La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°756)
Les Mondiaux de la Domination/soumission au Château (suite de l'épisode précédent N°755) - nappé et assailli -
Je reprends mes esprits et rouvre les yeux. Je maperçois quune cagoule opaque ma été posée sur la tête. Je suis dans le noir total ! Je constate également que je ne porte plus mon pantalon. Couché sur le dos dans un lit, les membres en croix et solidement attachés, je suis pris de panique, ma respiration sest subitement accélérée. Ai-je été donné ? Ai-je servi de monnaie déchange, troqué, hypothéqué en échange de ces luxueuses montres acquises par Monsieur le Marquis ? Je me calme et reprends mes esprits en me disant, avec un brin dhumour, que si tel est le cas, je représente une belle valeur marchande ! Et puis non, restons lucide ! Cest plutôt linverse, je ne vaux rien du tout, je ne suis quun esclave sans valeur ! Alors, apaisé maintenant, je cesse de tirer sur les liens attachants mes membres et attend patiemment la suite des évènements. Au bout de quelques minutes seulement, jentends des pas, puis une chaise grincer et le bruit de chaines trainant au sol.
- Où suis-je ? ose-je demander.
La réponse ne se fait guère attendre. Je reçois trois violents coups de cravache sur mes abdominaux. Jarrive toutefois à contenir mes plaintes, je me tords et cherche à me débattre. Je sens le bout de la cravache soulever mes couilles. Je me calme immédiatement craignant un instant que linstrument soit utilisé sur cette partie fragile et sensible de mon anatomie. La cravache toujours passe sous ma nouille molle, la lève. Au même moment, jattends une voix masculine qui ordonne avec autorité :
- Suce-le !
Manifestement quelquun monte sur le lit, le sommier craque, le matelas senfonce. Ce quelquun sinstalle entre mes cuisses écartées et happe avec ses lèvres ma queue et lavale gloutonnement. Deux vas et viens de ces douces lèvres inconnues sur ma hampe suffisent à me faire bander terriblement.
- Avale cette bite, mieux que ça ! ordonne-t-il
Au même moment jentends des coups de cravache tomber sur les fesses de celui ou celle qui me suce, puis des geignements, puis je sens des lèvres effleurer mon pubis. Je me crispe et me tends, serre les poings, je suis déjà au bord de lextase.
- Tu nas pas intérêt de jouir, toi la pute !
Et comme pour bien me faire comprendre que ces mots sadressent bien à moi, un coup de cravache sec, cingle mon téton droit. Je laisse échapper un cri. Un autre coup sabat immédiatement sur mon mamelon gauche cette fois-ci
- Tais-toi salope !
Contenir mon orgasme devient une réelle difficulté, une véritable souffrance. Et pourtant, je me déhanche et enfourne ma bite entre ses lèvres serrées. A ce moment-là, je sens une main prendre appui quelques secondes sur ma gorge. Jai peur ! Mais la main se retire très vite et arrache la cagoule que jai sur la tête. Face à moi, un homme entre 35 et 40 ans, une coupe militaire carrée, une barbe de quelques jours et une carrure impressionnante, tant par la taille que par la musculature. Je soulève la tête un tant soit peu, et vois accrochée à ma queue une femme aux cheveux blonds des yeux bleus me regardant tout en continuant à sactiver rageusement et furieusement sur ma bite. Où suis-je ? Le local est grand mais sombre, vétuste, des chaines pendent du plafond, sur une étagère accroché à un mur décrépi un nombre important de godes et de plugs de toute taille. Un peu plus loin, suspendu par des crochets, des fouets et cravaches et bien dautres accessoires BDSM.
Linconnu att la chevelure de celle qui me pompe encore et toujours. Il tire sauvagement sur les cheveux obligeant celle entre mes jambes de se dégager de ma bite en feu.
- Fais-toi brouter ! ordonne le Dominant
La jeune femme grimace.
- Ne jouit pas petite garce, sinon tu sais ce que tu prends !
- Oui Maître ! répond-elle difficilement.
- Et toi, bouffe la bien ! Reprend le Dominant en me torturant les couilles.
