain commune, où elle avait, intentionnellement ou pas, étalé tous ses produits de beauté. Moi qui ne la connaissais pas vraiment avant ça, jai découvert le côté « bordélique » de Nina. Des fringues à elle étaient éparpillées, un peu dans le salon, un peu dans lentrée. Mais ça ne me dérangeait pas. Jaimais ce joyeux foutoir, qui rendait lappartement moins froid, plus vivant. Jai aussi découvert un autre aspect de Nina que je ne connaissais pas ment avant : Nina était une jeune femme diablement sexy !
Des cheveux presque noirs, qui lui tombaient sur les épaules et quelle mettait souvent en queue de cheval.
Pour autant, et bien que ce soit plaisant de vivre avec cette belle créature, je ne considérais pas Nina comme une future conquête. Surtout que je navais pas à me plaindre, je ne manquais pas ment de relations.
Bien sûr, ce nest pas resté très longtemps le cas.
Un jour, début octobre, soit un peu plus de deux mois après le début de notre colocation, je suis rentré du travail un peu plus tôt. Javais prévenu que je rentrerais tard, mais la réunion qui devait me retarder avait été annulée. Une fois dans lappartement, jai tout de suite remarqué ces bruits, que chacun reconnaitrait parmi mille. Ces petits gémissements, cette preuve dun plaisir quon prend non loin de là. Jai dabord ressenti un malaise, pensant que je dérangeais, alors que jétais chez moi, au final. Et puis jai eu un petit sourire. Je me demandais si Nina avait ramené quelquun à la maison, ou si elle soffrait un petit plaisir solitaire. Je me suis dirigé vers le salon, faisant intentionnellement grincer les lattes du parquet. Les gémissements nont pas cessé ni même diminué pour autant. A quelques mètres du salon, je me suis retrouvé devant la porte de la chambre de Nina. Là, jai hésité. Très peu, au final, peut-être quelques secondes. Bêtise ou pas, guidé par ma curiosité, jai poussé la poignée et entrouvert la porte. Ce que jy ai vu ma bien entendu choqué, dans un sens, car je ne connaissais pas Nina sous cet angle, mais aussi terriblement excité.
Nina était allongée sur son lit, face à moi. Je pouvais voir ses yeux fermés, sa tête rejetée en arrière, lun de ses tétons ressortant de son soutien-gorge. Ce que je pouvais encore mieux voir, ce sont ses jambes, ouvertes, relevées, genoux pliés, sa petite culotte pendant à lune de ses chevilles.
Bien sûr, excité comme je létais, il a fallu que je me soulage moi aussi. Jai hésité un moment à aller piocher sur un site porno, mais je savais déjà que je ny trouverais pas satisfaction. Alors je suis allé dans la salle de bain, et par terre, jai trouvé ce qui allait peut-être être ma délivrance: une culotte de Nina. Mon sang na fait quun tour. Jai défait mon pantalon, saisi mon sexe, porté le sous-vêtement à mes narines, et je me suis masturbé. Je navais rien dautre en tête que les images de Nina se pénétrant avec sa brosse. Jai revécu toute la scène, intérieurement, jusquà ce que je sente lorgasme memporter. Jai joui dans la culotte, avant de me rendre compte de ce que je venais de faire. Jai alors jeté le sous-vêtement poisseux dans le bac à linge sale, espérant que Nina ne verrait rien.
Plus tard, nous avons diné ensemble, Nina et moi, et jétais bien évidemment très mal à laise dès que je croisais son regard.
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