Ma langue glisse entre chaque repli de cette cavité intime, mes dents titillent ce petit éperon gorgé de sang. Au contact de mes dents sur ce clitoris excité, la jeune femme se cabre et hurle son plaisir. Elle vient de jouir ne pouvant se retenir plus longtemps sous laction de ma langue, de mes dents, de mes lèvres
elle vient de désobéir ! Sa cyprine coule à flot dans ma bouche
- Tu as joui salope ? interroge le Dominant
- Oh pardon Maître, oui Maître
répond-elle humblement
- Tu nes quune chienne désobéissante ! reprend le Dominant en lui assénant deux magistrales gifles - Dégage salope, tu ne penses quà ton plaisir, tu nes quune putain lubrique, dégage tai-je dit, je ne veux plus te voir
La jeune soumise se redresse et tente de sagenouiller devant celui quelle appelle Maître, pour implorer son pardon. Mais avant même quelle y parvienne, elle est attrapée par un bras et poussée vers la porte de sortie.
- Tu seras punie et sévèrement ! dit le Dominant en refermant la porte, la soumise expulsée dans le couloir..
Lhomme sapproche de moi dun pas décidé, son regard est froid, terriblement Dominant.
- A genoux, là ! mordonne-t-il.
Je mexécute immédiatement en baissant la tête ostensiblement. Lhomme sest campé devant moi, jambes écartées.
- Ecoute-moi bien, catin (silence) A partir de maintenant, tu mappartiens (silence plus long encore)
Je me mets à gamberger
Le Maître maurait-il vraiment cédé ? Le Dominant reprend :.
- Telle est la décision de Monsieur le Marquis dEvans (silence encore)
Mon cur bat très fort par la puissante émotion de tristesse qui me submerge, je suis totalement désemparé. Impossible pour moi d de subits sanglots
de grosses larmes roulent sur mes joues meurtries.
- Pourquoi pleures-tu, salope ? minterroge le Dominant
Je suis dans lincapacité de répondre. Ce nest pas possible, le Maître na pas pu faire ça
Comment vais-je pouvoir vivre sans Lui ?
- Nest-ce point le sort dun esclave dêtre prêté, cédé ou vendu ?
La main se resserre un peu plus encore tel un étau.
- Une décision de Monsieur le Marquis ne se discute pas, tu le sais bien salope. Un Maître, surtout un Grand Maître comme lui, a tous les droits sur son esclave
. Tu mappartiens désormais te disais-je, oui tu es à moi, tu es Mon esclave, Ma salope, Ma trainée gratuite, Mon vide-couilles personnel
A ces mots, je suis au bord de lévanouissement. Je suffoque par lémotion. Désorienté, mes yeux redoublent de sanglots. Mon corps tremblent
Aucun mot ne peut sortir de ma bouche, je suis tétanisé
Le Dominant finit sa phrase, laquelle il avait volontairement coupé dun long silence :
-
Mais juste pour vingt-quatre heures avant que je te rende, telle est la décision du Maître, Monsieur le Marquis dEvans.
A ses mots, je pousse un gros soupir de soulagement, quimporte ce que je vais devoir subir entre ses mains pendant ces prochaines vingt-quatre heures à partir du moment où je retrouve ma place aux pieds de Monsieur le Marquis dEvans.
- Eh bien, voila un esclave qui aime plus que tout le Maître qui le soumet ! Je men félicite... Bien alors, avec moi, le moindre écart et tu seras puni, suis-je clair !
- Oui Monsieur, dis-je rassuré
- Alors tu vas faire tout ce que je te dis.
- Oui Monsieur
La main se desserre enfin, je baisse la tête humblement, ma queue se redresse !
- Quitte ta chemise, chien !
Alors que jobtempère prestement, le Dominant dégrafe son jeans et le pousse le long de ses jambes. Devant moi se dresse un sexe déjà en érection dune taille et largeur impressionnante
- Vas-y !
Javance une main vers le sexe mais juste avant de men saisir, je reçois une gifle magistrale
- Quand tu toccupes de ma bite à genoux, tu commences toujours par me lécher les couilles en me regardant droit dans les yeux.
Je penche la tête et commence à lui lécher la grosse boule gauche tout en le regardant, puis toujours mon regard dans le sien, je gobe une à une ses couilles recouvertes de poils courts. Je bande de nouveau terriblement.
- Ok sale pute, tu peux passer au plat principal !
Je recule la tête pour me positionner devant ce sexe mais avant même de lavoir en bouche, je reçois une nouvelle claque.
- Quest-ce quon dit ? Tu crois que tu la mérites ?
- Merci Monsieur.
- Merci pourquoi ?
- Merci Monsieur pour votre grosse queue !
- Mouais
cest mieux, je vais te montrer comment tu dois sucer.
Le Dominant pose ses grandes mains de chaque côté de ma tête et conduit son membre devant ma bouche en forçant mes lèvres, puis commence à opérer des vas et viens successifs jusquà toucher ma glotte. Lhumiliation ressentie exacerbe tous mes sens, je goute cette bite, je savoure le contact de cette chair brulante et son odeur. Le Dominant continue à me baiser la bouche copieusement, autant en bougeant son bassin que ma tête davant en arrière. Je bave
bave que le Dominant parfois recueille pour létaler sur mon front et mes yeux. Parfois même, il me crache dessus. Brusquement je suis soulevé du sol, comme un vulgaire sac et suis balancé sur le lit. Il minstalle à lenvers, dos contre le dossier, la tête en bas et les fesses en lair, puis il sassoit sur mon estomac pour mimmobiliser. La position est très inconfortable et très humiliante et ne me laisse aucune liberté. Ainsi installé, lhomme reprend mon baisage de bouche tout en insérant un doigt recouvert de salive dans mon anus. Dune main, il me soulève la tête et me plante mieux encore sa tige dans mon orifice buccale, de lautre il me dilate le cul sans grande retenue. Je suis tellement absorbé par cette fellation contrainte que je nai pas entendu entrer une personne qui mécarte largement les fesses. Dans une telle position, je ne peux voir de qui il sagit. Pourtant, il me semble reconnaitre cette voix :
- Jai enfermé ta chienne aux cachots, avec un gros gode planté dans son cul, un autre dans sa chatte encore trempée de sa jouissance interdite, nous la dérouillerons ce soir
.
- Merci Karl, lui répond celui qui vient de me balancer son foutre en fond de gorge.
Karl
? Mais cest le jeune banquier vu lavant-veille avec le Maître. Il est là, avec à ses pieds un très jeune mâle soumis tenu en laisse.
- Tu as joui Ludo ? interroge Karl
- Oui je viens de balancer mon yop dans la bouche de cette catin !
- Dommage, tu aurais du gouter au cul de cette chienne
.
- Tinquiète Karl, je vais vite retrouver la forme.
- On fait toujours comme on a dit pour eux deux ce soir ?
- Oui, oui, nous les conduirons au bordel tous les deux, ils iront se faire casser le cul par ses machos dhétéros nassumant pas en public leur homosexualité
Le dénommé Ludo se redresse enfin, me laissant reprendre mon souffle alors que toujours renversé, Karl empoigne ma bite toujours raide et me la branle doucement.
- Tu ne pensais pas me revoir si vite, le chien ! me lance-t-il
- Non Monsieur
- Redresse toi petite salope, met-toi à genoux devant mon esclave et baisez-vous tous les deux
Je minstalle comme ordonné devant ce jeune esclave blond et percé sur chacun de ses tétons. Il porte également au bout de sa queue un prince Albert imposant. Il semble très jeune une vingtaine dannée seulement, un corps superbe totalement glabre, une peau blanche, il est finement musclé avec des abdominaux en tablette de chocolat, les cheveux blonds et courts, des grands yeux bleus. Nous nous retrouvons face à face
- Baisez-vous, ai-je ordonné ! crie subitement Karl.
Alors chacun de nous approchons nos lèvres lun de lautre et très vite nous nous embrassons à pleine bouche...
(A suivre
)
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